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n exprimant le premier nom, qui est le sujet, par ehyé, et le second nom, qui lui sert d’attribut, par ce même mot ehyé, on a, pour ainsi dire, déclaré que le sujet est identiquement la même chose que l’atribut. C’est donc là une explication de cette idée : que Dieu existe, mais non pas par l’existence ; de sorte que cette idée est ainsi résumée et interprétée : l’Etre qui est l’Etre, c’est-à-dire, l’Etre nécessaire.
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