14.
1
Je regardai encore et voici que l'Agneau se tenait sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante-quatre mille personnes, qui avaient son nom et le nom de son Père écrits sur le front.
- Je regardai, et voici, l'agneau se tenait sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante-quatre mille personnes, qui avaient son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts. (Ⅰ) - Καὶ εἶδον, καὶ ἰδοὺ τὸ ἀρνίον ⸀ἑστὸς ἐπὶ τὸ ὄρος Σιών, καὶ μετ’ ⸀αὐτοῦ ἑκατὸν τεσσεράκοντα τέσσαρες χιλιάδες ἔχουσαι τὸ ὄνομα αὐτοῦ καὶ τὸ ὄνομα τοῦ πατρὸς αὐτοῦ γεγραμμένον ἐπὶ τῶν μετώπων αὐτῶν. (Ⅲ) - Et vidi : et ecce Agnus stabat supra montem Sion, et cum eo centum quadraginta quatuor millia, habentes nomen ejus, et nomen Patris ejus scriptum in frontibus suis. (Ⅳ) - Et je vis: et voici l’Agneau se tenant sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante-quatre milliers, ayant son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts. (Ⅵ) - Puis je regardai, et voici, l’Agneau se tenait sur la montagne de Sion, et il y avait avec lui cent quarante-quatre mille [personnes], qui avaient le Nom de son Père écrit sur leurs fronts. (Ⅶ)
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14.
2
Et j'entendis un son qui venait du ciel, pareil au bruit de grandes eaux et à la voix d'un puissant tonnerre; et le son que j'entendis ressemblait à un concert de harpistes jouant de leurs instruments.
- Et j'entendis du ciel une voix, comme un bruit de grosses eaux, comme le bruit d'un grand tonnerre; et la voix que j'entendis était comme celle de joueurs de harpes jouant de leurs harpes. (Ⅰ) - καὶ ἤκουσα φωνὴν ἐκ τοῦ οὐρανοῦ ὡς φωνὴν ὑδάτων πολλῶν καὶ ὡς φωνὴν βροντῆς μεγάλης, καὶ ἡ φωνὴ ἣν ἤκουσα ὡς κιθαρῳδῶν κιθαριζόντων ἐν ταῖς κιθάραις αὐτῶν. (Ⅲ) - Et audivi vocem de cælo, tamquam vocem aquarum multarum, et tamquam vocem tonitrui magni : et vocem, quam audivi, sicut citharœdorum citharizantium in citharis suis. (Ⅳ) - Et j’ouïs une voix venant du ciel, comme une voix de grandes eaux et comme une voix d’un grand tonnerre; et la voix que j’entendis était comme de joueurs de harpe, jouant de leurs harpes; (Ⅵ) - Et j’entendis une voix du ciel comme le bruit des grandes eaux, et comme le bruit d’un grand tonnerre ; et j’entendis une voix de joueurs de harpe, qui jouaient de leurs harpes, (Ⅶ)
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14.
3
Et ils chantaient comme un cantique nouveau devant le trône, et devant les quatre animaux et les vieillards; et nul ne pouvait apprendre ce cantique, si ce n'est les cent quarante-quatre mille qui ont été rachetés de la terre.
- Et ils chantaient un cantique nouveau devant le trône, et devant les quatre êtres vivants et les vieillards. Et personne ne pouvait apprendre le cantique, si ce n'est les cent quarante-quatre mille, qui avaient été rachetés de la terre. (Ⅰ) - καὶ ᾄδουσιν ⸀ὡς ᾠδὴν καινὴν ἐνώπιον τοῦ θρόνου καὶ ἐνώπιον τῶν τεσσάρων ζῴων καὶ τῶν πρεσβυτέρων· καὶ οὐδεὶς ἐδύνατο μαθεῖν τὴν ᾠδὴν εἰ μὴ αἱ ἑκατὸν τεσσεράκοντα τέσσαρες χιλιάδες, οἱ ἠγορασμένοι ἀπὸ τῆς γῆς. (Ⅲ) - Et cantabant quasi canticum novum ante sedem, et ante quatuor animalia, et seniores : et nemo poterat dicere canticum, nisi illa centum quadraginta quatuor millia, qui empti sunt de terra. (Ⅳ) - et ils chantent un cantique nouveau devant le trône, et devant les quatre animaux et les anciens. Et personne ne pouvait apprendre le cantique, sinon les cent quarante-quatre milliers qui ont été achetés de la terre. (Ⅵ) - Et qui chantaient comme un cantique nouveau devant le trône, et devant les quatre animaux, et devant les Anciens ; et personne ne pouvait apprendre le cantique, que les cent quarante-quatre mille qui ont été achetés d’entre ceux de la terre. (Ⅶ)
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14.
4
Ce sont ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes, car ils sont vierges. Ce sont eux qui accompagnent l'Agneau partout où il va. Ils ont été rachetés d'entre les hommes, comme des prémices pour Dieu et pour l'Agneau ;
- Ce sont ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes, car ils sont vierges; ils suivent l'agneau partout où il va. Ils ont été rachetés d'entre les hommes, comme des prémices pour Dieu et pour l'agneau; (Ⅰ) - οὗτοί εἰσιν οἳ μετὰ γυναικῶν οὐκ ἐμολύνθησαν, παρθένοι γάρ εἰσιν· ⸀οὗτοι οἱ ἀκολουθοῦντες τῷ ἀρνίῳ ὅπου ἂν ⸀ὑπάγῃ· ⸁οὗτοι ἠγοράσθησαν ἀπὸ τῶν ἀνθρώπων ἀπαρχὴ τῷ θεῷ καὶ τῷ ἀρνίῳ, (Ⅲ) - Hi sunt, qui cum mulieribus non sunt coinquinati : virgines enim sunt. Hi sequuntur Agnum quocumque ierit. Hi empti sunt ex hominibus primitiæ Deo, et Agno : (Ⅳ) - Ce sont ceux qui ne se sont point souillés avec les femmes, car ils sont vierges; ce sont ceux qui suivent l’Agneau où qu’il aille; ceux-ci ont été achetés d’entre les hommes, des prémices à Dieu et à l’Agneau; (Ⅵ) - Ce sont ceux qui ne se sont point souillés avec les femmes, car ils sont vierges ; ce sont ceux qui suivent l’Agneau quelque part qu’il aille ; et ce sont ceux qui ont été achetés d’entre les hommes pour être des prémices à Dieu, et à l’Agneau. (Ⅶ)
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14.
5
et il ne s'est point trouvé de mensonge dans leur bouche, car ils sont irréprochables.
- et dans leur bouche il ne s'est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles. (Ⅰ) - καὶ ⸂ἐν τῷ στόματι αὐτῶν οὐχ εὑρέθη⸃ ψεῦδος· ⸀ἄμωμοί εἰσιν. (Ⅲ) - et in ore eorum non est inventum mendacium : sine macula enim sunt ante thronum Dei.\ (Ⅳ) - et il n’a pas été trouvé de mensonge dans leur bouche; ils sont irréprochables. (Ⅵ) - Et il n’a été trouvé aucune fraude en leur bouche ; car ils sont sans tache devant le trône de Dieu. (Ⅶ)
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14.
6
Puis je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, tenant l'Evangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue et à tout peuple.
- Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. (Ⅰ) - Καὶ εἶδον ⸀ἄλλον ἄγγελον πετόμενον ἐν μεσουρανήματι, ἔχοντα εὐαγγέλιον αἰώνιον εὐαγγελίσαι ⸀ἐπὶ τοὺς καθημένους ἐπὶ τῆς γῆς καὶ ἐπὶ πᾶν ἔθνος καὶ φυλὴν καὶ γλῶσσαν καὶ λαόν, (Ⅲ) - Et vidi alterum angelum volantem per medium cæli, habentem Evangelium æternum, ut evangelizaret sedentibus super terram, et super omnem gentem, et tribum, et linguam, et populum : (Ⅳ) - Et je vis un autre ange volant par le milieu du ciel, ayant l’évangile éternel pour l’annoncer à ceux qui sont établis sur la terre, et à toute nation et tribu et langue et peuple, (Ⅵ) - Puis je vis un autre Ange qui volait par le milieu du ciel, ayant l’Evangile éternel, afin d’évangéliser à ceux qui habitent sur la terre, et à toute nation, Tribu, Langue et peuple ; (Ⅶ)
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14.
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Il disait d'une voix forte : " Craignez Dieu et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue; adorez Celui qui a fait le ciel et la terre, la mer et les sources des eaux. "
- Il disait d'une voix forte: Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. (Ⅰ) - λέγων ἐν φωνῇ μεγάλῃ· Φοβήθητε τὸν ⸀θεὸν καὶ δότε αὐτῷ δόξαν, ὅτι ἦλθεν ἡ ὥρα τῆς κρίσεως αὐτοῦ, καὶ προσκυνήσατε ⸂τῷ ποιήσαντι⸃ τὸν οὐρανὸν καὶ τὴν γῆν ⸀καὶ θάλασσαν καὶ πηγὰς ὑδάτων. (Ⅲ) - dicens magna voce : Timete Dominum, et date illi honorem, quia venit hora judicii ejus : et adorate eum, qui fecit cælum, et terram, mare, et fontes aquarum. (Ⅳ) - disant à haute voix: Craignez Dieu et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue; et rendez hommage à celui qui a fait le ciel et la terre et la mer et les fontaines d’eaux. (Ⅵ) - Disant à haute voix : Craignez Dieu, et lui donnez gloire ; car l’heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel et la terre, la mer et les fontaines des eaux. (Ⅶ)
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Et un autre ange suivit, en disant : " Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! "
- Et un autre, un second ange suivit, en disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité! (Ⅰ) - Καὶ ἄλλος ⸂δεύτερος ἄγγελος⸃ ἠκολούθησεν λέγων· Ἔπεσεν, ⸀ἔπεσεν Βαβυλὼν ἡ μεγάλη, ⸀ἣ ἐκ τοῦ οἴνου τοῦ θυμοῦ τῆς πορνείας αὐτῆς πεπότικεν πάντα τὰ ἔθνη. (Ⅲ) - Et alius angelus secutus est dicens : Cecidit, cecidit Babylon illa magna : quæ a vino iræ fornicationis suæ potavit omnes gentes. (Ⅳ) - Et un autre, un second ange, suivit, disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui, du vin de la fureur de sa fornication, a fait boire à toutes les nations. (Ⅵ) - Et un autre Ange le suivit, disant : Elle est tombée, elle est tombée Babylone, cette grande Cité, parce qu’elle a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité. (Ⅶ)
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Et un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte : " Si quelqu'un adore la bête et son image, et en prend la marque sur son front ou sur sa main,
- Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte: Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, (Ⅰ) - Καὶ ἄλλος ἄγγελος τρίτος ἠκολούθησεν αὐτοῖς λέγων ἐν φωνῇ μεγάλῃ· Εἴ τις προσκυνεῖ τὸ θηρίον καὶ τὴν εἰκόνα αὐτοῦ, καὶ λαμβάνει χάραγμα ἐπὶ τοῦ μετώπου αὐτοῦ ἢ ἐπὶ τὴν χεῖρα αὐτοῦ, (Ⅲ) - Et tertius angelus secutus est illos, dicens voce magna : Si quis adoraverit bestiam, et imaginem ejus, et acceperit caracterem in fronte sua, aut in manu sua : (Ⅳ) - Et un autre, un troisième ange, suivit ceux-là, disant à haute voix: Si quelqu’un rend hommage à la bête et à son image, et qu’il reçoive une marque sur son front ou sur sa main, (Ⅵ) - Et un troisième Ange suivit ceux-là, disant à haute voix : Si quelqu’un adore la bête et son image, et qu’il en prenne la marque sur son front, ou en sa main, (Ⅶ)
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il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, du vin pur versé dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et dans le soufre, sous les yeux des saints anges et de l'Agneau.
- il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. (Ⅰ) - καὶ αὐτὸς πίεται ἐκ τοῦ οἴνου τοῦ θυμοῦ τοῦ θεοῦ τοῦ κεκερασμένου ἀκράτου ἐν τῷ ποτηρίῳ τῆς ὀργῆς αὐτοῦ, καὶ βασανισθήσεται ἐν πυρὶ καὶ θείῳ ἐνώπιον ⸂ἀγγέλων ἁγίων⸃ καὶ ἐνώπιον τοῦ ἀρνίου. (Ⅲ) - et hic bibet de vino iræ Dei, quod mistum est mero in calice iræ ipsius, et cruciabitur igne, et sulphure in conspectu angelorum sanctorum, et ante conspectum Agni : (Ⅳ) - lui aussi boira du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère; et il sera tourmenté dans le feu et le soufre devant les saints anges et devant l’Agneau. (Ⅵ) - Celui-là aussi boira du vin de la colère de Dieu, du vin pur versé dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté de feu et de soufre devant les saints Anges, et devant l’Agneau. (Ⅶ)
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Et la fumée de leur supplice s'élèvera aux siècles des siècles, et il n'y aura de repos, ni jour ni nuit, pour ceux qui adorent la bête et son image, ni pour quiconque aura reçu la marque de son nom. "
- Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom. (Ⅰ) - καὶ ὁ καπνὸς τοῦ βασανισμοῦ αὐτῶν εἰς αἰῶνας αἰώνων ἀναβαίνει, καὶ οὐκ ἔχουσιν ἀνάπαυσιν ἡμέρας καὶ νυκτός, οἱ προσκυνοῦντες τὸ θηρίον καὶ τὴν εἰκόνα αὐτοῦ, καὶ εἴ τις λαμβάνει τὸ χάραγμα τοῦ ὀνόματος αὐτοῦ. (Ⅲ) - et fumus tormentorum eorum ascendet in sæcula sæculorum : nec habent requiem die ac nocte, qui adoraverunt bestiam, et imaginem ejus, et si quis acceperit caracterem nominis ejus. (Ⅳ) - Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles; et ils n’ont aucun repos, ni jour, ni nuit, ceux qui rendent hommage à la bête et à son image, et si quelqu’un prend la marque de son nom. (Ⅵ) - Et la fumée de leur tourment montera aux siècles des siècles, et ceux-là n’auront nul repos ni jour ni nuit qui adorent la bête et son image, et quiconque prend la marque de son nom. (Ⅶ)
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C'est ici que doit se montrer la patience des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi en Jésus.
- C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. (Ⅰ) - Ὧδε ἡ ὑπομονὴ τῶν ἁγίων ἐστίν, οἱ τηροῦντες τὰς ἐντολὰς τοῦ θεοῦ καὶ τὴν πίστιν Ἰησοῦ. (Ⅲ) - Hic patientia sanctorum est, qui custodiunt mandata Dei, et fidem Jesu. (Ⅳ) - Ici est la patience des saints; ici, ceux qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. (Ⅵ) - Ici est la patience des Saints ; ici [sont] ceux qui gardent les commandements de Dieu, et la foi de Jésus. (Ⅶ)
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Et j'entendis une voix venant du ciel, qui disait : " Ecris : Heureux dès maintenant les morts qui meurent dans le Seigneur! " " Oui, dit l'Esprit, qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs oeuvres les suivent. "
- Et j'entendis du ciel une voix qui disait: Écris: Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs oeuvres les suivent. (Ⅰ) - Καὶ ἤκουσα φωνῆς ἐκ τοῦ οὐρανοῦ λεγούσης· Γράψον· Μακάριοι οἱ νεκροὶ οἱ ἐν κυρίῳ ἀποθνῄσκοντες ἀπ’ ἄρτι. ⸂ναί, λέγει⸃ τὸ πνεῦμα, ἵνα ⸀ἀναπαήσονται ἐκ τῶν κόπων αὐτῶν, τὰ ⸀γὰρ ἔργα αὐτῶν ἀκολουθεῖ μετ’ αὐτῶν. (Ⅲ) - Et audivi vocem de cælo, dicentem mihi : Scribe : Beati mortui qui in Domino moriuntur. Amodo jam dicit Spiritus, ut requiescant a laboribus suis : opera enim illorum sequuntur illos.\ (Ⅳ) - Et j’ouïs une voix venant du ciel, disant: Écris: Bienheureux les morts qui meurent dans le Seigneur, dorénavant. Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent. (Ⅵ) - Alors j’entendis une voix du ciel me disant : écris : Bienheureux sont les morts qui dorénavant meurent au Seigneur ; oui pour certain, dit l’Esprit ; car ils se reposent de leurs travaux, et leurs œuvres les suivent. (Ⅶ)
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Puis je regardai, et voici que parut une nuée blanche, et sur la nuée quelqu'un était assis qui ressemblait à un fils de l'homme ayant sur sa tête une couronne d'or, et dans sa main une faucille tranchante.
- Je regardai, et voici, il y avait une nuée blanche, et sur la nuée était assis quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, ayant sur sa tête une couronne d'or, et dans sa main une faucille tranchante. (Ⅰ) - Καὶ εἶδον, καὶ ἰδοὺ νεφέλη λευκή, καὶ ἐπὶ τὴν νεφέλην καθήμενον ὅμοιον ⸀υἱὸν ἀνθρώπου, ἔχων ἐπὶ τῆς κεφαλῆς αὐτοῦ στέφανον χρυσοῦν καὶ ἐν τῇ χειρὶ αὐτοῦ δρέπανον ὀξύ. (Ⅲ) - Et vidi : et ecce nubem candidam, et super nubem sedentem similem Filio hominis, habentem in capite suo coronam auream, et in manu sua falcem acutam. (Ⅳ) - Et je vis: et voici une nuée blanche, et sur la nuée quelqu’un assis, semblable au Fils de l’homme, ayant sur sa tête une couronne d’or et dans sa main une faucille tranchante. (Ⅵ) - Et je regardai, et voici une nuée blanche, et sur la nuée quelqu’un assis, semblable à un homme, ayant sur sa tête une couronne d’or, et en sa main une faucille tranchante. (Ⅶ)
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Et un autre ange sortit du sanctuaire, criant d'une voix forte à celui qui était assis sur la nuée " Lance ta faucille et moissonne; car le moment de moissonner est venu, parce que la moisson de la terre est mûre. "
- Et un autre ange sortit du temple, criant d'une voix forte à celui qui était assis sur la nuée: Lance ta faucille, et moissonne; car l'heure de moissonner est venue, car la moisson de la terre est mûre. (Ⅰ) - καὶ ἄλλος ἄγγελος ἐξῆλθεν ἐκ τοῦ ναοῦ κράζων ἐν φωνῇ μεγάλῃ τῷ καθημένῳ ἐπὶ τῆς νεφέλης· Πέμψον τὸ δρέπανόν σου καὶ θέρισον, ὅτι ἦλθεν ἡ ὥρα θερίσαι, ὅτι ἐξηράνθη ὁ θερισμὸς τῆς γῆς. (Ⅲ) - Et alius angelus exivit de templo, clamans voce magna ad sedentem super nubem : Mitte falcem tuam, et mete, quia venit hora ut metatur, quoniam aruit messis terræ. (Ⅳ) - Et un autre ange sortit du temple, criant à haute voix à celui qui était assis sur la nuée: Lance ta faucille et moissonne; car l’heure de moissonner est venue, parce que la moisson de la terre est desséchée. (Ⅵ) - Et un autre Ange sortit du Temple, criant à haute voix à celui qui était assis sur la nuée : jette ta faucille, et moissonne ; car c’est ton heure de moissonner, parce que la moisson de la terre est mûre. (Ⅶ)
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Alors Celui qui était assis sur la nuée jeta sa faucille sur la terre, et la terre fut moissonnée.
- Et celui qui était assis sur la nuée jeta sa faucille sur la terre. Et la terre fut moissonnée. (Ⅰ) - καὶ ἔβαλεν ὁ καθήμενος ἐπὶ ⸂τῆς νεφέλης⸃ τὸ δρέπανον αὐτοῦ ἐπὶ τὴν γῆν, καὶ ἐθερίσθη ἡ γῆ. (Ⅲ) - Et misit qui sedebat super nubem, falcem suam in terram, et demessa est terra. (Ⅳ) - Et celui qui était assis sur la nuée mit sa faucille sur la terre, et la terre fut moissonnée. (Ⅵ) - Alors celui qui était assis sur la nuée, jeta sa faucille sur la terre, et la terre fut moissonnée. (Ⅶ)
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Un autre ange sortit du sanctuaire qui est dans le ciel, portant, lui aussi, une faucille tranchante.
- Et un autre ange sortit du temple qui est dans le ciel, ayant, lui aussi, une faucille tranchante. (Ⅰ) - Καὶ ἄλλος ἄγγελος ἐξῆλθεν ἐκ τοῦ ναοῦ τοῦ ἐν τῷ οὐρανῷ, ἔχων καὶ αὐτὸς δρέπανον ὀξύ. (Ⅲ) - Et alius angelus exivit de templo, quod est in cælo, habens et ipse falcem acutam. (Ⅳ) - Et un autre ange sortit du temple qui est dans le ciel, ayant lui aussi une faucille tranchante. (Ⅵ) - Et un autre Ange sortit du Temple qui est au Ciel, ayant aussi une faucille tranchante. (Ⅶ)
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Et un autre ange, celui qui a pouvoir sur le feu, sortit de l'autel, et s'adressa d'une voix forte à celui qui avait la faucille tranchante, disant : " Lance ta faucille tranchante, et coupe les grappes de la vigne de la terre, car les raisins en sont murs. "
- Et un autre ange, qui avait autorité sur le feu, sortit de l'autel, et s'adressa d'une voix forte à celui qui avait la faucille tranchante, disant: Lance ta faucille tranchante, et vendange les grappes de la vigne de la terre; car les raisins de la terre sont mûrs. (Ⅰ) - καὶ ἄλλος ⸀ἄγγελος ἐκ τοῦ θυσιαστηρίου, ⸀ὁ ἔχων ἐξουσίαν ἐπὶ τοῦ πυρός, καὶ ἐφώνησεν ⸀φωνῇ μεγάλῃ τῷ ἔχοντι τὸ δρέπανον τὸ ὀξὺ λέγων· Πέμψον σου τὸ δρέπανον τὸ ὀξὺ καὶ τρύγησον τοὺς βότρυας τῆς ἀμπέλου τῆς γῆς, ὅτι ἤκμασαν αἱ σταφυλαὶ αὐτῆς. (Ⅲ) - Et alius angelus exivit de altari, qui habebat potestatem supra ignem : et clamavit voce magna ad eum qui habebat falcem acutam, dicens : Mitte falcem tuam acutam, et vindemia botros vineæ terræ : quoniam maturæ sunt uvæ ejus. (Ⅳ) - Et un autre ange, ayant pouvoir sur le feu, sortit de l’autel et, en jetant un grand cri, il cria à celui qui avait la faucille tranchante, disant: Lance ta faucille tranchante et vendange les grappes de la vigne de la terre, car ses raisins ont mûri. (Ⅵ) - Et un autre Ange sortit de l’autel, ayant puissance sur le feu ; et il cria, jetant un grand cri à celui qui avait la faucille tranchante, disant : jette ta faucille tranchante, et vendange les grappes de la vigne de la terre, car ses raisins sont mûrs. (Ⅶ)
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Et l'ange jeta sa faucille sur la terre, et vendangea la vigne de la terre, et il en jeta les grappes dans la grande cuve de la colère de Dieu.
- Et l'ange jeta sa faucille sur la terre. Et il vendangea la vigne de la terre, et jeta la vendange dans la grande cuve de la colère de Dieu. (Ⅰ) - καὶ ἔβαλεν ὁ ἄγγελος τὸ δρέπανον αὐτοῦ εἰς τὴν γῆν, καὶ ἐτρύγησεν τὴν ἄμπελον τῆς γῆς, καὶ ἔβαλεν εἰς τὴν ληνὸν τοῦ θυμοῦ τοῦ θεοῦ τὸν μέγαν. (Ⅲ) - Et misit angelus falcem suam acutam in terram, et vindemiavit vineam terræ, et misit in lacum iræ Dei magnum : (Ⅳ) - Et l’ange mit sa faucille sur la terre, et vendangea la vigne de la terre, et jeta les grappes dans la grande cuve du courroux de Dieu. (Ⅵ) - Et l’Ange jeta en la terre sa faucille tranchante : et vendangea la vigne de la terre, et il jeta [la vendange] en la grande cuve de la colère de Dieu. (Ⅶ)
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La cuve fut foulée hors de la ville, et il en sortit du sang jusqu'à la hauteur du mors des chevaux, sur un espace de mille six cents stades.
- Et la cuve fut foulée hors de la ville; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades. (Ⅰ) - καὶ ἐπατήθη ἡ ληνὸς ἔξωθεν τῆς πόλεως, καὶ ἐξῆλθεν αἷμα ἐκ τῆς ληνοῦ ἄχρι τῶν χαλινῶν τῶν ἵππων ἀπὸ σταδίων χιλίων ἑξακοσίων. (Ⅲ) - et calcatus est lacus extra civitatem, et exivit sanguis de lacu usque ad frenos equorum per stadia mille sexcenta. (Ⅳ) - Et la cuve fut foulée hors de la ville; et de la cuve il sortit du sang jusqu’aux mors des chevaux, sur un espace de mille six cents stades. (Ⅵ) - Et la cuve fut foulée hors de la Cité ; et de la cuve il sortit du sang [qui allait] jusqu’aux freins des chevaux dans [l’étendue] de mille six cents stades. (Ⅶ)
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