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(Ⅰ)
(Ⅰ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅵ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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14. 1  
L’homme né de femme est de courte vie, et rassasié d’agitations.
- L'homme né de la femme vit peu de jours, et il est rassasié de misères. (Ⅰ)
- L'homme né de la femme! Sa vie est courte, sans cesse agitée. (Ⅱ)
- βροτὸς γὰρ γεννητὸς γυναικὸς ὀλιγόβιος καὶ πλήρης ὀργη̃ς (Ⅳ)
- Homo natus de muliere, brevi vivens tempore,/ repletur multis miseriis./ (Ⅴ)
- ‫ 1  ׃14  אדם ילוד אשה קצר ימים ושבע רגז ‬ (Ⅵ)
- L’homme né de femme est de peu de jours et rassasié de trouble; (Ⅶ)
- L'homme né de femme a la vie courte, et est rassasié de trouble. (Ⅷ)
14. 2  
Il sort comme une fleur, puis il est coupé, et il s’enfuit comme une ombre qui ne s’arrête point.
- Comme la fleur, il naît, et on le coupe; il fuit comme l'ombre, sans s'arrêter. (Ⅰ)
- Il naît, il est coupé comme une fleur; Il fuit et disparaît comme une ombre. (Ⅱ)
- ἢ ὥσπερ ἄνθος ἀνθη̃σαν ἐξέπεσεν ἀπέδρα δὲ ὥσπερ σκιὰ καὶ οὐ μὴ στη̨̃ (Ⅳ)
- Qui quasi flos egreditur et conteritur,/ et fugit velut umbra, et numquam in eodem statu permanet./ (Ⅴ)
- ‫ 2  ׃14  כציץ יצא וימל ויברח כצל ולא יעמוד ‬ (Ⅵ)
- Il sort comme une fleur, et il est fauché; il s’enfuit comme une ombre, et il ne dure pas. (Ⅶ)
- Comme une fleur, il éclot, et on le coupe; il fuit comme une ombre, et ne subsiste point. (Ⅷ)
14. 3  
Cependant tu as ouvert tes yeux sur lui, et tu me tires en cause devant toi.
- Et c'est sur lui que tu as l'oeil ouvert, lui que tu amènes en justice avec toi! (Ⅰ)
- Et c'est sur lui que tu as l'oeil ouvert! Et tu me fais aller en justice avec toi! (Ⅱ)
- οὐχὶ καὶ τούτου λόγον ἐποιήσω καὶ του̃τον ἐποίησας εἰσελθει̃ν ἐν κρίματι ἐνώπιόν σου (Ⅳ)
- Et dignum ducis super hujuscemodi aperire oculos tuos,/ et adducere eum tecum in judicium ?/ (Ⅴ)
- ‫ 3  ׃14  אף על זה פקחת עינך ואתי תביא במשפט עמך ‬ (Ⅵ)
- Pourtant, sur lui tu ouvres tes yeux, et tu me fais venir en jugement avec toi! (Ⅶ)
- Et c'est sur cet être que tu ouvres les yeux, et c'est moi que tu conduis en justice avec toi! (Ⅷ)
14. 4  
Qui est-ce qui tirera le pur de l’impur ? personne.
- Qui peut tirer le pur de l'impur? Personne. (Ⅰ)
- Comment d'un être souillé sortira-t-il un homme pur? Il n'en peut sortir aucun. (Ⅱ)
- τίς γὰρ καθαρὸς ἔσται ἀπὸ ῥύπου ἀλλ' οὐθείς (Ⅳ)
- Quis potest facere mundum de immundo conceptum semine ?/ nonne tu qui solus es ?/ (Ⅴ)
- ‫ 4  ׃14  מי יתן טהור מטמא לא אחד ‬ (Ⅵ)
- Qui est-ce qui tirera de l’impur un homme pur? Pas un! (Ⅶ)
- Qui peut tirer la pureté de la souillure? Personne. (Ⅷ)
14. 5  
Les jours de l’homme sont déterminés, le nombre de ses mois est entre tes mains, tu lui as prescrit ses limites, et il ne passera point au delà.
- Si les jours de l'homme sont comptés, si tu as fixé le nombre de ses mois, si tu as posé un terme qu'il ne doit pas franchir, (Ⅰ)
- Si ses jours sont fixés, si tu as compté ses mois, Si tu en as marqué le terme qu'il ne saurait franchir, (Ⅱ)
- ἐὰν καὶ μία ἡμέρα ὁ βίος αὐτου̃ ἐπὶ τη̃ς γη̃ς ἀριθμητοὶ δὲ μη̃νες αὐτου̃ παρὰ σοί εἰς χρόνον ἔθου καὶ οὐ μὴ ὑπερβη̨̃ (Ⅳ)
- Breves dies hominis sunt :/ numerus mensium ejus apud te est :/ constituisti terminos ejus, qui præteriri non poterunt./ (Ⅴ)
- ‫ 5  ׃14  אם חרוצים ימיו מספר חדשיו אתך *חקו **חקיו עשית ולא יעבור ‬ (Ⅵ)
- Si ses jours sont déterminés, si le nombre de ses mois est par devers toi, si tu lui as posé ses limites, qu’il ne doit pas dépasser, (Ⅶ)
- Si ses jours sont déterminés, si le nombre de ses mois est fixé par-devers toi, si tu lui as prescrit des limites qu'il ne passera pas, (Ⅷ)
14. 6  
Retire-toi de lui, afin qu’il ait du relâche, jusqu’à ce que comme un mercenaire il ait achevé sa journée.
- détourne de lui tes yeux pour qu'il se repose, jusqu'à ce qu'il goûte, comme le mercenaire, la fin de sa journée. (Ⅰ)
- Détourne de lui les regards, et donne-lui du relâche, Pour qu'il ait au moins la joie du mercenaire à la fin de sa journée. (Ⅱ)
- ἀπόστα ἀπ' αὐτου̃ ἵνα ἡσυχάση̨ καὶ εὐδοκήση̨ τὸν βίον ὥσπερ ὁ μισθωτός (Ⅳ)
- Recede paululum ab eo, ut quiescat,/ donec optata veniat, sicut mercenarii, dies ejus./ (Ⅴ)
- ‫ 6  ׃14  שעה מעליו ויחדל עד ירצה כשכיר יומו ‬ (Ⅵ)
- Détourne de lui ton regard, et il aura du repos, jusqu’à ce que, comme un mercenaire, il achève sa journée; (Ⅶ)
- Détourne tes regards de lui, et qu'il ait quelque repos, jusqu'à ce qu'il goûte, comme un mercenaire, la fin de sa journée. (Ⅷ)
14. 7  
Car si un arbre est coupé, il y a de l’espérance, et il poussera encore, et ne manquera pas de rejetons ;
- Un arbre a de l'espérance: coupé, il peut verdir encore, il ne cesse pas d'avoir des rejetons. (Ⅰ)
- Un arbre a de l'espérance: Quand on le coupe, il repousse, Il produit encore des rejetons; (Ⅱ)
- ἔστιν γὰρ δένδρω̨ ἐλπίς ἐὰν γὰρ ἐκκοπη̨̃ ἔτι ἐπανθήσει καὶ ὁ ῥάδαμνος αὐτου̃ οὐ μὴ ἐκλίπη̨ (Ⅳ)
- Lignum habet spem :/ si præcisum fuerit, rursum virescit,/ et rami ejus pullulant./ (Ⅴ)
- ‫ 7  ׃14  כי יש לעץ תקוה אם יכרת ועוד יחליף וינקתו לא תחדל ‬ (Ⅵ)
- Car il y a de l’espoir pour un arbre: s’il est coupé, il repoussera encore, et ses rejetons ne cesseront pas. (Ⅶ)
- Car il y a de l'espérance pour l'arbre, si on l'a coupé; il reverdit encore, et il ne cesse pas d'avoir des rejetons; (Ⅷ)
14. 8  
Quoique sa racine soit envieillie dans la terre, et que son tronc soit mort dans la poussière ;
- Que sa racine ait vieilli dans la terre, que son tronc soit mort dans la poussière, (Ⅰ)
- Quand sa racine a vieilli dans la terre, Quand son tronc meurt dans la poussière, (Ⅱ)
- ἐὰν γὰρ γηράση̨ ἐν γη̨̃ ἡ ῥίζα αὐτου̃ ἐν δὲ πέτρα̨ τελευτήση̨ τὸ στέλεχος αὐτου̃ (Ⅳ)
- Si senuerit in terra radix ejus,/ et in pulvere emortuus fuerit truncus illius,/ (Ⅴ)
- ‫ 8  ׃14  אם יזקין בארץ שרשו ובעפר ימות גזעו ‬ (Ⅵ)
- Si sa racine vieillit dans la terre, et si son tronc meurt dans la poussière, (Ⅶ)
- Si sa racine vieillit dans la terre, et si dans la poussière son tronc est mort, (Ⅷ)
14. 9  
Dès qu’il sentira l’eau il regermera, et produira des branches, comme un arbre nouvellement planté.
- dès qu'il sent l'eau, il reverdit, il pousse des branches comme un jeune plant. (Ⅰ)
- Il reverdit à l'approche de l'eau, Il pousse des branches comme une jeune plante. (Ⅱ)
- ἀπὸ ὀσμη̃ς ὕδατος ἀνθήσει ποιήσει δὲ θερισμὸν ὥσπερ νεόφυτον (Ⅳ)
- ad odorem aquæ germinabit,/ et faciet comam, quasi cum primum plantatum est./ (Ⅴ)
- ‫ 9  ׃14  מריח מים יפרח ועשה קציר כמו נטע ‬ (Ⅵ)
- A l’odeur de l’eau il poussera, et il fera des branches comme un jeune plant; (Ⅶ)
- Dès qu'il sent l'eau, il pousse de nouveau, et il produit des branches comme un jeune plant. (Ⅷ)
14. 10  
Mais l’homme meurt, et perd toute sa force ; il expire ; et puis où est-il ?
- Mais l'homme meurt, et il reste étendu; quand il a expiré, où est-il? (Ⅰ)
- Mais l'homme meurt, et il perd sa force; L'homme expire, et où est-il? (Ⅱ)
- ἀνὴρ δὲ τελευτήσας ὤ̨χετο πεσὼν δὲ βροτὸς οὐκέτι ἔστιν (Ⅳ)
- Homo vero cum mortuus fuerit, et nudatus,/ atque consumptus, ubi, quæso, est ?/ (Ⅴ)
- ‫ 10 ׃14  וגבר ימות ויחלש ויגוע אדם ואיו ‬ (Ⅵ)
- Mais l’homme meurt et gît là; l’homme expire, et où est-il? (Ⅶ)
- Mais quand l'homme meurt, il reste gisant; quand l'homme a expiré, où est-il? (Ⅷ)
14. 11  
[Comme] les eaux s’écoulent de la mer, et une rivière s’assèche, et tarit ;
- Les eaux du lac disparaissent, le fleuve tarit et se dessèche: (Ⅰ)
- Les eaux des lacs s'évanouissent, Les fleuves tarissent et se dessèchent; (Ⅱ)
- χρόνω̨ γὰρ σπανίζεται θάλασσα ποταμὸς δὲ ἐρημωθεὶς ἐξηράνθη (Ⅳ)
- Quomodo si recedant aquæ de mari,/ et fluvius vacuefactus arescat :/ (Ⅴ)
- ‫ 11 ׃14  אזלו מים מני ים ונהר יחרב ויבש ‬ (Ⅵ)
- Les eaux s’en vont du lac; et la rivière tarit et sèche: (Ⅶ)
- Les eaux de la mer s'écoulent, le fleuve tarit et se dessèche, (Ⅷ)
14. 12  
Ainsi l’homme est couché par terre, et ne se relève point ; jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de cieux ils ne se réveilleront point, et ne seront point réveillés de leur sommeil.
- ainsi l'homme se couche et ne se relève plus, il ne se réveillera pas tant que subsistera le ciel, on ne le fera pas sortir de son sommeil. (Ⅰ)
- Ainsi l'homme se couche et ne se relèvera plus, Il ne se réveillera pas tant que les cieux subsisteront, Il ne sortira pas de son sommeil. (Ⅱ)
- ἄνθρωπος δὲ κοιμηθεὶς οὐ μὴ ἀναστη̨̃ ἕως ἂν ὁ οὐρανὸς οὐ μὴ συρραφη̨̃ καὶ οὐκ ἐξυπνισθήσονται ἐξ ὕπνου αὐτω̃ν (Ⅳ)
- sic homo, cum dormierit, non resurget :/ donec atteratur cælum, non evigilabit,/ nec consurget de somno suo./ (Ⅴ)
- ‫ 12 ׃14  ואיש שכב ולא יקום עד בלתי שמים לא יקיצו ולא יערו משנתם ‬ (Ⅵ)
- Ainsi l’homme se couche et ne se relève pas: jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de cieux, ils ne s’éveillent pas, et ils ne se réveillent pas de leur sommeil. (Ⅶ)
- Ainsi l'homme se couche, et il ne se relève point. Tant qu'il y aura des cieux, ils ne se réveilleront point, et on ne les fera pas sortir de leur sommeil. (Ⅷ)
14. 13  
Ô que tu me cachasses dans une fosse sous la terre, que tu m’y misses à couvert jusqu’à ce que ta colère fût passée, [et] que tu me donnasses un terme ; après lequel tu te souvinsses de moi !
- Oh! Si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, m'y tenir à couvert jusqu'à ce que ta colère ait passé, me fixer un terme où tu te souviendrais de moi! (Ⅰ)
- Oh! si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, M'y tenir à couvert jusqu'à ce que ta colère fût passée, Et me fixer un terme auquel tu te souviendras de moi! (Ⅱ)
- εἰ γὰρ ὄφελον ἐν ἅ̨δη̨ με ἐφύλαξας ἔκρυψας δέ με ἕως ἂν παύσηταί σου ἡ ὀργὴ καὶ τάξη̨ μοι χρόνον ἐν ὡ̨̃ μνείαν μου ποιήση̨ (Ⅳ)
- Quis mihi hoc tribuat, ut in inferno protegas me,/ et abscondas me donec pertranseat furor tuus,/ et constituas mihi tempus in quo recorderis mei ?/ (Ⅴ)
- ‫ 13 ׃14  מי יתן בשאול תצפנני תסתירני עד שוב אפך תשית‪[c]‬ לי חק ותזכרני ‬ (Ⅵ)
- Oh! si tu voulais me cacher dans le shéol, me tenir caché jusqu’à ce que ta colère se détourne, me fixer un temps arrêté, et puis te souvenir de moi, — (Ⅶ)
- Oh! si tu me cachais dans le Sépulcre, si tu me mettais à couvert, jusqu'à ce que ta colère fût passée! Si tu me donnais un terme, après lequel tu te souviendrais de moi (Ⅷ)
14. 14  
Si l’homme meurt, revivra-t-il ? J’attendrai [donc] tous les jours de mon combat, jusqu’à ce qu’il m’arrive du changement.
- Si l'homme une fois mort pouvait revivre! Tout le temps de mon service j'attendrais qu'on vînt me relever. (Ⅰ)
- Si l'homme une fois mort pouvait revivre, J'aurais de l'espoir tout le temps de mes souffrances, Jusqu'à ce que mon état vînt à changer. (Ⅱ)
- ἐὰν γὰρ ἀποθάνη̨ ἄνθρωπος ζήσεται συντελέσας ἡμέρας του̃ βίου αὐτου̃ ὑπομενω̃ ἕως ἂν πάλιν γένωμαι (Ⅳ)
- Putasne mortuus homo rursum vivat ?/ cunctis diebus quibus nunc milito, expecto/ donec veniat immutatio mea./ (Ⅴ)
- ‫ 14 ׃14  אם ימות גבר היחיה כל ימי צבאי איחל עד בוא חליפתי ‬ (Ⅵ)
- (Si un homme meurt, revivra-t-il?), tous les jours de ma détresse, j’attendrais jusqu’à ce que mon état vînt à changer: (Ⅶ)
- (Si l'homme meurt, revivra-t-il? ), tout le temps de ma consigne, j'attendrais, jusqu'à ce que vînt mon remplacement! (Ⅷ)
14. 15  
Appelle-moi, et je te répondrai ; ne dédaigne point l’ouvrage de tes mains.
- Tu m'appellerais alors, et moi je te répondrais; tu languirais après l'ouvrage de tes mains. (Ⅰ)
- Tu appellerais alors, et je te répondrais, Tu languirais après l'ouvrage de tes mains. (Ⅱ)
- εἰ̃τα καλέσεις ἐγὼ δέ σοι ὑπακούσομαι τὰ δὲ ἔργα τω̃ν χειρω̃ν σου μὴ ἀποποιου̃ (Ⅳ)
- Vocabis me, et ego respondebo tibi :/ operi manuum tuarum porriges dexteram./ (Ⅴ)
- ‫ 15 ׃14  תקרא ואנכי אענך למעשה ידיך תכסף ‬ (Ⅵ)
- Tu appellerais, et moi je te répondrais; ton désir serait tourné vers l’œuvre de tes mains; (Ⅶ)
- Tu appellerais, et je répondrais; tu désirerais de revoir l'ouvrage de tes mains. (Ⅷ)
14. 16  
Or maintenant tu comptes mes pas, et tu n’exceptes rien de mon péché.
- Mais hélas! Maintenant, tu comptes mes pas, tu as l'oeil ouvert sur mes péchés; (Ⅰ)
- Mais aujourd'hui tu comptes mes pas, Tu as l'oeil sur mes péchés; (Ⅱ)
- ἠρίθμησας δέ μου τὰ ἐπιτηδεύματα καὶ οὐ μὴ παρέλθη̨ σε οὐδὲν τω̃ν ἁμαρτιω̃ν μου (Ⅳ)
- Tu quidem gressus meos dinumerasti :/ sed parce peccatis meis./ (Ⅴ)
- ‫ 16 ׃14  כי עתה צעדי תספור לא תשמור על חטאתי ‬ (Ⅵ)
- Car maintenant tu comptes mes pas: ne veilles-tu pas sur mon péché? (Ⅶ)
- Mais, maintenant, tu comptes mes pas, et tu observes tous mes péchés. (Ⅷ)
14. 17  
Mes péchés sont cachetés comme dans une valise, et tu as cousu ensemble mes iniquités.
- mes transgressions sont scellées dans une bourse, et tu mets un enduit sur mes iniquités. (Ⅰ)
- Mes transgressions sont scellées en un faisceau, Et tu imagines des iniquités à ma charge. (Ⅱ)
- ἐσφράγισας δέ μου τὰς ἀνομίας ἐν βαλλαντίω̨ ἐπεσημήνω δέ εἴ τι ἄκων παρέβην (Ⅳ)
- Signasti quasi in sacculo delicta mea,/ sed curasti iniquitatem meam./ (Ⅴ)
- ‫ 17 ׃14  חתם בצרור פשעי ותטפל על עוני ‬ (Ⅵ)
- Ma transgression est scellée dans un sac, et dans tes pensées, tu ajoutes à mon iniquité. (Ⅶ)
- Ma transgression est scellée dans le sac, et tu as ajouté à mon iniquité. (Ⅷ)
14. 18  
Car [comme] une montagne en tombant s’éboule, et [comme] un rocher est transporté de sa place ;
- La montagne s'écroule et s'efface; le rocher est transporté hors de sa place; (Ⅰ)
- La montagne s'écroule et périt, Le rocher disparaît de sa place, (Ⅱ)
- καὶ πλὴν ὄρος πι̃πτον διαπεσει̃ται καὶ πέτρα παλαιωθήσεται ἐκ του̃ τόπου αὐτη̃ς (Ⅳ)
- Mons cadens defluit,/ et saxum transfertur de loco suo :/ (Ⅴ)
- ‫ 18 ׃14  ואולם הר נופל יבול וצור יעתק ממקמו ‬ (Ⅵ)
- Mais une montagne qui s’éboule est réduite en poussière, et le rocher est transporté de son lieu; (Ⅶ)
- Mais la montagne s'éboule; le rocher est transporté hors de sa place; (Ⅷ)
14. 19  
Et [comme] les eaux minent les pierres, et entraînent par leur débordement la poussière de la terre, avec tout ce qu’elle a produit, tu fais ainsi périr l’attente de l’homme [mortel].
- les eaux creusent la pierre, leurs flots débordés entraînent la poussière du sol: ainsi tu anéantis l'espérance de l'homme. (Ⅰ)
- La pierre est broyée par les eaux, Et la terre emportée par leur courant; Ainsi tu détruis l'espérance de l'homme. (Ⅱ)
- λίθους ἐλέαναν ὕδατα καὶ κατέκλυσεν ὕδατα ὕπτια του̃ χώματος τη̃ς γη̃ς καὶ ὑπομονὴν ἀνθρώπου ἀπώλεσας (Ⅳ)
- lapides excavant aquæ,/ et alluvione paulatim terra consumitur :/ et hominem ergo similiter perdes./ (Ⅴ)
- ‫ 19 ׃14  אבנים שחקו מים תשטף ספיחיה עפר ארץ ותקות אנוש האבדת ‬ (Ⅵ)
- Les eaux usent les pierres, leur débordement emporte la poussière de la terre: ainsi tu fais périr l’espoir de l’homme. (Ⅶ)
- Les eaux minent les pierres; les inondations entraînent la poussière de la terre: ainsi fais-tu périr l'espérance du mortel. (Ⅷ)
14. 20  
Tu te montres toujours plus fort que lui, et il s’en va ; [et] lui ayant fait changer de visage, tu l’envoies au loin.
- Tu l'abats sans retour, et il s'en va; tu flétris son visage, et tu le congédies. (Ⅰ)
- Tu es sans cesse à l'assaillir, et il s'en va; Tu le défigures, puis tu le renvoies. (Ⅱ)
- ὠ̃σας αὐτὸν εἰς τέλος καὶ ὤ̨χετο ἐπέστησας αὐτω̨̃ τὸ πρόσωπον καὶ ἐξαπέστειλας (Ⅳ)
- Roborasti eum paululum, ut in perpetuum transiret :/ immutabis faciem ejus, et emittes eum./ (Ⅴ)
- ‫ 20 ׃14  תתקפהו לנצח ויהלך משנה פניו ותשלחהו ‬ (Ⅵ)
- Tu le domines pour toujours, et il s’en va; tu changes sa face, et tu le renvoies. (Ⅶ)
- Tu ne cesses de l'assaillir, et il s'en va; tu changes son aspect, et tu le renvoies. (Ⅷ)
14. 21  
Ses enfants seront avancés, et il n’en saura rien ; ou ils seront abaissés, et il ne s’en souciera point.
- Que ses enfants soient honorés, il n'en sait rien; qu'ils soient dans l'abaissement, il l'ignore. (Ⅰ)
- Que ses fils soient honorés, il n'en sait rien; Qu'ils soient dans l'abaissement, il l'ignore. (Ⅱ)
- πολλω̃ν δὲ γενομένων τω̃ν υἱω̃ν αὐτου̃ οὐκ οἰ̃δεν ἐὰν δὲ ὀλίγοι γένωνται οὐκ ἐπίσταται (Ⅳ)
- Sive nobiles fuerint filii ejus,/ sive ignobiles, non intelliget./ (Ⅴ)
- ‫ 21 ׃14  יכבדו בניו ולא ידע ויצערו ולא יבין למו ‬ (Ⅵ)
- Ses fils sont honorés, et il ne le sait pas; ils sont abaissés, et il ne s’en aperçoit pas. (Ⅶ)
- Que ses fils soient honorés, il n'en saura rien; qu'ils soient méprisés, il ne le verra pas. (Ⅷ)
14. 22  
Seulement sa chair, [pendant qu’elle est] sur lui, a de la douleur, et son âme s’afflige [tandis qu’elle est] en lui.
- Sa chair ne sent que ses propres souffrances, son âme ne gémit que sur elle-même. (Ⅰ)
- C'est pour lui seul qu'il éprouve de la douleur en son corps, C'est pour lui seul qu'il ressent de la tristesse en son âme. (Ⅱ)
- ἀλλ' ἢ αἱ σάρκες αὐτου̃ ἤλγησαν ἡ δὲ ψυχὴ αὐτου̃ ἐπένθησεν (Ⅳ)
- Attamen caro ejus, dum vivet, dolebit,/ et anima illius super semetipso lugebit.] (Ⅴ)
- ‫ 22 ׃14  אך בשרו עליו יכאב ונפשו עליו תאבל פ‬ (Ⅵ)
- Sa chair ne souffre que pour lui-même, et son âme ne mène deuil que sur lui-même. (Ⅶ)
- C'est sur lui seul que sa chair s'afflige, et sur lui que son âme gémit. (Ⅷ)


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