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(Ⅰ)
(Ⅲ)
(Ⅳ)
(Ⅵ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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14. 1  
Quant à celui qui est faible dans la foi, accueillez-le sans discuter ses opinions.
- Faites accueil à celui qui est faible dans la foi, et ne discutez pas sur les opinions. (Ⅰ)
- Τὸν δὲ ἀσθενοῦντα τῇ πίστει προσλαμβάνεσθε, μὴ εἰς διακρίσεις διαλογισμῶν. (Ⅲ)
- Infirmum autem in fide assumite, non in disceptationibus cogitationum. (Ⅳ)
- Or quant à celui qui est faible en foi, recevez-le; non pas pour la décision de questions douteuses. (Ⅵ)
- Or quant à celui qui est faible en la foi, recevez-le, et n’ayez point avec lui des contestations ni des disputes. (Ⅶ)
- Quant à celui qui est faible dans la foi, accueillez-le avec bonté, sans discussion d'opinions. (Ⅷ)
14. 2  
Tel croit pouvoir manger de tout; tel autre, qui est faible, se nourrit des légumes.
- Tel croit pouvoir manger de tout: tel autre, qui est faible, ne mange que des légumes. (Ⅰ)
- ὃς μὲν πιστεύει φαγεῖν πάντα, ὁ δὲ ἀσθενῶν λάχανα ἐσθίει. (Ⅲ)
- Alius enim credit se manducare omnia : qui autem infirmus est, olus manducet. (Ⅳ)
- L’un croit pouvoir manger de toutes choses; l’autre qui est faible, mange des herbes: (Ⅵ)
- L’un croit qu’on peut manger de toutes choses, et l’autre qui est faible mange des herbes. (Ⅶ)
- L'un croit pouvoir manger de tout; et celui qui est faible, ne mange que des herbes. (Ⅷ)
14. 3  
Que celui qui mange ne méprise point celui qui ne mange pas, et que celui qui ne mange pas ne juge point celui qui mange, car Dieu l'a accueilli parmi les siens
- Que celui qui mange ne méprise point celui qui ne mange pas, et que celui qui ne mange pas ne juge point celui qui mange, car Dieu l'a accueilli. (Ⅰ)
- ὁ ἐσθίων τὸν μὴ ἐσθίοντα μὴ ἐξουθενείτω, ⸂ὁ δὲ⸃ μὴ ἐσθίων τὸν ἐσθίοντα μὴ κρινέτω, ὁ θεὸς γὰρ αὐτὸν προσελάβετο. (Ⅲ)
- Is qui manducat, non manducantem non spernat : et qui non manducat, manducantem non judicet : Deus enim illum assumpsit. (Ⅳ)
- que celui qui mange ne méprise pas celui qui ne mange pas; et que celui qui ne mange pas ne juge pas celui qui mange, car Dieu l’a reçu. (Ⅵ)
- Que celui qui mange [de toutes choses], ne méprise pas celui qui n’en mange point ; et que celui qui n’en mange point, ne juge point celui qui en mange : car Dieu l’a pris à soi. (Ⅶ)
- Que celui qui mange de tout, ne méprise pas celui qui ne mange pas de tout; et que celui qui ne mange pas de tout, ne condamne pas celui qui mange de tout; car Dieu l'a reçu. (Ⅷ)
14. 4  
Qui es-tu, toi qui juges le serviteur d'autrui? S'il se tient debout, ou s'il tombe, cela regarde son maître. Mais il se tiendra debout car Dieu a le pouvoir de le soutenir.
- Qui es-tu, toi qui juges un serviteur d'autrui? S'il se tient debout, ou s'il tombe, cela regarde son maître. Mais il se tiendra debout, car le Seigneur a le pouvoir de l'affermir. (Ⅰ)
- σὺ τίς εἶ ὁ κρίνων ἀλλότριον οἰκέτην; τῷ ἰδίῳ κυρίῳ στήκει ἢ πίπτει· σταθήσεται δέ, ⸂δυνατεῖ γὰρ⸃ ὁ ⸀κύριος στῆσαι αὐτόν. (Ⅲ)
- Tu quis es, qui judicas alienum servum ? domino suo stat, aut cadit : stabit autem : potens est enim Deus statuere illum. (Ⅳ)
- Qui es-tu, toi qui juges le domestique d’autrui? Il se tient debout ou il tombe pour son propre maître; et il sera tenu debout, car le Seigneur est puissant pour le tenir debout. (Ⅵ)
- Qui es-tu toi, qui juges le serviteur d’autrui ? s’il se tient ferme ou s’il bronche, c’est pour son propre maître ; et même [ce Chrétien faible] sera affermi ; car Dieu est puissant pour l’affermir. (Ⅶ)
- Qui es-tu, toi qui condamnes le serviteur d'autrui? S'il se tient ferme, ou s'il tombe, c'est à son maître de le juger; mais il sera affermi, car Dieu est puissant pour l'affermir. (Ⅷ)
14. 5  
Tel met de la différence entre les jours; tel autre les estime tous pareils : que chacun ait dans son esprit une pleine conviction.
- Tel fait une distinction entre les jours; tel autre les estime tous égaux. Que chacun ait en son esprit une pleine conviction. (Ⅰ)
- Ὃς ⸀μὲν κρίνει ἡμέραν παρ’ ἡμέραν, ὃς δὲ κρίνει πᾶσαν ἡμέραν· ἕκαστος ἐν τῷ ἰδίῳ νοῒ πληροφορείσθω· (Ⅲ)
- Nam alius judicat diem inter diem : alius autem judicat omnem diem : unusquisque in suo sensu abundet. (Ⅳ)
- L’un estime un jour plus qu’un autre jour, et l’autre estime tous les jours égaux: que chacun soit pleinement persuadé dans son propre esprit. (Ⅵ)
- L’un estime un jour plus que l’autre, et l’autre estime tous les jours [également, mais] que chacun soit pleinement persuadé en son esprit. (Ⅶ)
- Celui-ci estime un jour supérieur à un autre; celui-là estime tous les jours égaux; que chacun soit pleinement persuadé en son esprit. (Ⅷ)
14. 6  
Celui qui observe tel ou tel jour, l'observe en vue du Seigneur; et celui qui mange, mange en vue du Seigneur, car il rend grâces à Dieu ; et celui qui ne mange pas, c'est en vue du Seigneur qu'il ne mange pas, et il rend aussi grâces à Dieu.
- Celui qui distingue entre les jours agit ainsi pour le Seigneur. Celui qui mange, c'est pour le Seigneur qu'il mange, car il rend grâces à Dieu; celui qui ne mange pas, c'est pour le Seigneur qu'il ne mange pas, et il rend grâces à Dieu. (Ⅰ)
- ὁ φρονῶν τὴν ἡμέραν κυρίῳ ⸀φρονεῖ. καὶ ὁ ἐσθίων κυρίῳ ἐσθίει, εὐχαριστεῖ γὰρ τῷ θεῷ· καὶ ὁ μὴ ἐσθίων κυρίῳ οὐκ ἐσθίει, καὶ εὐχαριστεῖ τῷ θεῷ. (Ⅲ)
- Qui sapit diem, Domino sapit, et qui manducat, Domino manducat : gratias enim agit Deo. Et qui non manducat, Domino non manducat, et gratias agit Deo. (Ⅳ)
- Celui qui a égard au jour, y a égard à cause du Seigneur; et celui qui mange, mange à cause du Seigneur, car il rend grâces à Dieu; et celui qui ne mange pas, ne mange pas à cause du Seigneur, et il rend grâces à Dieu. (Ⅵ)
- Celui qui a égard au jour, y a égard à cause du Seigneur ; et celui aussi qui n’a point égard au jour, il n’y a point d’égard à cause du Seigneur ; celui qui mange [de toutes choses], en mange à cause du Seigneur, et il rend grâces à Dieu ; et celui qui n’en mange point, n’en mange point aussi à cause du Seigneur, et il rend grâces à Dieu. (Ⅶ)
- Celui qui observe les jours, les observe, à cause du Seigneur; et de même celui qui ne les observe pas, ne les observe pas, à cause du Seigneur; celui qui mange de tout, mange, à cause du Seigneur, car il rend grâces à Dieu; et celui qui ne mange pas de tout, ne mange pas à cause du Seigneur, et il en rend aussi grâces à Dieu. (Ⅷ)
14. 7  
En effet, nul de nous ne vit pour soi-même, et nul ne meurt pour soi-même.
- En effet, nul de nous ne vit pour lui-même, et nul ne meurt pour lui-même. (Ⅰ)
- Οὐδεὶς γὰρ ἡμῶν ἑαυτῷ ζῇ, καὶ οὐδεὶς ἑαυτῷ ἀποθνῄσκει· (Ⅲ)
- Nemo enim nostrum sibi vivit, et nemo sibi moritur. (Ⅳ)
- Car nul de nous ne vit ayant égard à lui-même, et nul ne meurt ayant égard à lui-même: (Ⅵ)
- Car nul de nous ne vit pour soi-même, et nul ne meurt pour soi-même. (Ⅶ)
- En effet, aucun de nous ne vit pour soi-même, et aucun de nous ne meurt pour soi-même. (Ⅷ)
14. 8  
Car, soit que nous vivions, nous vivons pour le Seigneur; soit que nous mourrions, nous mourons pour le Seigneur. Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous appartenons au Seigneur.
- Car si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur. (Ⅰ)
- ἐάν τε γὰρ ζῶμεν, τῷ κυρίῳ ζῶμεν, ἐάν τε ἀποθνῄσκωμεν, τῷ κυρίῳ ἀποθνῄσκομεν. ἐάν τε οὖν ζῶμεν ἐάν τε ἀποθνῄσκωμεν, τοῦ κυρίου ἐσμέν. (Ⅲ)
- Sive enim vivemus, Domino vivimus : sive morimur, Domino morimur. Sive ergo vivimus, sive morimur, Domini sumus. (Ⅳ)
- mais soit que nous vivions, nous vivons ayant égard au Seigneur, soit que nous mourions, nous mourons ayant égard au Seigneur; soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes du Seigneur. (Ⅵ)
- Mais soit que nous vivions, nous vivons au Seigneur ; ou soit que nous mourions, nous mourons au Seigneur ; soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur. (Ⅶ)
- Si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur; soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur. (Ⅷ)
14. 9  
Car le Christ est mort et a vécu afin d'être le Seigneur et des morts et des vivants.
- Car Christ est mort et il a vécu, afin de dominer sur les morts et sur les vivants. (Ⅰ)
- εἰς τοῦτο γὰρ ⸀Χριστὸς ⸀ἀπέθανεν καὶ ἔζησεν ἵνα καὶ νεκρῶν καὶ ζώντων κυριεύσῃ. (Ⅲ)
- In hoc enim Christus mortuus est, et resurrexit : ut et mortuorum et vivorum dominetur. (Ⅳ)
- Car c’est pour cela que Christ est mort et qu’il a revécu, afin qu’il dominât et sur les morts et sur les vivants. (Ⅵ)
- Car c’est pour cela que Christ est mort, qu’il est ressuscité, et qu’il a repris une nouvelle vie ; afin qu’il domine tant sur les morts que sur les vivants. (Ⅶ)
- Car c'est pour cela que Christ est mort, et qu'il est ressuscité, et qu'il a repris la vie, afin de dominer sur les morts et sur les vivants. (Ⅷ)
14. 10  
Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère? Toi, aussi, pourquoi méprises-tu ton frère? puisque nous paraîtrons tous devant le tribunal du Christ;
- Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère? ou toi, pourquoi méprises-tu ton frère? puisque nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu. (Ⅰ)
- Σὺ δὲ τί κρίνεις τὸν ἀδελφόν σου; ἢ καὶ σὺ τί ἐξουθενεῖς τὸν ἀδελφόν σου; πάντες γὰρ παραστησόμεθα τῷ βήματι τοῦ ⸀θεοῦ, (Ⅲ)
- Tu autem quid judicas fratrem tuum ? aut tu quare spernis fratrem tuum ? omnes enim stabimus ante tribunal Christi. (Ⅳ)
- Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère? Ou aussi toi, pourquoi méprises-tu ton frère? Car nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu; (Ⅵ)
- Mais toi pourquoi juges-tu ton frère ? ou toi aussi, pourquoi méprises-tu ton frère ? certes nous comparaîtrons tous devant le siège judicial de Christ. (Ⅶ)
- Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère? Ou toi, pourquoi méprises-tu ton frère? puisque nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Christ. (Ⅷ)
14. 11  
car il est écrit : " Je suis vivant, dit le Seigneur; tout genou fléchira devant moi, et toute langue donnera gloire à Dieu. "
- Car il est écrit: Je suis vivant, dit le Seigneur, Tout genou fléchira devant moi, Et toute langue donnera gloire à Dieu. (Ⅰ)
- γέγραπται γάρ· Ζῶ ἐγώ, λέγει κύριος, ὅτι ἐμοὶ κάμψει πᾶν γόνυ, καὶ ⸂πᾶσα γλῶσσα ἐξομολογήσεται⸃ τῷ θεῷ. (Ⅲ)
- Scriptum est enim : Vivo ego, dicit Dominus, quoniam mihi flectetur omne genu : et omnis lingua confitebitur Deo. (Ⅳ)
- car il est écrit: «Je suis vivant, dit le Seigneur, que tout genou se ploiera devant moi, et que toute langue confessera hautement Dieu». (Ⅵ)
- Car il est écrit : je suis vivant, dit le Seigneur, que tout genou se ploiera devant moi, et que toute langue donnera louange à Dieu. (Ⅶ)
- Car il est écrit: Je suis vivant, dit le Seigneur, tout genou fléchira devant moi, et toute langue donnera gloire à Dieu. (Ⅷ)
14. 12  
Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour soi-même.
- Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même. (Ⅰ)
- ⸀ἄρα ἕκαστος ἡμῶν περὶ ἑαυτοῦ λόγον ⸀δώσει. (Ⅲ)
- Itaque unusquisque nostrum pro se rationem reddet Deo.\ (Ⅳ)
- Ainsi donc, chacun de nous rendra compte pour lui-même à Dieu. (Ⅵ)
- Ainsi donc chacun de nous rendra compte pour soi-même à Dieu. (Ⅶ)
- C'est pourquoi, chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même. (Ⅷ)
14. 13  
Ne nous jugeons donc plus les uns les autres; mais jugez plutôt qu'il ne faut rien faire qui soit pour votre frère une pierre d'achoppement ou une occasion de chute.
- Ne nous jugeons donc plus les uns les autres; mais pensez plutôt à ne rien faire qui soit pour votre frère une pierre d'achoppement ou une occasion de chute. (Ⅰ)
- Μηκέτι οὖν ἀλλήλους κρίνωμεν· ἀλλὰ τοῦτο κρίνατε μᾶλλον, τὸ μὴ τιθέναι πρόσκομμα τῷ ἀδελφῷ ἢ σκάνδαλον. (Ⅲ)
- Non ergo amplius invicem judicemus : sed hoc judicate magis, ne ponatis offendiculum fratri, vel scandalum. (Ⅳ)
- Ne nous jugeons donc plus l’un l’autre; mais jugez plutôt ceci, de ne pas mettre une pierre d’achoppement ou une occasion de chute devant votre frère. (Ⅵ)
- Ne nous jugeons donc plus l’un l’autre ; mais usez plutôt de discernement en ceci, [qui est] de ne mettre point d’achoppement ou de scandale devant [votre] frère. (Ⅶ)
- Ne nous jugeons donc plus les uns les autres; mais jugez plutôt qu'il ne faut donner aucune occasion de chute, ni aucun scandale à son frère. (Ⅷ)
14. 14  
Je sais et je suis persuadé dans le Seigneur Jésus que rien n'est impur en soi; néanmoins, si quelqu'un estime qu'une chose est impure, elle est impure pour lui.
- Je sais et je suis persuadé par le Seigneur Jésus que rien n'est impur en soi, et qu'une chose n'est impure que pour celui qui la croit impure. (Ⅰ)
- οἶδα καὶ πέπεισμαι ἐν κυρίῳ Ἰησοῦ ὅτι οὐδὲν κοινὸν δι’ ⸀ἑαυτοῦ· εἰ μὴ τῷ λογιζομένῳ τι κοινὸν εἶναι, ἐκείνῳ κοινόν. (Ⅲ)
- Scio, et confido in Domino Jesu, quia nihil commune per ipsum, nisi ei qui existimat quid commune esset, illi commune est. (Ⅳ)
- Je sais, et je suis persuadé dans le seigneur Jésus, que rien n’est souillé par soi-même, sauf qu’à celui qui croit qu’une chose est souillée, elle lui est souillée. (Ⅵ)
- Je sais et je suis persuadé par le Seigneur Jésus, que rien n’est souillé de soi-même ; mais cependant si quelqu’un croit qu’une chose est souillée, elle lui est souillée. (Ⅶ)
- Je sais, et je suis persuadé par le Seigneur Jésus, qu'il n'y a rien de souillé en soi; néanmoins celui qui croit qu'une chose est souillée, elle est souillée pour lui. (Ⅷ)
14. 15  
Or, si pour un aliment, tu contristes ton frère, tu ne marches plus selon la charité; n'entraîne pas à la perdition, par ton aliment, un homme pour lequel le Christ est mort.
- Mais si, pour un aliment, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l'amour: ne cause pas, par ton aliment, la perte de celui pour lequel Christ est mort. (Ⅰ)
- εἰ ⸀γὰρ διὰ βρῶμα ὁ ἀδελφός σου λυπεῖται, οὐκέτι κατὰ ἀγάπην περιπατεῖς. μὴ τῷ βρώματί σου ἐκεῖνον ἀπόλλυε ὑπὲρ οὗ Χριστὸς ἀπέθανεν. (Ⅲ)
- Si enim propter cibum frater tuus contristatur, jam non secundum caritatem ambulas. Noli cibo tuo illum perdere, pro quo Christus mortuus est. (Ⅳ)
- Car si, à cause d’une viande, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l’amour. Ne détruis pas par ta viande celui pour lequel Christ est mort. (Ⅵ)
- Mais si ton frère est attristé de te [voir manger] d’une viande, tu ne te conduis point [en cela] par la charité ; ne détruis point par la viande celui pour lequel Christ est mort. (Ⅶ)
- Mais si ton frère est affligé au sujet d'un aliment, tu ne te conduis plus selon la charité. Ne fais pas périr, par ton aliment, celui pour lequel Christ est mort. (Ⅷ)
14. 16  
Que votre bien ne soit pas un sujet de blasphème !
- Que votre privilège ne soit pas un sujet de calomnie. (Ⅰ)
- μὴ βλασφημείσθω οὖν ὑμῶν τὸ ἀγαθόν. (Ⅲ)
- Non ergo blasphemetur bonum nostrum. (Ⅳ)
- Que ce qui est bien en vous ne soit donc pas blâmé. (Ⅵ)
- Que l’avantage dont vous jouissez ne soit point exposé à être blâmé. (Ⅶ)
- Que votre privilège ne soit donc point calomnié. (Ⅷ)
14. 17  
Car le royaume de Dieu ce n'est pas le manger et le boire; mais la justice et la paix et la joie dans l'Esprit-Saint.
- Car le royaume de Dieu, ce n'est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint Esprit. (Ⅰ)
- οὐ γάρ ἐστιν ἡ βασιλεία τοῦ θεοῦ βρῶσις καὶ πόσις, ἀλλὰ δικαιοσύνη καὶ εἰρήνη καὶ χαρὰ ἐν πνεύματι ἁγίῳ· (Ⅲ)
- Non est enim regnum Dei esca et potus : sed justitia, et pax, et gaudium in Spiritu Sancto : (Ⅳ)
- Car le royaume de Dieu n’est pas manger et boire, mais justice, et paix, et joie dans l’Esprit Saint. (Ⅵ)
- Car le Royaume de Dieu n’est point viande ni breuvage ; mais il est justice, paix, et joie par le Saint-Esprit. (Ⅶ)
- Car le royaume de Dieu ne consiste ni dans le manger, ni dans le boire, mais dans la justice, la paix, et la joie par le Saint-Esprit. (Ⅷ)
14. 18  
Celui qui sert le Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes.
- Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes. (Ⅰ)
- ὁ γὰρ ἐν ⸀τούτῳ δουλεύων τῷ Χριστῷ εὐάρεστος τῷ θεῷ καὶ δόκιμος τοῖς ἀνθρώποις. (Ⅲ)
- qui enim in hoc servit Christo, placet Deo, et probatus est hominibus. (Ⅳ)
- Car celui qui en cela sert le Christ est agréable à Dieu et approuvé des hommes. (Ⅵ)
- Et celui qui sert Christ en ces choses-là, est agréable à Dieu, et il est approuvé des hommes. (Ⅶ)
- Celui qui sert Christ de cette manière, est agréable à Dieu, et approuvé des hommes. (Ⅷ)
14. 19  
Recherchons donc ce qui contribue à la paix et à l'édification mutuelle.
- Ainsi donc, recherchons ce qui contribue à la paix et à l'édification mutuelle. (Ⅰ)
- ἄρα οὖν τὰ τῆς εἰρήνης διώκωμεν καὶ τὰ τῆς οἰκοδομῆς τῆς εἰς ἀλλήλους. (Ⅲ)
- Itaque quæ pacis sunt, sectemur : et quæ ædificationis sunt, in invicem custodiamus. (Ⅳ)
- Ainsi donc poursuivons les choses qui tendent à la paix et celles qui tendent à l’édification mutuelle. (Ⅵ)
- Recherchons donc les choses qui vont à la paix, et qui sont d’une édification mutuelle. (Ⅶ)
- Recherchons donc les choses qui tendent à la paix, et à l'édification mutuelle. (Ⅷ)
14. 20  
Garde-toi, pour un aliment, de détruire l'œuvre de Dieu. Il est vrai que toutes choses sont pures, mais il est mal à un homme de devenir, en mangeant, une pierre d'achoppement.
- Pour un aliment, ne détruis pas l'oeuvre de Dieu. A la vérité toutes choses sont pures; mais il est mal à l'homme, quand il mange, de devenir une pierre d'achoppement. (Ⅰ)
- μὴ ἕνεκεν βρώματος κατάλυε τὸ ἔργον τοῦ θεοῦ. πάντα μὲν καθαρά, ἀλλὰ κακὸν τῷ ἀνθρώπῳ τῷ διὰ προσκόμματος ἐσθίοντι. (Ⅲ)
- Noli propter escam destruere opus Dei, omnia quidem sunt munda : sed malum est homini, qui per offendiculum manducat. (Ⅳ)
- A cause d’une viande, ne détruis pas l’œuvre de Dieu. Toutes choses, il est vrai, sont pures; mais il y a du mal pour l’homme qui mange en bronchant. (Ⅵ)
- Ne ruine point l’œuvre de Dieu par ta viande. Il est vrai que toutes choses sont pures, mais celui-là fait mal qui mange en donnant du scandale. (Ⅶ)
- Ne détruis point l'ouvre de Dieu pour un aliment. Il est vrai que toutes choses sont pures, mais il y a du péché pour celui qui donne du scandale en mangeant. (Ⅷ)
14. 21  
Ce qui est bien, c'est de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin, de ne rien faire qui soit pour ton frère une occasion de chute, [de scandale ou de faiblesse].
- Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin, et de s'abstenir de ce qui peut être pour ton frère une occasion de chute, de scandale ou de faiblesse. (Ⅰ)
- καλὸν τὸ μὴ φαγεῖν κρέα μηδὲ πιεῖν οἶνον μηδὲ ἐν ᾧ ὁ ἀδελφός σου προσκόπτει ⸂ἢ σκανδαλίζεται ἢ ἀσθενεῖ⸃· (Ⅲ)
- Bonum est non manducare carnem, et non bibere vinum, neque in quo frater tuus offenditur, aut scandalizatur, aut infirmatur. (Ⅳ)
- Il est bon de ne pas manger de chair, de ne pas boire de vin, et de ne faire aucune chose en laquelle ton frère bronche, ou est scandalisé, ou est faible. (Ⅵ)
- Il est bon de ne point manger de viande, de ne point boire de vin, et de ne faire aucune autre chose qui puisse faire broncher ton frère, ou dont il soit scandalisé, ou dont il soit blessé. (Ⅶ)
- Il est convenable de ne point manger de chair, de ne point boire de vin, et de s'abstenir de tout ce qui peut faire broncher ton frère, ou le scandaliser, ou l'affaiblir. (Ⅷ)
14. 22  
As-tu une conviction? Garde-la pour toi-même devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas dans l'acte qu'il approuve.
- Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même dans ce qu'il approuve! (Ⅰ)
- σὺ πίστιν ⸀ἣν ἔχεις κατὰ σεαυτὸν ἔχε ἐνώπιον τοῦ θεοῦ. μακάριος ὁ μὴ κρίνων ἑαυτὸν ἐν ᾧ δοκιμάζει· (Ⅲ)
- Tu fidem habes ? penes temetipsum habe coram Deo. Beatus qui non judicat semetipsum in eo quod probat. (Ⅳ)
- Toi, tu as de la foi; aie-la par devers toi-même devant Dieu; bienheureux est celui qui ne se juge pas lui-même en ce qu’il approuve; (Ⅵ)
- As-tu la foi ? aie-la en toi-même devant Dieu. [Car] bienheureux est celui qui ne condamne point soi-même en ce qu’il approuve. (Ⅶ)
- Toi, as-tu cette foi? garde-la en toi-même devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne point lui-même dans ce qu'il approuve. (Ⅷ)
14. 23  
Mais celui qui a des doutes, s'il mange, il est condamné, parce qu'il n'agit pas par conviction; tout ce qui ne procède pas d'une conviction est péché.
- Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu'il mange est condamné, parce qu'il n'agit pas par conviction. Tout ce qui n'est pas le produit d'une conviction est péché. (Ⅰ)
- ὁ δὲ διακρινόμενος ἐὰν φάγῃ κατακέκριται, ὅτι οὐκ ἐκ πίστεως· πᾶν δὲ ὃ οὐκ ἐκ πίστεως ἁμαρτία ⸀ἐστίν. (Ⅲ)
- Qui autem discernit, si manducaverit, damnatus est : quia non ex fide. Omne autem, quod non est ex fide, peccatum est. (Ⅳ)
- mais celui qui hésite, s’il mange, est condamné, parce qu’il n’agit pas sur un principe de foi. Or tout ce qui n’est pas sur le principe de la foi est péché. (Ⅵ)
- Mais celui qui en fait scrupule, est condamné s’il [en] mange, parce qu’il n’[en mange] point avec foi ; or tout ce qui n’est point de la foi, est un péché. (Ⅶ)
- Mais celui qui doute au sujet d'un aliment, est condamné s'il en mange, parce qu'il n'agit pas avec foi; or tout ce que l'on ne fait pas avec foi, est un péché. (Ⅷ)


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