15.
1
Et tous les publicains et les pécheurs s’approchaient de lui pour l’entendre.
- Tous les publicains et les pécheurs s'approchaient de lui pour l'entendre. (Ⅰ) - Tous les publicains et les gens de mauvaise vie s'approchaient de Jésus pour l'entendre. (Ⅱ) - Ἦσαν δὲ ⸂αὐτῷ ἐγγίζοντες⸃ πάντες οἱ τελῶναι καὶ οἱ ἁμαρτωλοὶ ἀκούειν αὐτοῦ. (Ⅳ) - Erant autem appropinquantes ei publicani, et peccatores ut audirent illum. (Ⅴ) - Or tous les péagers et les gens de mauvaise vie s’approchaient de lui pour l’entendre. (Ⅶ) - Tous TOUS les péagers et les gens de mauvaise vie s'approchaient de Jésus pour l'entendre. (Ⅷ)
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15.
2
Et les pharisiens et les scribes murmuraient, disant: Celui-ci reçoit des pécheurs, et mange avec eux.
- Et les Pharisiens et les scribes murmuraient, disant : " Cet homme accueille des pécheurs et mange avec eux. " (Ⅰ) - Et les pharisiens et les scribes murmuraient, disant: Cet homme accueille des gens de mauvaise vie, et mange avec eux. (Ⅱ) - καὶ διεγόγγυζον οἵ ⸀τε Φαρισαῖοι καὶ οἱ γραμματεῖς λέγοντες ὅτι Οὗτος ἁμαρτωλοὺς προσδέχεται καὶ συνεσθίει αὐτοῖς. (Ⅳ) - Et murmurabant pharisæi, et scribæ, dicentes : Quia hic peccatores recipit, et manducat cum illis. (Ⅴ) - Mais les Pharisiens et les Scribes murmuraient, disant : celui-ci reçoit les gens de mauvaise vie, et mange avec eux. (Ⅶ) - Et les pharisiens et les scribes en murmuraient et disaient: Cet homme reçoit les gens de mauvaise vie et mange avec eux. (Ⅷ)
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15.
3
Et il leur dit cette parabole, disant:
- Et il dit à leur adresse cette parabole : (Ⅰ) - Mais il leur dit cette parabole: (Ⅱ) - εἶπεν δὲ πρὸς αὐτοὺς τὴν παραβολὴν ταύτην λέγων· (Ⅳ) - Et ait ad illos parabolam istam dicens : (Ⅴ) - Mais il leur proposa cette parabole, disant : (Ⅶ) - Mais il leur dit cette parabole: (Ⅷ)
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15.
4
Quel est l’homme d’entre vous, qui, ayant cent brebis et en ayant perdu une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf au désert, et ne s’en aille après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il l’ait trouvée?
- " Qui d'entre vous, ayant cent brebis, s'il en perd une, ne laisse pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert, pour aller après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il l'ait retrouvée? (Ⅰ) - Quel homme d'entre vous, s'il a cent brebis, et qu'il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il la retrouve? (Ⅱ) - Τίς ἄνθρωπος ἐξ ὑμῶν ἔχων ἑκατὸν πρόβατα καὶ ⸀ἀπολέσας ⸂ἐξ αὐτῶν ἓν⸃ οὐ καταλείπει τὰ ἐνενήκοντα ἐννέα ἐν τῇ ἐρήμῳ καὶ πορεύεται ἐπὶ τὸ ἀπολωλὸς ἕως εὕρῃ αὐτό; (Ⅳ) - Quis ex vobis homo, qui habet centum oves, et si perdiderit unam ex illis, nonne dimittit nonaginta novem in deserto, et vadit ad illam quæ perierat, donec inveniat eam ? (Ⅴ) - Qui est l’homme d’entre vous qui ayant cent brebis, s’il en perd une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf au désert, et ne s’en aille après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il l’ait trouvée ; (Ⅶ) - Quel est l'homme d'entre vous qui, ayant cent brebis, s'il en perd une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf au désert, et n'aille après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il l'ait trouvée; (Ⅷ)
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15.
5
et l’ayant trouvée, il la met sur ses propres épaules, bien joyeux;
- Et quand il l'a retrouvée, il la met sur ses épaules tout joyeux et, (Ⅰ) - Lorsqu'il l'a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules, (Ⅱ) - καὶ εὑρὼν ἐπιτίθησιν ἐπὶ τοὺς ὤμους ⸀αὐτοῦ χαίρων, (Ⅳ) - Et cum invenerit eam, imponit in humeros suos gaudens : (Ⅴ) - Et qui l’ayant trouvée ne la mette sur ses épaules bien joyeux ; (Ⅶ) - Et qui, l'ayant trouvée, ne la mette sur ses épaules avec joie; (Ⅷ)
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15.
6
et, étant de retour à la maison, il appelle les amis et les voisins, leur disant: Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé ma brebis perdue.
- de retour à la maison, il convoque les amis et les voisins et leur dit : " Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue. " (Ⅰ) - et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue. (Ⅱ) - καὶ ἐλθὼν εἰς τὸν οἶκον συγκαλεῖ τοὺς φίλους καὶ τοὺς γείτονας, λέγων αὐτοῖς· Συγχάρητέ μοι ὅτι εὗρον τὸ πρόβατόν μου τὸ ἀπολωλός. (Ⅳ) - et veniens domum convocat amicos et vicinos, dicens illis : Congratulamini mihi, quia inveni ovem meam, quæ perierat. (Ⅴ) - Et étant de retour en sa maison, n’appelle ses amis et ses voisins, et ne leur dise : réjouissez-vous avec moi ; car j’ai trouvé ma brebis qui était perdue ? (Ⅶ) - Et étant arrivé dans la maison, n'appelle ses amis et ses voisins, et ne leur dise: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai trouvé ma brebis qui était perdue? (Ⅷ)
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15.
7
Je vous dis, qu’ainsi il y aura de la joie au ciel pour un seul pécheur qui se repent, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance.
- Ainsi, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance. (Ⅰ) - De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance. (Ⅱ) - λέγω ὑμῖν ὅτι οὕτως χαρὰ ⸂ἐν τῷ οὐρανῷ ἔσται⸃ ἐπὶ ἑνὶ ἁμαρτωλῷ μετανοοῦντι ἢ ἐπὶ ἐνενήκοντα ἐννέα δικαίοις οἵτινες οὐ χρείαν ἔχουσιν μετανοίας. (Ⅳ) - Dico vobis quod ita gaudium erit in cælo super uno peccatore pœnitentiam agente, quam super nonaginta novem justis, qui non indigent pœnitentia.\ (Ⅴ) - Je vous dis, qu’il y aura de même de la joie au ciel pour un seul pécheur qui vient à se repentir, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes, qui n’ont pas besoin de repentance. (Ⅶ) - Je vous dis qu'il y aura de même plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance. (Ⅷ)
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15.
8
Ou quelle est la femme, qui, ayant dix drachmes, si elle perd une drachme, n’allume la lampe et ne balaye la maison, et ne cherche diligemment jusqu’à ce qu’elle l’ait trouvée?
- Ou bien, quelle est la femme ayant dix drachmes qui, si elle perd une drachme, n'allume une lampe, ne balaie la maison, et ne cherche avec soin jusqu'à ce qu'elle l'ait retrouvée? (Ⅰ) - Ou quelle femme, si elle a dix drachmes, et qu'elle en perde une, n'allume une lampe, ne balaie la maison, et ne cherche avec soin, jusqu'à ce qu'elle la retrouve? (Ⅱ) - Ἢ τίς γυνὴ δραχμὰς ἔχουσα δέκα, ἐὰν ἀπολέσῃ δραχμὴν μίαν, οὐχὶ ἅπτει λύχνον καὶ σαροῖ τὴν οἰκίαν καὶ ζητεῖ ἐπιμελῶς ἕως ⸀οὗ εὕρῃ; (Ⅳ) - Aut quæ mulier habens drachmas decem, si perdiderit drachmam unam, nonne accendit lucernam, et everrit domum, et quærit diligenter, donec inveniat ? (Ⅴ) - Ou qui est la femme qui ayant dix drachmes, si elle perd une drachme, n’allume la chandelle, et ne balaye la maison, et ne [la] cherche diligemment, jusqu’à ce qu’elle l’ait trouvée ; (Ⅶ) - Ou, quelle est la femme qui, ayant dix drachmes, si elle en perd une, n'allume une chandelle, ne balaie la maison et ne la cherche avec soin, jusqu'à ce qu'elle l'ait trouvée; (Ⅷ)
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15.
9
et l’ayant trouvée, elle assemble les amies et les voisines, disant: Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé la drachme que j’avais perdue.
- et quand elle l'a retrouvée, elle convoque les amies et les voisines et leur dit : " Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé la drachme que j'avais perdue. " (Ⅰ) - Lorsqu'elle l'a retrouvée, elle appelle ses amies et ses voisines, et dit: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé la drachme que j'avais perdue. (Ⅱ) - καὶ εὑροῦσα ⸀συγκαλεῖ τὰς φίλας ⸀καὶ γείτονας λέγουσα· Συγχάρητέ μοι ὅτι εὗρον τὴν δραχμὴν ἣν ἀπώλεσα. (Ⅳ) - Et cum invenerit convocat amicas et vicinas, dicens : Congratulamini mihi, quia inveni drachmam quam perdideram. (Ⅴ) - Et qui après l’avoir trouvé, n’appelle ses amis et ses voisines, en leur disant : réjouissez-vous avec moi ; car j’ai trouvé la drachme que j’avais perdue ? (Ⅶ) - Et qui, l'ayant trouvée, n'appelle ses amies et ses voisines, et ne leur dise: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai trouvé la drachme que j'avais perdue? (Ⅷ)
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15.
10
Ainsi, je vous dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent.
- Ainsi, je vous le dis, il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent. " (Ⅰ) - De même, je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent. (Ⅱ) - οὕτως, λέγω ὑμῖν, ⸂γίνεται χαρὰ⸃ ἐνώπιον τῶν ἀγγέλων τοῦ θεοῦ ἐπὶ ἑνὶ ἁμαρτωλῷ μετανοοῦντι. (Ⅳ) - Ita, dico vobis, gaudium erit coram angelis Dei super uno peccatore pœnitentiam agente.\ (Ⅴ) - Ainsi je vous dis qu’il y a de la joie devant les Anges de Dieu pour un seul pécheur qui vient à se repentir. (Ⅶ) - Je vous dis qu'il y a de même de la joie, devant les anges de Dieu, pour un seul pécheur qui se repent. (Ⅷ)
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15.
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Et il dit: Un homme avait deux fils;
- Il dit encore : " Un homme avait deux fils. (Ⅰ) - Il dit encore: Un homme avait deux fils. (Ⅱ) - Εἶπεν δέ· Ἄνθρωπός τις εἶχεν δύο υἱούς. (Ⅳ) - Ait autem : Homo quidam habuit duos filios : (Ⅴ) - Il leur dit aussi : un homme avait deux fils ; (Ⅶ) - Il dit encore: Un homme avait deux fils. (Ⅷ)
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15.
12
et le plus jeune d’entre eux dit à son père: Père, donne-moi la part du bien qui me revient. Et il leur partagea son bien.
- Le plus jeune dit à son père : " Mon père, donne-moi la part de biens qui doit me revenir. " Et il leur partagea son avoir. (Ⅰ) - Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. (Ⅱ) - καὶ εἶπεν ὁ νεώτερος αὐτῶν τῷ πατρί· Πάτερ, δός μοι τὸ ἐπιβάλλον μέρος τῆς οὐσίας· ⸂ὁ δὲ⸃ διεῖλεν αὐτοῖς τὸν βίον. (Ⅳ) - et dixit adolescentior ex illis patri : Pater, da mihi portionem substantiæ, quæ me contingit. Et divisit illis substantiam. (Ⅴ) - Et le plus jeune dit à son père : mon père, donne-moi la part du bien qui m’appartient ; et il leur partagea ses biens. (Ⅶ) - Et le plus jeune dit au père: Mon père, donne-moi la part de bien qui doit m'échoir. Et le père leur partagea son bien. (Ⅷ)
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15.
13
Et peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, s’en alla dehors en un pays éloigné; et là il dissipa son bien en vivant dans la débauche.
- Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout réalisé, partit pour un pays lointain, et il y dissipa son bien en menant une vie de prodigue. (Ⅰ) - Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche. (Ⅱ) - καὶ μετ’ οὐ πολλὰς ἡμέρας συναγαγὼν ⸀πάντα ὁ νεώτερος υἱὸς ἀπεδήμησεν εἰς χώραν μακράν, καὶ ἐκεῖ διεσκόρπισεν τὴν οὐσίαν αὐτοῦ ζῶν ἀσώτως. (Ⅳ) - Et non post multos dies, congregatis omnibus, adolescentior filius peregre profectus est in regionem longinquam, et ibi dissipavit substantiam suam vivendo luxuriose. (Ⅴ) - Et peu de jours après, quand le plus jeune fils eut tout ramassé, il s’en alla dehors en un pays éloigné ; et là il dissipa son bien en vivant dans la débauche. (Ⅶ) - Et peu de jours après, ce plus jeune fils ayant tout amassé, partit pour un pays éloigné, et y dissipa son bien en vivant dans la débauche. (Ⅷ)
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Et après qu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays-là; et il commença d’être dans le besoin.
- Lorsqu'il eut tout dépensé, survint une grande famine dans ce pays, et il commença à sentir le besoin. (Ⅰ) - Lorsqu'il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. (Ⅱ) - δαπανήσαντος δὲ αὐτοῦ πάντα ἐγένετο λιμὸς ⸀ἰσχυρὰ κατὰ τὴν χώραν ἐκείνην, καὶ αὐτὸς ἤρξατο ὑστερεῖσθαι. (Ⅳ) - Et postquam omnia consummasset, facta est fames valida in regione illa, et ipse cœpit egere. (Ⅴ) - Et après qu’il eut tout dépensé, une grande famine survint en ce pays-là ; et il commença d’être dans la disette. (Ⅶ) - Après qu'il eut tout dépensé, il survint une grande famine dans ce pays; et il commença à être dans l'indigence. (Ⅷ)
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Et il s’en alla et se joignit à l’un des citoyens de ce pays-là, et celui-ci l’envoya dans ses champs pour paître des pourceaux.
- Et il alla se mettre au service d'un habitant de ce pays, qui l'envoya dans ses champs paître des porcs. (Ⅰ) - Il alla se mettre au service d'un des habitants du pays, qui l'envoya dans ses champs garder les pourceaux. (Ⅱ) - καὶ πορευθεὶς ἐκολλήθη ἑνὶ τῶν πολιτῶν τῆς χώρας ἐκείνης, καὶ ἔπεμψεν αὐτὸν εἰς τοὺς ἀγροὺς αὐτοῦ βόσκειν χοίρους· (Ⅳ) - Et abiit, et adhæsit uni civium regionis illius : et misit illum in villam suam ut pasceret porcos. (Ⅴ) - Alors il s’en alla, et se mit au service d’un des habitants du pays, qui l’envoya dans ses possessions pour paître les pourceaux. (Ⅶ) - Et s'en étant allé, il se mit au service d'un des habitants de ce pays, qui l'envoya dans ses terres paître les pourceaux. (Ⅷ)
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16
Et il désirait de remplir son ventre des gousses que les pourceaux mangeaient; et personne ne lui donnait rien.
- Et il eût bien voulu se remplir le ventre des caroubes que mangeaient les porcs, mais personne ne lui en donnait. (Ⅰ) - Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait. (Ⅱ) - καὶ ἐπεθύμει ⸂γεμίσαι τὴν κοιλίαν αὐτοῦ ἀπὸ⸃ τῶν κερατίων ὧν ἤσθιον οἱ χοῖροι, καὶ οὐδεὶς ἐδίδου αὐτῷ. (Ⅳ) - Et cupiebat implere ventrem suum de siliquis, quas porci manducabant : et nemo illi dabat. (Ⅴ) - Et il désirait de se rassasier des gousses que les pourceaux mangeaient ; mais personne ne lui en donnait. (Ⅶ) - Et il eût bien voulu se rassasier des carouges que les pourceaux mangeaient; mais personne ne lui en donnait. (Ⅷ)
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15.
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Et étant revenu à lui-même, il dit: Combien de mercenaires de mon père ont du pain en abondance, et moi je péris ici de faim!
- Alors, rentrant en lui-même, il dit : " Combien de mercenaires de mon père ont du pain en trop, et moi, ici, je meurs de faim ! " (Ⅰ) - Étant rentré en lui-même, il se dit: Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim! (Ⅱ) - εἰς ἑαυτὸν δὲ ἐλθὼν ⸀ἔφη· Πόσοι μίσθιοι τοῦ πατρός μου ⸀περισσεύονται ἄρτων, ἐγὼ δὲ ⸂λιμῷ ὧδε⸃ ἀπόλλυμαι· (Ⅳ) - In se autem reversus, dixit : Quanti mercenarii in domo patris mei abundant panibus, ego autem hic fame pereo ! (Ⅴ) - Or étant revenu à lui-même, il dit : combien y a-t-il de mercenaires dans la maison de mon père, qui ont du pain en abondance, et moi je meurs de faim ? (Ⅶ) - Étant donc rentré en lui-même, il dit: Combien de serviteurs aux gages de mon père ont du pain en abondance, et moi, je meurs de faim! (Ⅷ)
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15.
18
Je me lèverai et je m’en irai vers mon père, et je lui dirai: Père, j’ai péché contre le ciel et devant toi;
- Je me lèverai et j'irai à mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et envers toi; (Ⅰ) - Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, (Ⅱ) - ἀναστὰς πορεύσομαι πρὸς τὸν πατέρα μου καὶ ἐρῶ αὐτῷ· Πάτερ, ἥμαρτον εἰς τὸν οὐρανὸν καὶ ἐνώπιόν σου, (Ⅳ) - surgam, et ibo ad patrem meum, et dicam ei : Pater, peccavi in cælum, et coram te : (Ⅴ) - Je me lèverai, et je m’en irai vers mon père, et je lui dirai : mon père, j’ai péché contre le ciel et devant toi ; (Ⅶ) - Je me lèverai et m'en irai vers mon père, et je lui dirai: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi; (Ⅷ)
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15.
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je ne suis plus digne d’être appelé ton fils; traite-moi comme l’un de tes mercenaires.
- je ne suis plus digne d'être appelé ton fils : traite-moi comme l'un de tes mercenaires. " (Ⅰ) - je ne suis plus digne d'être appelé ton fils; traite-moi comme l'un de tes mercenaires. (Ⅱ) - ⸀οὐκέτι εἰμὶ ἄξιος κληθῆναι υἱός σου· ποίησόν με ὡς ἕνα τῶν μισθίων σου. (Ⅳ) - jam non sum dignus vocari filius tuus : fac me sicut unum de mercenariis tuis. (Ⅴ) - Et je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; traite-moi comme l’un de tes mercenaires. (Ⅶ) - Et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils; traite moi comme l'un de tes mercenaires. (Ⅷ)
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15.
20
Et se levant, il vint vers son père. Et comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, et, courant à lui, se jeta à son cou et le couvrit de baisers.
- Et il se leva et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit; et, touché de compassion, il courut, se jeta à son cou, et le couvrit de baisers. (Ⅰ) - Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. (Ⅱ) - καὶ ἀναστὰς ἦλθεν πρὸς τὸν πατέρα ⸀ἑαυτοῦ. ἔτι δὲ αὐτοῦ μακρὰν ἀπέχοντος εἶδεν αὐτὸν ὁ πατὴρ αὐτοῦ καὶ ἐσπλαγχνίσθη καὶ δραμὼν ἐπέπεσεν ἐπὶ τὸν τράχηλον αὐτοῦ καὶ κατεφίλησεν αὐτόν. (Ⅳ) - Et surgens venit ad patrem suum. Cum autem adhuc longe esset, vidit illum pater ipsius, et misericordia motus est, et accurrens cecidit super collum ejus, et osculatus est eum. (Ⅴ) - Il se leva donc, et vint vers son père ; et comme il était encore loin, son père le vit, et fut touché de compassion, et courant à lui, se jeta à son cou, et le baisa. (Ⅶ) - Il partit donc et vint vers son père. Et comme il était encore loin, son père le vit et fut touché de compassion, et courant à lui, il se jeta à son cou et le baisa. (Ⅷ)
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15.
21
Et le fils lui dit: Père, j’ai péché contre le ciel et devant toi; je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.
- Le fils lui dit : " Mon père, j'ai péché contre le ciel et envers toi; je ne suis plus digne d'être appelé ton fils. " (Ⅰ) - Le fils lui dit: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils. (Ⅱ) - εἶπεν δὲ ⸂ὁ υἱὸς αὐτῷ⸃· Πάτερ, ἥμαρτον εἰς τὸν οὐρανὸν καὶ ἐνώπιόν σου, ⸀οὐκέτι εἰμὶ ἄξιος κληθῆναι υἱός ⸀σου. (Ⅳ) - Dixitque ei filius : Pater, peccavi in cælum, et coram te : jam non sum dignus vocari filius tuus. (Ⅴ) - Mais le fils lui dit : mon père, j’ai péché contre le ciel et devant toi ; et je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. (Ⅶ) - Et son fils lui dit: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils. (Ⅷ)
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15.
22
Mais le père dit à ses esclaves: Apportez dehors la plus belle robe, et l’en revêtez; et mettez un anneau à sa main et des sandales à ses pieds;
- Mais le père dit à ses serviteurs : " Vite, apportez la plus belle robe et l'en revêtez; mettez-lui un anneau au doigt et des chaussures aux pieds; (Ⅰ) - Mais le père dit à ses serviteurs: Apportez vite la plus belle robe, et l'en revêtez; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds. (Ⅱ) - εἶπεν δὲ ὁ πατὴρ πρὸς τοὺς δούλους αὐτοῦ· ⸀Ταχὺ ⸀ἐξενέγκατε στολὴν τὴν πρώτην καὶ ἐνδύσατε αὐτόν, καὶ δότε δακτύλιον εἰς τὴν χεῖρα αὐτοῦ καὶ ὑποδήματα εἰς τοὺς πόδας, (Ⅳ) - Dixit autem pater ad servos suos : Cito proferte stolam primam, et induite illum, et date annulum in manum ejus, et calceamenta in pedes ejus : (Ⅴ) - Et le père dit à ses serviteurs : apportez la plus belle robe, et l’en revêtez, mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds ; (Ⅶ) - Mais le père dit à ses serviteurs: Apportez la plus belle robe, et l'en revêtez, et mettez-lui un anneau au doigt et des souliers aux pieds; (Ⅷ)
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23
et amenez le veau gras et tuez-le; et mangeons et faisons bonne chère;
- et amenez le veau gras, tuez-le; et mangeons, festoyons : (Ⅰ) - Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous; (Ⅱ) - καὶ ⸀φέρετε τὸν μόσχον τὸν σιτευτόν, θύσατε, καὶ φαγόντες εὐφρανθῶμεν, (Ⅳ) - et adducite vitulum saginatum, et occidite, et manducemus, et epulemur : (Ⅴ) - Et amenez-moi le veau gras, et le tuez, et faisons bonne chère en le mangeant. (Ⅶ) - Et amenez le veau gras, et le tuez; mangeons et réjouissons-nous; (Ⅷ)
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15.
24
car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils se mirent à faire bonne chère.
- car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il a été retrouvé. " Et ils se mirent à festoyer. (Ⅰ) - car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir. (Ⅱ) - ὅτι οὗτος ὁ υἱός μου νεκρὸς ἦν καὶ ἀνέζησεν, ⸂ἦν ἀπολωλὼς⸃ καὶ εὑρέθη. καὶ ἤρξαντο εὐφραίνεσθαι. (Ⅳ) - quia hic filius meus mortuus erat, et revixit : perierat, et inventus est. Et cœperunt epulari. (Ⅴ) - Car mon fils que voici, était mort, mais il est ressuscité ; il était perdu, mais il est retrouvé. Et ils commencèrent à faire bonne chère. (Ⅶ) - Parce que mon fils, que voici, était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir. (Ⅷ)
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15.
25
Or son fils aîné était aux champs; et comme il revenait et qu’il approchait de la maison, il entendit la mélodie et les danses;
- Or son fils aîné était aux champs. Quand, à son retour, il approcha de la maison, il entendit de la musique et des chœurs. (Ⅰ) - Or, le fils aîné était dans les champs. Lorsqu'il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses. (Ⅱ) - Ἦν δὲ ὁ υἱὸς αὐτοῦ ὁ πρεσβύτερος ἐν ἀγρῷ· καὶ ὡς ἐρχόμενος ἤγγισεν τῇ οἰκίᾳ, ἤκουσεν συμφωνίας καὶ χορῶν, (Ⅳ) - Erat autem filius ejus senior in agro : et cum veniret, et appropinquaret domui, audivit symphoniam et chorum : (Ⅴ) - Or son fils aîné était aux champs, et comme il revenait et qu’il approchait de la maison, il entendit la mélodie et les danses. (Ⅶ) - Cependant, son fils aîné qui était à la campagne, revint, et comme il approchait de la maison, il entendit une symphonie et des danses. (Ⅷ)
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15.
26
et, ayant appelé l’un des serviteurs, il demanda ce que c’était.
- Ayant appelé un des serviteurs, il s'enquit de ce que cela pouvait être. (Ⅰ) - Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c'était. (Ⅱ) - καὶ προσκαλεσάμενος ἕνα τῶν παίδων ἐπυνθάνετο τί ⸀ἂν εἴη ταῦτα· (Ⅳ) - et vocavit unum de servis, et interrogavit quid hæc essent. (Ⅴ) - Et ayant appelé un des serviteurs, il lui demanda ce que c’était. (Ⅶ) - Et il appela un des serviteurs, auquel il demanda ce que c'était. (Ⅷ)
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15.
27
Et il lui dit: Ton frère est venu, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il l’a recouvré sain et sauf.
- L'autre lui dit : " Votre frère est arrivé, et votre père a tué le veau gras, parce qu'il l'a recouvré bien portant. " (Ⅰ) - Ce serviteur lui dit: Ton frère est de retour, et, parce qu'il l'a retrouvé en bonne santé, ton père a tué le veau gras. (Ⅱ) - ὁ δὲ εἶπεν αὐτῷ ὅτι Ὁ ἀδελφός σου ἥκει, καὶ ἔθυσεν ὁ πατήρ σου τὸν μόσχον τὸν σιτευτόν, ὅτι ὑγιαίνοντα αὐτὸν ἀπέλαβεν. (Ⅳ) - Isque dixit illi : Frater tuus venit, et occidit pater tuus vitulum saginatum, quia salvum illum recepit. (Ⅴ) - Et [ce serviteur] lui dit : ton frère est venu, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il l’a recouvré sain et sauf. (Ⅶ) - Et le serviteur lui dit: Ton frère est de retour, et ton père a tué le veau gras, parce qu'il l'a recouvré en bonne santé. (Ⅷ)
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15.
28
Et il se mit en colère et ne voulait pas entrer. Et son père étant sorti, le pria.
- Mais il se mit en colère, et il ne voulait pas entrer. Son père sortit pour l'en prier. (Ⅰ) - Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d'entrer. (Ⅱ) - ὠργίσθη δὲ καὶ οὐκ ἤθελεν εἰσελθεῖν. ὁ ⸀δὲ πατὴρ αὐτοῦ ἐξελθὼν παρεκάλει αὐτόν. (Ⅳ) - Indignatus est autem, et nolebat introire. Pater ergo illius egressus, cœpit rogare illum. (Ⅴ) - Mais il se mit en colère, et ne voulut point entrer ; et son père étant sorti le priait [d’entrer]. (Ⅶ) - Mais il se mit en colère et ne voulut point entrer. Son père donc sortit et le pria d'entrer. (Ⅷ)
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15.
29
Mais lui, répondant, dit à son père: Voici tant d’années que je te sers, et jamais je n’ai transgressé ton commandement; et tu ne m’as jamais donné un chevreau pour faire bonne chère avec mes amis;
- Et il répondit à son père : " Voilà tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé un ordre de toi, et jamais tu ne m'as donné, à moi, un chevreau pour festoyer avec mes amis. (Ⅰ) - Mais il répondit à son père: Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m'as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. (Ⅱ) - ὁ δὲ ἀποκριθεὶς εἶπεν τῷ πατρὶ ⸀αὐτοῦ· Ἰδοὺ τοσαῦτα ἔτη δουλεύω σοι καὶ οὐδέποτε ἐντολήν σου παρῆλθον, καὶ ἐμοὶ οὐδέποτε ἔδωκας ἔριφον ἵνα μετὰ τῶν φίλων μου εὐφρανθῶ· (Ⅳ) - At ille respondens, dixit patri suo : Ecce tot annis servio tibi, et numquam mandatum tuum præterivi : et numquam dedisti mihi hædum ut cum amicis meis epularer. (Ⅴ) - Mais il répondit, et dit à son père : voici, il y a tant d’années que je te sers, et jamais je n’ai transgressé ton commandement, et cependant tu ne m’as jamais donné un chevreau pour faire bonne chère avec mes amis. (Ⅶ) - Mais il répondit à son père: Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais contrevenu à ton commandement, et tu ne m'as jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis. (Ⅷ)
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15.
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mais quand celui-ci, ton fils, qui a mangé ton bien avec des prostituées, est venu, tu as tué pour lui le veau gras.
- Mais, quand est revenu ton fils que voilà, qui a dévoré ton avoir avec des courtisanes, tu as tué pour lui le veau gras ! " (Ⅰ) - Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c'est pour lui que tu as tué le veau gras! (Ⅱ) - ὅτε δὲ ὁ υἱός σου οὗτος ὁ καταφαγών σου τὸν βίον ⸀μετὰ πορνῶν ἦλθεν, ἔθυσας αὐτῷ τὸν ⸂σιτευτὸν μόσχον⸃. (Ⅳ) - Sed postquam filius tuus hic, qui devoravit substantiam suam cum meretricibus, venit, occidisti illi vitulum saginatum. (Ⅴ) - Mais quand celui-ci, ton fils, qui a mangé ton bien avec des femmes de mauvaise vie, est venu, tu lui as tué le veau gras. (Ⅶ) - Mais quand ton fils, que voilà, qui a mangé son bien avec des femmes débauchées, est revenu, tu as fait tuer le veau gras pour lui. (Ⅷ)
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15.
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Et il lui dit: Mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi;
- Il lui dit : " Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. (Ⅰ) - Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi; (Ⅱ) - ὁ δὲ εἶπεν αὐτῷ· Τέκνον, σὺ πάντοτε μετ’ ἐμοῦ εἶ, καὶ πάντα τὰ ἐμὰ σά ἐστιν· (Ⅳ) - At ipse dixit illi : Fili, tu semper mecum es, et omnia mea tua sunt : (Ⅴ) - Et [le père] lui dit : [mon] enfant, tu es toujours avec moi, et tous mes biens sont à toi. (Ⅶ) - Et son père lui dit: Mon fils! tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi. (Ⅷ)
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mais il fallait faire bonne chère et se réjouir; car celui-ci, ton frère, était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il est retrouvé.
- Mais il fallait festoyer et se réjouir, car ton frère que voici était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il a été retrouvé. " (Ⅰ) - mais il fallait bien s'égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu'il est revenu à la vie, parce qu'il était perdu et qu'il est retrouvé. (Ⅱ) - εὐφρανθῆναι δὲ καὶ χαρῆναι ἔδει, ὅτι ὁ ἀδελφός σου οὗτος νεκρὸς ἦν καὶ ⸀ἔζησεν, καὶ ⸀ἀπολωλὼς καὶ εὑρέθη. (Ⅳ) - epulari autem, et gaudere oportebat, quia frater tuus hic mortuus erat, et revixit ; perierat, et inventus est. (Ⅴ) - Or il fallait faire bonne chère, et se réjouir, parce que celui-ci, ton frère, était mort, et il est ressuscité ; il était perdu, et il est retrouvé. (Ⅶ) - Mais il fallait bien se réjouir et s'égayer, parce que ton frère, que voilà, était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il est retrouvé. (Ⅷ)
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