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(Version J.F. Ostervald)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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16. 1  
Jésus disait aussi à ses disciples: Un homme riche avait un économe qui fut accusé devant lui de lui dissiper son bien.
- Il disait aussi à ses disciples : " Il était un homme riche qui avait un intendant; celui-ci lui fut dénoncé comme dissipant ses biens. (Ⅰ)
- Jésus dit aussi à ses disciples: Un homme riche avait un économe, qui lui fut dénoncé comme dissipant ses biens. (Ⅱ)
- Ἔλεγεν δὲ καὶ πρὸς τοὺς ⸀μαθητάς· Ἄνθρωπός τις ἦν πλούσιος ὃς εἶχεν οἰκονόμον, καὶ οὗτος διεβλήθη αὐτῷ ὡς διασκορπίζων τὰ ὑπάρχοντα αὐτοῦ. (Ⅳ)
- Dicebat autem et ad discipulos suos : Homo quidam erat dives, qui habebat villicum : et hic diffamatus est apud illum quasi dissipasset bona ipsius. (Ⅴ)
- Et il dit aussi à ses disciples: Il y avait un homme riche qui avait un économe; et celui-ci fut accusé devant lui comme dissipant ses biens. (Ⅶ)
- Il disait aussi à ses Disciples : Il y avait un homme riche qui avait un économe, lequel fut accusé devant lui comme dissipateur de ses biens. (Ⅷ)
16. 2  
Et l'ayant fait venir, il lui dit: Qu'est-ce que j'entends dire de toi? Rends compte de ton administration; car tu ne pourras plus administrer mon bien.
- Il l'appela et lui dit : " Qu'est-ce que j'entends dire de toi? Rends compte de ton intendance, car tu ne pourras plus être intendant. " (Ⅰ)
- Il l'appela, et lui dit: Qu'est-ce que j'entends dire de toi? Rends compte de ton administration, car tu ne pourras plus administrer mes biens. (Ⅱ)
- καὶ φωνήσας αὐτὸν εἶπεν αὐτῷ· Τί τοῦτο ἀκούω περὶ σοῦ; ἀπόδος τὸν λόγον τῆς οἰκονομίας σου, οὐ γὰρ ⸀δύνῃ ἔτι οἰκονομεῖν. (Ⅳ)
- Et vocavit illum, et ait illi : Quid hoc audio de te ? redde rationem villicationis tuæ : jam enim non poteris villicare. (Ⅴ)
- Et l’ayant appelé, il lui dit: Qu’est-ce que ceci que j’entends dire de toi? Rends compte de ton administration; car tu ne pourras plus administrer. (Ⅶ)
- Sur quoi l’ayant appelé, il lui dit : qu’est-ce que j’entends dire de toi ? Rends compte de ton administration ; car tu n’auras plus le pouvoir d’administrer mes biens. (Ⅷ)
16. 3  
Alors cet économe dit en lui-même: Que ferai-je, puisque mon maître m'ôte l'administration de son bien? Je ne saurais travailler à la terre, j'aurais honte de mendier.
- Or l'intendant se dit en lui-même : " Que ferai-je, puisque mon maître me retire l'intendance? Bêcher, je n'en ai pas la force; mendier, j'en ai honte. (Ⅰ)
- L'économe dit en lui-même: Que ferai-je, puisque mon maître m'ôte l'administration de ses biens? Travailler à la terre? je ne le puis. Mendier? j'en ai honte. (Ⅱ)
- εἶπεν δὲ ἐν ἑαυτῷ ὁ οἰκονόμος· Τί ποιήσω ὅτι ὁ κύριός μου ἀφαιρεῖται τὴν οἰκονομίαν ἀπ’ ἐμοῦ; σκάπτειν οὐκ ἰσχύω, ἐπαιτεῖν αἰσχύνομαι· (Ⅳ)
- Ait autem villicus intra se : Quid faciam, quia dominus meus aufert a me villicationem ? Fodere non valeo, mendicare erubesco. (Ⅴ)
- Et l’économe dit en lui-même: Que ferai-je, car mon maître m’ôte l’administration? Je ne puis pas bêcher la terre; j’ai honte de mendier: (Ⅶ)
- Alors l’économe dit en lui-même : que ferai-je, puisque mon maître m’ôte l’administration ? je ne puis pas fouir la terre, et j’ai honte de mendier. (Ⅷ)
16. 4  
Je sais ce que je ferai, afin que quand on m'aura ôté mon administration, il y ait des gens qui me reçoivent dans leurs maisons.
- Je sais ce que je ferai pour que, quand je serai destitué de l'intendance, (il y ait des gens) qui me reçoivent chez eux. " (Ⅰ)
- Je sais ce que je ferai, pour qu'il y ait des gens qui me reçoivent dans leurs maisons quand je serai destitué de mon emploi. (Ⅱ)
- ἔγνων τί ποιήσω, ἵνα ὅταν μετασταθῶ ⸀ἐκ τῆς οἰκονομίας δέξωνταί με εἰς τοὺς οἴκους ⸀ἑαυτῶν. (Ⅳ)
- Scio quid faciam, ut, cum amotus fuero a villicatione, recipiant me in domos suas. (Ⅴ)
- je sais ce que je ferai, afin que, quand je serai renvoyé de mon administration, je sois reçu dans leurs maisons. (Ⅶ)
- Je sais ce que je ferai, afin que quand mon administration me sera ôtée, [quelques-uns] me reçoivent dans leurs maisons. (Ⅷ)
16. 5  
Alors il fit venir séparément chacun des débiteurs de son maître, et il dit au premier: Combien dois-tu à mon maître?
- Ayant convoqué chacun des débiteurs de son maître, il dit au premier : " Combien dois-tu à mon maître? " (Ⅰ)
- Et, faisant venir chacun des débiteurs de son maître, il dit au premier: Combien dois-tu à mon maître? (Ⅱ)
- καὶ προσκαλεσάμενος ἕνα ἕκαστον τῶν χρεοφειλετῶν τοῦ κυρίου ἑαυτοῦ ἔλεγεν τῷ πρώτῳ· Πόσον ὀφείλεις τῷ κυρίῳ μου; (Ⅳ)
- Convocatis itaque singulis debitoribus domini sui, dicebat primo : Quantum debes domino meo ? (Ⅴ)
- Et ayant appelé chacun des débiteurs de son maître, il dit au premier: Combien dois-tu à mon maître? (Ⅶ)
- Alors il appela chacun des débiteurs de son maître, et il dit au premier : combien dois-tu à mon maître ? (Ⅷ)
16. 6  
Il répondit: Cent mesures d'huile. Et l'économe lui dit: Reprends ton billet; assieds-toi, et écris-en promptement un autre de cinquante.
- Il dit : " Cent mesures d'huile. " Et il lui dit : " Prends ton billet, assieds-toi vite et écris : cinquante. " (Ⅰ)
- Cent mesures d'huile, répondit-il. Et il lui dit: Prends ton billet, assieds-toi vite, et écris cinquante. (Ⅱ)
- ὁ δὲ εἶπεν· Ἑκατὸν βάτους ἐλαίου· ⸂ὁ δὲ⸃ εἶπεν αὐτῷ· Δέξαι σου ⸂τὰ γράμματα⸃ καὶ καθίσας ταχέως γράψον πεντήκοντα. (Ⅳ)
- At ille dixit : Centum cados olei. Dixitque illi : Accipe cautionem tuam : et sede cito, scribe quinquaginta. (Ⅴ)
- Et il dit: Cent baths d’huile. Et il lui dit: Prends ton écrit, et assieds-toi promptement et écris cinquante. (Ⅶ)
- Il dit : cent mesures d’huile. Et il lui dit : prends ton obligation, et t’assieds sur-le-champ, et n’en écris que cinquante. (Ⅷ)
16. 7  
Il dit ensuite à un autre: Et toi, combien dois-tu? Il dit: Cent mesures de froment. Et l'économe lui dit: Reprends ton billet, et écris-en un autre de quatre-vingts.
- Ensuite il dit à un autre : " Et toi, combien dois-tu? " Il dit : " Cent mesures de froment. " Et il lui dit : " Prends ton billet et écris : quatre-vingts. " (Ⅰ)
- Il dit ensuite à un autre: Et toi, combien dois-tu? Cent mesures de blé, répondit-il. Et il lui dit: Prends ton billet, et écris quatre-vingts. (Ⅱ)
- ἔπειτα ἑτέρῳ εἶπεν· Σὺ δὲ πόσον ὀφείλεις; ὁ δὲ εἶπεν· Ἑκατὸν κόρους σίτου· ⸀λέγει αὐτῷ· Δέξαι σου ⸂τὰ γράμματα⸃ καὶ γράψον ὀγδοήκοντα. (Ⅳ)
- Deinde alii dixit : Tu vero quantum debes ? Qui ait : Centum coros tritici. Ait illi : Accipe litteras tuas, et scribe octoginta. (Ⅴ)
- Puis il dit à un autre: Et toi, combien dois-tu? Et il dit: Cent cors de froment. Et il lui dit: Prends ton écrit, et écris quatre-vingts. (Ⅶ)
- Puis il dit à un autre : et toi combien dois-tu ? et il dit : cent mesures de froment. Et il lui dit : prends ton obligation, et n’en écris que quatre-vingts. (Ⅷ)
16. 8  
Et le maître loua cet économe infidèle de ce qu'il avait agi avec habileté; car les enfants de ce siècle sont plus prudents dans leur génération, que les enfants de lumière.
- Et le maître loua l'intendant malhonnête d'avoir agi d'une façon avisée. C'est que les enfants de ce siècle sont plus avisés à l'égard de ceux de leur espèce que les enfants de la lumière. (Ⅰ)
- Le maître loua l'économe infidèle de ce qu'il avait agi prudemment. Car les enfants de ce siècle sont plus prudents à l'égard de leurs semblables que ne le sont les enfants de lumière. (Ⅱ)
- καὶ ἐπῄνεσεν ὁ κύριος τὸν οἰκονόμον τῆς ἀδικίας ὅτι φρονίμως ἐποίησεν· ὅτι οἱ υἱοὶ τοῦ αἰῶνος τούτου φρονιμώτεροι ὑπὲρ τοὺς υἱοὺς τοῦ φωτὸς εἰς τὴν γενεὰν τὴν ἑαυτῶν εἰσιν. (Ⅳ)
- Et laudavit dominus villicum iniquitatis, quia prudenter fecisset : quia filii hujus sæculi prudentiores filiis lucis in generatione sua sunt. (Ⅴ)
- Et le maître loua l’économe injuste parce qu’il avait agi prudemment. Car les fils de ce siècle sont plus prudents, par rapport à leur propre génération, que les fils de la lumière. (Ⅶ)
- Et le maître loua l’économe infidèle de ce qu’il avait agi prudemment. Ainsi les enfants de ce siècle sont plus prudents en leur génération, que les enfants de lumière. (Ⅷ)
16. 9  
Et moi, je vous dis: Faites-vous des amis avec les richesses injustes, afin que quand vous mourrez, ils vous reçoivent dans les tabernacles éternels.
- Et moi je vous dis : Faites-vous des amis avec la Richesse malhonnête, afin que, lorsqu'elle viendra à manquer, ils vous reçoivent dans les pavillons éternels. (Ⅰ)
- Et moi, je vous dis: Faites-vous des amis avec les richesses injustes, pour qu'ils vous reçoivent dans les tabernacles éternels, quand elles viendront à vous manquer. (Ⅱ)
- καὶ ἐγὼ ὑμῖν λέγω, ⸂ἑαυτοῖς ποιήσατε⸃ φίλους ἐκ τοῦ μαμωνᾶ τῆς ἀδικίας, ἵνα ὅταν ⸀ἐκλίπῃ δέξωνται ὑμᾶς εἰς τὰς αἰωνίους σκηνάς. (Ⅳ)
- Et ego vobis dico : facite vobis amicos de mammona iniquitatis : ut, cum defeceritis, recipiant vos in æterna tabernacula. (Ⅴ)
- Et moi, je vous dis: Faites-vous des amis avec les richesses injustes, afin que, quand vous viendrez à manquer, vous soyez reçus dans les tabernacles éternels. (Ⅶ)
- Et moi aussi je vous dis : faites-vous des amis des richesses iniques ; afin que quand vous viendrez à manquer, ils vous reçoivent dans les Tabernacles éternels. (Ⅷ)
16. 10  
Celui qui est fidèle dans les petites choses sera aussi fidèle dans les grandes; et celui qui est injuste dans les petites choses sera aussi injuste dans les grandes.
- Qui est fidèle dans les petites choses est fidèle aussi dans les grandes, et qui est malhonnête dans les petites choses est malhonnête aussi dans les grandes. (Ⅰ)
- Celui qui est fidèle dans les moindres choses l'est aussi dans les grandes, et celui qui est injuste dans les moindres choses l'est aussi dans les grandes. (Ⅱ)
- Ὁ πιστὸς ἐν ἐλαχίστῳ καὶ ἐν πολλῷ πιστός ἐστιν, καὶ ὁ ἐν ἐλαχίστῳ ἄδικος καὶ ἐν πολλῷ ἄδικός ἐστιν. (Ⅳ)
- Qui fidelis est in minimo, et in majori fidelis est : et qui in modico iniquus est, et in majori iniquus est. (Ⅴ)
- Celui qui est fidèle dans ce qui est très petit, est fidèle aussi dans ce qui est grand; et celui qui est injuste dans ce qui est très petit, est injuste aussi dans ce qui est grand. (Ⅶ)
- Celui qui est fidèle en très peu de chose, est fidèle aussi dans les grandes choses ; et celui qui est injuste en très peu de chose, est injuste aussi dans les grandes choses. (Ⅷ)
16. 11  
Si donc vous n'avez pas été fidèles dans les richesses injustes, qui vous confiera les véritables?
- Si donc vous n'avez pas été fidèles pour la Richesse malhonnête, qui vous confiera le (bien) véritable? (Ⅰ)
- Si donc vous n'avez pas été fidèle dans les richesses injustes, qui vous confiera les véritables? (Ⅱ)
- εἰ οὖν ἐν τῷ ἀδίκῳ μαμωνᾷ πιστοὶ οὐκ ἐγένεσθε, τὸ ἀληθινὸν τίς ὑμῖν πιστεύσει; (Ⅳ)
- Si ergo in iniquo mammona fideles non fuistis quod verum est, quis credet vobis ? (Ⅴ)
- Si donc vous n’avez pas été fidèles dans les richesses injustes, qui vous confiera les vraies? (Ⅶ)
- Si donc vous n’avez pas été fidèles dans les richesses iniques, qui vous confiera les vraies [richesses] ? (Ⅷ)
16. 12  
Et si vous n'avez pas été fidèles dans ce qui est à autrui, qui vous donnera ce qui est à vous?
- Et si vous n'avez pas été fidèles pour le (bien) d'autrui, qui vous donnera le vôtre? (Ⅰ)
- Et si vous n'avez pas été fidèles dans ce qui est à autrui, qui vous donnera ce qui est à vous? (Ⅱ)
- καὶ εἰ ἐν τῷ ἀλλοτρίῳ πιστοὶ οὐκ ἐγένεσθε, τὸ ⸀ὑμέτερον τίς ⸂δώσει ὑμῖν⸃; (Ⅳ)
- Et si in alieno fideles non fuistis, quod vestrum est, quis dabit vobis ? (Ⅴ)
- Et si, dans ce qui est à autrui, vous n’avez pas été fidèles, qui vous donnera ce qui est vôtre? (Ⅶ)
- Et si en ce qui est à autrui vous n’avez pas été fidèles, qui vous donnera ce qui est vôtre ? (Ⅷ)
16. 13  
Nul serviteur ne peut servir deux maîtres; car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon.
- Nul domestique ne peut servir deux maîtres : car ou il haïra l'un et aimera l'autre, ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et la Richesse. " (Ⅰ)
- Nul serviteur ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon. (Ⅱ)
- οὐδεὶς οἰκέτης δύναται δυσὶ κυρίοις δουλεύειν· ἢ γὰρ τὸν ἕνα μισήσει καὶ τὸν ἕτερον ἀγαπήσει, ἢ ἑνὸς ἀνθέξεται καὶ τοῦ ἑτέρου καταφρονήσει. οὐ δύνασθε θεῷ δουλεύειν καὶ μαμωνᾷ. (Ⅳ)
- Nemo servus potest duobus dominis servire : aut enim unum odiet, et alterum diliget : aut uni adhærebit, et alterum contemnet. Non potestis Deo servire et mammonæ.\ (Ⅴ)
- Nul serviteur ne peut servir deux maîtres; car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre: vous ne pouvez servir Dieu et les richesses. (Ⅶ)
- Nul serviteur ne peut servir deux maîtres ; car ou il haïra l’un, et aimera l’autre ; ou il s’attachera à l’un, et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et les richesses. (Ⅷ)
16. 14  
Les pharisiens, qui étaient avares, écoutaient tout cela, et se moquaient de lui.
- Les Pharisiens, qui étaient amis de l'argent, écoutaient tout cela, et ils se moquaient de lui. (Ⅰ)
- Les pharisiens, qui étaient avares, écoutaient aussi tout cela, et ils se moquaient de lui. (Ⅱ)
- Ἤκουον δὲ ταῦτα ⸀πάντα οἱ Φαρισαῖοι φιλάργυροι ὑπάρχοντες, καὶ ἐξεμυκτήριζον αὐτόν. (Ⅳ)
- Audiebant autem omnia hæc pharisæi, qui erant avari : et deridebant illum. (Ⅴ)
- Et les pharisiens aussi, qui étaient avares, entendirent toutes ces choses, et ils se moquèrent de lui. (Ⅶ)
- Or les Pharisiens aussi, qui étaient avares, entendaient toutes ces choses, et ils se moquaient de lui. (Ⅷ)
16. 15  
Et il leur dit: Pour vous, vous voulez passer pour justes devant les hommes; mais Dieu connaît vos cœurs; car ce qui est élevé devant les hommes est une abomination devant Dieu.
- Et il leur dit : " Vous, vous êtes ceux qui se font justes aux yeux des hommes; mais Dieu connaît vos cœurs; car ce qui est élevé parmi les hommes est abomination aux yeux de Dieu. (Ⅰ)
- Jésus leur dit: Vous, vous cherchez à paraître justes devant les hommes, mais Dieu connaît vos coeurs; car ce qui est élevé parmi les hommes est une abomination devant Dieu. (Ⅱ)
- καὶ εἶπεν αὐτοῖς· Ὑμεῖς ἐστε οἱ δικαιοῦντες ἑαυτοὺς ἐνώπιον τῶν ἀνθρώπων, ὁ δὲ θεὸς γινώσκει τὰς καρδίας ὑμῶν· ὅτι τὸ ἐν ἀνθρώποις ὑψηλὸν βδέλυγμα ἐνώπιον τοῦ θεοῦ. (Ⅳ)
- Et ait illis : Vos estis qui justificatis vos coram hominibus : Deus autem novit corda vestra : quia quod hominibus altum est, abominatio est ante Deum. (Ⅴ)
- Et il leur dit: Vous êtes ceux qui se justifient eux-mêmes devant les hommes; mais Dieu connaît vos cœurs: car ce qui est haut estimé parmi les hommes est une abomination devant Dieu. (Ⅶ)
- Et il leur dit : vous vous justifiez vous-mêmes devant les hommes ; mais Dieu connaît vos cœurs ; c’est pourquoi ce qui est grand devant les hommes, est en abomination devant Dieu. (Ⅷ)
16. 16  
La loi et les prophètes vont jusqu'à Jean; depuis ce temps-là le royaume de Dieu est annoncé,
- Jusqu'à Jean, (c'était) la Loi et les prophètes; depuis lors, le royaume de Dieu est annoncé et chacun le force pour y entrer. (Ⅰ)
- La loi et les prophètes ont subsisté jusqu'à Jean; depuis lors, le royaume de Dieu est annoncé, et chacun use de violence pour y entrer. (Ⅱ)
- Ὁ νόμος καὶ οἱ προφῆται ⸀μέχρι Ἰωάννου· ἀπὸ τότε ἡ βασιλεία τοῦ θεοῦ εὐαγγελίζεται καὶ πᾶς εἰς αὐτὴν βιάζεται. (Ⅳ)
- Lex et prophetæ usque ad Joannem : ex eo regnum Dei evangelizatur, et omnis in illud vim facit. (Ⅴ)
- La loi et les prophètes ont été jusqu’à Jean; dès lors le royaume de Dieu est annoncé et chacun use de violence pour y entrer. (Ⅶ)
- La Loi et les Prophètes [ont duré] jusqu’à Jean ; depuis ce temps-là le Règne de Dieu est évangélisé, et chacun le force. (Ⅷ)
16. 17  
Et chacun y entre par la violence. Mais il est plus aisé que le ciel et la terre passent, qu'il n'est possible qu'un seul trait de lettre de la loi soit aboli.
- Mais il est plus facile que le ciel et la terre passent, que ne tombe un seul trait de la Loi. (Ⅰ)
- Il est plus facile que le ciel et la terre passent, qu'il ne l'est qu'un seul trait de lettre de la loi vienne à tomber. (Ⅱ)
- Εὐκοπώτερον δέ ἐστιν τὸν οὐρανὸν καὶ τὴν γῆν παρελθεῖν ἢ τοῦ νόμου μίαν κεραίαν πεσεῖν. (Ⅳ)
- Facilius est autem cælum et terram præterire, quam de lege unum apicem cadere. (Ⅴ)
- Or il est plus facile que le ciel et la terre passent, qu’il ne l’est qu’un seul trait de lettre de la loi tombe. (Ⅶ)
- Or il est plus aisé que le ciel et la terre passent, que non pas qu’il tombe un seul point de la Loi. (Ⅷ)
16. 18  
Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, commet un adultère, et quiconque épouse celle que son mari a répudiée, commet un adultère.
- Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, commet l'adultère; et celui qui épouse la femme répudiée par son mari, commet l'adultère. (Ⅰ)
- Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre commet un adultère, et quiconque épouse une femme répudiée par son mari commet un adultère. (Ⅱ)
- Πᾶς ὁ ἀπολύων τὴν γυναῖκα αὐτοῦ καὶ γαμῶν ἑτέραν μοιχεύει, ⸀καὶ ὁ ἀπολελυμένην ἀπὸ ἀνδρὸς γαμῶν μοιχεύει. (Ⅳ)
- Omnis qui dimittit uxorem suam et alteram ducit, mœchatur : et qui dimissam a viro ducit, mœchatur.\ (Ⅴ)
- Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, commet adultère; et quiconque épouse une femme répudiée par son mari, commet adultère. (Ⅶ)
- Quiconque répudie sa femme, et se marie à une autre, commet un adultère, et quiconque prend celle qui a été répudiée par son mari, commet un adultère. (Ⅷ)
16. 19  
Il y avait un homme riche, qui se vêtait de pourpre et de fin lin, et qui se traitait chaque jour magnifiquement.
- Il y avait un homme riche qui s'habillait de pourpre et de lin et qui, chaque jour, festoyait splendidement. (Ⅰ)
- Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. (Ⅱ)
- Ἄνθρωπος δέ τις ἦν πλούσιος, καὶ ἐνεδιδύσκετο πορφύραν καὶ βύσσον εὐφραινόμενος καθ’ ἡμέραν λαμπρῶς. (Ⅳ)
- Homo quidam erat dives, qui induebatur purpura et bysso, et epulabatur quotidie splendide. (Ⅴ)
- Or il y avait un homme riche qui se vêtait de pourpre et de fin lin, et qui faisait joyeuse chère, chaque jour, splendidement. (Ⅶ)
- Or il y avait un homme riche, qui se vêtait de pourpre et de fin lin, et qui tous les jours se traitait splendidement. (Ⅷ)
16. 20  
Il y avait aussi un pauvre, nommé Lazare, qui était couché à sa porte, couvert d'ulcères;
- Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d'ulcères (Ⅰ)
- Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d'ulcères, (Ⅱ)
- πτωχὸς δέ ⸀τις ὀνόματι ⸀Λάζαρος ἐβέβλητο πρὸς τὸν πυλῶνα αὐτοῦ εἱλκωμένος (Ⅳ)
- Et erat quidam mendicus, nomine Lazarus, qui jacebat ad januam ejus, ulceribus plenus, (Ⅴ)
- Et il y avait un pauvre, nommé Lazare, couché à sa porte, tout couvert d’ulcères, (Ⅶ)
- Il y avait [aussi] un pauvre, nommé Lazare, couché à la porte du [riche], et tout couvert d’ulcères ; (Ⅷ)
16. 21  
Il désirait de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche; et les chiens même venaient lécher ses ulcères.
- et désireux de se rassasier de ce qui tombait de la table du riche; et même, les chiens venaient lécher ses ulcères. (Ⅰ)
- et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères. (Ⅱ)
- καὶ ἐπιθυμῶν χορτασθῆναι ⸀ἀπὸ τῶν πιπτόντων ἀπὸ τῆς τραπέζης τοῦ πλουσίου· ἀλλὰ καὶ οἱ κύνες ἐρχόμενοι ⸀ἐπέλειχον τὰ ἕλκη αὐτοῦ. (Ⅳ)
- cupiens saturari de micis quæ cadebant de mensa divitis, et nemo illi dabat : sed et canes veniebant, et lingebant ulcera ejus. (Ⅴ)
- et qui désirait de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche; mais les chiens aussi venaient lécher ses ulcères. (Ⅶ)
- Et qui désirait d’être rassasié des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient, et lui léchaient ses ulcères. (Ⅷ)
16. 22  
Or, il arriva que le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d'Abraham; le riche mourut aussi, et fut enseveli.
- Or il arriva que le pauvre mourut, et il fut emporté par les anges dans le sein d'Abraham. Le riche aussi mourut, et on lui donna la sépulture. (Ⅰ)
- Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d'Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. (Ⅱ)
- ἐγένετο δὲ ἀποθανεῖν τὸν πτωχὸν καὶ ἀπενεχθῆναι αὐτὸν ὑπὸ τῶν ἀγγέλων εἰς τὸν κόλπον Ἀβραάμ· ἀπέθανεν δὲ καὶ ὁ πλούσιος καὶ ἐτάφη. (Ⅳ)
- Factum est autem ut moreretur mendicus, et portaretur ab angelis in sinum Abrahæ. Mortuus est autem et dives, et sepultus est in inferno. (Ⅴ)
- Et il arriva que le pauvre mourut, et qu’il fut porté par les anges dans le sein d’Abraham. Et le riche aussi mourut, et fut enseveli. (Ⅶ)
- Et il arriva que le pauvre mourut, et il fut porté par les Anges au sein d’Abraham ; le riche mourut aussi, et fut enseveli. (Ⅷ)
16. 23  
Et étant en enfer, dans les tourments, il leva les yeux, et vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein;
- Dans l'enfer, il leva les yeux, en proie aux tourments, et il aperçut de loin Abraham, et Lazare dans son sein. (Ⅰ)
- Dans le séjour des morts, il leva les yeux; et, tandis qu'il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. (Ⅱ)
- καὶ ἐν τῷ ᾅδῃ ἐπάρας τοὺς ὀφθαλμοὺς αὐτοῦ, ὑπάρχων ἐν βασάνοις, ⸀ὁρᾷ Ἀβραὰμ ἀπὸ μακρόθεν καὶ Λάζαρον ἐν τοῖς κόλποις αὐτοῦ. (Ⅳ)
- Elevans autem oculos suos, cum esset in tormentis, vidit Abraham a longe, et Lazarum in sinu ejus : (Ⅴ)
- Et, en hadès, levant ses yeux, comme il était dans les tourments, il voit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. (Ⅶ)
- Et étant en enfer, et élevant ses yeux, comme il était dans les tourments, il vit de loin Abraham et Lazare dans son sein. (Ⅷ)
16. 24  
Et s'écriant, il dit: Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, afin qu'il trempe dans l'eau le bout de son doigt, pour me rafraîchir la langue: Car je suis extrêmement tourmenté dans cette flamme.
- Et il s'écria : " Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare pour qu'il trempe dans l'eau le bout de son doigt et me rafraîchisse la langue, car je souffre dans cette flamme. " (Ⅰ)
- Il s'écria: Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu'il trempe le bout de son doigt dans l'eau et me rafraîchisse la langue; car je souffre cruellement dans cette flamme. (Ⅱ)
- καὶ αὐτὸς φωνήσας εἶπεν· Πάτερ Ἀβραάμ, ἐλέησόν με καὶ πέμψον Λάζαρον ἵνα βάψῃ τὸ ἄκρον τοῦ δακτύλου αὐτοῦ ὕδατος καὶ καταψύξῃ τὴν γλῶσσάν μου, ὅτι ὀδυνῶμαι ἐν τῇ φλογὶ ταύτῃ. (Ⅳ)
- et ipse clamans dixit : Pater Abraham, miserere mei, et mitte Lazarum ut intingat extremum digiti sui in aquam, ut refrigeret linguam meam, quia crucior in hac flamma. (Ⅴ)
- Et s’écriant, il dit: Père Abraham, aie pitié de moi et envoie Lazare, afin qu’il trempe dans l’eau le bout de son doigt, et qu’il rafraîchisse ma langue, car je suis tourmenté dans cette flamme. (Ⅶ)
- Et s’écriant, il dit : Père Abraham aie pitié de moi, et envoie Lazare, qui mouillant dans l’eau le bout de son doigt, vienne rafraîchir ma langue ; car je suis grièvement tourmenté dans cette flamme. (Ⅷ)
16. 25  
Mais Abraham répondit: Mon fils, souviens-toi que tu as eu tes biens pendant ta vie, et que Lazare y a eu des maux; maintenant il est consolé, et toi tu es dans les tourments.
- Abraham dit : " Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et pareillement Lazare ses maux. Maintenant il est consolé ici, et toi tu souffres. (Ⅰ)
- Abraham répondit: Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. (Ⅱ)
- εἶπεν δὲ Ἀβραάμ· Τέκνον, μνήσθητι ὅτι ⸀ἀπέλαβες τὰ ἀγαθά σου ἐν τῇ ζωῇ σου, καὶ Λάζαρος ὁμοίως τὰ κακά· νῦν δὲ ὧδε παρακαλεῖται σὺ δὲ ὀδυνᾶσαι. (Ⅳ)
- Et dixit illi Abraham : Fili, recordare quia recepisti bona in vita tua, et Lazarus similiter mala : nunc autem hic consolatur, tu vero cruciaris : (Ⅴ)
- Mais Abraham dit: Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et Lazare pareillement les maux; et maintenant lui est consolé ici, et toi tu es tourmenté. (Ⅶ)
- Et Abraham répondit : mon fils, souviens-toi que tu as reçu tes biens en ta vie, et que Lazare y a eu ses maux ; mais il est maintenant consolé, et tu es grièvement tourmenté. (Ⅷ)
16. 26  
Outre cela, il y a un grand abîme entre vous et nous, de sorte que ceux qui voudraient passer d'ici à vous, ne le peuvent; non plus que ceux qui voudraient traverser de là jusqu'à nous.
- Et avec tout cela, entre nous et vous a été établi un grand abîme, de sorte que ceux qui voudraient passer d'ici vers vous ne le pourraient pas, et que [ceux] de là-bas ne traversent pas non plus vers nous. " (Ⅰ)
- D'ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d'ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire. (Ⅱ)
- καὶ ⸀ἐν πᾶσι τούτοις μεταξὺ ἡμῶν καὶ ὑμῶν χάσμα μέγα ἐστήρικται, ὅπως οἱ θέλοντες διαβῆναι ἔνθεν πρὸς ὑμᾶς μὴ δύνωνται, ⸀μηδὲ ἐκεῖθεν πρὸς ἡμᾶς διαπερῶσιν. (Ⅳ)
- et in his omnibus inter nos et vos chaos magnum firmatum est : ut hi qui volunt hinc transire ad vos, non possint, neque inde huc transmeare. (Ⅴ)
- Et outre tout cela, un grand gouffre est fermement établi entre nous et vous; en sorte que ceux qui veulent passer d’ici vers vous ne le peuvent, et que ceux qui veulent passer de là ne traversent pas non plus vers nous. (Ⅶ)
- Et outre tout cela, il y a un grand abîme entre nous et vous ; tellement que ceux qui veulent passer d’ici vers vous, ne le peuvent ; ni de là, passer ici. (Ⅷ)
16. 27  
Et le riche dit: Je te prie donc, père Abraham, d'envoyer Lazare dans la maison de mon père
- Et il dit : " Je te prie donc, père, de l'envoyer à la maison de mon père, (Ⅰ)
- Le riche dit: Je te prie donc, père Abraham, d'envoyer Lazare dans la maison de mon père; car j'ai cinq frères. (Ⅱ)
- εἶπεν δέ· Ἐρωτῶ ⸂σε οὖν⸃, πάτερ, ἵνα πέμψῃς αὐτὸν εἰς τὸν οἶκον τοῦ πατρός μου, (Ⅳ)
- Et ait : Rogo ergo te, pater, ut mittas eum in domum patris mei : (Ⅴ)
- Et il dit: Je te prie donc, père, de l’envoyer dans la maison de mon père, (Ⅶ)
- Et il dit : je te prie donc, père, de l’envoyer en la maison de mon père ; (Ⅷ)
16. 28  
(Car j'ai cinq frères), pour leur attester ces choses, de peur qu'ils ne viennent aussi dans ce lieu de tourments.
- — car j'ai cinq frères, — pour leur attester (ces choses) de peur qu'ils ne viennent, eux aussi, dans ce lieu de tourment. " (Ⅰ)
- C'est pour qu'il leur atteste ces choses, afin qu'ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments. (Ⅱ)
- ἔχω γὰρ πέντε ἀδελφούς, ὅπως διαμαρτύρηται αὐτοῖς, ἵνα μὴ καὶ αὐτοὶ ἔλθωσιν εἰς τὸν τόπον τοῦτον τῆς βασάνου. (Ⅳ)
- habeo enim quinque fratres : ut testetur illis, ne et ipsi veniant in hunc locum tormentorum. (Ⅴ)
- car j’ai cinq frères, en sorte qu’il les adjure; de peur qu’eux aussi ne viennent dans ce lieu de tourment. (Ⅶ)
- Car j’ai cinq frères, afin qu’il leur rende témoignage [de l’état où je suis] ; de peur qu’eux aussi ne viennent dans ce lieu de tourment. (Ⅷ)
16. 29  
Abraham lui répondit: Ils ont Moïse et les prophètes; qu'ils les écoutent.
- Abraham dit : " Ils ont Moïse et les prophètes : qu'ils les écoutent ! " (Ⅰ)
- Abraham répondit: Ils ont Moïse et les prophètes; qu'ils les écoutent. (Ⅱ)
- λέγει ⸀δὲ Ἀβραάμ· Ἔχουσι Μωϋσέα καὶ τοὺς προφήτας· ἀκουσάτωσαν αὐτῶν. (Ⅳ)
- Et ait illi Abraham : Habent Moysen et prophetas : audiant illos. (Ⅴ)
- Mais Abraham lui dit: Ils ont Moïse et les prophètes; qu’ils les écoutent. (Ⅶ)
- Abraham lui répondit : Ils ont Moïse et les Prophètes ; qu’ils les écoutent. (Ⅷ)
16. 30  
Le riche dit: Non, père Abraham; mais si quelqu'un des morts va vers eux, ils se repentiront.
- Il dit : " Non, père Abraham; mais si quelqu'un de chez les morts va vers eux, ils se repentiront. " (Ⅰ)
- Et il dit: Non, père Abraham, mais si quelqu'un des morts va vers eux, ils se repentiront. (Ⅱ)
- ὁ δὲ εἶπεν· Οὐχί, πάτερ Ἀβραάμ, ἀλλ’ ἐάν τις ἀπὸ νεκρῶν πορευθῇ πρὸς αὐτοὺς μετανοήσουσιν. (Ⅳ)
- At ille dixit : Non, pater Abraham : sed si quis ex mortuis ierit ad eos, pœnitentiam agent. (Ⅴ)
- Mais il dit: Non, père Abraham; mais si quelqu’un va des morts vers eux, ils se repentiront. (Ⅶ)
- Mais il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu’un des morts va vers eux, ils se repentiront. (Ⅷ)
16. 31  
Et Abraham lui dit: S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne seraient pas non plus persuadés, quand même l'un des morts ressusciterait.
- Il lui dit : " S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, même si quelqu'un ressuscitait d'entre les morts, ils ne seraient pas persuadés. " (Ⅰ)
- Et Abraham lui dit: S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait. (Ⅱ)
- εἶπεν δὲ αὐτῷ· Εἰ Μωϋσέως καὶ τῶν προφητῶν οὐκ ἀκούουσιν, οὐδ’ ἐάν τις ἐκ νεκρῶν ἀναστῇ πεισθήσονται. (Ⅳ)
- Ait autem illi : Si Moysen et prophetas non audiunt, neque si quis ex mortuis resurrexerit, credent. (Ⅴ)
- Et il lui dit: S’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne seront pas persuadés non plus si quelqu’un ressuscitait d’entre les morts. (Ⅶ)
- Et Abraham lui dit : s’ils n’écoutent point Moïse et les Prophètes, ils ne seront pas non plus persuadés, quand quelqu’un des morts ressusciterait. (Ⅷ)


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Chapitre 16
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