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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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18. 1  
En cette heure-là les disciples vinrent à Jésus, disant: Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux?
- En ce moment-là, les disciples s'approchèrent de Jésus et dirent : " Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux? " (Ⅰ)
- En ce moment, les disciples s'approchèrent de Jésus, et dirent: Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux? (Ⅱ)
- Ἐν ἐκείνῃ τῇ ὥρᾳ προσῆλθον οἱ μαθηταὶ τῷ Ἰησοῦ λέγοντες· Τίς ἄρα μείζων ἐστὶν ἐν τῇ βασιλείᾳ τῶν οὐρανῶν; (Ⅳ)
- In illa hora accesserunt discipuli ad Jesum, dicentes : Quis, putas, major est in regno cælorum ? (Ⅴ)
- En cette même heure-là les Disciples vinrent à Jésus, en lui disant : qui est le plus grand au Royaume des cieux ? (Ⅶ)
- A cette heure-là, les disciples vinrent à Jésus, et lui dirent: Qui est le plus grand dans le royaume des cieux? (Ⅷ)
18. 2  
Et Jésus, ayant appelé auprès de lui un petit enfant, le plaça au milieu d’eux,
- Alors ayant fait venir un enfant, il le plaça au milieu d'eux (Ⅰ)
- Jésus, ayant appelé un petit enfant, le plaça au milieu d'eux, (Ⅱ)
- καὶ ⸀προσκαλεσάμενος παιδίον ἔστησεν αὐτὸ ἐν μέσῳ αὐτῶν (Ⅳ)
- Et advocans Jesus parvulum, statuit eum in medio eorum, (Ⅴ)
- Et Jésus ayant appelé un petit enfant, le mit au milieu d’eux, (Ⅶ)
- Et Jésus, ayant fait venir un enfant, le mit au milieu d'eux, (Ⅷ)
18. 3  
et dit: En vérité, je vous dis: si vous ne vous convertissez et ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez point dans le royaume des cieux.
- et dit : " Je vous le dis, en vérité, si vous ne changez et ne devenez comme les enfants, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux. (Ⅰ)
- et dit: Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux. (Ⅱ)
- καὶ εἶπεν· Ἀμὴν λέγω ὑμῖν, ἐὰν μὴ στραφῆτε καὶ γένησθε ὡς τὰ παιδία, οὐ μὴ εἰσέλθητε εἰς τὴν βασιλείαν τῶν οὐρανῶν. (Ⅳ)
- et dixit : Amen dico vobis, nisi conversi fueritis, et efficiamini sicut parvuli, non intrabitis in regnum cælorum. (Ⅴ)
- Et leur dit : en vérité je vous dis, que si vous n’êtes changés, et si vous ne devenez comme de petits enfants, vous n’entrerez point dans le Royaume des cieux. (Ⅶ)
- Et dit: Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez, et si vous ne devenez comme des enfants, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux. (Ⅷ)
18. 4  
Quiconque donc s’abaissera comme ce petit enfant, celui-là est le plus grand dans le royaume des cieux;
- Celui donc qui se fera humble comme ce petit enfant est le plus grand dans le royaume des cieux. (Ⅰ)
- C'est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux. (Ⅱ)
- ὅστις οὖν ταπεινώσει ἑαυτὸν ὡς τὸ παιδίον τοῦτο, οὗτός ἐστιν ὁ μείζων ἐν τῇ βασιλείᾳ τῶν οὐρανῶν· (Ⅳ)
- Quicumque ergo humiliaverit se sicut parvulus iste, hic est major in regno cælorum. (Ⅴ)
- C’est pourquoi quiconque deviendra humble, comme est ce petit enfant, celui-là est le plus grand au Royaume des cieux. (Ⅶ)
- C'est pourquoi, quiconque s'abaissera, comme cet enfant, celui-là est le plus grand dans le royaume des cieux. (Ⅷ)
18. 5  
et quiconque reçoit un seul petit enfant tel que celui-ci en mon nom, me reçoit.
- Et celui qui reçoit en mon nom un enfant comme celui-ci, c'est moi qu'il reçoit. (Ⅰ)
- Et quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-même. (Ⅱ)
- καὶ ὃς ⸀ἐὰν δέξηται ⸂ἓν παιδίον τοιοῦτο⸃ ἐπὶ τῷ ὀνόματί μου, ἐμὲ δέχεται. (Ⅳ)
- Et qui susceperit unum parvulum talem in nomine meo, me suscipit : (Ⅴ)
- Et quiconque reçoit un tel petit enfant en mon Nom, il me reçoit. (Ⅶ)
- Et quiconque reçoit un tel enfant en mon nom, me reçoit. (Ⅷ)
18. 6  
Et quiconque est une occasion de chute pour un de ces petits qui croient en moi, il serait avantageux pour lui qu’on lui eût pendu au cou une meule d’âne et qu’il eût été noyé dans les profondeurs de la mer.
- Mais celui qui scandalisera un de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu'on lui suspende une meule à âne autour de cou et qu'on le précipite au fond de la mer. (Ⅰ)
- Mais, si quelqu'un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu'on le jetât au fond de la mer. (Ⅱ)
- Ὃς δ’ ἂν σκανδαλίσῃ ἕνα τῶν μικρῶν τούτων τῶν πιστευόντων εἰς ἐμέ, συμφέρει αὐτῷ ἵνα κρεμασθῇ μύλος ὀνικὸς ⸀εἰς τὸν τράχηλον αὐτοῦ καὶ καταποντισθῇ ἐν τῷ πελάγει τῆς θαλάσσης. (Ⅳ)
- qui autem scandalizaverit unum de pusillis istis, qui in me credunt, expedit ei ut suspendatur mola asinaria in collo ejus, et demergatur in profundum maris. (Ⅴ)
- Mais quiconque scandalise un de ces petits qui croient en moi, il lui vaudrait mieux qu’on lui pendît une meule d’âne au cou, et qu’on le jetât au fond de la mer. (Ⅶ)
- Mais si quelqu'un scandalise un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on lui attachât une meule au cou, et qu'on le jetât au fond de la mer. (Ⅷ)
18. 7  
Malheur au monde à cause des occasions de chute! car il est nécessaire qu’il arrive des occasions de chute; mais malheur à cet homme par qui l’occasion de chute arrive.
- Malheur au monde à cause des scandales ! C'est une nécessité qu'il arrive des scandales; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive ! (Ⅰ)
- Malheur au monde à cause des scandales! Car il est nécessaire qu'il arrive des scandales; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive! (Ⅱ)
- οὐαὶ τῷ κόσμῳ ἀπὸ τῶν σκανδάλων· ἀνάγκη ⸀γὰρ ἐλθεῖν τὰ σκάνδαλα, πλὴν οὐαὶ τῷ ⸀ἀνθρώπῳ δι’ οὗ τὸ σκάνδαλον ἔρχεται. (Ⅳ)
- Væ mundo a scandalis ! Necesse est enim ut veniant scandala : verumtamen væ homini illi, per quem scandalum venit. (Ⅴ)
- Malheur au monde à cause des scandales ; car il est infaillible qu’il n’arrive des scandales ; toutefois malheur à l’homme par qui le scandale arrive. (Ⅶ)
- Malheur au monde à cause des scandales; il est nécessaire, il est vrai, qu'il arrive des scandales; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive! (Ⅷ)
18. 8  
Et si ta main ou ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-les et jette-les loin de toi: il vaut mieux pour toi d’entrer dans la vie boiteux ou estropié, que d’avoir deux mains ou deux pieds, et d’être jeté dans le feu éternel.
- Si ta main ou ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-le et jette-le loin de toi : il vaut mieux pour toi entrer dans la vie manchot ou boiteux, que d'être jeté, ayant deux mains ou deux pieds, dans le feu éternel. (Ⅰ)
- Si ta main ou ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-les et jette-les loin de toi; mieux vaut pour toi entrer dans la vie boiteux ou manchot, que d'avoir deux pieds ou deux mains et d'être jeté dans le feu éternel. (Ⅱ)
- Εἰ δὲ ἡ χείρ σου ἢ ὁ πούς σου σκανδαλίζει σε, ἔκκοψον ⸀αὐτὸν καὶ βάλε ἀπὸ σοῦ· καλόν σοί ἐστιν εἰσελθεῖν εἰς τὴν ζωὴν ⸂κυλλὸν ἢ χωλόν⸃, ἢ δύο χεῖρας ἢ δύο πόδας ἔχοντα βληθῆναι εἰς τὸ πῦρ τὸ αἰώνιον. (Ⅳ)
- Si autem manus tua, vel pes tuus scandalizat te, abscide eum, et projice abs te : bonum tibi est ad vitam ingredi debilem, vel claudum, quam duas manus vel duos pedes habentem mitti in ignem æternum. (Ⅴ)
- Que si ta main ou ton pied te fait broncher, coupe-les, et jette-les loin de toi ; car il vaut mieux que tu entres boiteux ou manchot dans la vie, que d’avoir deux pieds ou deux mains, et d’être jeté au feu éternel. (Ⅶ)
- Que si ta main ou ton pied te fait tomber dans le péché, coupe-les, et jette-les loin de toi; car il vaut mieux que tu entres boiteux ou manchot dans la vie, que d'avoir deux pieds ou deux mains, et d'être jeté dans le feu éternel. (Ⅷ)
18. 9  
Et si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi; car il vaut mieux pour toi d’entrer dans la vie n’ayant qu’un œil, que d’avoir deux yeux, et d’être jeté dans la géhenne du feu.
- Et si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi; il vaut mieux pour toi entrer borgne dans la vie, que d'être jeté, ayant deux yeux, dans la géhenne du feu. (Ⅰ)
- Et si ton oeil est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi; mieux vaut pour toi entrer dans la vie, n'ayant qu'un oeil, que d'avoir deux yeux et d'être jeté dans le feu de la géhenne. (Ⅱ)
- καὶ εἰ ὁ ὀφθαλμός σου σκανδαλίζει σε, ἔξελε αὐτὸν καὶ βάλε ἀπὸ σοῦ· καλόν σοί ἐστιν μονόφθαλμον εἰς τὴν ζωὴν εἰσελθεῖν, ἢ δύο ὀφθαλμοὺς ἔχοντα βληθῆναι εἰς τὴν γέενναν τοῦ πυρός. (Ⅳ)
- Et si oculus tuus scandalizat te, erue eum, et projice abs te : bonum tibi est cum uno oculo in vitam intrare, quam duos oculos habentem mitti in gehennam ignis. (Ⅴ)
- Et si ton œil te fait broncher, arrache-le, et jette-le loin de toi ; car il vaut mieux que tu entres dans la vie n’ayant qu’un œil, que d’avoir deux yeux, et d’être jeté dans la géhenne du feu. (Ⅶ)
- Et si ton œil te fait tomber dans le péché, arrache-le, et jette-le loin de toi; car il vaut mieux que tu entres dans la vie n'ayant qu'un œil, que d'avoir deux yeux, et d'être jeté dans la géhenne du feu. (Ⅷ)
18. 10  
Prenez garde de ne pas mépriser un de ces petits; car je vous dis que, dans les cieux, leurs anges voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux.
- Prenez garde de mépriser aucun de ces petits, car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est dans les cieux. (Ⅰ)
- Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits; car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux. (Ⅱ)
- Ὁρᾶτε μὴ καταφρονήσητε ἑνὸς τῶν μικρῶν τούτων, λέγω γὰρ ὑμῖν ὅτι οἱ ἄγγελοι αὐτῶν ἐν οὐρανοῖς διὰ παντὸς βλέπουσι τὸ πρόσωπον τοῦ πατρός μου τοῦ ἐν ⸀οὐρανοῖς. (Ⅳ)
- Videte ne contemnatis unum ex his pusillis : dico enim vobis, quia angeli eorum in cælis semper vident faciem Patris mei, qui in cælis est. (Ⅴ)
- Prenez garde de ne mépriser aucun de ces petits, car je vous dis, que dans les cieux leurs Anges regardent toujours la face de mon Père qui est aux cieux. (Ⅶ)
- Prenez garde de ne mépriser aucun de ces petits; car je vous dis que dans les cieux leurs anges voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux. (Ⅷ)
18. 11  
Car le fils de l’homme est venu pour sauver ce qui était perdu.
- Car le Fils de l'homme est venu sauver ce qui était perdu. (Ⅰ)
- Car le Fils de l'homme est venu sauver ce qui était perdu. (Ⅱ)
- Venit enim Filius hominis salvare quod perierat. (Ⅴ)
- Car le Fils de l’homme est venu pour sauver ce qui était perdu. (Ⅶ)
- Car le Fils de l'homme est venu pour sauver ce qui était perdu. (Ⅷ)
18. 12  
Que vous en semble? Si un homme a cent brebis, et que l’une d’elles se soit égarée, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf sur les montagnes, pour s’en aller chercher celle qui s’est égarée?
- Que vous en semble? Si un homme a cent brebis, et qu'une d'elles vienne à s'égarer, ne laissera-t-il pas sur les montagnes les quatre-vingt-dix-neuf autres pour aller à la recherche de celle qui s'est égarée? (Ⅰ)
- Que vous en semble? Si un homme a cent brebis, et que l'une d'elles s'égare, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres sur les montagnes, pour aller chercher celle qui s'est égarée? (Ⅱ)
- τί ὑμῖν δοκεῖ; ἐὰν γένηταί τινι ἀνθρώπῳ ἑκατὸν πρόβατα καὶ πλανηθῇ ἓν ἐξ αὐτῶν, οὐχὶ ⸀ἀφήσει τὰ ἐνενήκοντα ἐννέα ἐπὶ τὰ ὄρη ⸀καὶ πορευθεὶς ζητεῖ τὸ πλανώμενον; (Ⅳ)
- Quid vobis videtur ? si fuerint alicui centum oves, et erravit una ex eis : nonne relinquit nonaginta novem in montibus, et vadit quærere eam quæ erravit ? (Ⅴ)
- Que vous en semble ? Si un homme a cent brebis, et qu’il y en ait une qui se soit égarée, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf, pour s’en aller dans les montagnes chercher celle qui s’est égarée ? (Ⅶ)
- Que vous en semble? Si un homme a cent brebis, et qu'il y en ait une égarée, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf sur les montagnes, pour s'en aller chercher celle qui s'est égarée? (Ⅷ)
18. 13  
Et s’il arrive qu’il la trouve, — en vérité, je vous dis qu’il a plus de joie de celle-là que des quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées.
- Et s'il lui arrive de la retrouver, je vous le dis en vérité, il a plus de joie pour elle que pour les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées. (Ⅰ)
- Et, s'il la trouve, je vous le dis en vérité, elle lui cause plus de joie que les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées. (Ⅱ)
- καὶ ἐὰν γένηται εὑρεῖν αὐτό, ἀμὴν λέγω ὑμῖν ὅτι χαίρει ἐπ’ αὐτῷ μᾶλλον ἢ ἐπὶ τοῖς ἐνενήκοντα ἐννέα τοῖς μὴ πεπλανημένοις. (Ⅳ)
- Et si contigerit ut inveniat eam : amen dico vobis, quia gaudet super eam magis quam super nonaginta novem, quæ non erraverunt. (Ⅴ)
- Et s’il arrive qu’il la trouve, en vérité je vous dis, qu’il en a plus de joie, que des quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont point égarées. (Ⅶ)
- Et s'il arrive qu'il la trouve, je vous dis en vérité qu'il en a plus de joie, que des quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont point égarées. (Ⅷ)
18. 14  
Ainsi, ce n’est pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux, qu’un seul de ces petits périsse.
- De même, n'est-ce pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux, qu'il ne se perde pas un seul de ces petits? (Ⅰ)
- De même, ce n'est pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux qu'il se perde un seul de ces petits. (Ⅱ)
- οὕτως οὐκ ἔστιν θέλημα ⸀ἔμπροσθεν τοῦ πατρὸς ⸀ὑμῶν τοῦ ἐν οὐρανοῖς ἵνα ἀπόληται ⸀ἓν τῶν μικρῶν τούτων. (Ⅳ)
- Sic non est voluntas ante Patrem vestrum, qui in cælis est, ut pereat unus de pusillis istis.\ (Ⅴ)
- Ainsi la volonté de votre Père qui est aux cieux n’est pas qu’un seul de ces petits périsse. (Ⅶ)
- Ainsi la volonté de votre Père qui est aux cieux n'est pas qu'un seul de ces petits se perde. (Ⅷ)
18. 15  
Et si ton frère pèche contre toi, va, reprends-le, entre toi et lui seul; s’il t’écoute, tu as gagné ton frère;
- Si ton frère a péché contre toi, va reprends-le entre toi et lui seul; s'il t'écoute, tu auras gagné ton frère. (Ⅰ)
- Si ton frère a péché, va et reprends-le entre toi et lui seul. S'il t'écoute, tu as gagné ton frère. (Ⅱ)
- Ἐὰν δὲ ἁμαρτήσῃ ⸂εἰς σὲ⸃ ὁ ἀδελφός σου, ⸀ὕπαγε ἔλεγξον αὐτὸν μεταξὺ σοῦ καὶ αὐτοῦ μόνου. ἐάν σου ἀκούσῃ, ἐκέρδησας τὸν ἀδελφόν σου· (Ⅳ)
- Si autem peccaverit in te frater tuus, vade, et corripe eum inter te, et ipsum solum : si te audierit, lucratus eris fratrem tuum. (Ⅴ)
- Que si ton frère a péché contre toi, va, et reprends-le entre toi et lui seul ; s’il t’écoute, tu as gagné ton frère. (Ⅶ)
- Si ton frère a péché contre toi, va et reprends-le entre toi et lui seul; s'il t'écoute, tu as gagné ton frère. (Ⅷ)
18. 16  
mais s’il ne t’écoute pas, prends avec toi encore une ou deux personnes, afin que par la bouche de deux ou de trois témoins toute parole soit établie.
- S'il ne t'écoute pas, prends avec toi encore une ou deux (personnes), afin que toute chose se décide sur la parole de deux ou trois témoins. (Ⅰ)
- Mais, s'il ne t'écoute pas, prends avec toi une ou deux personnes, afin que toute l'affaire se règle sur la déclaration de deux ou de trois témoins. (Ⅱ)
- ἐὰν δὲ μὴ ἀκούσῃ, παράλαβε μετὰ σοῦ ἔτι ἕνα ἢ δύο, ἵνα ἐπὶ στόματος δύο μαρτύρων ἢ τριῶν σταθῇ πᾶν ῥῆμα· (Ⅳ)
- Si autem te non audierit, adhibe tecum adhuc unum, vel duos, ut in ore duorum, vel trium testium stet omne verbum. (Ⅴ)
- Mais s’il ne t’écoute point, prends encore avec toi une ou deux [personnes] ; afin qu’en la bouche de deux ou de trois témoins toute parole soit ferme. (Ⅶ)
- Mais s'il ne t'écoute pas, prends avec toi encore une ou deux personnes, afin que tout soit réglé sur la parole de deux ou de trois témoins. (Ⅷ)
18. 17  
Et s’il ne veut pas les écouter, dis-le à l’assemblée; et s’il ne veut pas écouter l’assemblée non plus, qu’il te soit comme un homme des nations et comme un publicain.
- S'il ne les écoute pas, dis-le à l'Eglise; et s'il n'écoute pas même l'Eglise, qu'il soit pour toi comme le païen et le publicain. (Ⅰ)
- S'il refuse de les écouter, dis-le à l'Église; et s'il refuse aussi d'écouter l'Église, qu'il soit pour toi comme un païen et un publicain. (Ⅱ)
- ἐὰν δὲ παρακούσῃ αὐτῶν, εἰπὸν τῇ ἐκκλησίᾳ· ἐὰν δὲ καὶ τῆς ἐκκλησίας παρακούσῃ, ἔστω σοι ὥσπερ ὁ ἐθνικὸς καὶ ὁ τελώνης. (Ⅳ)
- Quod si non audierit eos : dic ecclesiæ. Si autem ecclesiam non audierit, sit tibi sicut ethnicus et publicanus. (Ⅴ)
- Que s’il ne daigne pas les écouter, dis-le à l’Eglise ; et s’il ne daigne pas écouter l’Eglise, qu’il te soit comme un païen et comme un péager. (Ⅶ)
- Que s'il ne daigne pas les écouter, dis-le à l'Église; et s'il ne daigne pas écouter l'Église, regarde-le comme un païen et un péager. (Ⅷ)
18. 18  
En vérité, je vous dis: Tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel.
- En vérité, je vous le dis, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel. (Ⅰ)
- Je vous le dis en vérité, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel. (Ⅱ)
- ἀμὴν λέγω ὑμῖν, ὅσα ⸀ἐὰν δήσητε ἐπὶ τῆς γῆς ἔσται δεδεμένα ⸀ἐν οὐρανῷ καὶ ὅσα ἐὰν λύσητε ἐπὶ τῆς γῆς ἔσται λελυμένα ⸁ἐν οὐρανῷ. (Ⅳ)
- Amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram, erunt ligata et in cælo : et quæcumque solveritis super terram, erunt soluta et in cælo. (Ⅴ)
- En vérité je vous dis, que tout ce que vous aurez lié sur la terre, sera lié dans le ciel ; et tout ce que vous aurez délié sur la terre, sera délié dans le ciel. (Ⅶ)
- Je vous dis en vérité que tout ce que vous aurez lié sur la terre, sera lié dans le ciel; et tout ce que vous aurez délié sur la terre, sera délié dans le ciel. (Ⅷ)
18. 19  
Je vous dis encore que si deux d’entre vous sont d’accord sur la terre pour une chose quelconque, quelle que soit la chose qu’ils demanderont, elle sera faite pour eux par mon Père qui est dans les cieux;
- Encore, en vérité, je vous le dis : Si deux d'entre vous sont d'accord pour demander sur terre une chose quelconque, ils l'obtiendront de mon Père qui est dans les cieux. (Ⅰ)
- Je vous dis encore que, si deux d'entre vous s'accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux. (Ⅱ)
- Πάλιν ⸀ἀμὴν λέγω ὑμῖν ὅτι ἐὰν δύο ⸂συμφωνήσωσιν ἐξ ὑμῶν⸃ ἐπὶ τῆς γῆς περὶ παντὸς πράγματος οὗ ἐὰν αἰτήσωνται, γενήσεται αὐτοῖς παρὰ τοῦ πατρός μου τοῦ ἐν οὐρανοῖς. (Ⅳ)
- Iterum dico vobis, quia si duo ex vobis consenserint super terram, de omni re quamcumque petierint, fiet illis a Patre meo, qui in cælis est. (Ⅴ)
- Je vous dis aussi, que si deux d’entre vous s’accordent sur la terre, tout ce qu’ils demanderont leur sera donné par mon Père qui est aux cieux. (Ⅶ)
- Je vous dis encore, que si deux d'entre vous s'accordent sur la terre à demander quoi que ce soit, ils l'obtiendront de mon Père qui est aux cieux. (Ⅷ)
18. 20  
car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis là au milieu d’eux.
- Car où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis là au milieu d'eux. (Ⅰ)
- Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d'eux. (Ⅱ)
- οὗ γάρ εἰσιν δύο ἢ τρεῖς συνηγμένοι εἰς τὸ ἐμὸν ὄνομα, ἐκεῖ εἰμι ἐν μέσῳ αὐτῶν. (Ⅳ)
- Ubi enim sunt duo vel tres congregati in nomine meo, ibi sum in medio eorum.\ (Ⅴ)
- Car là où il y en a deux ou trois assemblés en mon Nom, je suis là au milieu d’eux. (Ⅶ)
- Car où il y a deux ou trois personnes assemblées en mon nom, je suis là au milieu d'elles. (Ⅷ)
18. 21  
Alors Pierre, s’approchant de lui, dit: Seigneur, combien de fois mon frère péchera-t-il contre moi, et lui pardonnerai-je? Sera-ce jusqu’à sept fois?
- Alors Pierre s'approchant lui dit : " Seigneur, si mon frère pèche contre moi, combien de fois lui pardonnerai-je? Jusqu'à sept fois? " (Ⅰ)
- Alors Pierre s'approcha de lui, et dit: Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu'il péchera contre moi? Sera-ce jusqu'à sept fois? (Ⅱ)
- Τότε προσελθὼν ⸂αὐτῷ ὁ Πέτρος εἶπεν⸃· Κύριε, ποσάκις ἁμαρτήσει εἰς ἐμὲ ὁ ἀδελφός μου καὶ ἀφήσω αὐτῷ; ἕως ἑπτάκις; (Ⅳ)
- Tunc accedens Petrus ad eum, dixit : Domine, quoties peccabit in me frater meus, et dimittam ei ? usque septies ? (Ⅴ)
- Alors Pierre s’approchant, lui dit : Seigneur, jusques à combien de fois mon frère péchera-t-il contre moi, et je lui pardonnerai ? sera-ce jusqu’à sept fois ? (Ⅶ)
- Alors Pierre, s'étant approché, lui dit: Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu'il péchera contre moi? (Ⅷ)
18. 22  
Jésus lui dit: Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois.
- Jésus lui dit : " Je ne te dis pas jusqu'à sept fois, mais jusqu'à septante fois sept fois. (Ⅰ)
- Jésus lui dit: Je ne te dis pas jusqu'à sept fois, mais jusqu'à septante fois sept fois. (Ⅱ)
- λέγει αὐτῷ ὁ Ἰησοῦς· Οὐ λέγω σοι ἕως ἑπτάκις ἀλλὰ ἕως ἑβδομηκοντάκις ἑπτά. (Ⅳ)
- Dicit illi Jesus : Non dico tibi usque septies : sed usque septuagies septies. (Ⅴ)
- Jésus lui répondit : je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à sept fois septante fois. (Ⅶ)
- Sera-ce jusqu'à sept fois? Jésus lui répondit: Je ne te dis pas jusqu'à sept fois, mais jusqu'à septante fois sept fois. (Ⅷ)
18. 23  
C’est pourquoi le royaume des cieux a été fait semblable à un roi qui voulut compter avec ses esclaves.
- C'est pourquoi le royaume des cieux est semblable à un roi qui voulu régler ses comptes avec ses serviteurs. (Ⅰ)
- C'est pourquoi, le royaume des cieux est semblable à un roi qui voulut faire rendre compte à ses serviteurs. (Ⅱ)
- Διὰ τοῦτο ὡμοιώθη ἡ βασιλεία τῶν οὐρανῶν ἀνθρώπῳ βασιλεῖ ὃς ἠθέλησεν συνᾶραι λόγον μετὰ τῶν δούλων αὐτοῦ· (Ⅳ)
- Ideo assimilatum est regnum cælorum homini regi, qui voluit rationem ponere cum servis suis. (Ⅴ)
- C’est pourquoi le Royaume des cieux est semblable à un Roi qui voulut compter avec ses serviteurs. (Ⅶ)
- C'est pourquoi le royaume des cieux est semblable à un roi qui voulut compter avec ses serviteurs. (Ⅷ)
18. 24  
Et quand il eut commencé à compter, on lui en amena un qui lui devait dix mille talents.
- Quand il se mit à régler les comptes, on lui amena un débiteur de dix mille talents. (Ⅰ)
- Quand il se mit à compter, on lui en amena un qui devait dix mille talents. (Ⅱ)
- ἀρξαμένου δὲ αὐτοῦ συναίρειν ⸀προσηνέχθη ⸂αὐτῷ εἷς⸃ ὀφειλέτης μυρίων ταλάντων. (Ⅳ)
- Et cum cœpisset rationem ponere, oblatus est ei unus, qui debebat ei decem millia talenta. (Ⅴ)
- Et quand il eut commencé à compter, on lui en présenta un qui lui devait dix mille talents. (Ⅶ)
- Quand il eut commencé de compter, on lui en amena un qui lui devait dix mille talents; (Ⅷ)
18. 25  
Et comme il n’avait pas de quoi payer, son seigneur ordonna qu’il fût vendu, lui, et sa femme, et ses enfants, et tout ce qu’il avait; et que le payement fût fait.
- Comme il n'avait pas de quoi payer, son maître ordonna qu'on le vendît, lui, sa femme, ses enfants et tout ce qu'il avait pour que paiement fût fait. (Ⅰ)
- Comme il n'avait pas de quoi payer, son maître ordonna qu'il fût vendu, lui, sa femme, ses enfants, et tout ce qu'il avait, et que la dette fût acquittée. (Ⅱ)
- μὴ ἔχοντος δὲ αὐτοῦ ἀποδοῦναι ἐκέλευσεν αὐτὸν ὁ ⸀κύριος πραθῆναι καὶ τὴν ⸀γυναῖκα καὶ τὰ τέκνα καὶ πάντα ὅσα ⸀ἔχει καὶ ἀποδοθῆναι. (Ⅳ)
- Cum autem non haberet unde redderet, jussit eum dominus ejus venundari, et uxorem ejus, et filios, et omnia quæ habebat, et reddi. (Ⅴ)
- Et parce qu’il n’avait pas de quoi payer, son Seigneur commanda qu’il fût vendu, lui et sa femme et ses enfants, et tout ce qu’il avait, et que la dette fût payée. (Ⅶ)
- Et parce qu'il n'avait pas de quoi payer, son maître commanda qu'il fût vendu, lui, sa femme et ses enfants, et tout ce qu'il avait, afin que la dette fût payée. (Ⅷ)
18. 26  
L’esclave donc, se jetant à ses pieds, lui rendit hommage, disant: Seigneur, use de patience envers moi, et je te payerai tout.
- Alors le serviteur, tombé à ses pieds, demeurait prosterné, disant : " Seigneur, aie patience envers moi, et je te paierai tout. " (Ⅰ)
- Le serviteur, se jetant à terre, se prosterna devant lui, et dit: Seigneur, aie patience envers moi, et je te paierai tout. (Ⅱ)
- πεσὼν οὖν ὁ δοῦλος προσεκύνει αὐτῷ λέγων· ⸀Μακροθύμησον ἐπ’ ⸀ἐμοί, καὶ πάντα ⸂ἀποδώσω σοι⸃. (Ⅳ)
- Procidens autem servus ille, orabat eum, dicens : Patientiam habe in me, et omnia reddam tibi. (Ⅴ)
- Mais ce serviteur se jetant à ses pieds, le suppliait, en disant : Seigneur ! aie patience, et je te rendrai le tout. (Ⅶ)
- Et ce serviteur, se jetant à terre, le suppliait, en disant: Seigneur, aie patience envers moi, et je te payerai tout. (Ⅷ)
18. 27  
Et le seigneur de cet esclave-là, touché de compassion, le relâcha et lui remit la dette.
- Touché de compassion, le maître de ce serviteur le laissa aller et lui remit sa dette. (Ⅰ)
- Ému de compassion, le maître de ce serviteur le laissa aller, et lui remit la dette. (Ⅱ)
- σπλαγχνισθεὶς δὲ ὁ κύριος τοῦ δούλου ἐκείνου ἀπέλυσεν αὐτόν, καὶ τὸ δάνειον ἀφῆκεν αὐτῷ. (Ⅳ)
- Misertus autem dominus servi illius, dimisit eum, et debitum dimisit ei. (Ⅴ)
- Alors le Seigneur de ce serviteur, touché de compassion, le relâcha, et lui quitta la dette. (Ⅶ)
- Alors le maître de ce serviteur, ému de compassion, le laissa aller, et lui remit la dette. (Ⅷ)
18. 28  
Mais cet esclave, étant sorti, trouva un de ceux qui étaient esclaves avec lui, qui lui devait cent deniers; et l’ayant saisi, il l’étranglait, disant: Paye, si tu dois quelque chose.
- Ce serviteur, à peine sorti, rencontra un de ses compagnons de service, qui lui devait cent deniers. L'ayant saisi à la gorge, il l'étouffait, disant : " Paie ce que tu dois. " (Ⅰ)
- Après qu'il fut sorti, ce serviteur rencontra un de ses compagnons qui lui devait cent deniers. Il le saisit et l'étranglait, en disant: Paie ce que tu me dois. (Ⅱ)
- ἐξελθὼν δὲ ὁ δοῦλος ἐκεῖνος εὗρεν ἕνα τῶν συνδούλων αὐτοῦ ὃς ὤφειλεν αὐτῷ ἑκατὸν δηνάρια, καὶ κρατήσας αὐτὸν ἔπνιγεν λέγων· ⸀Ἀπόδος εἴ τι ὀφείλεις. (Ⅳ)
- Egressus autem servus ille invenit unum de conservis suis, qui debebat ei centum denarios : et tenens suffocavit eum, dicens : Redde quod debes. (Ⅴ)
- Mais ce serviteur étant sorti, rencontra un de ses compagnons de service, qui lui devait cent deniers ; et l’ayant pris, il l’étranglait, en lui disant : paye-moi ce que tu me dois. (Ⅶ)
- Mais ce serviteur, étant sorti, rencontra un de ses compagnons de service, qui lui devait cent deniers, et, l'ayant saisi, il l'étranglait, en disant: Paye-moi ce que tu me dois. (Ⅷ)
18. 29  
Celui donc qui était esclave avec lui, se jetant à ses pieds, le supplia, disant: Use de patience envers moi, et je te payerai.
- Son compagnon de service, tombé à ses pieds, le suppliait, disant : " Aie patience envers moi, et je te paierai. " (Ⅰ)
- Son compagnon, se jetant à terre, le suppliait, disant: Aie patience envers moi, et je te paierai. (Ⅱ)
- πεσὼν οὖν ὁ σύνδουλος ⸀αὐτοῦ παρεκάλει αὐτὸν λέγων· Μακροθύμησον ἐπ’ ⸀ἐμοί, καὶ ἀποδώσω σοι. (Ⅳ)
- Et procidens conservus ejus, rogabat eum, dicens : Patientiam habe in me, et omnia reddam tibi. (Ⅴ)
- Mais son compagnon de service se jetant à ses pieds, le priait, en disant : aie patience, et je te rendrai le tout. (Ⅶ)
- Et son compagnon de service, se jetant à ses pieds, le suppliait, en disant: Aie patience envers moi, et je te payerai tout. (Ⅷ)
18. 30  
Et il ne voulut pas; mais il s’en alla et le jeta en prison jusqu’à ce qu’il eût payé la dette.
- Mais lui ne voulait pas, et il s'en alla le faire mettre en prison jusqu'à ce qu'il eût payé sa dette. (Ⅰ)
- Mais l'autre ne voulut pas, et il alla le jeter en prison, jusqu'à ce qu'il eût payé ce qu'il devait. (Ⅱ)
- ὁ δὲ οὐκ ἤθελεν, ἀλλὰ ἀπελθὼν ἔβαλεν αὐτὸν εἰς φυλακὴν ἕως ⸀οὗ ἀποδῷ τὸ ὀφειλόμενον. (Ⅳ)
- Ille autem noluit : sed abiit, et misit eum in carcerem donec redderet debitum. (Ⅴ)
- Mais il n’en voulut rien faire ; et il s’en alla, et le mit en prison, jusqu’à ce qu’il eût payé la dette. (Ⅶ)
- Mais lui ne le voulut point, et, s'en étant allé, le fit jeter en prison, jusqu'à ce qu'il eût payé la dette. (Ⅷ)
18. 31  
Or ceux qui étaient esclaves avec lui, voyant ce qui était arrivé, furent extrêmement affligés, et s’en vinrent et déclarèrent à leur seigneur tout ce qui s’était passé.
- Ce que voyant, ses compagnons de service furent grandement contristés, et ils vinrent raconter à leur maître ce qui s'était passé. (Ⅰ)
- Ses compagnons, ayant vu ce qui était arrivé, furent profondément attristés, et ils allèrent raconter à leur maître tout ce qui s'était passé. (Ⅱ)
- ἰδόντες ⸀οὖν οἱ σύνδουλοι αὐτοῦ τὰ γενόμενα ἐλυπήθησαν σφόδρα, καὶ ἐλθόντες διεσάφησαν τῷ κυρίῳ ἑαυτῶν πάντα τὰ γενόμενα. (Ⅳ)
- Videntes autem conservi ejus quæ fiebant, contristati sunt valde : et venerunt, et narraverunt domino suo omnia quæ facta fuerant. (Ⅴ)
- Or ses autres compagnons de service voyant ce qui était arrivé, en furent extrêmement touchés, et ils s’en vinrent, et déclarèrent à leur Seigneur tout ce qui s’était passé. (Ⅶ)
- Ses compagnons de service, voyant ce qui s'était passé, en furent fort attristés; et ils vinrent rapporter à leur maître tout ce qui était arrivé. (Ⅷ)
18. 32  
Alors son seigneur, l’ayant appelé auprès de lui, lui dit: Méchant esclave, je t’ai remis toute cette dette, parce que tu m’en as supplié;
- Alors le maître le fit appeler et lui dit : " Serviteur méchant, je t'ai remis toute cette dette, parce que tu m'as supplié. (Ⅰ)
- Alors le maître fit appeler ce serviteur, et lui dit: Méchant serviteur, je t'avais remis en entier ta dette, parce que tu m'en avais supplié; (Ⅱ)
- τότε προσκαλεσάμενος αὐτὸν ὁ κύριος αὐτοῦ λέγει αὐτῷ· Δοῦλε πονηρέ, πᾶσαν τὴν ὀφειλὴν ἐκείνην ἀφῆκά σοι, ἐπεὶ παρεκάλεσάς με· (Ⅳ)
- Tunc vocavit illum dominus suus : et ait illi : Serve nequam, omne debitum dimisi tibi quoniam rogasti me : (Ⅴ)
- Alors son Seigneur le fit venir, et lui dit : méchant serviteur, je t’ai quitté toute cette dette, parce que tu m’en as prié ; (Ⅶ)
- Alors son maître le fit venir et lui dit: Méchant serviteur, je t'avais remis toute cette dette, parce que tu m'en avais prié; (Ⅷ)
18. 33  
n’aurais-tu pas dû aussi avoir pitié de celui qui est esclave avec toi, comme moi aussi j’ai eu pitié de toi?
- Ne devais-tu pas, toi aussi, avoir pitié de ton compagnon de service, comme moi-même j'ai eu pitié de toi? " (Ⅰ)
- ne devais-tu pas aussi avoir pitié de ton compagnon, comme j'ai eu pitié de toi? (Ⅱ)
- οὐκ ἔδει καὶ σὲ ἐλεῆσαι τὸν σύνδουλόν σου, ὡς κἀγὼ σὲ ἠλέησα; (Ⅳ)
- nonne ergo oportuit et te misereri conservi tui, sicut et ego tui misertus sum ? (Ⅴ)
- Ne te fallait-il pas aussi avoir pitié de ton compagnon de service, comme j’avais eu pitié de toi ? (Ⅶ)
- Ne te fallait-il pas aussi avoir pitié de ton compagnon de service, comme j'avais eu pitié de toi? (Ⅷ)
18. 34  
Et son seigneur, étant en colère, le livra aux bourreaux, jusqu’à ce qu’il eût payé tout ce qui lui était dû.
- Et son maître irrité le livra aux bourreaux, jusqu'à ce qu'il eût payé toute sa dette. (Ⅰ)
- Et son maître, irrité, le livra aux bourreaux, jusqu'à ce qu'il eût payé tout ce qu'il devait. (Ⅱ)
- καὶ ὀργισθεὶς ὁ κύριος αὐτοῦ παρέδωκεν αὐτὸν τοῖς βασανισταῖς ἕως οὗ ἀποδῷ πᾶν τὸ ⸀ὀφειλόμενον. (Ⅳ)
- Et iratus dominus ejus tradidit eum tortoribus, quoadusque redderet universum debitum. (Ⅴ)
- Et Son seigneur étant en colère le livra aux sergents, jusqu’à ce qu’il lui eût payé tout ce qui lui était dû. (Ⅶ)
- Et son maître, étant irrité, le livra aux sergents, jusqu'à ce qu'il eût payé tout ce qu'il lui devait. (Ⅷ)
18. 35  
Ainsi aussi mon Père céleste vous fera, si vous ne pardonnez pas de tout votre cœur, chacun à son frère.
- Ainsi vous traitera mon Père céleste, si chacun de vous ne pardonne à son frère du fond du cœur. " (Ⅰ)
- C'est ainsi que mon Père céleste vous traitera, si chacun de vous ne pardonne à son frère de tout son coeur. (Ⅱ)
- Οὕτως καὶ ὁ πατήρ μου ὁ ⸀οὐράνιος ποιήσει ὑμῖν ἐὰν μὴ ἀφῆτε ἕκαστος τῷ ἀδελφῷ αὐτοῦ ἀπὸ τῶν καρδιῶν ⸀ὑμῶν. (Ⅳ)
- Sic et Pater meus cælestis faciet vobis, si non remiseritis unusquisque fratri suo de cordibus vestris. (Ⅴ)
- C’est ainsi que vous fera mon Père céleste, si vous ne pardonnez de [tout] votre cœur chacun à son frère ses fautes. (Ⅶ)
- C'est ainsi que vous fera mon Père céleste, si vous ne pardonnez pas, chacun de vous, de tout son cour, à son frère ses fautes. (Ⅷ)


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Chapitre 18
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