2 Corinthiens
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17 Verses | Page 1 / 1
(Version J.F. Ostervald)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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2. 1  
J'avais donc résolu en moi-même de ne point retourner chez vous, dans la tristesse.
- Je me suis donc promis à moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. (Ⅰ)
- Je résolus donc en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. (Ⅱ)
- ἔκρινα ⸀γὰρ ἐμαυτῷ τοῦτο, τὸ μὴ πάλιν ἐν λύπῃ πρὸς ὑμᾶς ἐλθεῖν· (Ⅳ)
- Statui autem hoc ipsum apud me, ne iterum in tristitia venirem ad vos. (Ⅴ)
- Mais j’ai jugé ceci en moi-même, de ne pas retourner auprès de vous avec de la tristesse. (Ⅶ)
- Mais j’avais résolu en moi-même de ne revenir point chez vous avec tristesse. (Ⅷ)
2. 2  
Car si je vous attriste, qui est-ce qui me réjouira, sinon celui que j'aurais moi-même attristé?
- Car si moi-même je vous attriste, de qui puis-je attendre de la joie? N'est-ce pas de celui même que j'aurais affligé? (Ⅰ)
- Car si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui qui est attristé par moi? (Ⅱ)
- εἰ γὰρ ἐγὼ λυπῶ ὑμᾶς, καὶ ⸀τίς ὁ εὐφραίνων με εἰ μὴ ὁ λυπούμενος ἐξ ἐμοῦ; (Ⅳ)
- Si enim ego contristo vos : et quis est, qui me lætificet, nisi qui contristatur ex me ? (Ⅴ)
- Car si moi je vous attriste, qui est-ce donc qui me réjouit, sinon celui qui est attristé par moi? (Ⅶ)
- Car si je vous attriste, qui est-ce qui me réjouira, à moins que ce ne soit celui que j’aurai moi-même affligé ? (Ⅷ)
2. 3  
Et je vous ai écrit cela même, afin que quand je serai arrivé, je ne reçoive pas de la tristesse de ceux qui devraient me donner de la joie; car j'ai cette confiance en vous tous, que vous faites tous votre joie de la mienne.
- Je vous ai écrit comme je l'ai fait, pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance, que vous faites tous votre joie de la mienne. (Ⅰ)
- J'ai écrit comme je l'ai fait pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance que ma joie est la vôtre à tous. (Ⅱ)
- καὶ ⸀ἔγραψα τοῦτο αὐτὸ ἵνα μὴ ἐλθὼν λύπην ⸀σχῶ ἀφ’ ὧν ἔδει με χαίρειν, πεποιθὼς ἐπὶ πάντας ὑμᾶς ὅτι ἡ ἐμὴ χαρὰ πάντων ὑμῶν ἐστιν. (Ⅳ)
- Et hoc ipsum scripsi vobis, ut non cum venero, tristitiam super tristitiam habeam, de quibus oportuerat me gaudere : confidens in omnibus vobis, quia meum gaudium, omnium vestrum est. (Ⅴ)
- Et j’ai écrit ceci même, afin que, quand j’arriverai, je n’aie pas de tristesse de la part de ceux de qui je devais me réjouir, ayant cette confiance à l’égard de vous tous, que ma joie est celle de vous tous; (Ⅶ)
- Et je vous ai même écrit ceci, afin que quand j’arriverai, je n’aie point de tristesse de la part de ceux de qui je devais recevoir de la joie, m’assurant de vous tous que ma joie est celle de vous tous. (Ⅷ)
2. 4  
Car je vous écrivis, dans une grande affliction et le cœur serré de douleur, avec beaucoup de larmes; non pour vous attrister, mais pour vous faire connaître l'affection excessive que j'ai pour vous.
- Car c'est dans une grande affliction, dans l'angoisse de mon cœur, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non dans le dessein de vous attrister, mais pour vous faire connaître l'amour que j'ai pour vous. (Ⅰ)
- C'est dans une grande affliction, le coeur angoissé, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non pas afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez l'amour extrême que j'ai pour vous. (Ⅱ)
- ἐκ γὰρ πολλῆς θλίψεως καὶ συνοχῆς καρδίας ἔγραψα ὑμῖν διὰ πολλῶν δακρύων, οὐχ ἵνα λυπηθῆτε, ἀλλὰ τὴν ἀγάπην ἵνα γνῶτε ἣν ἔχω περισσοτέρως εἰς ὑμᾶς. (Ⅳ)
- Nam ex multa tribulatione et angustia cordis scripsi vobis per multas lacrimas : non ut contristemini, sed ut sciatis, quam caritatem habeam abundantius in vobis.\ (Ⅴ)
- car je vous ai écrit dans une grande affliction et avec serrement de cœur, avec beaucoup de larmes, non afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez l’amour que j’ai si abondamment pour vous. (Ⅶ)
- car je vous ai écrit dans une grande affliction et angoisse de cœur, avec beaucoup de larmes ; non afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez la charité toute particulière que j’ai pour vous. (Ⅷ)
2. 5  
Que si quelqu'un a causé de la tristesse, ce n'est pas moi seul qu'il a attristé, mais c'est vous tous en quelque mesure, pour ne pas exagérer.
- Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas moi qu'il a attristé, mais c'est vous tous en quelque sorte, pour ne pas trop le charger. (Ⅰ)
- Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas moi qu'il a attristé, c'est vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer. (Ⅱ)
- Εἰ δέ τις λελύπηκεν, οὐκ ἐμὲ λελύπηκεν, ἀλλὰ ἀπὸ μέρους ἵνα μὴ ἐπιβαρῶ πάντας ὑμᾶς. (Ⅳ)
- Si quis autem contristavit, non me contristavit : sed ex parte, ut non onerem omnes vos. (Ⅴ)
- Mais si quelqu’un a causé de la tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais, en quelque sorte (afin que je ne vous surcharge pas), c’est vous tous. (Ⅶ)
- Que si quelqu’un été cause de cette tristesse, ce n’est pas moi [seul] qu’il a affligé, mais en quelque sorte (afin que je ne le surcharge point) c’est vous tous [qu’il a attristés]. (Ⅷ)
2. 6  
Il suffit pour un tel homme, d'avoir été châtié par le plus grand nombre,
- C'est assez pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, (Ⅰ)
- Il suffit pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, (Ⅱ)
- ἱκανὸν τῷ τοιούτῳ ἡ ἐπιτιμία αὕτη ἡ ὑπὸ τῶν πλειόνων, (Ⅳ)
- Sufficit illi, qui ejusmodi est, objurgatio hæc, quæ fit a pluribus : (Ⅴ)
- Il suffit, pour un tel homme, de cette punition qui lui a été infligée par le grand nombre, (Ⅶ)
- C’est assez pour un tel [homme], de cette censure [qui lui a été faite] par plusieurs. (Ⅷ)
2. 7  
De sorte que vous devez plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu'il ne soit accablé par une trop grande tristesse.
- en sorte que vous devez bien plutôt lui faire grâce et le consoler, de peur qu'il ne soit absorbé par une tristesse excessive. (Ⅰ)
- en sorte que vous devez bien plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu'il ne soit accablé par une tristesse excessive. (Ⅱ)
- ὥστε τοὐναντίον ⸀μᾶλλον ὑμᾶς χαρίσασθαι καὶ παρακαλέσαι, μή πως τῇ περισσοτέρᾳ λύπῃ καταποθῇ ὁ τοιοῦτος. (Ⅳ)
- ita ut e contrario magis donetis, et consolemini, ne forte abundantiori tristitia absorbeatur qui ejusmodi est. (Ⅴ)
- de sorte qu’au contraire vous devriez plutôt pardonner et consoler, de peur qu’un tel homme ne soit accablé par une tristesse excessive. (Ⅶ)
- De sorte que vous devez plutôt lui faire grâce, et le consoler ; afin qu’un tel homme ne soit point accablé par une trop grande tristesse. (Ⅷ)
2. 8  
C'est pourquoi je vous prie de manifester envers lui votre charité.
- Je vous invite donc à prendre envers lui une décision charitable. (Ⅰ)
- Je vous exhorte donc à faire acte de charité envers lui; (Ⅱ)
- διὸ παρακαλῶ ὑμᾶς κυρῶσαι εἰς αὐτὸν ἀγάπην· (Ⅳ)
- Propter quod obsecro vos, ut confirmetis in illum caritatem. (Ⅴ)
- C’est pourquoi je vous exhorte à ratifier envers lui votre amour. (Ⅶ)
- C’est pourquoi je vous prie de ratifier envers lui votre charité. (Ⅷ)
2. 9  
Car c'est aussi pour cela que je vous ai écrit, afin de connaître, en vous mettant à l'épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses.
- Car, en vous écrivant, mon but était aussi de connaître, à l'épreuve, si vous m'obéiriez en toutes choses. (Ⅰ)
- car je vous ai écrit aussi dans le but de connaître, en vous mettant à l'épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. (Ⅱ)
- εἰς τοῦτο γὰρ καὶ ἔγραψα ἵνα γνῶ τὴν δοκιμὴν ὑμῶν, εἰ εἰς πάντα ὑπήκοοί ἐστε. (Ⅳ)
- Ideo enim et scripsi, ut cognoscam experimentum vestrum, an in omnibus obedientes sitis. (Ⅴ)
- Car c’est aussi pour cela que je vous ai écrit, afin que je connaisse, à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. (Ⅶ)
- Car c’est aussi pour cela que je vous ai écrit, afin de vous éprouver, et de connaître si vous êtes obéissants en toutes choses. (Ⅷ)
2. 10  
Celui donc à qui vous pardonnez, je lui pardonne aussi; (car pour moi ce que j'ai pardonné, si j'ai pardonné, c'est à cause de vous,) en la présence de Christ,
- A qui vous pardonnez, je pardonne également; car, pour moi si j'ai pardonné, si tant est que je pardonne quelque chose, c'est à cause de vous, et à la face du Christ, (Ⅰ)
- Or, à qui vous pardonnez, je pardonne aussi; et ce que j'ai pardonné, si j'ai pardonné quelque chose, c'est à cause de vous, en présence de Christ, (Ⅱ)
- ᾧ δέ τι χαρίζεσθε, κἀγώ· καὶ γὰρ ἐγὼ ⸂ὃ κεχάρισμαι, εἴ τι⸃ κεχάρισμαι, δι’ ὑμᾶς ἐν προσώπῳ Χριστοῦ, (Ⅳ)
- Cui autem aliquid donastis, et ego : nam et ego quod donavi, si quid donavi, propter vos in persona Christi, (Ⅴ)
- Or à celui à qui vous pardonnez quelque chose, moi aussi je pardonne; car moi aussi, ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose, je l’ai fait à cause de vous dans la personne de Christ; (Ⅶ)
- Or à celui à qui vous pardonnez quelque chose, je pardonne aussi : car de ma part aussi si j’ai pardonné quelque chose à celui à qui j’ai pardonné, je l’ai fait à cause de vous, devant la face de Christ. (Ⅷ)
2. 11  
Afin que Satan n'ait pas le dessus sur nous; car nous n'ignorons pas ses desseins.
- afin de ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous; car nous n'ignorons pas ses desseins. (Ⅰ)
- afin de ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous, car nous n'ignorons pas ses desseins. (Ⅱ)
- ἵνα μὴ πλεονεκτηθῶμεν ὑπὸ τοῦ Σατανᾶ, οὐ γὰρ αὐτοῦ τὰ νοήματα ἀγνοοῦμεν. (Ⅳ)
- ut non circumveniamur a Satana : non enim ignoramus cogitationes ejus.\ (Ⅴ)
- afin que nous ne soyons pas circonvenus par Satan, car nous n’ignorons pas ses desseins. (Ⅶ)
- Afin que Satan n’ait pas le dessus sur nous : car nous n’ignorons pas ses machinations. (Ⅷ)
2. 12  
Or, quand je vins à Troas pour l'Évangile de Christ, quoique le Seigneur m'y eût ouvert une porte,
- Lorsque je fus arrivé à Troas pour l'Evangile du Christ, quoiqu'une porte m'y fût ouverte dans le Seigneur, (Ⅰ)
- Au reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour l'Évangile de Christ, quoique le Seigneur m'y eût ouvert une porte, je n'eus point de repos d'esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère; (Ⅱ)
- Ἐλθὼν δὲ εἰς τὴν Τρῳάδα εἰς τὸ εὐαγγέλιον τοῦ Χριστοῦ καὶ θύρας μοι ἀνεῳγμένης ἐν κυρίῳ, (Ⅳ)
- Cum venissem autem Troadem propter Evangelium Christi, et ostium mihi apertum esset in Domino, (Ⅴ)
- Or, étant arrivé dans la Troade pour l’évangile du Christ, et une porte m’y étant ouverte dans le Seigneur, (Ⅶ)
- Au reste, étant venu à Troas pour l’Évangile de Christ, quoique la porte m’y fût ouverte par le Seigneur, (Ⅷ)
2. 13  
Je n'eus point l'esprit en repos, parce que je n'y trouvai pas Tite, mon frère; c'est pourquoi, ayant pris congé des frères, je vins en Macédoine.
- je n'eus point l'esprit en repos, parce que je n'y trouvais pas Tite, mon frère; c'est pourquoi, ayant pris congé des frères, je partis pour la Macédoine. (Ⅰ)
- c'est pourquoi, ayant pris congé d'eux, je partis pour la Macédoine. (Ⅱ)
- οὐκ ἔσχηκα ἄνεσιν τῷ πνεύματί μου τῷ μὴ εὑρεῖν με Τίτον τὸν ἀδελφόν μου, ἀλλὰ ἀποταξάμενος αὐτοῖς ἐξῆλθον εἰς Μακεδονίαν. (Ⅳ)
- non habui requiem spiritui meo, eo quod non invenerim Titum fratrem meum, sed valefaciens eis, profectus sum in Macedoniam. (Ⅴ)
- je n’ai point eu de repos dans mon esprit, parce que je n’ai pas trouvé Tite, mon frère; mais, ayant pris congé d’eux, je suis parti pour la Macédoine. (Ⅶ)
- Je n’ai pourtant point eu de relâche en mon esprit, parce que je n’ai pas trouvé Tite mon frère ; mais ayant pris congé d’eux, je m’en suis venu en Macédoine. (Ⅷ)
2. 14  
Or, grâces soient rendues à Dieu qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous l'odeur de sa connaissance en tous lieux.
- Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous fait triompher en tout temps dans le Christ, et par nous répand en tout lieu le parfum de sa connaissance ! (Ⅰ)
- Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l'odeur de sa connaissance! (Ⅱ)
- Τῷ δὲ θεῷ χάρις τῷ πάντοτε θριαμβεύοντι ἡμᾶς ἐν τῷ Χριστῷ καὶ τὴν ὀσμὴν τῆς γνώσεως αὐτοῦ φανεροῦντι δι’ ἡμῶν ἐν παντὶ τόπῳ· (Ⅳ)
- Deo autem gratias, qui semper triumphat nos in Christo Jesu, et odorem notitiæ suæ manifestat per nos in omni loco : (Ⅴ)
- Or grâces à Dieu qui nous mène toujours en triomphe dans le Christ et manifeste par nous l’odeur de sa connaissance en tout lieu. (Ⅶ)
- Or grâces [soient rendues] à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui manifeste par nous l’odeur de sa connaissance en tous lieux. (Ⅷ)
2. 15  
Car nous sommes la bonne odeur de Christ devant Dieu, pour ceux qui sont sauvés et pour ceux qui périssent;
- En effet, nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui se perdent : (Ⅰ)
- Nous sommes, en effet, pour Dieu la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent: (Ⅱ)
- ὅτι Χριστοῦ εὐωδία ἐσμὲν τῷ θεῷ ἐν τοῖς σῳζομένοις καὶ ἐν τοῖς ἀπολλυμένοις, (Ⅳ)
- quia Christi bonus odor sumus Deo in iis qui salvi fiunt, et in iis qui pereunt : (Ⅴ)
- Car nous sommes la bonne odeur de Christ pour Dieu, à l’égard de ceux qui sont sauvés et à l’égard de ceux qui périssent: (Ⅶ)
- Car nous sommes la bonne odeur de Christ [de la part de] Dieu, en ceux qui sont sauvés, et en ceux qui périssent : (Ⅷ)
2. 16  
A ceux-ci, une odeur mortelle, donnant la mort; et à ceux-là, une odeur vivifiante, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses?
- aux uns, une odeur de mort, qui donne la mort; aux autres, une odeur de vie, qui donne la vie. — Et qui donc est capable d'un tel ministère? (Ⅰ)
- aux uns, une odeur de mort, donnant la mort; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie. -Et qui est suffisant pour ces choses? - (Ⅱ)
- οἷς μὲν ὀσμὴ ⸀ἐκ θανάτου εἰς θάνατον, οἷς δὲ ὀσμὴ ⸁ἐκ ζωῆς εἰς ζωήν. καὶ πρὸς ταῦτα τίς ἱκανός; (Ⅳ)
- aliis quidem odor mortis in mortem : aliis autem odor vitæ in vitam. Et ad hæc quis tam idoneus ? (Ⅴ)
- aux uns une odeur de mort pour la mort, et aux autres une odeur de vie pour la vie. Et qui est suffisant pour ces choses? (Ⅶ)
- A ceux-ci, une odeur mortelle qui les tue ; et à ceux-là, une odeur vivifiante qui les conduit à la vie. Mais qui est suffisant pour ces choses ? (Ⅷ)
2. 17  
Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme beaucoup le font; mais nous parlons avec sincérité, comme de la part de Dieu, devant Dieu, en Christ.
- Car nous ne sommes pas comme la plupart, nous ne frelatons pas la parole de Dieu; mais c'est dans sa pureté, telle qu'elle vient de Dieu, que nous la prêchons devant Dieu en Jésus-Christ. (Ⅰ)
- Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme font plusieurs; mais c'est avec sincérité, mais c'est de la part de Dieu, que nous parlons en Christ devant Dieu. (Ⅱ)
- οὐ γάρ ἐσμεν ὡς οἱ ⸀πολλοὶ καπηλεύοντες τὸν λόγον τοῦ θεοῦ, ἀλλ’ ὡς ἐξ εἰλικρινείας, ἀλλ’ ὡς ἐκ θεοῦ ⸀κατέναντι θεοῦ ἐν Χριστῷ λαλοῦμεν. (Ⅳ)
- non enim sumus sicut plurimi, adulterantes verbum Dei, sed ex sinceritate, sed sicut ex Deo, coram Deo, in Christo loquimur. (Ⅴ)
- Car nous ne sommes pas comme plusieurs, qui frelatent la parole de Dieu; mais comme avec sincérité, comme de la part de Dieu, devant Dieu, nous parlons en Christ. (Ⅶ)
- Car nous ne falsifions pas la parole de Dieu, comme font plusieurs ; mais nous parlons de Christ avec sincérité, comme de la part de Dieu, et devant Dieu. (Ⅷ)


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