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(Version Louis Segond 1910)


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(Ⅰ)
(Ⅲ)
(Ⅳ)
(Ⅵ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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28. 1  
Après nous être sauvés, nous reconnûmes que l'île s'appelait Malte.
- Une fois sauvés, nous apprîmes alors que l'île s'appelait Malte. (Ⅰ)
- Καὶ διασωθέντες τότε ⸀ἐπέγνωμεν ὅτι ⸀Μελίτη ἡ νῆσος καλεῖται. (Ⅲ)
- Et cum evasissemus, tunc cognovimus quia Melita insula vocabatur. Barbari vero præstabant non modicam humanitatem nobis. (Ⅳ)
- Et ayant été sauvés, alors nous apprîmes que l’île s’appelait Malte. (Ⅵ)
- S’étant donc sauvés, ils reconnurent alors que l’île s’appelait Malte. (Ⅶ)
- Après s'être sauvés, ils reconnurent que l'île s'appelait Malte. (Ⅷ)
28. 2  
Les barbares nous témoignèrent une bienveillance peu commune; ils nous recueillirent tous auprès d'un grand feu, qu'ils avaient allumé parce que la pluie tombait et qu'il faisait grand froid.
- Les barbares nous témoignèrent une humanité peu commune; car, ayant allumé un grand feu, ils nous recueillirent tous à cause de la pluie qu'il faisait et du froid. (Ⅰ)
- οἵ ⸀τε βάρβαροι παρεῖχον οὐ τὴν τυχοῦσαν φιλανθρωπίαν ἡμῖν, ⸀ἅψαντες γὰρ πυρὰν προσελάβοντο πάντας ἡμᾶς διὰ τὸν ὑετὸν τὸν ἐφεστῶτα καὶ διὰ τὸ ψῦχος. (Ⅲ)
- Accensa enim pyra, reficiebant nos omnes propter imbrem qui imminebat, et frigus. (Ⅳ)
- Et les barbares usèrent d’une humanité peu ordinaire envers nous, car ayant allumé un feu, ils nous reçurent tous, à cause de la pluie qui tombait et à cause du froid. (Ⅵ)
- Et les Barbares usèrent d’une singulière humanité envers nous, car ils allumèrent un grand feu, et nous reçurent tous, à cause de la pluie qui nous pressait, et à cause du froid. (Ⅶ)
- Et les Barbares nous traitaient avec une humanité peu commune; car ils allumèrent du feu, et ils nous recueillirent tous, à cause de la pluie qui tombait, et du froid. (Ⅷ)
28. 3  
Paul ayant ramassé un tas de broussailles et l'ayant mis au feu, une vipère en sortit par l'effet de la chaleur et s'attacha à sa main.
- Or, Paul ayant ramassé des broussailles en quantité et les ayant mises sur le brasier, une vipère, que la chaleur en fit sortir, s'attacha à sa main. (Ⅰ)
- συστρέψαντος δὲ τοῦ Παύλου φρυγάνων ⸀τι πλῆθος καὶ ἐπιθέντος ἐπὶ τὴν πυράν, ἔχιδνα ⸀ἀπὸ τῆς θέρμης ⸀ἐξελθοῦσα καθῆψε τῆς χειρὸς αὐτοῦ. (Ⅲ)
- Cum congregasset autem Paulus sarmentorum aliquantam multitudinem, et imposuisset super ignem, vipera a calore cum processisset, invasit manum ejus. (Ⅳ)
- Et Paul ayant ramassé une quantité de branches sèches et les ayant mises sur le feu, une vipère sortit de la chaleur et s’attacha à sa main. (Ⅵ)
- Et Paul ayant ramassé quelque quantité de sarments, comme il les eut mis au feu, une vipère en sortit à cause de la chaleur, et lui saisit la main. (Ⅶ)
- Or Paul ayant ramassé un faisceau de broussailles, et l'ayant mis au feu, une vipère en sortit à cause de la chaleur, et s'attacha à sa main. (Ⅷ)
28. 4  
Quand les barbares virent l'animal suspendu à sa main, ils se dirent les uns aux autres: Assurément cet homme est un meurtrier, puisque la Justice n'a pas voulu le laisser vivre, après qu'il a été sauvé de la mer.
- En voyant la bête qui pendait à sa main, les barbares se dirent les un aux autres : " Sans aucun doute, cet homme est un meurtrier; car, après qu'il a été sauvé de la mer, la Justice ne l'a pas laissé vivre. " (Ⅰ)
- ὡς δὲ εἶδον οἱ βάρβαροι κρεμάμενον τὸ θηρίον ἐκ τῆς χειρὸς αὐτοῦ, ⸂πρὸς ἀλλήλους ἔλεγον⸃· Πάντως φονεύς ἐστιν ὁ ἄνθρωπος οὗτος ὃν διασωθέντα ἐκ τῆς θαλάσσης ἡ δίκη ζῆν οὐκ εἴασεν. (Ⅲ)
- Ut vero viderunt barbari pendentem bestiam de manu ejus, ad invicem dicebant : Utique homicida est homo hic, qui cum evaserit de mari, ultio non sinit eum vivere. (Ⅳ)
- Et quand les barbares virent la bête suspendue à sa main, ils se dirent l’un à l’autre: Assurément, cet homme est un meurtrier, puisque, après avoir été sauvé de la mer, Némésis n’a pas permis qu’il vécût. (Ⅵ)
- Et quand les Barbares virent cette bête pendant à sa main, ils se dirent l’un à l’autre : certainement cet homme est un meurtrier ; puisqu’après être échappé de la mer, la vengeance ne permet pas qu’il vive. (Ⅶ)
- Et quand les Barbares virent cette bête qui pendait à sa main, ils se dirent les uns aux autres: Assurément cet homme est un meurtrier, puisque après qu'il a été sauvé de la mer, la Justice ne permet pas qu'il vive. (Ⅷ)
28. 5  
Paul secoua l'animal dans le feu, et ne ressentit aucun mal.
- Lui, cependant, secoua la bête dans le feu et n'en ressentit aucun mal. (Ⅰ)
- ὁ μὲν οὖν ἀποτινάξας τὸ θηρίον εἰς τὸ πῦρ ἔπαθεν οὐδὲν κακόν· (Ⅲ)
- Et ille quidem excutiens bestiam in ignem, nihil mali passus est. (Ⅳ)
- Lui donc, ayant secoué la bête dans le feu, n’en souffrit aucun mal; (Ⅵ)
- Mais Paul ayant secoué la bête dans le feu, il n’en reçut aucun mal ; (Ⅶ)
- Mais lui, ayant secoué la vipère dans le feu, n'en reçut aucun mal. (Ⅷ)
28. 6  
Ces gens s'attendaient à le voir enfler ou tomber mort subitement; mais, après avoir longtemps attendu, voyant qu'il ne lui arrivait aucun mal, ils changèrent d'avis et dirent que c'était un dieu.
- Eux s'attendaient à le voir enfler ou tomber mort subitement; mais, après avoir longtemps attendu, voyant qu'il ne lui arrivait aucun mal, ils changèrent d'avis, et ils disaient : " C'est un dieu. " (Ⅰ)
- οἱ δὲ προσεδόκων αὐτὸν μέλλειν πίμπρασθαι ἢ καταπίπτειν ἄφνω νεκρόν. ἐπὶ πολὺ δὲ αὐτῶν προσδοκώντων καὶ θεωρούντων μηδὲν ἄτοπον εἰς αὐτὸν γινόμενον, ⸀μεταβαλόμενοι ἔλεγον ⸂αὐτὸν εἶναι θεόν⸃. (Ⅲ)
- At illi existimabant eum in tumorem convertendum, et subito casurum et mori. Diu autem illis exspectantibus, et videntibus nihil mali in eo fieri, convertentes se, dicebant eum esse deum. (Ⅳ)
- et ils s’attendaient à ce qu’il enflerait ou tomberait mort subitement. Mais quand ils eurent longtemps attendu et qu’ils eurent vu qu’il ne lui arrivait rien d’extraordinaire, changeant de sentiment, ils dirent que c’était un dieu. (Ⅵ)
- Au lieu qu’ils s’attendaient qu’il dût enfler, ou tomber subitement mort. Mais quand ils eurent longtemps attendu, et qu’ils eurent vu qu’il ne lui en arrivait aucn mal, ils changèrent [de langage], et dirent que c’était un Dieu. (Ⅶ)
- Les Barbares s'attendaient à ce qu'il enflerait, ou qu'il tomberait mort subitement; mais ayant beaucoup attendu et voyant qu'il ne lui arrivait rien d'extraordinaire, ils changèrent de sentiment, et dirent que c'était un dieu. (Ⅷ)
28. 7  
Il y avait, dans les environs, des terres appartenant au principal personnage de l'île, nommé Publius, qui nous reçut et nous logea pendant trois jours de la manière la plus amicale.
- Or il y avait, dans le voisinage, une campagne qui appartenait au Premier de l'île, nommé Publius; celui-ci nous reçut et nous donna pendant trois jours l'hospitalité la plus amicale. (Ⅰ)
- Ἐν δὲ τοῖς περὶ τὸν τόπον ἐκεῖνον ὑπῆρχεν χωρία τῷ πρώτῳ τῆς νήσου ὀνόματι Ποπλίῳ, ὃς ἀναδεξάμενος ἡμᾶς ⸂τρεῖς ἡμέρας⸃ φιλοφρόνως ἐξένισεν. (Ⅲ)
- In locis autem illis erant prædia principis insulæ, nomine Publii, qui nos suscipiens, triduo benigne exhibuit. (Ⅳ)
- Or aux environs de ce lieu-là se trouvaient des possessions du premier de l’île, nommé Publius, qui nous reçut, et nous logea durant trois jours avec beaucoup de bonté. (Ⅵ)
- Or en cet endroit-là étaient les possesions du principal de l’île, nommé Publius, qui nous reçut et nous logea durant trois jours avec beaucoup de bonté. (Ⅶ)
- Or il y avait dans ce lieu les terres du plus considérable de l'île, d'un nommé Publius, qui nous reçut et nous logea avec bienveillance, durant trois jours. (Ⅷ)
28. 8  
Le père de Publius était alors au lit, malade de la fièvre et de la dysenterie; Paul, s'étant rendu vers lui, pria, lui imposa les mains, et le guérit.
- Il se trouva que le père de Publius était au lit, malade de la fièvre et de la dysenterie. Paul alla le visiter, et, après avoir prié, il lui imposa les mains et le guérit. (Ⅰ)
- ἐγένετο δὲ τὸν πατέρα τοῦ Ποπλίου πυρετοῖς καὶ ⸀δυσεντερίῳ συνεχόμενον κατακεῖσθαι, πρὸς ὃν ὁ Παῦλος εἰσελθὼν καὶ προσευξάμενος ἐπιθεὶς τὰς χεῖρας αὐτῷ ἰάσατο αὐτόν. (Ⅲ)
- Contigit autem patrem Publii febribus et dysenteria vexatum jacere. Ad quem Paulus intravit : et cum orasset, et imposuisset ei manus, salvavit eum. (Ⅳ)
- Et il arriva que le père de Publius était là couché, souffrant beaucoup de la fièvre et de la dysenterie; et Paul, étant entré auprès de lui, pria et lui imposa les mains et le guérit. (Ⅵ)
- Et il arriva que le père de Publius était au lit malade de la fièvre et de la dyssenterie, et Paul l’étant allé voir, il fit la prière, lui imposa les mains, et le guérit. (Ⅶ)
- Et il se rencontra que le père de Publius était au lit, malade de la fièvre et de la dysenterie. Paul entra chez lui; et ayant prié, il lui imposa les mains, et le guérit. (Ⅷ)
28. 9  
Là-dessus, vinrent les autres malades de l'île, et ils furent guéris.
- Sur quoi, les autres malades de l'île venaient aussi, et ils étaient guéris. (Ⅰ)
- τούτου ⸀δὲ γενομένου καὶ οἱ λοιποὶ οἱ ⸂ἐν τῇ νήσῳ ἔχοντες ἀσθενείας⸃ προσήρχοντο καὶ ἐθεραπεύοντο, (Ⅲ)
- Quo facto, omnes qui in insula habebant infirmitates, accedebant, et curabantur : (Ⅳ)
- Mais ceci étant arrivé, les autres malades aussi qui se trouvaient dans l’île vinrent et furent guéris. (Ⅵ)
- Ce qui étant arrivé, tous les autres malades de l’île vinrent à lui, et ils furent guéris. (Ⅶ)
- Cela étant arrivé, tous ceux de l'île qui étaient malades, vinrent à lui, et furent guéris. (Ⅷ)
28. 10  
On nous rendit de grands honneurs, et, à notre départ, on nous fournit les choses dont nous avions besoin.
- On nous rendit de grands honneurs et, à notre départ, on nous pourvut de ce dont nous avions besoin. (Ⅰ)
- οἳ καὶ πολλαῖς τιμαῖς ἐτίμησαν ἡμᾶς καὶ ἀναγομένοις ἐπέθεντο τὰ πρὸς ⸂τὰς χρείας⸃. (Ⅲ)
- qui etiam multis honoribus nos honoraverunt, et navigantibus imposuerunt quæ necessaria erant.\ (Ⅳ)
- Et ceux-ci nous firent aussi de grands honneurs, et à notre départ nous fournirent ce qui nous était nécessaire. (Ⅵ)
- Lesquels aussi nous firent de grands honneurs, et à notre départ nous fournirent ce qui nous était nécessaire. (Ⅶ)
- On nous fit aussi de grands honneurs, et, à notre départ, on nous pourvut de ce qui nous était nécessaire. (Ⅷ)
28. 11  
Après un séjour de trois mois, nous nous embarquâmes sur un navire d'Alexandrie, qui avait passé l'hiver dans l'île, et qui portait pour enseigne les Dioscures.
- Après (un séjour de) trois mois, nous nous embarquâmes sur un vaisseau d'Alexandrie, à l'enseigne des Dioscures, qui avait passé l'hiver dans l'île. (Ⅰ)
- Μετὰ δὲ τρεῖς μῆνας ⸀ἀνήχθημεν ἐν πλοίῳ παρακεχειμακότι ἐν τῇ νήσῳ Ἀλεξανδρίνῳ, παρασήμῳ Διοσκούροις. (Ⅲ)
- Post menses autem tres navigavimus in navi Alexandrina, quæ in insula hiemaverat, cui erat insigne Castorum. (Ⅳ)
- Et trois mois après, nous partîmes sur un navire d’Alexandrie qui avait hiverné dans l’île, et qui avait pour enseigne les Dioscures. (Ⅵ)
- Trois mois après nous partîmes sur un navire d’Alexandrie qui avait hiverné dans l’île, et qui avait pour enseigne Castor et Pollux. (Ⅶ)
- Trois mois après, nous nous embarquâmes sur un vaisseau d'Alexandrie, qui avait passé l'hiver dans l'île, et qui portait pour enseigne les Dioscures. (Ⅷ)
28. 12  
Ayant abordé à Syracuse, nous y restâmes trois jours.
- Ayant abordé à Syracuse, nous y restâmes trois jours. (Ⅰ)
- καὶ καταχθέντες εἰς Συρακούσας ἐπεμείναμεν ἡμέρας τρεῖς, (Ⅲ)
- Et cum venissemus Syracusam, mansimus ibi triduo. (Ⅳ)
- Et ayant relâché à Syracuse, nous y demeurâmes trois jours. (Ⅵ)
- Et étant arrivés à Syracuse, nous y demeurâmes trois jours. (Ⅶ)
- Et ayant abordé à Syracuse, nous y demeurâmes trois jours. (Ⅷ)
28. 13  
De là, en suivant la côte, nous atteignîmes Reggio; et, le vent du midi s'étant levé le lendemain, nous fîmes en deux jours le trajet jusqu'à Pouzzoles,
- De là, en côtoyant, nous atteignîmes Reggio. Un jour après, le vent se mit à souffler du sud, et nous arrivâmes le second jour à Pouzzoles. (Ⅰ)
- ὅθεν ⸀περιελόντες κατηντήσαμεν εἰς Ῥήγιον. καὶ μετὰ μίαν ἡμέραν ἐπιγενομένου νότου δευτεραῖοι ἤλθομεν εἰς Ποτιόλους, (Ⅲ)
- Inde circumlegentes devenimus Rhegium : et post unum diem, flante austro, secunda die venimus Puteolos : (Ⅳ)
- De là nous fîmes un circuit, et nous arrivâmes à Rhegium; et un jour après, le vent du midi s’étant levé, nous arrivâmes le deuxième jour à Pouzzoles, (Ⅵ)
- De là en côtoyant, nous arrivâmes à Rhège ; et un jour après, le vent du Midi s’étant levé, nous vînmes le deuxième jour à Pouzzoles ; (Ⅶ)
- De là, en côtoyant la Sicile, nous arrivâmes à Rhegium. Et un jour après, le vent du midi s'étant levé, nous vînmes en deux jours à Pouzzoles; (Ⅷ)
28. 14  
où nous trouvâmes des frères qui nous prièrent de passer sept jours avec eux. Et c'est ainsi que nous allâmes à Rome.
- Nous y trouvâmes des frères qui nous prièrent de passer sept jours avec eux; et c'est ainsi que nous vînmes à Rome. (Ⅰ)
- οὗ εὑρόντες ἀδελφοὺς παρεκλήθημεν ⸀παρ’ αὐτοῖς ἐπιμεῖναι ἡμέρας ἑπτά· καὶ οὕτως εἰς τὴν Ῥώμην ἤλθαμεν. (Ⅲ)
- ubi inventis fratribus rogati sumus manere apud eos dies septem : et sic venimus Romam. (Ⅳ)
- où, ayant trouvé des frères, nous fûmes priés de demeurer avec eux sept jours; et ainsi nous allâmes à Rome. (Ⅵ)
- Où ayant trouvé des frères, nous fûmes priés de demeurer avec eux sept jours ; et ensuite nous arrivâmes à Rome. (Ⅶ)
- Nous y trouvâmes des frères, qui nous prièrent de demeurer avec eux sept jours; et nous allâmes ainsi à Rome. (Ⅷ)
28. 15  
De Rome vinrent à notre rencontre, jusqu'au Forum d'Appius et aux Trois Tavernes, les frères qui avaient entendu parler de nous. Paul, en les voyant, rendit grâces à Dieu, et prit courage.
- De là, les frères, informés sur notre compte, vinrent au-devant de nous jusqu'au Forum d'Appius et aux Trois-Tavernes. Paul, en les voyant rendit grâces à Dieu et prit confiance. (Ⅰ)
- κἀκεῖθεν οἱ ἀδελφοὶ ἀκούσαντες τὰ περὶ ἡμῶν ⸀ἦλθαν εἰς ἀπάντησιν ἡμῖν ἄχρι Ἀππίου Φόρου καὶ Τριῶν Ταβερνῶν, οὓς ἰδὼν ὁ Παῦλος εὐχαριστήσας τῷ θεῷ ἔλαβε θάρσος. (Ⅲ)
- Et inde cum audissent fratres, occurrerunt nobis usque ad Appii forum, ac tres Tabernas. Quos cum vidisset Paulus, gratias agens Deo, accepit fiduciam. (Ⅳ)
- Et de là, les frères, ayant appris les choses qui nous étaient arrivées, vinrent au-devant de nous jusqu’au Forum d’Appius et aux Trois-Tavernes; et Paul, les voyant, rendit grâces à Dieu et prit courage. (Ⅵ)
- Et quand les frères qui y étaient eurent reçu de nos nouvelles, ils vinrent au-devant de nous jusques au Marché d’Appius, et aux Trois-boutiques ; et Paul les voyant, rendit grâces à Dieu, et prit courage. (Ⅶ)
- Et les frères y ayant entendu parler de nous, vinrent à notre rencontre, jusqu'au Forum d'Appius et aux Trois-Tavernes; et Paul les voyant, rendit grâces à Dieu, et prit courage. (Ⅷ)
28. 16  
Lorsque nous fûmes arrivés à Rome, on permit à Paul de demeurer en son particulier, avec un soldat qui le gardait.
- Quand nous fûmes entrés à Rome, on permit à Paul de demeurer en son particulier avec un soldat qui le gardait. (Ⅰ)
- Ὅτε δὲ ⸀εἰσήλθομεν εἰς Ῥώμην, ⸂ἐπετράπη τῷ Παύλῳ⸃ μένειν καθ’ ἑαυτὸν σὺν τῷ φυλάσσοντι αὐτὸν στρατιώτῃ. (Ⅲ)
- Cum autem venissemus Romam, permissum est Paulo manere sibimet cum custodiente se milite.\ (Ⅳ)
- Et lorsque nous fûmes arrivés à Rome, le centurion livra les prisonniers au préfet du prétoire, et il fut permis à Paul de demeurer chez lui avec un soldat qui le gardait. (Ⅵ)
- Et lorsque nous fûmes arrivés à Rome, le centenier livra les prisonniers au Préfet du Prétoire ; mais quant à Paul, il lui fut permis de demeurer à part avec un soldat qui le gardait. (Ⅶ)
- Quand nous fûmes arrivés à Rome, le centenier livra les prisonniers au préfet du prétoire; mais il fut permis à Paul de demeurer en son particulier, avec un soldat qui le gardait. (Ⅷ)
28. 17  
Au bout de trois jours, Paul convoqua les principaux des Juifs; et, quand ils furent réunis, il leur adressa ces paroles: Hommes frères, sans avoir rien fait contre le peuple ni contre les coutumes de nos pères, j'ai été mis en prison à Jérusalem et livré de là entre les mains des Romains.
- Or il advint que (Paul), trois jours après, convoqua les principaux d'entre les Juifs; et quand ils furent réunis, il leur dit : " Frères, sans avoir rien fait ni contre la nation, ni contre les coutumes de nos pères, prisonnier depuis Jérusalem, j'ai été livré aux mains des Romains. (Ⅰ)
- Ἐγένετο δὲ μετὰ ἡμέρας τρεῖς συγκαλέσασθαι ⸀αὐτὸν τοὺς ὄντας τῶν Ἰουδαίων πρώτους· συνελθόντων δὲ αὐτῶν ἔλεγεν πρὸς αὐτούς· ⸂Ἐγώ, ἄνδρες ἀδελφοί⸃, οὐδὲν ἐναντίον ποιήσας τῷ λαῷ ἢ τοῖς ἔθεσι τοῖς πατρῴοις δέσμιος ἐξ Ἱεροσολύμων παρεδόθην εἰς τὰς χεῖρας τῶν Ῥωμαίων, (Ⅲ)
- Post tertium autem diem convocavit primos Judæorum. Cumque convenissent, dicebat eis : Ego, viri fratres, nihil adversus plebem faciens, aut morem paternum, vinctus ab Jerosolymis traditus sum in manus Romanorum, (Ⅳ)
- Or il arriva, trois jours après, que Paul convoqua ceux qui étaient les principaux des Juifs; et quand ils furent assemblés, il leur dit: Hommes frères, quoique je n’aie rien fait contre le peuple ou contre les coutumes des pères, fait prisonnier à Jérusalem, j’ai été livré entre les mains des Romains (Ⅵ)
- Or il arriva trois jours après, que Paul convoqua les principaux des Juifs ; et quand ils furent venus, il leur dit : hommes frères ! quoique je n’aie rien commis contre le peuple ni contre les coutumes des Pères, toutefois j’ai été arrêté prisonnier à Jérusalem, et livré entre les mains des Romains, (Ⅶ)
- Trois jours après, Paul assembla les principaux des Juifs, et quand ils furent réunis, il leur dit: Hommes frères, quoique je n'aie rien fait contre le peuple, ni contre les coutumes de nos pères, j'ai été emprisonné à Jérusalem, et mis entre les mains des Romains, (Ⅷ)
28. 18  
Après m'avoir interrogé, ils voulaient me relâcher, parce qu'il n'y avait en moi rien qui méritât la mort.
- Après m'avoir interrogé, ils voulaient me relâcher, parce qu'il n'y avait rien en moi qui méritât la mort. (Ⅰ)
- οἵτινες ἀνακρίναντές με ἐβούλοντο ἀπολῦσαι διὰ τὸ μηδεμίαν αἰτίαν θανάτου ὑπάρχειν ἐν ἐμοί· (Ⅲ)
- qui cum interrogationem de me habuissent, voluerunt me dimittere, eo quod nulla esset causa mortis in me. (Ⅳ)
- qui, après m’avoir interrogé, voulaient me relâcher, parce qu’il n’y avait en moi aucun crime digne de mort. (Ⅵ)
- Qui après m’avoir examiné me voulaient relâcher, parce qu’il n’y avait en moi aucun crime digne de mort. (Ⅶ)
- Qui, après m'avoir examiné, voulaient me relâcher, parce que je n'ai rien fait qui mérite la mort. (Ⅷ)
28. 19  
Mais les Juifs s'y opposèrent, et j'ai été forcé d'en appeler à César, n'ayant du reste aucun dessein d'accuser ma nation.
- Mais les Juifs s'y opposèrent, et j'ai été contraint d'en appeler à César, sans que j'aie aucun dessein d'accuser ma nation. (Ⅰ)
- ἀντιλεγόντων δὲ τῶν Ἰουδαίων ἠναγκάσθην ἐπικαλέσασθαι Καίσαρα, οὐχ ὡς τοῦ ἔθνους μου ἔχων τι ⸀κατηγορεῖν. (Ⅲ)
- Contradicentibus autem Judæis, coactus sum appellare Cæsarem, non quasi gentem meam habens aliquid accusare. (Ⅳ)
- Mais les Juifs s’y opposant, j’ai été contraint d’en appeler à César, non que j’aie quelque accusation à porter contre ma nation. (Ⅵ)
- Mais les Juifs s’y opposant, j’ai été contraint d’en appeler à César ; sans que j’aie pourtant dessein d’accuser ma nation. (Ⅶ)
- Mais les Juifs s'y opposant, j'ai été contraint d'en appeler à César, sans que j'aie pourtant lieu d'accuser ma nation. (Ⅷ)
28. 20  
Voilà pourquoi j'ai demandé à vous voir et à vous parler; car c'est à cause de l'espérance d'Israël que je porte cette chaîne.
- Voilà la raison pour laquelle j'ai demandé à vous voir et à vous parler; car c'est à cause de l'espérance d'Israël que je porte cette chaîne. " (Ⅰ)
- διὰ ταύτην οὖν τὴν αἰτίαν παρεκάλεσα ὑμᾶς ἰδεῖν καὶ προσλαλῆσαι, ἕνεκεν γὰρ τῆς ἐλπίδος τοῦ Ἰσραὴλ τὴν ἅλυσιν ταύτην περίκειμαι. (Ⅲ)
- Propter hanc igitur causam rogavi vos videre, et alloqui. Propter spem enim Israël catena hac circumdatus sum. (Ⅳ)
- C’est donc là le sujet pour lequel je vous ai appelés, afin de vous voir et de vous parler, car c’est pour l’espérance d’Israël que je suis chargé de cette chaîne. (Ⅵ)
- C’est donc là le sujet pour lequel je vous ai appelés, afin de vous voir et de vous parler ; car c’est pour l’espérance d’Israël que je suis chargé de cette chaîne. (Ⅶ)
- C'est pour ce sujet donc que j'ai demandé à vous voir et à vous parler; car c'est à cause de l'espérance d'Israël que je suis lié de cette chaîne. (Ⅷ)
28. 21  
Ils lui répondirent: Nous n'avons reçu de Judée aucune lettre à ton sujet, et il n'est venu aucun frère qui ait rapporté ou dit du mal de toi.
- Ils lui répondirent : " Pour nous, nous n'avons reçu de la Judée aucune lettre à ton sujet, et il n'est venu aucun frère qui nous ait rapporté ou dit quelque mal de toi. (Ⅰ)
- οἱ δὲ πρὸς αὐτὸν εἶπαν· Ἡμεῖς οὔτε γράμματα περὶ σοῦ ἐδεξάμεθα ἀπὸ τῆς Ἰουδαίας, οὔτε παραγενόμενός τις τῶν ἀδελφῶν ἀπήγγειλεν ἢ ἐλάλησέν τι περὶ σοῦ πονηρόν. (Ⅲ)
- At illi dixerunt ad eum : Nos neque litteras accepimus de te a Judæa, neque adveniens aliquis fratrum nuntiavit, aut locutus est quid de te malum. (Ⅳ)
- Mais ils lui dirent: Pour nous, nous n’avons pas reçu de lettre de Judée à ton sujet; et aucun des frères qui sont arrivés n’a rapporté ou dit quelque mal de toi; (Ⅵ)
- Mais ils lui répondirent : nous n’avons point reçu de Lettres de Judée qui parlent de toi ; ni aucun des frères n’est venu qui ait rapporté ou dit quelque mal de toi. (Ⅶ)
- Et ils lui répondirent: Nous n'avons point reçu de lettres de Judée à ton sujet; et il n'est venu aucun frère qui ait rapporté ou dit du mal de toi. (Ⅷ)
28. 22  
Mais nous voudrions apprendre de toi ce que tu penses, car nous savons que cette secte rencontre partout de l'opposition.
- Mais nous estimons juste d'entendre de toi ce que tu penses; car, pour ce qui est de cette secte, nous savons qu'elle rencontre partout de l'opposition. " (Ⅰ)
- ἀξιοῦμεν δὲ παρὰ σοῦ ἀκοῦσαι ἃ φρονεῖς, περὶ μὲν γὰρ τῆς αἱρέσεως ταύτης γνωστὸν ⸂ἡμῖν ἐστιν⸃ ὅτι πανταχοῦ ἀντιλέγεται. (Ⅲ)
- Rogamus autem a te audire quæ sentis : nam de secta hac notum est nobis quia ubique ei contradicitur. (Ⅳ)
- mais nous demandons à entendre de toi quel est ton sentiment; car, quant à cette secte, il nous est connu que partout on la contredit. (Ⅵ)
- Cependant nous entendrons volontiers de toi quel est ton sentiment ; car quant à cette secte, il nous est connu qu’on la contredit partout. (Ⅶ)
- Néanmoins, nous désirons apprendre de toi quels sont tes sentiments, car pour cette secte nous savons qu'on s'y oppose partout. (Ⅷ)
28. 23  
Ils lui fixèrent un jour, et plusieurs vinrent le trouver dans son logis. Paul leur annonça le royaume de Dieu, en rendant témoignage, et en cherchant, par la loi de Moïse et par les prophètes, à les persuader de ce qui concerne Jésus. L'entretien dura depuis le matin jusqu'au soir.
- Ayant pris jour avec lui, ils vinrent en plus grand nombre le trouver où il logeait. Il leur fit un exposé du royaume de Dieu, donnant son témoignage et cherchant à les convaincre par la loi de Moïse et les Prophètes de ce qui concerne Jésus, (cela) depuis le matin jusqu'au soir. (Ⅰ)
- Ταξάμενοι δὲ αὐτῷ ἡμέραν ⸀ἧκον πρὸς αὐτὸν εἰς τὴν ξενίαν πλείονες, οἷς ἐξετίθετο διαμαρτυρόμενος τὴν βασιλείαν τοῦ θεοῦ πείθων τε ⸀αὐτοὺς περὶ τοῦ Ἰησοῦ ἀπό τε τοῦ νόμου Μωϋσέως καὶ τῶν προφητῶν ἀπὸ πρωῒ ἕως ἑσπέρας. (Ⅲ)
- Cum constituissent autem illi diem, venerunt ad eum in hospitium plurimi, quibus exponebat testificans regnum Dei, suadensque eis de Jesu ex lege Moysi et prophetis a mane usque ad vesperam. (Ⅳ)
- Et lui ayant assigné un jour, plusieurs vinrent auprès de lui dans son logis; et il leur exposait la vérité, en rendant témoignage du royaume de Dieu, depuis le matin jusqu’au soir, cherchant à les persuader des choses concernant Jésus, et par la loi de Moïse et par les prophètes. (Ⅵ)
- Et après lui avoir assigné un jour, plusieurs vinrent auprès de lui dans son logis, auxquels il expliquait par plusieurs témoignages le Royaume de Dieu, et depuis le matin jusqu’au soir il les portait à croire ce qui concerne Jésus, tant par la Loi de Moïse que par les Prophètes. (Ⅶ)
- Lui ayant assigné un jour, ils vinrent en plus grand nombre chez lui à l'hôtellerie; et depuis le matin jusqu'au soir il leur annonçait le royaume de Dieu, en rendant témoignage, et les persuadant, par la loi de Moïse et par les prophètes, de ce qui regarde Jésus. (Ⅷ)
28. 24  
Les uns furent persuadés par ce qu'il disait, et les autres ne crurent point.
- Les uns étaient convaincus par ce qu'il disait, mais les autres ne croyaient point. (Ⅰ)
- καὶ οἱ μὲν ἐπείθοντο τοῖς λεγομένοις οἱ δὲ ἠπίστουν, (Ⅲ)
- Et quidam credebant his quæ dicebantur : quidam vero non credebant. (Ⅳ)
- Et les uns furent persuadés par les choses qu’il disait; et les autres ne croyaient pas. (Ⅵ)
- Et les uns furent persuadés par les choses qu’il disait ; et les autres n’y croyaient point. (Ⅶ)
- Les uns furent persuadés de ce qu'il disait; mais les autres ne crurent point. (Ⅷ)
28. 25  
Comme ils se retiraient en désaccord, Paul n'ajouta que ces mots: C'est avec raison que le Saint Esprit, parlant à vos pères par le prophète Ésaïe, a dit:
- Comme ils se retiraient en désaccord entre eux, Paul dit ce seul mot : " C'est bien vrai ce que l'Esprit-Saint a dit à vos pères par le prophète Isaïe : (Ⅰ)
- ἀσύμφωνοι δὲ ὄντες πρὸς ἀλλήλους ἀπελύοντο, εἰπόντος τοῦ Παύλου ῥῆμα ἓν ὅτι Καλῶς τὸ πνεῦμα τὸ ἅγιον ἐλάλησεν διὰ Ἠσαΐου τοῦ προφήτου πρὸς τοὺς πατέρας ⸀ὑμῶν (Ⅲ)
- Cumque invicem non essent consentientes, discedebant, dicente Paulo unum verbum : Quia bene Spiritus Sanctus locutus est per Isaiam prophetam ad patres nostros, (Ⅳ)
- Et n’étant pas d’accord entre eux, ils se retirèrent, après que Paul leur eut dit une seule parole: l’Esprit Saint a bien parlé à nos pères par Ésaïe le prophète, disant: (Ⅵ)
- C’est pourquoi n’étant pas d’accord entre eux, ils se retirèrent, après que Paul leur eut dit cette parole : le Saint-Esprit a bien parlé à nos Pères par Esaïe le Prophète, (Ⅶ)
- Et comme ils n'étaient pas d'accord entre eux, ils se retirèrent, après que Paul leur eut dit cette parole: Le Saint-Esprit a bien parlé à nos pères par Ésaïe le prophète, lorsqu'il a dit: (Ⅷ)
28. 26  
Va vers ce peuple, et dis: Vous entendrez de vos oreilles, et vous ne comprendrez point; Vous regarderez de vos yeux, et vous ne verrez point.
- Va vers ce peuple, et dis : Vous entendrez de vos oreilles, et vous ne comprendrez point; vous regarderez de vos yeux, et vous ne verrez point. (Ⅰ)
- ⸀λέγων· Πορεύθητι πρὸς τὸν λαὸν τοῦτον καὶ εἰπόν· Ἀκοῇ ἀκούσετε καὶ οὐ μὴ συνῆτε, καὶ βλέποντες βλέψετε καὶ οὐ μὴ ἴδητε· (Ⅲ)
- dicens : Vade ad populum istum, et dic ad eos : [Aure audietis, et non intelligetis,/ et videntes videbitis, et non perspicietis./ (Ⅳ)
- «Va vers ce peuple et dis: En entendant vous entendrez et vous ne comprendrez point, et en voyant vous verrez et vous n’apercevrez point; (Ⅵ)
- En disant : va vers ce peuple, et [lui] dis : vous écouterez de vos oreilles, et vous n’entendrez point ; et en regardant vous verrez, et vous n’apercevrez point. (Ⅶ)
- Va vers ce peuple et dis-lui: Vous entendrez de vos oreilles, et vous ne comprendrez point; et en voyant, vous verrez, et ne discernerez point. (Ⅷ)
28. 27  
Car le coeur de ce peuple est devenu insensible; Ils ont endurci leurs oreilles, et ils ont fermé leurs yeux, De peur qu'ils ne voient de leurs yeux, qu'ils n'entendent de leurs oreilles, Qu'ils ne comprennent de leur coeur, Qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse.
- Car le cœur de ce peuple est devenu insensible; ils ont endurci leurs oreilles et ils ont fermé leurs yeux, de peur de voir de leurs yeux, d'entendre de leurs oreilles, de comprendre avec leur cœur et de se convertir pour que je les guérisse. (Ⅰ)
- ἐπαχύνθη γὰρ ἡ καρδία τοῦ λαοῦ τούτου, καὶ τοῖς ὠσὶν βαρέως ἤκουσαν, καὶ τοὺς ὀφθαλμοὺς αὐτῶν ἐκάμμυσαν· μήποτε ἴδωσιν τοῖς ὀφθαλμοῖς καὶ τοῖς ὠσὶν ἀκούσωσιν καὶ τῇ καρδίᾳ συνῶσιν καὶ ἐπιστρέψωσιν, καὶ ἰάσομαι αὐτούς. (Ⅲ)
- Incrassatum est enim cor populi hujus,/ et auribus graviter audierunt,/ et oculos suos compresserunt :/ ne forte videant oculis,/ et auribus audiant,/ et corde intelligant, et convertantur,/ et sanem eos.] (Ⅳ)
- car le cœur de ce peuple s’est épaissi et ils ont ouï dur de leurs oreilles, et ils ont fermé leurs yeux, de peur qu’ils ne voient des yeux, et qu’ils n’entendent des oreilles et qu’ils ne comprennent du cœur, et qu’ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse». (Ⅵ)
- Car le cœur de ce peuple est engraissé ; et ils ont ouï dur de leurs oreilles, et ont fermé leurs yeux ; de peur qu’ils ne voient des yeux, qu’ils n’entendent des oreilles, qu’ils ne comprennent du cœur, qu’ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. (Ⅶ)
- Car le cœur de ce peuple est endurci; ils ont entendu dur de leurs oreilles, et ils ont fermé leurs yeux, de peur qu'ils ne voient de leurs yeux, qu'ils n'entendent de leurs oreilles, qu'ils ne comprennent de leur cour, qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. (Ⅷ)
28. 28  
Sachez donc que ce salut de Dieu a été envoyé aux païens, et qu'ils l'écouteront.
- Sachez donc que ce salut de Dieu a été envoyé aux Gentils; eux, ils entendront. " (Ⅰ)
- γνωστὸν οὖν ⸂ἔστω ὑμῖν⸃ ὅτι τοῖς ἔθνεσιν ἀπεστάλη ⸀τοῦτο τὸ σωτήριον τοῦ θεοῦ· αὐτοὶ καὶ ⸀ἀκούσονται. (Ⅲ)
- Notum ergo sit vobis, quoniam gentibus missum est hoc salutare Dei, et ipsi audient. (Ⅳ)
- Sachez donc que ce salut de Dieu a été envoyé aux nations; et eux écouteront. (Ⅵ)
- Sachez donc que ce salut de Dieu est envoyé aux Gentils, et ils l’entendront. (Ⅶ)
- Sachez donc que le salut de Dieu est envoyé aux Gentils, et qu'ils l'écouteront. (Ⅷ)
28. 29  
Lorsqu'il eut dit cela, les Juifs s'en allèrent, discutant vivement entre eux.
- (Lorsqu'il eut dit cela, les Juifs s'en allèrent, discutant vivement entre eux.) (Ⅰ)
- Et cum hæc dixisset, exierunt ab eo Judæi, multam habentes inter se quæstionem.\ (Ⅳ)
- Quand il eut dit ces choses, les Juifs se retirèrent, ayant entre eux une grande discussion. (Ⅵ)
- Quand il eut dit ces choses, les Juifs se retirèrent d’avec lui, y ayant une grande contestation entre eux. (Ⅶ)
- Et quand il eut dit cela, les Juifs s'en allèrent, ayant une grande contestation entre eux. (Ⅷ)
28. 30  
Paul demeura deux ans entiers dans une maison qu'il avait louée. Il recevait tous ceux qui venaient le voir,
- Or Paul demeura deux ans entiers dans une maison qu'il avait louée. Il recevait tous ceux qui venaient chez lui, (Ⅰ)
- ⸀Ἐνέμεινεν ⸀δὲ διετίαν ὅλην ἐν ἰδίῳ μισθώματι, καὶ ἀπεδέχετο πάντας τοὺς εἰσπορευομένους πρὸς αὐτόν, (Ⅲ)
- Mansit autem biennio toto in suo conducto : et suscipiebat omnes qui ingrediebantur ad eum, (Ⅳ)
- Et Paul demeura deux ans entiers dans un logement qu’il avait loué pour lui, et il recevait tous ceux qui venaient vers lui, (Ⅵ)
- Mais Paul demeura deux ans entiers dans une maison qu’il avait louée pour lui, où il recevait tous ceux qui le venaient voir, (Ⅶ)
- Or Paul demeura deux ans entiers dans son logement privé, où il recevait tous ceux qui venaient le voir, (Ⅷ)
28. 31  
prêchant le royaume de Dieu et enseignant ce qui concerne le Seigneur Jésus Christ, en toute liberté et sans obstacle.
- prêchant le royaume de Dieu et enseignant ce qui regarde le Seigneur Jésus-Christ, en toute assurance, sans empêchement. (Ⅰ)
- κηρύσσων τὴν βασιλείαν τοῦ θεοῦ καὶ διδάσκων τὰ περὶ τοῦ κυρίου Ἰησοῦ Χριστοῦ μετὰ πάσης παρρησίας ἀκωλύτως. (Ⅲ)
- prædicans regnum Dei, et docens quæ sunt de Domino Jesu Christo cum omni fiducia, sine prohibitione. (Ⅳ)
- prêchant le royaume de Dieu et enseignant les choses qui regardent le seigneur Jésus Christ, avec toute hardiesse, sans empêchement. (Ⅵ)
- Prêchant le Royaume de Dieu, et enseignant les choses qui regardent le Seigneur Jésus-Christ avec toute liberté de parler, [et] sans aucun empêchement. (Ⅶ)
- Prêchant le royaume de Dieu, et enseignant les choses qui regardent le Seigneur Jésus-Christ, avec toute liberté et sans aucun empêchement. (Ⅷ)


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Chapitre 28
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