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3.
1
Videte qualem caritatem dedit nobis Pater, ut filii Dei nominemur et simus. Propter hoc mundus non novit nos : quia non novit eum.
- Voyez quel amour le Père nous a témoigné, que nous soyons appelés enfants de Dieu, et que nous le soyons en effet! Si le monde ne nous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas connu. (Ⅰ) - Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas connu. (Ⅱ) - ἴδετε ποταπὴν ἀγάπην δέδωκεν ἡμῖν ὁ πατὴρ ἵνα τέκνα θεοῦ κληθῶμεν, ⸂καὶ ἐσμέν⸃. διὰ τοῦτο ὁ κόσμος οὐ γινώσκει ⸀ἡμᾶς ὅτι οὐκ ἔγνω αὐτόν. (Ⅳ) - — Voyez de quel amour le Père nous a fait don, que nous soyons appelés enfants de Dieu; c’est pourquoi le monde ne nous connaît pas, parce qu’il ne l’a pas connu. (Ⅵ) - Voyez quelle charité le Père a eue pour nous, que nous soyons appelés les enfants de Dieu ; mais le monde ne nous connaît point, parce qu’il ne l’a point connu. (Ⅶ)
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3.
2
Carissimi, nunc filii Dei sumus : et nondum apparuit quid erimus. Scimus quoniam cum apparuerit, similes ei erimus : quoniam videbimus eum sicuti est.
- Mes bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons un jour n'a pas encore été manifesté ; mais nous savons qu'au temps de cette manifestation, nous lui serons semblables, parce que nous le verrons tel qu'il est. (Ⅰ) - Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est. (Ⅱ) - ἀγαπητοί, νῦν τέκνα θεοῦ ἐσμεν, καὶ οὔπω ἐφανερώθη τί ἐσόμεθα. ⸀οἴδαμεν ὅτι ἐὰν φανερωθῇ ὅμοιοι αὐτῷ ἐσόμεθα, ὅτι ὀψόμεθα αὐτὸν καθώς ἐστιν. (Ⅳ) - Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté; nous savons que quand il sera manifesté, nous lui serons semblables, car nous le verrons comme il est. (Ⅵ) - Mes bien-aimés, nous sommes maintenant les enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’est pas encore manifesté ; or nous savons que lorsque [le fils de Dieu] sera apparu, nous lui serons semblables ; car nous le verrons tel qu’il est. (Ⅶ)
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3.
3
Et omnis qui habet hanc spem in eo, sanctificat se, sicut et ille sanctus est.
- Quiconque a cette espérance en lui, se rend pur, comme lui-même est pur. (Ⅰ) - Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur. (Ⅱ) - καὶ πᾶς ὁ ἔχων τὴν ἐλπίδα ταύτην ἐπ’ αὐτῷ ἁγνίζει ἑαυτὸν καθὼς ἐκεῖνος ἁγνός ἐστιν. (Ⅳ) - Et quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui est pur. (Ⅵ) - Et quiconque a cette espérance en lui, se purifie, comme lui aussi est pur. (Ⅶ)
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3.
4
Omnis qui facit peccatum, et iniquitatem facit : et peccatum est iniquitas.
- Quiconque commet le péché transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. (Ⅰ) - Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. (Ⅱ) - Πᾶς ὁ ποιῶν τὴν ἁμαρτίαν καὶ τὴν ἀνομίαν ποιεῖ, καὶ ἡ ἁμαρτία ἐστὶν ἡ ἀνομία. (Ⅳ) - Quiconque pratique le péché, pratique aussi l’iniquité, et le péché est l’iniquité. (Ⅵ) - Quiconque fait un péché, agit contre la Loi ; car le péché est ce qui est contre la Loi. (Ⅶ)
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3.
5
Et scitis quia ille apparuit ut peccata nostra tolleret : et peccatum in eo non est.
- Or vous savez que Jésus a paru pour ôter les péchés, et que le péché n'est point en lui. (Ⅰ) - Or, vous le savez, Jésus a paru pour ôter les péchés, et il n'y a point en lui de péché. (Ⅱ) - καὶ οἴδατε ὅτι ἐκεῖνος ἐφανερώθη ἵνα τὰς ⸀ἁμαρτίας ἄρῃ, καὶ ἁμαρτία ἐν αὐτῷ οὐκ ἔστιν. (Ⅳ) - Et vous savez que lui a été manifesté, afin qu’il ôtât nos péchés; et il n’y a point de péché en lui. (Ⅵ) - Or vous savez qu’il est apparu, afin qu’il ôtât nos péchés ; et il n’y a point de péché en lui. (Ⅶ)
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3.
6
Omnis qui in eo manet, non peccat : et omnis qui peccat, non vidit eum, nec cognovit eum.
- Quiconque demeure en lui ne pèche point ; quiconque pèche, ne l'a pas vu et ne l'a pas connu. (Ⅰ) - Quiconque demeure en lui ne pèche point; quiconque pèche ne l'a pas vu, et ne l'a pas connu. (Ⅱ) - πᾶς ὁ ἐν αὐτῷ μένων οὐχ ἁμαρτάνει· πᾶς ὁ ἁμαρτάνων οὐχ ἑώρακεν αὐτὸν οὐδὲ ἔγνωκεν αὐτόν. (Ⅳ) - Quiconque demeure en lui ne pèche pas; quiconque pèche ne l’a pas vu, ni ne l’a pas connu. (Ⅵ) - Quiconque demeure en lui, ne pèche point : quiconque pèche, ne l’a point vu, ni ne l’a point connu. (Ⅶ)
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3.
7
Filioli, nemo vos seducat. Qui facit justitiam, justus est, sicut et ille justus est.
- Petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste. (Ⅰ) - Petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste. (Ⅱ) - τεκνία, μηδεὶς πλανάτω ὑμᾶς· ὁ ποιῶν τὴν δικαιοσύνην δίκαιός ἐστιν, καθὼς ἐκεῖνος δίκαιός ἐστιν· (Ⅳ) - Enfants, que personne ne vous égare: celui qui pratique la justice est juste, comme lui est juste. (Ⅵ) - [Mes] petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui fait ce qui est juste, est une personne juste, comme Jésus-Christ est juste ; (Ⅶ)
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3.
8
Qui facit peccatum, ex diabolo est : quoniam ab initio diabolus peccat. In hoc apparuit Filius Dei, ut dissolvat opera diaboli.
- Celui qui commet le péché est du diable, car le diable pèche dès le commencement. C'est pour détruire les oeuvres du diable que le Fils de Dieu a paru. (Ⅰ) - Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable. (Ⅱ) - ὁ ποιῶν τὴν ἁμαρτίαν ἐκ τοῦ διαβόλου ἐστίν, ὅτι ἀπ’ ἀρχῆς ὁ διάβολος ἁμαρτάνει. εἰς τοῦτο ἐφανερώθη ὁ υἱὸς τοῦ θεοῦ ἵνα λύσῃ τὰ ἔργα τοῦ διαβόλου. (Ⅳ) - Celui qui pratique le péché est du diable, car dès le commencement le diable pèche. C’est pour ceci que le Fils de Dieu a été manifesté, afin qu’il détruisît les œuvres du diable. (Ⅵ) - Celui qui vit dans le péché est du Diable ; car le Diable pèche dès le commencement ; or le Fils de Dieu est apparu pour détruire les œuvres du Diable. (Ⅶ)
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3.
9
Omnis qui natus est ex Deo, peccatum non facit : quoniam semen ipsius in eo manet, et non potest peccare, quoniam ex Deo natus est.\
- Quiconque est né de Dieu ne commet point le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui ; et il ne peut pécher, parce qu'il est né de Dieu. (Ⅰ) - Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu'il est né de Dieu. (Ⅱ) - πᾶς ὁ γεγεννημένος ἐκ τοῦ θεοῦ ἁμαρτίαν οὐ ποιεῖ, ὅτι σπέρμα αὐτοῦ ἐν αὐτῷ μένει, καὶ οὐ δύναται ἁμαρτάνειν, ὅτι ἐκ τοῦ θεοῦ γεγέννηται. (Ⅳ) - Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, car la semence de Dieu demeure en lui, et il ne peut pas pécher, parce qu’il est né de Dieu. (Ⅵ) - Quiconque est né de Dieu ne vit point dans le péché ; car la semence de Dieu demeure en lui ; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu. (Ⅶ)
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3.
10
In hoc manifesti sunt filii Dei, et filii diaboli. Omnis qui non est justus, non est ex Deo, et qui non diligit fratrem suum :
- C'est à cela que l'on reconnaît les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère. (Ⅰ) - C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère. (Ⅱ) - ἐν τούτῳ φανερά ἐστιν τὰ τέκνα τοῦ θεοῦ καὶ τὰ τέκνα τοῦ διαβόλου· πᾶς ὁ μὴ ποιῶν δικαιοσύνην οὐκ ἔστιν ἐκ τοῦ θεοῦ, καὶ ὁ μὴ ἀγαπῶν τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ. (Ⅳ) - Par ceci sont rendus manifestes les enfants de Dieu et les enfants du diable: quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, et celui qui n’aime pas son frère. (Ⅵ) - [Et] c’est à cela que sont connus les enfants de Dieu, et les enfants du Diable. Quiconque ne fait pas ce qui est juste, et qui n’aime pas son frère n’est point de Dieu. (Ⅶ)
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3.
11
quoniam hæc est annuntiatio, quam audistis ab initio, ut diligatis alterutrum.
- Car le message que vous avez entendu dès le commencement, c'est que nous nous aimions les uns les autres ; (Ⅰ) - Car ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c'est que nous devons nous aimer les uns les autres, (Ⅱ) - Ὅτι αὕτη ἐστὶν ἡ ἀγγελία ἣν ἠκούσατε ἀπ’ ἀρχῆς, ἵνα ἀγαπῶμεν ἀλλήλους· (Ⅳ) - Car c’est ici le message que vous avez entendu dès le commencement, savoir que nous nous aimions l’un l’autre, (Ⅵ) - Car c’est ici ce que vous avez ouï annoncer dès le commencement ; [savoir] que nous nous aimions l’un l’autre ; (Ⅶ)
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3.
12
Non sicut Cain, qui ex maligno erat, et occidit fratrem suum. Et propter quid occidit eum ? Quoniam opera ejus maligna erant : fratris autem ejus, justa.
- non point comme Caïn, qui était du malin et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? Parce que ses oeuvres étaient mauvaises, tandis que celles de son frère étaient justes. (Ⅰ) - et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il? parce que ses oeuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes. (Ⅱ) - οὐ καθὼς Κάϊν ἐκ τοῦ πονηροῦ ἦν καὶ ἔσφαξεν τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ· καὶ χάριν τίνος ἔσφαξεν αὐτόν; ὅτι τὰ ἔργα αὐτοῦ πονηρὰ ἦν, τὰ δὲ τοῦ ἀδελφοῦ αὐτοῦ δίκαια. (Ⅳ) - non comme Caïn était du méchant et tua son frère. Et pour quelle raison le tua-t-il? Parce que ses œuvres étaient mauvaises et que celles de son frère étaient justes. (Ⅵ) - Et que nous ne soyons point comme Caïn, qui était du malin [esprit] et qui tua son frère. Mais pour quel sujet le tua-t-il ? c’est parce que ses œuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes. (Ⅶ)
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3.
13
Nolite mirari, fratres, si odit vos mundus.
- Ne vous étonnez pas, mes frères, si le monde vous hait. (Ⅰ) - Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait. (Ⅱ) - ⸀μὴ θαυμάζετε, ⸀ἀδελφοί, εἰ μισεῖ ὑμᾶς ὁ κόσμος. (Ⅳ) - Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait. (Ⅵ) - Mes frères, ne vous étonnez point si le monde vous hait. (Ⅶ)
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3.
14
Nos scimus quoniam translati sumus de morte ad vitam, quoniam diligimus fratres. Qui non diligit, manet in morte :
- Nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères. Celui. qui n'aime pas demeure dans la mort. (Ⅰ) - Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères. Celui qui n'aime pas demeure dans la mort. (Ⅱ) - ἡμεῖς οἴδαμεν ὅτι μεταβεβήκαμεν ἐκ τοῦ θανάτου εἰς τὴν ζωήν, ὅτι ἀγαπῶμεν τοὺς ἀδελφούς· ὁ μὴ ⸀ἀγαπῶν μένει ἐν τῷ θανάτῳ. (Ⅳ) - Nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères; celui qui n’aime pas son frère demeure dans la mort. (Ⅵ) - En ce que nous aimons nos frères, nous savons que nous sommes transférés de la mort à la vie : celui qui n’aime point son frère, demeure en la mort. (Ⅶ)
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3.
15
omnis qui odit fratrem suum, homicida est. Et scitis quoniam omnis homicida non habet vitam æternam in semetipso manentem.
- Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu'aucun meurtrier n'a la vie éternelle demeurant en lui. (Ⅰ) - Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu'aucun meurtrier n'a la vie éternelle demeurant en lui. (Ⅱ) - πᾶς ὁ μισῶν τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ ἀνθρωποκτόνος ἐστίν, καὶ οἴδατε ὅτι πᾶς ἀνθρωποκτόνος οὐκ ἔχει ζωὴν αἰώνιον ἐν ⸀αὐτῷ μένουσαν. (Ⅳ) - Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui. (Ⅵ) - Quiconque hait son frère est un meurtrier ; et vous savez qu’aucun meurtrier ne possède point la vie éternelle. (Ⅶ)
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3.
16
In hoc cognovimus caritatem Dei, quoniam ille animam suam pro nobis posuit : et nos debemus pro fratribus animas ponere.
- A ceci nous avons connu l'amour, c'est que Lui a donné sa vie pour nous. Nous aussi, nous devons donner notre vie pour nos frères. (Ⅰ) - Nous avons connu l'amour, en ce qu'il a donné sa vie pour nous; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères. (Ⅱ) - ἐν τούτῳ ἐγνώκαμεν τὴν ἀγάπην, ὅτι ἐκεῖνος ὑπὲρ ἡμῶν τὴν ψυχὴν αὐτοῦ ἔθηκεν· καὶ ἡμεῖς ὀφείλομεν ὑπὲρ τῶν ἀδελφῶν τὰς ψυχὰς ⸀θεῖναι. (Ⅳ) - Par ceci nous avons connu l’amour, c’est que lui a laissé sa vie pour nous; et nous, nous devons laisser nos vies pour les frères. (Ⅵ) - A ceci nous avons connu la charité, c’est qu’il a exposé sa vie pour nous ; nous devons donc aussi exposer nos vies pour nos frères. (Ⅶ)
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3.
17
Qui habuerit substantiam hujus mundi, et viderit fratrem suum necessitatem habere, et clauserit viscera sua ab eo : quomodo caritas Dei manet in eo ?
- Si quelqu'un possède les biens de ce monde et que, voyant son frère dans la nécessité, il leur ferme ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui ? (Ⅰ) - Si quelqu'un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui? (Ⅱ) - ὃς δ’ ἂν ἔχῃ τὸν βίον τοῦ κόσμου καὶ θεωρῇ τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ χρείαν ἔχοντα καὶ κλείσῃ τὰ σπλάγχνα αὐτοῦ ἀπ’ αὐτοῦ, πῶς ἡ ἀγάπη τοῦ θεοῦ μένει ἐν αὐτῷ; (Ⅳ) - Mais celui qui a les biens de ce monde, et qui voit son frère dans le besoin, et qui lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeure-t-il en lui? (Ⅵ) - Or celui qui voyant son frère dans la nécessité, lui fermera ses entrailles, comment est-ce que la charité de Dieu demeure en lui ? (Ⅶ)
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3.
18
Filioli mei, non diligamus verbo neque lingua, sed opere et veritate :
- Mes petits enfants, n'aimons pas de parole et de langue, mais en action et en vérité. (Ⅰ) - Petits enfants, n'aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. (Ⅱ) - ⸀Τεκνία, μὴ ἀγαπῶμεν λόγῳ μηδὲ τῇ γλώσσῃ ἀλλὰ ἐν ἔργῳ καὶ ἀληθείᾳ. (Ⅳ) - Enfants, n’aimons pas de parole ni de langue, mais en action et en vérité. (Ⅵ) - Mes petits enfants, n’aimons pas de paroles, ni de langue, mais par des effets, et en vérité. (Ⅶ)
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3.
19
in hoc cognoscimus quoniam ex veritate sumus : et in conspectu ejus suadebimus corda nostra.
- Par là nous connaissons que nous sommes de la vérité, et nous pouvons rassurer nos coeurs devant Dieu ; (Ⅰ) - Par là nous connaîtrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos coeurs devant lui; (Ⅱ) - ⸀ἐν τούτῳ ⸀γνωσόμεθα ὅτι ἐκ τῆς ἀληθείας ἐσμέν, καὶ ἔμπροσθεν αὐτοῦ πείσομεν ⸂τὴν καρδίαν⸃ ἡμῶν (Ⅳ) - Et par ceci nous saurons que nous sommes de la vérité, et nous assurerons nos cœurs devant lui (Ⅵ) - Car c’est par là que nous connaissons que nous sommes de la vérité ; et nous assurons [ainsi] nos cœurs devant lui. (Ⅶ)
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3.
20
Quoniam si reprehenderit nos cor nostrum : major est Deus corde nostro, et novit omnia.
- car si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît toutes choses. (Ⅰ) - car si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît toutes choses. (Ⅱ) - ὅτι ἐὰν καταγινώσκῃ ἡμῶν ἡ καρδία, ὅτι μείζων ἐστὶν ὁ θεὸς τῆς καρδίας ἡμῶν καὶ γινώσκει πάντα. (Ⅳ) - — que, si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur et il sait toutes choses. (Ⅵ) - Que si notre cœur nous condamne, certes Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses. (Ⅶ)
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3.
21
Carissimi, si cor nostrum non reprehenderit nos, fiduciam habemus ad Deum :
- Mes bien-aimés, si notre coeur ne nous condamne pas; nous pouvons nous adresser à Dieu avec assurance. (Ⅰ) - Bien-aimés, si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu. (Ⅱ) - ἀγαπητοί, ἐὰν ἡ καρδία ⸂μὴ καταγινώσκῃ ἡμῶν⸃, παρρησίαν ἔχομεν πρὸς τὸν θεόν, (Ⅳ) - Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance envers Dieu; (Ⅵ) - Mes bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne point, nous avons assurance envers Dieu. (Ⅶ)
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3.
22
et quidquid petierimus, accipiemus ab eo : quoniam mandata ejus custodimus, et ea, quæ sunt placita coram eo, facimus.
- Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements, et que nous faisons ce qui est agréable à ses yeux. (Ⅰ) - Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. (Ⅱ) - καὶ ὃ ⸀ἐὰν αἰτῶμεν λαμβάνομεν ⸀ἀπ’ αὐτοῦ, ὅτι τὰς ἐντολὰς αὐτοῦ τηροῦμεν καὶ τὰ ἀρεστὰ ἐνώπιον αὐτοῦ ποιοῦμεν. (Ⅳ) - et quoi que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous pratiquons les choses qui sont agréables devant lui. (Ⅵ) - Et quoi que nous demandions, nous le recevons de lui ; parce que nous gardons ses commandements, et que nous faisons les choses qui lui sont agréables. (Ⅶ)
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3.
23
Et hoc est mandatum ejus : ut credamus in nomine Filii ejus Jesu Christi : et diligamus alterutrum, sicut dedit mandatum nobis.
- Et son commandement est que nous croyions au nom de son Fils, Jésus-Christ, et que nous nous aimions les uns les autres, comme il nous en a donné le commandement. (Ⅰ) - Et c'est ici son commandement: que nous croyions au nom de son Fils Jésus Christ, et que nous nous aimions les uns les autres, selon le commandement qu'il nous a donné. (Ⅱ) - καὶ αὕτη ἐστὶν ἡ ἐντολὴ αὐτοῦ, ἵνα ⸀πιστεύσωμεν τῷ ὀνόματι τοῦ υἱοῦ αὐτοῦ Ἰησοῦ Χριστοῦ καὶ ἀγαπῶμεν ἀλλήλους, καθὼς ἔδωκεν ἐντολὴν ⸀ἡμῖν. (Ⅳ) - — Et c’est ici son commandement, que nous croyions au nom de son Fils Jésus Christ et que nous nous aimions l’un l’autre, selon qu’il nous en a donné le commandement; (Ⅵ) - Et c’est ici son commandement, que nous croyions au Nom de son Fils Jésus-Christ, et que nous nous aimions l’un l’autre, comme il nous en a donné le commandement. (Ⅶ)
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3.
24
Et qui servat mandata ejus, in illo manet, et ipse in eo : et in hoc scimus quoniam manet in nobis, de Spiritu quem dedit nobis.
- Celui qui garde ses commandements, demeure en Dieu et Dieu en lui, et nous connaissons qu'il demeure en nous par l'Esprit qu'il nous a donné. (Ⅰ) - Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui; et nous connaissons qu'il demeure en nous par l'Esprit qu'il nous a donné. (Ⅱ) - καὶ ὁ τηρῶν τὰς ἐντολὰς αὐτοῦ ἐν αὐτῷ μένει καὶ αὐτὸς ἐν αὐτῷ· καὶ ἐν τούτῳ γινώσκομεν ὅτι μένει ἐν ἡμῖν, ἐκ τοῦ πνεύματος οὗ ἡμῖν ἔδωκεν. (Ⅳ) - et celui qui garde ses commandements demeure en lui, et lui en cet homme; et par ceci nous savons qu’il demeure en nous, savoir par l’Esprit qu’il nous a donné. (Ⅵ) - Et celui qui garde ses commandements demeure en Jésus-Christ, et Jésus-Christ [demeure] en lui ; et par ceci nous connaissons qu’il demeure en nous, [savoir] par l’Esprit qu’il nous a donné. (Ⅶ)
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