Galates
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(Version J.F. Ostervald)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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3. 1  
O Galates dépourvus de sens! qui vous a fascinés pour que vous n'obéissiez plus à la vérité? vous, aux yeux de qui Jésus-Christ a été vivement dépeint, et comme crucifié en vous?
- O Galates insensés ! qui vous a fascinés, vous aux yeux de qui a été tracée l'image de Jésus-Christ crucifié. (Ⅰ)
- O Galates, dépourvus de sens! qui vous a fascinés, vous, aux yeux de qui Jésus Christ a été peint comme crucifié? (Ⅱ)
- Ὦ ἀνόητοι Γαλάται, τίς ὑμᾶς ⸀ἐβάσκανεν, οἷς κατ’ ὀφθαλμοὺς Ἰησοῦς Χριστὸς ⸀προεγράφη ἐσταυρωμένος; (Ⅳ)
- O insensati Galatæ, quis vos fascinavit non obedire veritati, ante quorum oculos Jesus Christus præscriptus est, in vobis crucifixus ? (Ⅴ)
- Ô Galates insensés, qui vous a ensorcelés, vous devant les yeux de qui Jésus Christ a été dépeint, crucifié au milieu de vous? (Ⅶ)
- Ô Galates insensés ! qui est-ce qui vous a ensorcelés pour faire que vous n’obéissiez point à la vérité, vous à qui Jésus-Christ a été auparavant portrait devant les yeux, et crucifié entre vous ? (Ⅷ)
3. 2  
Je veux savoir de vous cette seule chose: Avez-vous reçu l'Esprit par les œuvres de la loi, ou par la prédication de la foi?
- Voici seulement ce que je voudrais savoir de vous : Est-ce par les œuvres de la Loi que vous avez reçu l'Esprit, ou par la soumission de la foi? (Ⅰ)
- Voici seulement ce que je veux apprendre de vous: Est-ce par les oeuvres de la loi que vous avez reçu l'Esprit, ou par la prédication de la foi? (Ⅱ)
- τοῦτο μόνον θέλω μαθεῖν ἀφ’ ὑμῶν, ἐξ ἔργων νόμου τὸ πνεῦμα ἐλάβετε ἢ ἐξ ἀκοῆς πίστεως; (Ⅳ)
- Hoc solum a vobis volo discere : ex operibus legis Spiritum accepistis, an ex auditu fidei ? (Ⅴ)
- Je voudrais seulement apprendre ceci de vous: avez-vous reçu l’Esprit sur le principe des œuvres de loi, ou de l’ouïe de la foi? (Ⅶ)
- Je voudrais seulement entendre ceci de vous : avez-vous reçu l’Esprit par les œuvres de la Loi, ou par la prédication de la foi ? (Ⅷ)
3. 3  
Avez-vous tellement perdu le sens, qu'après avoir commencé par l'Esprit, vous finissiez maintenant par la chair?
- Avez-vous si peu de sens, qu'après avoir commencé par l'esprit, vous finissiez par la chair? (Ⅰ)
- Etes-vous tellement dépourvus de sens? Après avoir commencé par l'Esprit, voulez-vous maintenant finir par la chair? (Ⅱ)
- οὕτως ἀνόητοί ἐστε; ἐναρξάμενοι πνεύματι νῦν σαρκὶ ἐπιτελεῖσθε; (Ⅳ)
- sic stulti estis, ut cum Spiritu cœperitis, nunc carne consummemini ? (Ⅴ)
- Êtes-vous si insensés? Ayant commencé par l’Esprit, achèveriez-vous maintenant par la chair? (Ⅶ)
- Etes-vous si insensés, qu’en ayant commencé par l’Esprit, maintenant vous finissiez par la chair ? (Ⅷ)
3. 4  
Avez-vous tant souffert en vain? si toutefois ce n'est qu'en vain!
- Avez-vous fait une telle expérience en vain? si toutefois c'est en vain. (Ⅰ)
- Avez-vous tant souffert en vain? si toutefois c'est en vain. (Ⅱ)
- τοσαῦτα ἐπάθετε εἰκῇ; εἴ γε καὶ εἰκῇ. (Ⅳ)
- tanta passi estis sine causa ? si tamen sine causa. (Ⅴ)
- Avez-vous tant souffert en vain, si toutefois c’est en vain? (Ⅶ)
- Avez-vous tant souffert en vain ? si toutefois c’est en vain. (Ⅷ)
3. 5  
Celui donc qui vous communique l'Esprit, et qui fait des miracles parmi vous, le fait-il par les œuvres de la loi, ou par la prédication de la foi?
- Celui qui vous confère l'Esprit et qui opère parmi vous des miracles, le fait-il donc par les œuvres de la Loi, ou par la soumission de la foi? (Ⅰ)
- Celui qui vous accorde l'Esprit, et qui opère des miracles parmi vous, le fait-il donc par les oeuvres de la loi, ou par la prédication de la foi? (Ⅱ)
- ὁ οὖν ἐπιχορηγῶν ὑμῖν τὸ πνεῦμα καὶ ἐνεργῶν δυνάμεις ἐν ὑμῖν ἐξ ἔργων νόμου ἢ ἐξ ἀκοῆς πίστεως; (Ⅳ)
- Qui ergo tribuit vobis Spiritum, et operatur virtutes in vobis : ex operibus legis, an ex auditu fidei ?\ (Ⅴ)
- Celui donc qui vous fournit l’Esprit et qui opère des miracles au milieu de vous, le fait-il sur le principe des œuvres de loi, ou de l’ouïe de la foi? (Ⅶ)
- Celui donc qui vous donne l’Esprit, et qui produit en vous les dons miraculeux, [le fait-il] par les œuvres de la Loi, ou par la prédication de la foi ? (Ⅷ)
3. 6  
Comme il est dit d'Abraham: Il crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice;
- comme il est écrit : " Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice. " (Ⅰ)
- Comme Abraham crut à Dieu, et que cela lui fut imputé à justice, (Ⅱ)
- καθὼς Ἀβραὰμ ἐπίστευσεν τῷ θεῷ, καὶ ἐλογίσθη αὐτῷ εἰς δικαιοσύνην. (Ⅳ)
- Sicut scriptum est : Abraham credidit Deo, et reputatum est illi ad justitiam : (Ⅴ)
- comme Abraham a cru Dieu, et cela lui fut compté à justice. (Ⅶ)
- Comme Abraham a cru à Dieu, et il lui a été imputé à justice ; (Ⅷ)
3. 7  
Sachez donc, que ceux qui ont la foi, sont les enfants d'Abraham.
- Reconnaissez donc que ceux-là sont fils d'Abraham, qui sont de la foi. (Ⅰ)
- reconnaissez donc que ce sont ceux qui ont la foi qui sont fils d'Abraham. (Ⅱ)
- Γινώσκετε ἄρα ὅτι οἱ ἐκ πίστεως, οὗτοι ⸂υἱοί εἰσιν⸃ Ἀβραάμ. (Ⅳ)
- cognoscite ergo quia qui ex fide sunt, ii sunt filii Abrahæ. (Ⅴ)
- Sachez donc que ceux qui sont sur le principe de la foi, ceux-là sont fils d’Abraham. (Ⅶ)
- Sachez aussi que ceux qui sont de la foi, sont enfants d’Abraham. (Ⅷ)
3. 8  
Aussi l'Écriture, prévoyant que Dieu justifierait les Gentils par la foi, a évangélisé par avance à Abraham, en lui disant: Toutes les nations seront bénies en toi.
- Aussi l'Ecriture, prévoyant que Dieu justifierait les nations par la foi, annonça d'avance à Abraham cette bonne nouvelle : " Toutes les nations seront bénies en toi. " (Ⅰ)
- Aussi l'Écriture, prévoyant que Dieu justifierait les païens par la foi, a d'avance annoncé cette bonne nouvelle à Abraham: Toutes les nations seront bénies en toi! (Ⅱ)
- προϊδοῦσα δὲ ἡ γραφὴ ὅτι ἐκ πίστεως δικαιοῖ τὰ ἔθνη ὁ θεὸς προευηγγελίσατο τῷ Ἀβραὰμ ὅτι Ἐνευλογηθήσονται ἐν σοὶ πάντα τὰ ἔθνη. (Ⅳ)
- Providens autem Scriptura quia ex fide justificat gentes Deus, prænuntiavit Abrahæ : Quia benedicentur in te omnes gentes. (Ⅴ)
- Or l’écriture, prévoyant que Dieu justifierait les nations sur le principe de la foi, a d’avance annoncé la bonne nouvelle à Abraham: «En toi toutes les nations seront bénies». (Ⅶ)
- Aussi l’Ecriture prévoyant que Dieu justifierait les Gentils par la foi, a auparavant évangélisé à Abraham, en lui [disant] : toutes les nations seront bénies en toi. (Ⅷ)
3. 9  
C'est pourquoi ceux qui croient, sont bénis avec Abraham qui a cru.
- De sorte que ceux qui sont de la foi sont bénis avec le fidèle Abraham. (Ⅰ)
- de sorte que ceux qui croient sont bénis avec Abraham le croyant. (Ⅱ)
- ὥστε οἱ ἐκ πίστεως εὐλογοῦνται σὺν τῷ πιστῷ Ἀβραάμ. (Ⅳ)
- Igitur qui ex fide sunt, benedicentur cum fideli Abraham. (Ⅴ)
- De sorte que ceux qui sont sur le principe de la foi sont bénis avec le croyant Abraham. (Ⅶ)
- C’est pourquoi ceux qui sont de la foi, sont bénis avec le fidèle Abraham. (Ⅷ)
3. 10  
Mais tous ceux qui s'attachent aux œuvres de la loi, sont sous la malédiction, puisqu'il est écrit: Maudit est quiconque ne persévère pas à faire toutes les choses qui sont écrites dans le livre de la loi!
- En effet tous ceux qui s'appuient sur les œuvres de la Loi sont sous la malédiction; car il est écrit : " Maudit quiconque n'est pas constant à observer tout ce qui est écrit dans le libre de la Loi. " (Ⅰ)
- Car tous ceux qui s'attachent aux oeuvres de la loi sont sous la malédiction; car il est écrit: Maudit est quiconque n'observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi, et ne le met pas en pratique. (Ⅱ)
- Ὅσοι γὰρ ἐξ ἔργων νόμου εἰσὶν ὑπὸ κατάραν εἰσίν, γέγραπται γὰρ ⸀ὅτι Ἐπικατάρατος πᾶς ὃς οὐκ ⸀ἐμμένει πᾶσιν τοῖς γεγραμμένοις ἐν τῷ βιβλίῳ τοῦ νόμου τοῦ ποιῆσαι αὐτά. (Ⅳ)
- Quicumque enim ex operibus legis sunt, sub maledicto sunt. Scriptum est enim : Maledictus omnis qui non permanserit in omnibus quæ scripta sunt in libro legis ut faciat ea. (Ⅴ)
- Car tous ceux qui sont sur le principe des œuvres de loi sont sous malédiction; car il est écrit: «Maudit est quiconque ne persévère pas dans toutes les choses qui sont écrites dans le livre de la loi pour les faire». (Ⅶ)
- Mais tous ceux qui sont des œuvres de la Loi, sont sous la malédiction ; car il est écrit : maudit est quiconque ne persévère pas dans toutes les choses qui sont écrites au Livre de la Loi pour les faire. (Ⅷ)
3. 11  
Et que nul ne soit justifié devant Dieu par la loi, cela est évident; parce que: Le juste vivra par la foi.
- Or que par la Loi nul ne soit justifié devant Dieu, cela est manifeste, puisque le " juste vivra par la foi. " (Ⅰ)
- Et que nul ne soit justifié devant Dieu par la loi, cela est évident, puisqu'il est dit: Le juste vivra par la foi. (Ⅱ)
- ὅτι δὲ ἐν νόμῳ οὐδεὶς δικαιοῦται παρὰ τῷ θεῷ δῆλον, ὅτι Ὁ δίκαιος ἐκ πίστεως ζήσεται, (Ⅳ)
- Quoniam autem in lege nemo justificatur apud Deum, manifestum est : quia justus ex fide vivit. (Ⅴ)
- Or que par la loi personne ne soit justifié devant Dieu, cela est évident, parce que: «Le juste vivra de foi». (Ⅶ)
- Or que par la Loi personne ne soit justifié devant Dieu, cela paraît [par ce qui est dit] : que le juste vivra de la foi. (Ⅷ)
3. 12  
Or, la loi ne justifie pas par la foi; mais elle dit: L'homme qui aura fait ces choses, vivra par elles.
- Or la Loi ne procède pas de la foi; mais elle dit : " Celui qui accomplira ces commandements vivra en eux. " (Ⅰ)
- Or, la loi ne procède pas de la foi; mais elle dit: Celui qui mettra ces choses en pratique vivra par elles. (Ⅱ)
- ὁ δὲ νόμος οὐκ ἔστιν ἐκ πίστεως, ἀλλ’· Ὁ ποιήσας ⸀αὐτὰ ζήσεται ἐν αὐτοῖς. (Ⅳ)
- Lex autem non est ex fide, sed : Qui fecerit ea, vivet in illis. (Ⅴ)
- Mais la loi n’est pas sur le principe de la foi, mais: «Celui qui aura fait ces choses vivra par elles». (Ⅶ)
- Or la Loi n’est pas de la foi ; mais l’homme qui aura fait ces choses, vivra par elles. (Ⅷ)
3. 13  
Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, quand il a été fait malédiction pour nous; (car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois; )
- Le Christ nous a rachetés de la malédiction de la Loi, en se faisant malédiction pour nous, — car il est écrit : " Maudit quiconque est pendu au bois, " (Ⅰ)
- Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois, - (Ⅱ)
- Χριστὸς ἡμᾶς ἐξηγόρασεν ἐκ τῆς κατάρας τοῦ νόμου γενόμενος ὑπὲρ ἡμῶν κατάρα, ⸂ὅτι γέγραπται⸃· Ἐπικατάρατος πᾶς ὁ κρεμάμενος ἐπὶ ξύλου, (Ⅳ)
- Christus nos redemit de maledicto legis, factus pro nobis maledictum : quia scriptum est : Maledictus omnis qui pendet in ligno : (Ⅴ)
- Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous (car il est écrit: «Maudit est quiconque est pendu au bois»), (Ⅶ)
- Christ nous a rachetés de la malédiction de la Loi, quand il a été fait malédiction pour nous ; (car il est écrit : maudit est quiconque pend au bois.) (Ⅷ)
3. 14  
Afin que la bénédiction d'Abraham se répandît sur les Gentils par Jésus-Christ, et que nous reçussions par la foi l'Esprit qui avait été promis.
- — afin que la bénédiction promise à Abraham s'étendît aux nations dans le Christ Jésus, afin que nous pussions recevoir par la foi l'Esprit promis. (Ⅰ)
- afin que la bénédiction d'Abraham eût pour les païens son accomplissement en Jésus Christ, et que nous reçussions par la foi l'Esprit qui avait été promis. (Ⅱ)
- ἵνα εἰς τὰ ἔθνη ἡ εὐλογία τοῦ Ἀβραὰμ γένηται ἐν ⸂Χριστῷ Ἰησοῦ⸃, ἵνα τὴν ἐπαγγελίαν τοῦ πνεύματος λάβωμεν διὰ τῆς πίστεως. (Ⅳ)
- ut in gentibus benedictio Abrahæ fieret in Christo Jesu, ut pollicitationem Spiritus accipiamus per fidem.\ (Ⅴ)
- afin que la bénédiction d’Abraham parvînt aux nations dans le christ Jésus, afin que nous reçussions par la foi l’Esprit promis. (Ⅶ)
- Afin que la bénédiction d’Abraham parvînt aux Gentils par Jésus-Christ, et que nous reçussions par la foi l’Esprit qui avait été promis. (Ⅷ)
3. 15  
Frères, je parle à la manière des hommes: Lorsqu'un contrat a été confirmé par un homme, personne ne le casse, ou n'y ajoute rien.
- Frères, — je parle selon les usages des hommes, — un contrat en bonne forme, bien que l'engagement soit pris par un homme, n'est annulé par personne, et personne n'y ajoute. (Ⅰ)
- Frères (je parle à la manière des hommes), une disposition en bonne forme, bien que faite par un homme, n'est annulée par personne, et personne n'y ajoute. (Ⅱ)
- Ἀδελφοί, κατὰ ἄνθρωπον λέγω· ὅμως ἀνθρώπου κεκυρωμένην διαθήκην οὐδεὶς ἀθετεῖ ἢ ἐπιδιατάσσεται. (Ⅳ)
- Fratres (secundum hominem dico) tamen hominis confirmatum testamentum nemo spernit, aut superordinat. (Ⅴ)
- Frères, je parle selon l’homme: personne n’annule une alliance qui est confirmée, même celle d’un homme, ni n’y ajoute. (Ⅶ)
- Mes frères, je vais vous parler à la manière des hommes. Si une alliance faite par un homme, est confirmée, nul ne la casse, ni n’y ajoute. (Ⅷ)
3. 16  
Or, les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité. Il n'est pas dit: Et à ses postérités, comme s'il s'agissait de plusieurs; mais comme d'une seule: Et à ta postérité, qui est Christ.
- Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa descendance. On ne dit pas : " Et à ses descendants, " comme s'il s'agissait de plusieurs; mais il dit : " A ta descendance, " comme ne parlant que d'un seul, savoir le Christ. (Ⅰ)
- Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité. Il n'est pas dit: et aux postérités, comme s'il s'agissait de plusieurs, mais en tant qu'il s'agit d'une seule: et à ta postérité, c'est-à-dire, à Christ. (Ⅱ)
- τῷ δὲ Ἀβραὰμ ἐρρέθησαν αἱ ἐπαγγελίαι καὶ τῷ σπέρματι αὐτοῦ· οὐ λέγει· Καὶ τοῖς σπέρμασιν, ὡς ἐπὶ πολλῶν, ἀλλ’ ὡς ἐφ’ ἑνός· Καὶ τῷ σπέρματί σου, ὅς ἐστιν Χριστός. (Ⅳ)
- Abrahæ dictæ sunt promissiones, et semini ejus. Non dicit : Et seminibus, quasi in multis : sed quasi in uno : Et semini tuo, qui est Christus. (Ⅴ)
- Or c’est à Abraham que les promesses ont été faites, et à sa semence. Il ne dit pas: «et aux semences», comme parlant de plusieurs; mais comme parlant d’un seul: — «et à ta semence», qui est Christ. (Ⅶ)
- Or les promesses ont été faites à Abraham, et à sa semence ; il n’est pas dit, et aux semences, comme s’il avait parlé de plusieurs, mais comme parlant d’une seule, et à sa semence : qui est Christ. (Ⅷ)
3. 17  
Voici donc ce que je dis: Quant au contrat que Dieu a auparavant confirmé en Christ, la loi, qui n'est venue que quatre cent trente ans après, n'a pu l'annuler, pour abolir la promesse.
- Voici ce que je veux dire : Dieu ayant conclu une alliance en bonne forme, la loi qui est venue quatre cent trente ans après ne la rend pas nulle, de manière à rendre vaine la promesse. (Ⅰ)
- Voici ce que j'entends: une disposition, que Dieu a confirmée antérieurement, ne peut pas être annulée, et ainsi la promesse rendue vaine, par la loi survenue quatre cents trente ans plus tard. (Ⅱ)
- τοῦτο δὲ λέγω· διαθήκην προκεκυρωμένην ὑπὸ τοῦ ⸀θεοῦ ὁ μετὰ ⸂τετρακόσια καὶ τριάκοντα ἔτη⸃ γεγονὼς νόμος οὐκ ἀκυροῖ, εἰς τὸ καταργῆσαι τὴν ἐπαγγελίαν. (Ⅳ)
- Hoc autem dico, testamentum confirmatum a Deo : quæ post quadringentos et triginta annos facta est lex, non irritum facit ad evacuandam promissionem. (Ⅴ)
- Or je dis ceci: que la loi, qui est survenue quatre cent trente ans après, n’annule point une alliance antérieurement confirmée par Dieu, de manière à rendre la promesse sans effet. (Ⅶ)
- Voici donc ce que je dis : c’est que quant à l’alliance qui a été auparavant confirmée par Dieu en Christ, la Loi qui est venue quatre cent-trente ans après, ne peut point l’annuler, pour abolir la promesse. (Ⅷ)
3. 18  
Car, si l'héritage vient de la loi, ce n'est plus de la promesse. Or, Dieu l'a donné gratuitement à Abraham par la promesse.
- Car si l'héritage s'obtenait par la Loi, il ne viendrait plus d'une promesse; or, c'est par une promesse que Dieu a fait à Abraham ce don de sa grâce. (Ⅰ)
- Car si l'héritage venait de la loi, il ne viendrait plus de la promesse; or, c'est par la promesse que Dieu a fait à Abraham ce don de sa grâce. (Ⅱ)
- εἰ γὰρ ἐκ νόμου ἡ κληρονομία, οὐκέτι ἐξ ἐπαγγελίας· τῷ δὲ Ἀβραὰμ δι’ ἐπαγγελίας κεχάρισται ὁ θεός. (Ⅳ)
- Nam si ex lege hæreditas, jam non ex promissione. Abrahæ autem per repromissionem donavit Deus.\ (Ⅴ)
- Car si l’héritage est sur le principe de loi, il n’est plus sur le principe de promesse; mais Dieu a fait le don à Abraham par promesse. (Ⅶ)
- Car si l’héritage est par la Loi, il n’est point par la promesse ; or Dieu l’a donné à Abraham par la promesse. (Ⅷ)
3. 19  
A quoi donc sert la loi? Elle a été ajoutée à la promesse à cause des transgressions, jusqu'à la venue de la postérité à qui la promesse avait été faite; et elle fut donnée par le moyen des anges, et par l'entremise d'un médiateur.
- Pourquoi donc la Loi? Elle a été ajoutée à cause des transgressions, jusqu'à ce que vint " la descendance " à qui la promesse avait été faite; elle a été promulguée par les anges, par l'entremise d'un médiateur. (Ⅰ)
- Pourquoi donc la loi? Elle a été donnée ensuite à cause des transgressions, jusqu'à ce que vînt la postérité à qui la promesse avait été faite; elle a été promulguée par des anges, au moyen d'un médiateur. (Ⅱ)
- Τί οὖν ὁ νόμος; τῶν παραβάσεων χάριν προσετέθη, ἄχρις ⸀οὗ ἔλθῃ τὸ σπέρμα ᾧ ἐπήγγελται, διαταγεὶς δι’ ἀγγέλων ἐν χειρὶ μεσίτου· (Ⅳ)
- Quid igitur lex ? Propter transgressiones posita est donec veniret semen, cui promiserat, ordinata per angelos in manu mediatoris. (Ⅴ)
- Pourquoi donc la loi? Elle a été ajoutée à cause des transgressions, jusqu’à ce que vînt la semence à laquelle la promesse est faite, ayant été ordonnée par des anges, par la main d’un médiateur. (Ⅶ)
- A quoi donc [sert] la Loi ? elle a été ajoutée à cause des transgressions, jusqu’à ce que vînt la semence à [l’égard de] laquelle la promesse avait été faite ; et elle a été ordonnée par les Anges, par le ministère d’un Médiateur. (Ⅷ)
3. 20  
Or, le médiateur n'est pas d'un seul, mais Dieu est un seul.
- Or le médiateur n'est pas médiateur d'un seul; et Dieu est un. (Ⅰ)
- Or, le médiateur n'est pas médiateur d'un seul, tandis que Dieu est un seul. (Ⅱ)
- ὁ δὲ μεσίτης ἑνὸς οὐκ ἔστιν, ὁ δὲ θεὸς εἷς ἐστιν. (Ⅳ)
- Mediator autem unius non est : Deus autem unus est. (Ⅴ)
- Or un médiateur n’est pas médiateur d’un seul, mais Dieu est un seul. (Ⅶ)
- Or le Médiateur n’est pas d’un seul : mais Dieu est un seul. (Ⅷ)
3. 21  
La loi est-elle donc contraire aux promesses de Dieu? Nullement; car s'il eût été donné une loi qui pût donner la vie, la justice viendrait véritablement de la loi.
- La Loi va-t-elle donc contre les promesses de Dieu? Loin de là ! S'il eût été donné une loi capable de procurer la vie, la justice viendrait réellement de la loi. (Ⅰ)
- La loi est-elle donc contre les promesses de Dieu? Loin de là! S'il eût été donné une loi qui pût procurer la vie, la justice viendrait réellement de la loi. (Ⅱ)
- Ὁ οὖν νόμος κατὰ τῶν ἐπαγγελιῶν τοῦ θεοῦ; μὴ γένοιτο· εἰ γὰρ ἐδόθη νόμος ὁ δυνάμενος ζῳοποιῆσαι, ὄντως ⸂ἐκ νόμου ἂν⸃ ἦν ἡ δικαιοσύνη. (Ⅳ)
- Lex ergo adversus promissa Dei ? Absit. Si enim data esset lex, quæ posset vivificare, vere ex lege esset justitia. (Ⅴ)
- La loi est-elle donc contre les promesses de Dieu? Qu’ainsi n’advienne! Car s’il avait été donné une loi qui eût le pouvoir de faire vivre, la justice serait en réalité sur le principe de la loi. (Ⅶ)
- La Loi donc [a-t-elle été ajoutée] contre les promesses de Dieu ? nullement. Car si la Loi eût été donnée pour pouvoir vivifier, véritablement la justice serait de la Loi. (Ⅷ)
3. 22  
Mais l'Écriture a tout renfermé sous le péché, afin que la promesse fût donnée, par la foi en Jésus-Christ, à ceux qui croient.
- Mais l'Ecriture a tout enfermé sous le péché, afin que, par la foi en Jésus-Christ, ce qui avait été promis fût donné à ceux qui croient. (Ⅰ)
- Mais l'Écriture a tout renfermé sous le péché, afin que ce qui avait été promis fût donné par la foi en Jésus Christ à ceux qui croient. (Ⅱ)
- ἀλλὰ συνέκλεισεν ἡ γραφὴ τὰ πάντα ὑπὸ ἁμαρτίαν ἵνα ἡ ἐπαγγελία ἐκ πίστεως Ἰησοῦ Χριστοῦ δοθῇ τοῖς πιστεύουσιν. (Ⅳ)
- Sed conclusit Scriptura omnia sub peccato, ut promissio ex fide Jesu Christi daretur credentibus. (Ⅴ)
- Mais l’écriture a renfermé toutes choses sous le péché, afin que la promesse, sur le principe de la foi en Jésus Christ, fût donnée à ceux qui croient. (Ⅶ)
- Mais l’Ecriture a montré que tous les hommes étaient pécheurs, afin que la promesse par la foi en Jésus-Christ fût donnée à ceux qui croient. (Ⅷ)
3. 23  
Or, avant que la foi vînt, nous étions renfermés sous la garde de la loi, pour la foi qui devait être révélée.
- Avant que vînt la foi, nous étions enfermés sous la garde de la Loi, en vue de la foi qui devait être révélée. (Ⅰ)
- Avant que la foi vînt, nous étions enfermés sous la garde de la loi, en vue de la foi qui devait être révélée. (Ⅱ)
- Πρὸ τοῦ δὲ ἐλθεῖν τὴν πίστιν ὑπὸ νόμον ἐφρουρούμεθα ⸀συγκλειόμενοι εἰς τὴν μέλλουσαν πίστιν ἀποκαλυφθῆναι. (Ⅳ)
- Prius autem quam veniret fides, sub lege custodiebamur conclusi in eam fidem quæ revelanda erat. (Ⅴ)
- Or avant que la foi vînt, nous étions gardés sous la loi, renfermés pour la foi qui devait être révélée; (Ⅶ)
- Or avant que la foi vînt, nous étions gardés sous la Loi, étant renfermés [sous l’attente] de la foi qui devait être révélée. (Ⅷ)
3. 24  
De sorte que la loi a été notre conducteur pour nous mener à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi.
- Ainsi la Loi a été notre pédagogue pour nous conduire au Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi. (Ⅰ)
- Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi. (Ⅱ)
- ὥστε ὁ νόμος παιδαγωγὸς ἡμῶν γέγονεν εἰς Χριστόν, ἵνα ἐκ πίστεως δικαιωθῶμεν· (Ⅳ)
- Itaque lex pædagogus noster fuit in Christo, ut ex fide justificemur. (Ⅴ)
- de sorte que la loi a été notre conducteur jusqu’à Christ, afin que nous fussions justifiés sur le principe de la foi; (Ⅶ)
- La Loi a donc été notre Pédagogue [pour nous amener] à Christ, afin que nous soyons justifiés par la foi. (Ⅷ)
3. 25  
Or, la foi étant venue, nous ne sommes plus sous ce conducteur.
- Mais la foi étant venue, nous ne sommes plus sous un pédagogue. (Ⅰ)
- La foi étant venue, nous ne sommes plus sous ce pédagogue. (Ⅱ)
- ἐλθούσης δὲ τῆς πίστεως οὐκέτι ὑπὸ παιδαγωγόν ἐσμεν. (Ⅳ)
- At ubi venit fides, jam non sumus sub pædagogo.\ (Ⅴ)
- mais, la foi étant venue, nous ne sommes plus sous un conducteur, (Ⅶ)
- Mais la foi étant venue, nous ne sommes plus sous le Pédagogue. (Ⅷ)
3. 26  
Car vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ.
- Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi dans le Christ Jésus. (Ⅰ)
- Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus Christ; (Ⅱ)
- πάντες γὰρ υἱοὶ θεοῦ ἐστε διὰ τῆς πίστεως ἐν Χριστῷ Ἰησοῦ. (Ⅳ)
- Omnes enim filii Dei estis per fidem, quæ est in Christo Jesu. (Ⅴ)
- car vous êtes tous fils de Dieu par la foi dans le christ Jésus. (Ⅶ)
- Parce que vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. (Ⅷ)
3. 27  
Car vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ.
- Vous tous, en effet, qui avez été baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ. (Ⅰ)
- vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. (Ⅱ)
- ὅσοι γὰρ εἰς Χριστὸν ἐβαπτίσθητε, Χριστὸν ἐνεδύσασθε· (Ⅳ)
- Quicumque enim in Christo baptizati estis, Christum induistis. (Ⅴ)
- Car vous tous qui avez été baptisés pour Christ, vous avez revêtu Christ: (Ⅶ)
- Car vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ ; (Ⅷ)
3. 28  
Il n'y a plus ni Juif ni Grec; il n'y a plus ni esclave ni libre; il n'y a plus ni homme ni femme; car vous êtes tous un en Jésus-Christ.
- Il n'y a plus ni Juif ni Grec; il n'y a plus ni esclave ni homme libre; il n'y a plus ni homme ni femme : car vous n'êtes tous qu'une personne dans le Christ Jésus. (Ⅰ)
- Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus Christ. (Ⅱ)
- οὐκ ἔνι Ἰουδαῖος οὐδὲ Ἕλλην, οὐκ ἔνι δοῦλος οὐδὲ ἐλεύθερος, οὐκ ἔνι ἄρσεν καὶ θῆλυ· ⸀πάντες γὰρ ὑμεῖς εἷς ἐστε ἐν Χριστῷ Ἰησοῦ. (Ⅳ)
- Non est Judæus, neque Græcus : non est servus, neque liber : non est masculus, neque femina. Omnes enim vos unum estis in Christo Jesu. (Ⅴ)
- il n’y a ni Juif, ni Grec; il n’y a ni esclave, ni homme libre; il n’y a ni mâle, ni femelle; car vous tous, vous êtes un dans le christ Jésus. (Ⅶ)
- [Où] il n’y a ni Juif ni Grec ; [où] il n’y a ni esclave ni libre ; [où] il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. (Ⅷ)
3. 29  
Et si vous êtes de Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, et les héritiers selon la promesse.
- Et si vous êtes au Christ, vous êtes donc " descendance " d'Abraham, héritiers selon la promesse. (Ⅰ)
- Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse. (Ⅱ)
- εἰ δὲ ὑμεῖς Χριστοῦ, ἄρα τοῦ Ἀβραὰμ σπέρμα ἐστέ, ⸀κατ’ ἐπαγγελίαν κληρονόμοι. (Ⅳ)
- Si autem vos Christi, ergo semen Abrahæ estis, secundum promissionem hæredes. (Ⅴ)
- Or si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, héritiers selon la promesse. (Ⅶ)
- Or si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, et héritiers selon la promesse. (Ⅷ)


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Chapitre 3
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