3.
1
- Mes frères, qu'il n'y en ait pas tant parmi vous qui s'érigent en docteurs, sachant que nous serons jugés plus sévèrement. (Ⅰ) - Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. (Ⅱ) - Μὴ πολλοὶ διδάσκαλοι γίνεσθε, ἀδελφοί μου, εἰδότες ὅτι μεῖζον κρίμα λημψόμεθα· (Ⅳ) - Nolite plures magistri fieri fratres mei, scientes quoniam majus judicium sumitis. (Ⅴ) - Ne soyez pas beaucoup de docteurs, mes frères, sachant que nous en recevrons un jugement plus sévère; (Ⅶ) - Mes frères, ne soyez point plusieurs maîtres ; sachant que nous [en] recevrons une plus grande condamnation. (Ⅷ)
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- Car nous péchons tous en beaucoup de choses. Si quelqu'un ne pèche pas en parole, c'est un homme parfait, capable de tenir aussi tout le corps en bride. (Ⅰ) - Nous bronchons tous de plusieurs manières. Si quelqu'un ne bronche point en paroles, c'est un homme parfait, capable de tenir tout son corps en bride. (Ⅱ) - πολλὰ γὰρ πταίομεν ἅπαντες. εἴ τις ἐν λόγῳ οὐ πταίει, οὗτος τέλειος ἀνήρ, δυνατὸς χαλιναγωγῆσαι καὶ ὅλον τὸ σῶμα. (Ⅳ) - In multis enim offendimus omnes. Si quis in verbo non offendit, hic perfectus est vir : potest etiam freno circumducere totum corpus. (Ⅴ) - car nous faillissons tous à plusieurs égards. Si quelqu’un ne faillit pas en paroles, celui-là est un homme parfait, capable de tenir aussi tout le corps en bride. (Ⅶ) - Car nous péchons tous en plusieurs choses ; si quelqu’un ne pèche pas en paroles, c’est un homme parfait, et il peut même tenir en bride tout le corps. (Ⅷ)
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3
- Si nous mettons aux chevaux un mors dans la bouche pour nous en faire obéir, nous gouvernons aussi leur corps tout entier. (Ⅰ) - Si nous mettons le mors dans la bouche des chevaux pour qu'ils nous obéissent, nous dirigeons aussi leur corps tout entier. (Ⅱ) - ⸂εἰ δὲ⸃ τῶν ἵππων τοὺς χαλινοὺς εἰς τὰ στόματα βάλλομεν ⸀εἰς τὸ πείθεσθαι αὐτοὺς ἡμῖν, καὶ ὅλον τὸ σῶμα αὐτῶν μετάγομεν. (Ⅳ) - Si autem equis frena in ora mittimus ad consentiendum nobis, et omne corpus illorum circumferimus. (Ⅴ) - Voici, nous mettons les mors des chevaux dans leurs bouches, pour qu’ils nous obéissent, et nous dirigeons çà et là leur corps tout entier. (Ⅶ) - Voilà, nous mettons aux chevaux des mors dans leurs bouches, afin qu’ils nous obéissent, et nous menons çà et là tout le corps. (Ⅷ)
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- Voyez encore les vaisseaux tout grands qu'ils sont et quoique poussés par des vents impétueux, ils sont conduits par un très petit gouvernail au gré du pilote qui les dirige. (Ⅰ) - Voici, même les navires, qui sont si grands et que poussent des vents impétueux, sont dirigés par un très petit gouvernail, au gré du pilote. (Ⅱ) - ἰδοὺ καὶ τὰ πλοῖα, τηλικαῦτα ὄντα καὶ ὑπὸ ⸂ἀνέμων σκληρῶν⸃ ἐλαυνόμενα, μετάγεται ὑπὸ ἐλαχίστου πηδαλίου ὅπου ⸂ἡ ὁρμὴ τοῦ εὐθύνοντος βούλεται⸃· (Ⅳ) - Ecce et naves, cum magnæ sint, et a ventis validis minentur, circumferuntur a modico gubernaculo ubi impetus dirigentis voluerit. (Ⅴ) - Voici, les navires aussi, qui sont si grands et qui sont poussés par des vents violents, sont dirigés çà et là par un très petit gouvernail, où que ce soit que le veuille l’impulsion de celui qui les gouverne. (Ⅶ) - Voilà aussi les navires, quoiqu’ils soient si grands, et qu’ils soient agités par la tempête, ils sont menés partout çà et là avec un petit gouvernail, selon qu’il plaît à celui qui les gouverne. (Ⅷ)
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- Ainsi la langue est un tout petit membre; mais de quelles grandes choses elle peut se vanter! Voyez, une étincelle peut embraser une grande forêt ! (Ⅰ) - De même, la langue est un petit membre, et elle se vante de grandes choses. Voici, comme un petit feu peut embraser une grande forêt. (Ⅱ) - οὕτως καὶ ἡ γλῶσσα μικρὸν μέλος ἐστὶν καὶ ⸂μεγάλα αὐχεῖ⸃. Ἰδοὺ ⸀ἡλίκον πῦρ ἡλίκην ὕλην ἀνάπτει· (Ⅳ) - Ita et lingua modicum quidem membrum est, et magna exaltat. Ecce quantus ignis quam magnam silvam incendit ! (Ⅴ) - Ainsi aussi la langue est un petit membre et elle se vante de grandes choses. Voici, un petit feu, quelle grande forêt allume-t-il! (Ⅶ) - Il en est ainsi de la langue, c’est un petit membre, et cependant elle [peut] se vanter de grandes choses. Voilà [aussi] un petit feu, combien de bois allume-t-il ? (Ⅷ)
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3.
6
- La langue aussi est un feu, un monde d'iniquité. N'étant qu'un de nos membres, la langue est capable d'infecter tout le corps; elle enflamme le cours de notre vie, enflammée qu'elle est elle-même du feu de l'enfer. (Ⅰ) - La langue aussi est un feu; c'est le monde de l'iniquité. La langue est placée parmi nos membres, souillant tout le corps, et enflammant le cours de la vie, étant elle-même enflammée par la géhenne. (Ⅱ) - καὶ ἡ γλῶσσα πῦρ, ὁ κόσμος τῆς ⸀ἀδικίας ἡ γλῶσσα καθίσταται ἐν τοῖς μέλεσιν ἡμῶν, ἡ σπιλοῦσα ὅλον τὸ σῶμα καὶ φλογίζουσα τὸν τροχὸν τῆς γενέσεως καὶ φλογιζομένη ὑπὸ τῆς γεέννης. (Ⅳ) - Et lingua ignis est, universitas iniquitatis. Lingua constituitur in membris nostris, quæ maculat totum corpus, et inflammat rotam nativitatis nostræ inflammata a gehenna. (Ⅴ) - Et la langue est un feu. La langue, un monde d’iniquité, est établie parmi nos membres; c’est elle qui souille tout le corps, et enflamme tout le cours de la nature, et est enflammée par la géhenne. (Ⅶ) - La langue aussi est un feu, [et] un monde d’iniquité ; [car] la langue est telle entre nos membres, qu’elle souille tout le corps, et enflamme [tout] le monde qui a été créé, étant elle-même enflammée [du feu] de la géhenne. (Ⅷ)
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3.
7
- Toutes les espèces de quadrupèdes, d'oiseaux, de reptiles et d'animaux marins peuvent se dompter, et ont été domptés par l'homme. (Ⅰ) - Toutes les espèces de bêtes et d'oiseaux, de reptiles et d'animaux marins, sont domptés et ont été domptés par la nature humaine; (Ⅱ) - πᾶσα γὰρ φύσις θηρίων τε καὶ πετεινῶν ἑρπετῶν τε καὶ ἐναλίων δαμάζεται καὶ δεδάμασται τῇ φύσει τῇ ἀνθρωπίνῃ· (Ⅳ) - Omnis enim natura bestiarum, et volucrum, et serpentium, et ceterorum domantur, et domita sunt a natura humana : (Ⅴ) - Car toute espèce de bêtes sauvages et d’oiseaux, de reptiles et d’animaux marins, se dompte et a été domptée par l’espèce humaine; (Ⅶ) - Car toute espèce de bêtes sauvages, d’oiseaux, de reptiles, et de poissons de la mer, se dompte, et a été domptée par la nature humaine. (Ⅷ)
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8
- Mais la langue, aucun homme ne peut la dompter : c'est un fléau qu'on ne peut arrêter; elle est remplie d'un venin mortel. (Ⅰ) - mais la langue, aucun homme ne peut la dompter; c'est un mal qu'on ne peut réprimer; elle est pleine d'un venin mortel. (Ⅱ) - τὴν δὲ γλῶσσαν οὐδεὶς ⸂δαμάσαι δύναται ἀνθρώπων⸃· ⸀ἀκατάστατον κακόν, μεστὴ ἰοῦ θανατηφόρου. (Ⅳ) - linguam autem nullus hominum domare potest : inquietum malum, plena veneno mortifero. (Ⅴ) - mais pour la langue, aucun des hommes ne peut la dompter: c’est un mal désordonné, plein d’un venin mortel. (Ⅶ) - Mais nul homme ne peut dompter la langue : c’est un mal qui ne se peut réprimer, [et] elle est pleine d’un venin mortel. (Ⅷ)
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9
- Par elle nous bénissons le Seigneur et notre Père, et par elle nous maudissons les hommes qui ont été faits à l'image de Dieu. (Ⅰ) - Par elle nous bénissons le Seigneur notre Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à l'image de Dieu. (Ⅱ) - ἐν αὐτῇ εὐλογοῦμεν τὸν ⸀κύριον καὶ πατέρα, καὶ ἐν αὐτῇ καταρώμεθα τοὺς ἀνθρώπους τοὺς καθ’ ὁμοίωσιν θεοῦ γεγονότας· (Ⅳ) - In ipsa benedicimus Deum et Patrem : et in ipsa maledicimus homines, qui ad similitudinem Dei facti sunt. (Ⅴ) - Par elle nous bénissons le Seigneur et Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à la ressemblance de Dieu; (Ⅶ) - Par elle nous bénissons [notre] Dieu et Père ; et par elle nous maudissons les hommes, faits à la ressemblance de Dieu. (Ⅷ)
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- De la même bouche sortent la malédiction et la bénédiction ! Il ne faut pas, mes frères, qu'il en soit ainsi. (Ⅰ) - De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu'il en soit ainsi. (Ⅱ) - ἐκ τοῦ αὐτοῦ στόματος ἐξέρχεται εὐλογία καὶ κατάρα. οὐ χρή, ἀδελφοί μου, ταῦτα οὕτως γίνεσθαι. (Ⅳ) - Ex ipso ore procedit benedictio et maledictio. Non oportet, fratres mei, hæc ita fieri. (Ⅴ) - de la même bouche procède la bénédiction et la malédiction. Mes frères, il ne devrait pas en être ainsi. (Ⅶ) - D’une même bouche procède la bénédiction et la malédiction. Mes frères, il ne faut pas que ces choses aillent ainsi. (Ⅷ)
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- Est-ce que de la même ouverture, la source fait jaillir le doux et l'amer? (Ⅰ) - La source fait-elle jaillir par la même ouverture l'eau douce et l'eau amère? (Ⅱ) - μήτι ἡ πηγὴ ἐκ τῆς αὐτῆς ὀπῆς βρύει τὸ γλυκὺ καὶ τὸ πικρόν; (Ⅳ) - Numquid fons de eodem foramine emanat dulcem et amaram aquam ? (Ⅴ) - Une fontaine fait-elle jaillir par une même ouverture le doux et l’amer? (Ⅶ) - Une fontaine jette-t-elle par une même ouverture le doux et l’amer ? (Ⅷ)
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- Est-ce qu'un figuier, mes frères, peut produire des olives, ou la vigne des figues? Ainsi une source salée ne peut donner de l'eau douce. (Ⅰ) - Un figuier, mes frères, peut-il produire des olives, ou une vigne des figues? De l'eau salée ne peut pas non plus produire de l'eau douce. (Ⅱ) - μὴ δύναται, ἀδελφοί μου, συκῆ ἐλαίας ποιῆσαι ἢ ἄμπελος σῦκα; ⸂οὔτε ἁλυκὸν⸃ γλυκὺ ποιῆσαι ὕδωρ. (Ⅳ) - Numquid potest, fratres mei, ficus uvas facere, aut vitis ficus ? Sic neque salsa dulcem potest facere aquam.\ (Ⅴ) - Mes frères, un figuier peut-il produire des olives, ou une vigne, des figues? De l’eau salée ne peut pas non plus faire de l’eau douce. (Ⅶ) - Mes frères, un figuier peut-il produire des olives ? ou une vigne des figues ? de même aucune fontaine ne peut jeter de l’eau salée et de [l’eau] douce. (Ⅷ)
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- Qui parmi vous est sage et intelligent? Qu'il fasse voir à l'oeuvre dans la suite d'une bonne vie sa modération et sa sagesse. (Ⅰ) - Lequel d'entre vous est sage et intelligent? Qu'il montre ses oeuvres par une bonne conduite avec la douceur de la sagesse. (Ⅱ) - Τίς σοφὸς καὶ ἐπιστήμων ἐν ὑμῖν; δειξάτω ἐκ τῆς καλῆς ἀναστροφῆς τὰ ἔργα αὐτοῦ ἐν πραΰτητι σοφίας. (Ⅳ) - Quis sapiens et disciplinatus inter vos ? Ostendat ex bona conversatione operationem suam in mansuetudine sapientiæ. (Ⅴ) - Qui est sage et intelligent parmi vous? Que par une bonne conduite il montre ses œuvres avec la douceur de la sagesse. (Ⅶ) - Y a-t-il parmi vous quelque homme sage et intelligent ? qu’il fasse voir ses actions par une bonne conduite avec douceur et sagesse. (Ⅷ)
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- Mais si vous avez dans vos coeurs un zèle amer et un esprit de dispute, ne vous glorifiez point et ne mentez point contre la vérité. (Ⅰ) - Mais si vous avez dans votre coeur un zèle amer et un esprit de dispute, ne vous glorifiez pas et ne mentez pas contre la vérité. (Ⅱ) - εἰ δὲ ζῆλον πικρὸν ἔχετε καὶ ἐριθείαν ἐν τῇ καρδίᾳ ὑμῶν, μὴ κατακαυχᾶσθε καὶ ψεύδεσθε κατὰ τῆς ἀληθείας. (Ⅳ) - Quod si zelum amarum habetis, et contentiones sint in cordibus vestris : nolite gloriari, et mendaces esse adversus veritatem : (Ⅴ) - Mais si vous avez une jalousie amère et un esprit de querelle dans vos cœurs, ne vous glorifiez pas et ne mentez pas contre la vérité. (Ⅶ) - Mais si vous avez une envie amère et de l’irritation dans vos cœurs, ne vous glorifiez point, et ne mentez point en déshonorant la vérité [de l’Evangile]. (Ⅷ)
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3.
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- Une pareille sagesse ne descend pas d'en haut; elle est terrestre, charnelle, diabolique. (Ⅰ) - Cette sagesse n'est point celle qui vient d'en haut; mais elle est terrestre, charnelle, diabolique. (Ⅱ) - οὐκ ἔστιν αὕτη ἡ σοφία ἄνωθεν κατερχομένη, ἀλλὰ ἐπίγειος, ψυχική, δαιμονιώδης· (Ⅳ) - non est enim ista sapientia desursum descendens : sed terrena, animalis, diabolica. (Ⅴ) - Ce n’est pas là la sagesse qui descend d’en haut, mais une sagesse terrestre, animale, diabolique. (Ⅶ) - Car ce n’est pas là la sagesse qui descend d’en haut ; mais c’est [une sagesse] terrestre, sensuelle et diabolique. (Ⅷ)
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- Car là où il y a jalousie et esprit de contention, là est le trouble et toute action mauvaise. (Ⅰ) - Car là où il y a un zèle amer et un esprit de dispute, il y a du désordre et toutes sortes de mauvaises actions. (Ⅱ) - ὅπου γὰρ ζῆλος καὶ ἐριθεία, ἐκεῖ ἀκαταστασία καὶ πᾶν φαῦλον πρᾶγμα. (Ⅳ) - Ubi enim zelus et contentio, ibi inconstantia et omne opus pravum. (Ⅴ) - Car où il y a de la jalousie et un esprit de querelle, là il y a du désordre et toute espèce de mauvaises actions. (Ⅶ) - Car où il y a de l’envie et de l’irritation, là est le désordre, et toute sorte de mal. (Ⅷ)
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- Alors la sagesse d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, condescendante, traitable, pleine de miséricorde et de bons fruits, sans partialité, sans hypocrisie. (Ⅰ) - La sagesse d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d'hypocrisie. (Ⅱ) - ἡ δὲ ἄνωθεν σοφία πρῶτον μὲν ἁγνή ἐστιν, ἔπειτα εἰρηνική, ἐπιεικής, εὐπειθής, μεστὴ ἐλέους καὶ καρπῶν ἀγαθῶν, ⸀ἀδιάκριτος, ἀνυπόκριτος· (Ⅳ) - Quæ autem desursum est sapientia, primum quidem pudica est, deinde pacifica, modesta, suadibilis, bonus consentiens, plena misericordia et fructibus bonis, non judicans, sine simulatione. (Ⅴ) - Mais la sagesse d’en haut est premièrement pure, ensuite paisible, modérée, traitable, pleine de miséricorde et de bons fruits, sans partialité, sans hypocrisie. (Ⅶ) - Mais la sagesse [qui vient] d’en haut, est premièrement pure, et ensuite pacifique, modérée, traitable, pleine de miséricorde, et de bons fruits, ne faisant point beaucoup de difficultés, et sans hypocrisie. (Ⅷ)
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- Le fruit de justice se sème dans la paix par ceux qui pratiquent la paix. (Ⅰ) - Le fruit de la justice est semé dans la paix par ceux qui recherchent la paix. (Ⅱ) - καρπὸς ⸀δὲ δικαιοσύνης ἐν εἰρήνῃ σπείρεται τοῖς ποιοῦσιν εἰρήνην. (Ⅳ) - Fructus autem justitiæ, in pace seminatur, facientibus pacem. (Ⅴ) - Or le fruit de la justice, dans la paix, se sème pour ceux qui procurent la paix. (Ⅶ) - Or le fruit de la justice se sème dans la paix, pour ceux qui s’adonnent à la paix. (Ⅷ)
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