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(Ⅰ)
(Ⅲ)
(Ⅳ)
(Ⅵ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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4. 1  
Or je dis ceci : Aussi longtemps que l'héritier est enfant, il ne diffère en rien d'un esclave, quoiqu'il soit le maître de tout;
- Or, aussi longtemps que l'héritier est enfant, je dis qu'il ne diffère en rien d'un esclave, quoiqu'il soit le maître de tout; (Ⅰ)
- Λέγω δέ, ἐφ’ ὅσον χρόνον ὁ κληρονόμος νήπιός ἐστιν, οὐδὲν διαφέρει δούλου κύριος πάντων ὤν, (Ⅲ)
- Dico autem : quanto tempore hæres parvulus est, nihil differt a servo, cum sit dominus omnium : (Ⅳ)
- Or je dis qu’aussi longtemps que l’héritier est en bas âge, il ne diffère en rien d’un esclave, quoiqu’il soit seigneur de tout; (Ⅵ)
- Or je dis que pendant tout le temps que l’héritier est un enfant, il n’est en rien différent du serviteur, quoiqu’il soit Seigneur de tout. (Ⅶ)
- Or, je dis qu'aussi longtemps que l'héritier est enfant, il ne diffère en rien de l'esclave, quoiqu'il soit seigneur de tout; (Ⅷ)
4. 2  
mais il est soumis à des tuteurs et à des curateurs jusqu'au temps marqué par le père.
- mais il est sous des tuteurs et des administrateurs jusqu'au temps marqué par le père. (Ⅰ)
- ἀλλὰ ὑπὸ ἐπιτρόπους ἐστὶ καὶ οἰκονόμους ἄχρι τῆς προθεσμίας τοῦ πατρός. (Ⅲ)
- sed sub tutoribus et actoribus est usque ad præfinitum tempus a patre : (Ⅳ)
- mais il est sous des tuteurs et des curateurs jusqu’à l’époque fixée par le père. (Ⅵ)
- Mais il est sous des tuteurs et des curateurs jusqu’au temps déterminé par le père. (Ⅶ)
- Mais il est sous des tuteurs et des curateurs jusqu'au temps marqué par le père. (Ⅷ)
4. 3  
De même, nous aussi, quand nous étions enfants, nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde.
- Nous aussi, de la même manière, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde; (Ⅰ)
- οὕτως καὶ ἡμεῖς, ὅτε ἦμεν νήπιοι, ὑπὸ τὰ στοιχεῖα τοῦ κόσμου ⸀ἤμεθα δεδουλωμένοι· (Ⅲ)
- ita et nos cum essemus parvuli, sub elementis mundi eramus servientes. (Ⅳ)
- Ainsi aussi nous, lorsque nous étions en bas âge, nous étions asservis sous les éléments du monde; (Ⅵ)
- Nous aussi, lorsque nous étions des enfants, nous étions asservis sous les rudiments du monde. (Ⅶ)
- Nous aussi de même, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde. (Ⅷ)
4. 4  
Mais lorsque est venue la plénitude des temps, Dieu a envoyé son Fils, formé d'une femme, né sous la Loi,
- mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi, (Ⅰ)
- ὅτε δὲ ἦλθεν τὸ πλήρωμα τοῦ χρόνου, ἐξαπέστειλεν ὁ θεὸς τὸν υἱὸν αὐτοῦ, γενόμενον ἐκ γυναικός, γενόμενον ὑπὸ νόμον, (Ⅲ)
- At ubi venit plenitudo temporis, misit Deus Filium suum factum ex muliere, factum sub lege, (Ⅳ)
- mais, quand l’accomplissement du temps est venu, Dieu a envoyé son Fils, né de femme, né sous la loi, (Ⅵ)
- Mais quand l’accomplissement du temps est venu, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme, [et] soumis à la Loi. (Ⅶ)
- Mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi, (Ⅷ)
4. 5  
pour affranchir ceux qui sont sous la Loi, afin de nous conférer l'adoption.
- afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption. (Ⅰ)
- ἵνα τοὺς ὑπὸ νόμον ἐξαγοράσῃ, ἵνα τὴν υἱοθεσίαν ἀπολάβωμεν. (Ⅲ)
- ut eos, qui sub lege erant, redimeret, ut adoptionem filiorum reciperemus. (Ⅳ)
- afin qu’il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l’adoption. (Ⅵ)
- Afin qu’il rachetât ceux qui étaient sous la Loi, et que nous reçussions l’adoption des enfants. (Ⅶ)
- Afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption. (Ⅷ)
4. 6  
Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans vos cœurs l'Esprit de son Fils, lequel crie : Abba ! Père !
- Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans nos coeurs l'Esprit de son Fils, lequel crie: Abba! Père! (Ⅰ)
- ὅτι δέ ἐστε υἱοί, ἐξαπέστειλεν ὁ θεὸς τὸ πνεῦμα τοῦ υἱοῦ αὐτοῦ εἰς τὰς καρδίας ⸀ἡμῶν, κρᾶζον· Αββα ὁ πατήρ. (Ⅲ)
- Quoniam autem estis filii, misit Deus Spiritum Filii sui in corda vestra, clamantem : Abba, Pater. (Ⅳ)
- Et, parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé l’Esprit de son Fils dans nos cœurs, criant: Abba, Père: (Ⅵ)
- Et parce que vous êtes enfants, Dieu a envoyé l’Esprit de son Fils dans vos cœurs, criant Abba, [c’est-à-dire] Père. (Ⅶ)
- Et, parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans vos cœurs l'Esprit de son Fils, lequel crie: Abba, ô Père! (Ⅷ)
4. 7  
Ainsi tu n'es plus esclave, tu es fils; et si tu es fils, tu es aussi héritier grâce à Dieu.
- Ainsi tu n'es plus esclave, mais fils; et si tu es fils, tu es aussi héritier par la grâce de Dieu. (Ⅰ)
- ὥστε οὐκέτι εἶ δοῦλος ἀλλὰ υἱός· εἰ δὲ υἱός, καὶ κληρονόμος ⸂διὰ θεοῦ⸃. (Ⅲ)
- Itaque jam non est servus, sed filius : quod si filius, et hæres per Deum.\ (Ⅳ)
- de sorte que tu n’es plus esclave, mais fils; et, si fils, héritier aussi par Dieu. (Ⅵ)
- Maintenant donc tu n’es plus serviteur, mais fils ; or si tu es fils, tu es aussi héritier de Dieu par Christ. (Ⅶ)
- C'est pourquoi tu n'es plus esclave, mais fils, et si tu es fils, tu es aussi héritier de Dieu par Christ. (Ⅷ)
4. 8  
Autrefois, il est vrai, ne connaissant pas Dieu, vous serviez ceux qui par leur nature ne sont pas dieux;
- Autrefois, ne connaissant pas Dieu, vous serviez des dieux qui ne le sont pas de leur nature; (Ⅰ)
- Ἀλλὰ τότε μὲν οὐκ εἰδότες θεὸν ἐδουλεύσατε τοῖς ⸂φύσει μὴ⸃ οὖσι θεοῖς· (Ⅲ)
- Sed tunc quidem ignorantes Deum, iis, qui natura non sunt dii, serviebatis. (Ⅳ)
- Mais alors, ne connaissant pas Dieu, vous étiez asservis à ceux qui, par leur nature, ne sont pas dieux: (Ⅵ)
- Mais lorsque vous ne connaissiez point Dieu, vous serviez ceux qui de [leur] nature ne sont point Dieux. (Ⅶ)
- Mais alors, à la vérité, ne connaissant point Dieu, vous serviez des dieux qui n'en sont point de leur nature. (Ⅷ)
4. 9  
mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous à ces pauvres et faibles rudiments, auxquels de nouveau vous voulez vous asservir encore?
- mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous à ces faibles et pauvres rudiments, auxquels de nouveau vous voulez vous asservir encore? (Ⅰ)
- νῦν δὲ γνόντες θεόν, μᾶλλον δὲ γνωσθέντες ὑπὸ θεοῦ, πῶς ἐπιστρέφετε πάλιν ἐπὶ τὰ ἀσθενῆ καὶ πτωχὰ στοιχεῖα, οἷς πάλιν ἄνωθεν ⸀δουλεύειν θέλετε; (Ⅲ)
- Nunc autem cum cognoveritis Deum, immo cogniti sitis a Deo : quomodo convertimini iterum ad infirma et egena elementa, quibus denuo servire vultis ? (Ⅳ)
- mais maintenant, ayant connu Dieu, mais plutôt ayant été connus de Dieu, comment retournez-vous de nouveau aux faibles et misérables éléments auxquels vous voulez encore derechef être asservis? (Ⅵ)
- Et maintenant que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous encore à ces faibles et misérables éléments, auxquels vous voulez encore servir comme auparavant ? (Ⅶ)
- Et maintenant que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous encore à ces faibles et misérables rudiments, auxquels vous voulez vous assujettir de nouveau? (Ⅷ)
4. 10  
Vous observez les jours, les mois, les temps et les années !
- Vous observez les jours, les mois, les temps et les années! (Ⅰ)
- ἡμέρας παρατηρεῖσθε καὶ μῆνας καὶ καιροὺς καὶ ἐνιαυτούς. (Ⅲ)
- Dies observatis, et menses, et tempora, et annos. (Ⅳ)
- Vous observez des jours, et des mois, et des temps, et des années. (Ⅵ)
- Vous observez les jours, les mois, les temps et les années. (Ⅶ)
- Vous observez les jours, les mois, les temps et les années. (Ⅷ)
4. 11  
J'ai peur pour vous d'avoir travaillé en vain parmi vous.
- Je crains d'avoir inutilement travaillé pour vous. (Ⅰ)
- φοβοῦμαι ὑμᾶς μή πως εἰκῇ κεκοπίακα εἰς ὑμᾶς. (Ⅲ)
- Timeo vos, ne forte sine causa laboraverim in vobis.\ (Ⅳ)
- Je crains, quant à vous, que peut-être je n’aie travaillé en vain pour vous. (Ⅵ)
- Je crains pour vous que peut-être je n’aie travaillé en vain parmi vous. (Ⅶ)
- Je crains pour vous que je n'aie travaillé en vain à votre égard. (Ⅷ)
4. 12  
Devenez comme moi, puisque moi-même je suis comme vous, frères, je vous en supplie. Vous ne m'avez blessé en rien.
- Soyez comme moi, car moi aussi je suis comme vous. Frères, je vous en supplie. (Ⅰ)
- Γίνεσθε ὡς ἐγώ, ὅτι κἀγὼ ὡς ὑμεῖς, ἀδελφοί, δέομαι ὑμῶν. οὐδέν με ἠδικήσατε· (Ⅲ)
- Estote sicut ego, quia et ego sicut vos : fratres, obsecro vos. Nihil me læsistis. (Ⅳ)
- Soyez comme moi, car moi aussi je suis comme vous, frères; je vous en prie. Vous ne m’avez fait aucun tort; (Ⅵ)
- Soyez comme moi ; car je [suis] aussi comme vous ; je vous [en] prie, mes frères ; vous ne m’avez fait aucun tort. (Ⅶ)
- Soyez comme moi, car moi aussi j'ai été comme vous; je vous en prie, frères. (Ⅷ)
4. 13  
Quand je vous ai pour la première fois annoncé l'Evangile, vous savez quelle était l'infirmité de ma chair; et cependant ce qui dans ma chair était une épreuve pour vous,
- Vous ne m'avez fait aucun tort. Vous savez que ce fut à cause d'une infirmité de la chair que je vous ai pour la première fois annoncé l'Évangile. (Ⅰ)
- οἴδατε δὲ ὅτι δι’ ἀσθένειαν τῆς σαρκὸς εὐηγγελισάμην ὑμῖν τὸ πρότερον, (Ⅲ)
- Scitis autem quia per infirmitatem carnis evangelizavi vobis jampridem : et tentationem vestram in carne mea (Ⅳ)
- — et vous savez que dans l’infirmité de la chair je vous ai évangélisé au commencement; (Ⅵ)
- Et vous savez comment je vous ai ci-devant évangélisé dans l’infirmité de la chair. (Ⅶ)
- Vous ne m'avez fait aucun tort; et vous savez que je vous ai annoncé ci-devant l'Évangile dans l'infirmité de la chair; (Ⅷ)
4. 14  
vous ne l'avez ni méprisé ni repoussé; mais vous m'avez reçu comme un ange de Dieu, comme le Christ Jésus.
- Et mis à l'épreuve par ma chair, vous n'avez témoigné ni mépris ni dégoût; vous m'avez, au contraire, reçu comme un ange de Dieu, comme Jésus Christ. (Ⅰ)
- καὶ τὸν πειρασμὸν ⸀ὑμῶν ἐν τῇ σαρκί μου οὐκ ἐξουθενήσατε οὐδὲ ἐξεπτύσατε, ἀλλὰ ὡς ἄγγελον θεοῦ ἐδέξασθέ με, ὡς Χριστὸν Ἰησοῦν. (Ⅲ)
- non sprevistis, neque respuistis : sed sicut angelum Dei excepistis me, sicut Christum Jesum. (Ⅳ)
- et vous n’avez point méprisé, ni rejeté avec dégoût ma tentation qui était en ma chair; mais vous m’avez reçu comme un ange de Dieu, comme le christ Jésus. (Ⅵ)
- Et vous n’avez point méprisé ni rejeté mon épreuve, telle qu’elle était en ma chair ; mais vous m’avez reçu comme un Ange de Dieu, et comme Jésus-Christ même. (Ⅶ)
- Et vous ne m'avez point méprisé ni rejeté, à cause de ces épreuves que j'ai dans ma chair; mais vous m'avez reçu comme un ange de Dieu, et comme Jésus-Christ. (Ⅷ)
4. 15  
Que sont devenus ces heureux sentiments? Car je vous rends ce témoignage que, s'il eût été possible, vous vous seriez arraché les yeux pour me les donner.
- Où donc est l'expression de votre bonheur? Car je vous atteste que, si cela eût été possible, vous vous seriez arraché les yeux pour me les donner. (Ⅰ)
- ⸀ποῦ ⸀οὖν ὁ μακαρισμὸς ὑμῶν; μαρτυρῶ γὰρ ὑμῖν ὅτι εἰ δυνατὸν τοὺς ὀφθαλμοὺς ὑμῶν ⸀ἐξορύξαντες ἐδώκατέ μοι. (Ⅲ)
- Ubi est ergo beatitudo vestra ? testimonium enim perhibeo vobis, quia, si fieri posset, oculos vestros eruissetis, et dedissetis mihi. (Ⅳ)
- Quel était donc votre bonheur? Car je vous rends témoignage que, si cela eût été possible, arrachant vos propres yeux, vous me les eussiez donnés. (Ⅵ)
- Quelle était donc la déclaration [que vous faisiez] de votre bonheur ? car je vous rends témoignage que, s’il eût été possible, vous eussiez arraché vos yeux, et vous me les eussiez donnés. (Ⅶ)
- Qu'est-ce donc qui faisait alors votre bonheur? Car je vous rends témoignage, que s'il eût été possible, vous vous fussiez arraché les yeux pour me les donner. (Ⅷ)
4. 16  
Je serais donc devenu votre ennemi, parce que je vous ai dit la vérité?
- Suis-je devenu votre ennemi en vous disant la vérité? (Ⅰ)
- ὥστε ἐχθρὸς ὑμῶν γέγονα ἀληθεύων ὑμῖν; (Ⅲ)
- Ergo inimicus vobis factus sum, verum dicens vobis ? (Ⅳ)
- Je suis donc devenu votre ennemi en vous disant la vérité? (Ⅵ)
- Suis-je donc devenu votre ennemi, en vous disant la vérité ? (Ⅶ)
- Suis-je donc devenu votre ennemi, en vous disant la vérité? (Ⅷ)
4. 17  
L'affection dont ces gens font étalage pour vous, n'est pas bonne, ils veulent vous détacher de nous, afin que vous vous attachiez à eux.
- Le zèle qu'ils ont pour vous n'est pas pur, mais ils veulent vous détacher de nous, afin que vous soyez zélés pour eux. (Ⅰ)
- ζηλοῦσιν ὑμᾶς οὐ καλῶς, ἀλλὰ ἐκκλεῖσαι ὑμᾶς θέλουσιν, ἵνα αὐτοὺς ζηλοῦτε. (Ⅲ)
- Æmulantur vos non bene : sed excludere vos volunt, ut illos æmulemini. (Ⅳ)
- Ils ne sont pas zélés à votre égard comme il faut, mais ils veulent vous exclure, afin que vous soyez zélés à leur égard. (Ⅵ)
- Ils sont jaloux de vous, [mais] ce n’est pas comme il faut ; au contraire, ils vous veulent exclure, afin que vous soyez jaloux d’eux. (Ⅶ)
- Ils sont zélés pour vous; mais non loyalement: au contraire, ils veulent vous détacher de nous, afin que vous soyez zélés pour eux. (Ⅷ)
4. 18  
Il est beau d'être l'objet d'une vive affection, quand c'est dans le bien, toujours, et non pas seulement quand je suis présent parmi vous.
- Il est beau d'avoir du zèle pour ce qui est bien et en tout temps, et non pas seulement quand je suis présent parmi vous. (Ⅰ)
- καλὸν ⸀δὲ ζηλοῦσθαι ἐν καλῷ πάντοτε, καὶ μὴ μόνον ἐν τῷ παρεῖναί με πρὸς ὑμᾶς, (Ⅲ)
- Bonum autem æmulamini in bono semper : et non tantum cum præsens sum apud vos. (Ⅳ)
- Mais il est bon d’être toujours zélé pour le bien, et de ne pas l’être seulement quand je suis présent avec vous. (Ⅵ)
- Mais il est bon d’être toujours zélé pour le bien, et de ne l’être pas seulement quand je suis présent avec vous. (Ⅶ)
- Or, il est bon d'être zélé pour le bien en tout temps, et non pas seulement lorsque je suis présent parmi vous. (Ⅷ)
4. 19  
Mes petits enfants, pour qui j'éprouve de nouveau les douleurs de l'enfantement, jusqu'à ce que le Christ soit formé en vous;
- Mes enfants, pour qui j'éprouve de nouveau les douleurs de l'enfantement, jusqu'à ce que Christ soit formé en vous, (Ⅰ)
- ⸀τέκνα μου, οὓς πάλιν ὠδίνω ⸀μέχρις οὗ μορφωθῇ Χριστὸς ἐν ὑμῖν· (Ⅲ)
- Filioli mei, quos iterum parturio, donec formetur Christus in vobis : (Ⅳ)
- Mes enfants, pour l’enfantement desquels je travaille de nouveau jusqu’à ce que Christ ait été formé en vous, (Ⅵ)
- Mes petits enfants, pour lesquels enfanter je travaille de nouveau, jusqu’à ce que Christ soit formé en vous : (Ⅶ)
- Mes petits enfants, pour qui je sens de nouveau les douleurs de l'enfantement, jusqu'à ce que Christ soit formé en vous; (Ⅷ)
4. 20  
combien je voudrais être auprès de vous à cette heure et changer de langage, car je suis dans une grande perplexité à votre sujet !
- je voudrais être maintenant auprès de vous, et changer de langage, car je suis dans l'inquiétude à votre sujet. (Ⅰ)
- ἤθελον δὲ παρεῖναι πρὸς ὑμᾶς ἄρτι, καὶ ἀλλάξαι τὴν φωνήν μου, ὅτι ἀποροῦμαι ἐν ὑμῖν. (Ⅲ)
- vellem autem esse apud vos modo, et mutare vocem meam : quoniam confundor in vobis.\ (Ⅳ)
- oui, je voudrais être maintenant auprès de vous et changer de langage, car je suis en perplexité à votre sujet. (Ⅵ)
- Je voudrais être maintenant avec vous, et changer de langage, car je suis en perplexité sur votre sujet. (Ⅶ)
- Je voudrais être maintenant avec vous, et changer de langage; car je suis dans une grande inquiétude à votre sujet. (Ⅷ)
4. 21  
Dites-moi, vous qui voulez être sous la Loi, n'entendez-vous pas la Loi?
- Dites-moi, vous qui voulez être sous la loi, n'entendez-vous point la loi? (Ⅰ)
- Λέγετέ μοι, οἱ ὑπὸ νόμον θέλοντες εἶναι, τὸν νόμον οὐκ ἀκούετε; (Ⅲ)
- Dicite mihi qui sub lege vultis esse : legem non legistis ? (Ⅳ)
- Dites-moi, vous qui voulez être sous la loi, n’écoutez-vous pas la loi? (Ⅵ)
- Dites-moi, vous qui voulez être sous la Loi, n’entendez-vous point la Loi ? (Ⅶ)
- Dites-moi, vous qui voulez être sous la loi, n'entendez-vous point la loi? (Ⅷ)
4. 22  
Car il est écrit qu'Abraham eut deux fils, l'un de la servante, l'autre de la femme libre.
- Car il est écrit qu'Abraham eut deux fils, un de la femme esclave, et un de la femme libre. (Ⅰ)
- γέγραπται γὰρ ὅτι Ἀβραὰμ δύο υἱοὺς ἔσχεν, ἕνα ἐκ τῆς παιδίσκης καὶ ἕνα ἐκ τῆς ἐλευθέρας· (Ⅲ)
- Scriptum est enim : Quoniam Abraham duos filios habuit : unum de ancilla, et unum de libera. (Ⅳ)
- Car il est écrit qu’Abraham a eu deux fils, l’un de la servante, et l’autre de la femme libre. (Ⅵ)
- Car il est écrit qu’Abraham a eu deux fils, l’un de la servante, et l’autre de la [femme] libre. (Ⅶ)
- Car il est écrit, qu'Abraham eut deux fils; l'un de l'esclave, et l'autre de la femme libre. (Ⅷ)
4. 23  
Mais le fils de la servante naquit selon la chair, et celui de la femme libre en vertu de la promesse.
- Mais celui de l'esclave naquit selon la chair, et celui de la femme libre naquit en vertu de la promesse. (Ⅰ)
- ἀλλ’ ὁ μὲν ἐκ τῆς παιδίσκης κατὰ σάρκα γεγέννηται, ὁ δὲ ἐκ τῆς ἐλευθέρας ⸀δι’ ἐπαγγελίας. (Ⅲ)
- Sed qui de ancilla, secundum carnem natus est : qui autem de libera, per repromissionem : (Ⅳ)
- Mais celui qui naquit de la servante naquit selon la chair, et celui qui naquit de la femme libre naquit par la promesse. (Ⅵ)
- Mais celui qui était de la servante, naquit selon la chair ; et celui qui était de la [femme] libre, naquit par la promesse. (Ⅶ)
- Mais celui de l'esclave naquit selon la chair; et celui de la femme libre naquit en vertu de la promesse. (Ⅷ)
4. 24  
Ces choses ont un sens allégorique; car ces femmes sont deux alliances. L'une, du mont Sinaï, enfantant pour la servitude : c'est Agar,
- Ces choses sont allégoriques; car ces femmes sont deux alliances. L'une du mont Sinaï, enfantant pour la servitude, c'est Agar, - (Ⅰ)
- ἅτινά ἐστιν ἀλληγορούμενα· αὗται γάρ εἰσιν δύο διαθῆκαι, μία μὲν ἀπὸ ὄρους Σινᾶ, εἰς δουλείαν γεννῶσα, ἥτις ἐστὶν Ἁγάρ, (Ⅲ)
- quæ sunt per allegoriam dicta. Hæc enim sunt duo testamenta. Unum quidem in monte Sina, in servitutem generans, quæ est Agar : (Ⅳ)
- Ces choses doivent être prises dans un sens allégorique: car ce sont deux alliances, l’une du mont Sina, enfantant pour la servitude, et c’est Agar. (Ⅵ)
- Or ces choses doivent être entendues par allégorie : car ce sont les deux alliances ; l’une du mont de Sinaï, qui ne produit que des esclaves, et c’est Agar. (Ⅶ)
- Ces choses sont allégoriques; car ces deux femmes sont deux alliances, l'une du mont Sina, qui enfante des esclaves, et c'est Agar. (Ⅷ)
4. 25  
— car Sinaï est une montagne en Arabie — elle correspond à la Jérusalem actuelle, laquelle est esclave, elle et ses enfants.
- car Agar, c'est le mont Sinaï en Arabie, -et elle correspond à la Jérusalem actuelle, qui est dans la servitude avec ses enfants. (Ⅰ)
- τὸ ⸀δὲ Ἁγὰρ Σινᾶ ὄρος ἐστὶν ἐν τῇ Ἀραβίᾳ, συστοιχεῖ δὲ τῇ νῦν Ἰερουσαλήμ, δουλεύει ⸀γὰρ μετὰ τῶν τέκνων αὐτῆς· (Ⅲ)
- Sina enim mons est in Arabia, qui conjunctus est ei quæ nunc est Jerusalem, et servit cum filiis suis. (Ⅳ)
- Car «Agar» est le mont Sina, en Arabie, et correspond à la Jérusalem de maintenant, car elle est dans la servitude avec ses enfants. (Ⅵ)
- Car ce nom d’Agar veut dire Sinaï ; qui est une montagne en Arabie, et correspondante à la Jérusalem de maintenant, laquelle sert avec ses enfants. (Ⅶ)
- Car Agar signifie le mont Sina, en Arabie, et elle correspond à la Jérusalem d'à présent, qui est, en effet, esclave avec ses enfants; (Ⅷ)
4. 26  
Mais la Jérusalem d'en haut est libre : c'est elle qui est notre mère;
- Mais la Jérusalem d'en haut est libre, c'est notre mère; (Ⅰ)
- ἡ δὲ ἄνω Ἰερουσαλὴμ ἐλευθέρα ἐστίν, ἥτις ἐστὶν ⸀μήτηρ ἡμῶν· (Ⅲ)
- Illa autem, quæ sursum est Jerusalem, libera est, quæ est mater nostra. (Ⅳ)
- Mais la Jérusalem d’en haut est la femme libre qui est notre mère. (Ⅵ)
- Mais la Jérusalem d’en haut est [la femme] libre, et c’est la mère de nous tous. (Ⅶ)
- Mais la Jérusalem d'en haut est libre, et c'est elle qui est la mère de nous tous. (Ⅷ)
4. 27  
car il est écrit : " Réjouis-toi, stérile, toi qui n'enfantais point ! Eclate en cris de joie et d'allégresse, toi qui ne connaissais pas les douleurs de l'enfantement ! Car les enfants de la délaissée seront plus nombreux que les enfants de celle qui avait l'époux. "
- car il est écrit: Réjouis-toi, stérile, toi qui n'enfantes point! Éclate et pousse des cris, toi qui n'as pas éprouvé les douleurs de l'enfantement! Car les enfants de la délaissée seront plus nombreux Que les enfants de celle qui était mariée. (Ⅰ)
- γέγραπται γάρ· Εὐφράνθητι, στεῖρα ἡ οὐ τίκτουσα, ῥῆξον καὶ βόησον, ἡ οὐκ ὠδίνουσα· ὅτι πολλὰ τὰ τέκνα τῆς ἐρήμου μᾶλλον ἢ τῆς ἐχούσης τὸν ἄνδρα. (Ⅲ)
- Scriptum est enim : [Lætare, sterilis, quæ non paris ;/ erumpe et clama, quæ non parturis :/ quia multi filii desertæ,/ magis quam ejus quæ habet virum.] (Ⅳ)
- Car il est écrit: «Réjouis-toi, stérile qui n’enfantes point; éclate de joie et pousse des cris, toi qui n’es point en travail d’enfant; car les enfants de la délaissée sont plus nombreux que les enfants de celle qui a un mari». (Ⅵ)
- Car il est écrit : réjouis-toi, stérile, qui n’enfantais point ; efforce-toi, et t’écrie, toi qui n’étais point en travail d’enfant ; car il y a beaucoup plus d’enfants de [celle qui avait été] laissée, que de celle qui avait un mari. (Ⅶ)
- Car il est écrit: Réjouis-toi, stérile, toi qui n'enfantais point, éclate et pousse des cris, toi qui n'as pas été en travail d'enfant; car les enfants de la délaissée seront plus nombreux que ceux de la femme qui avait l'époux. (Ⅷ)
4. 28  
Pour vous, frères, vous êtes, à la manière d'Isaac, enfants de la promesse.
- Pour vous, frères, comme Isaac, vous êtes enfants de la promesse; (Ⅰ)
- ⸂ὑμεῖς δέ, ἀδελφοί, κατὰ Ἰσαὰκ ἐπαγγελίας τέκνα ἐστέ⸃· (Ⅲ)
- Nos autem, fratres, secundum Isaac promissionis filii sumus. (Ⅳ)
- Or vous, frères, comme Isaac, vous êtes enfants de promesse. (Ⅵ)
- Or pour nous, mes frères, nous sommes enfants de la promesse, ainsi qu’Isaac. (Ⅶ)
- Pour nous, frères, nous sommes les enfants de la promesse, de même qu'Isaac. (Ⅷ)
4. 29  
Mais de même qu'alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l'Esprit, ainsi en est-il encore maintenant.
- et de même qu'alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l'Esprit, ainsi en est-il encore maintenant. (Ⅰ)
- ἀλλ’ ὥσπερ τότε ὁ κατὰ σάρκα γεννηθεὶς ἐδίωκε τὸν κατὰ πνεῦμα, οὕτως καὶ νῦν. (Ⅲ)
- Sed quomodo tunc is, qui secundum carnem natus fuerat, persequebatur eum qui secundum spiritum : ita et nunc. (Ⅳ)
- Mais, comme alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l’Esprit, il en est de même aussi maintenant. (Ⅵ)
- Mais comme alors celui qui était né selon la chair, persécutait celui [qui était né] selon l’Esprit, il [en est] de même aussi maintenant. (Ⅶ)
- Mais, comme alors, celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l'Esprit, il en est de même maintenant. (Ⅷ)
4. 30  
Mais que dit l'Ecriture? " Chasse l'esclave et son fils, car le fils de l'esclave ne saurait hériter avec le fils de la femme libre. "
- Mais que dit l'Écriture? Chasse l'esclave et son fils, car le fils de l'esclave n'héritera pas avec le fils de la femme libre. (Ⅰ)
- ἀλλὰ τί λέγει ἡ γραφή; Ἔκβαλε τὴν παιδίσκην καὶ τὸν υἱὸν αὐτῆς, οὐ γὰρ μὴ ⸀κληρονομήσει ὁ υἱὸς τῆς παιδίσκης μετὰ τοῦ υἱοῦ τῆς ἐλευθέρας. (Ⅲ)
- Sed quid dicit Scriptura ? Ejice ancillam, et filium ejus : non enim hæres erit filius ancillæ cum filio liberæ. (Ⅳ)
- Mais que dit l’écriture? «Chasse la servante et son fils, car le fils de la servante n’héritera point avec le fils de la femme libre». (Ⅵ)
- Mais que dit l’Ecriture ? chasse la servante et son fils : car le fils de la servante ne sera point héritier avec le fils de la [femme] libre. (Ⅶ)
- Mais que dit l'Écriture? Chasse l'esclave et son fils; car le fils de l'esclave ne sera point héritier avec le fils de la femme libre. (Ⅷ)
4. 31  
C'est pourquoi, frères, nous ne sommes pas enfants de la servante, mais de la femme libre.
- C'est pourquoi, frères, nous ne sommes pas enfants de l'esclave, mais de la femme libre. (Ⅰ)
- ⸀διό, ἀδελφοί, οὐκ ἐσμὲν παιδίσκης τέκνα ἀλλὰ τῆς ἐλευθέρας. (Ⅲ)
- Itaque, fratres, non sumus ancillæ filii, sed liberæ : qua libertate Christus nos liberavit. (Ⅳ)
- Ainsi, frères, nous ne sommes pas enfants de la servante, mais de la femme libre. (Ⅵ)
- Or mes frères, nous ne sommes point enfants de la servante, mais de la [femme] libre. (Ⅶ)
- Or, frères, nous sommes les enfants, non de l'esclave, mais de la femme libre. (Ⅷ)


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Chapitre 4
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