6.
1
Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté est allé ton bien-aimé, et nous le chercherons avec toi ?
- (Le Choeur:) Où est allé ton bien-aimé, la plus belle des femmes? De quel côté ton bien-aimé s'est-il tourné, pour que nous le cherchions avec toi? (Ⅰ) - Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes? De quel côté ton bien-aimé s'est-il dirigé? Nous le chercherons avec toi. (Ⅱ) - που̃ ἀπη̃λθεν ὁ ἀδελφιδός σου ἡ καλὴ ἐν γυναιξίν που̃ ἀπέβλεψεν ὁ ἀδελφιδός σου καὶ ζητήσομεν αὐτὸν μετὰ σου̃ (Ⅳ) - Quo abiit dilectus tuus, o pulcherrima mulierum ?/ quo declinavit dilectus tuus ?/ et quæremus eum tecum. (Ⅴ) - 1 ׃6 אנה הלך דודך היפה בנשים אנה פנה דודך ונבקשנו עמך (Ⅵ) - Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle parmi les femmes? De quel côté ton bien-aimé s’est-il tourné? et nous le chercherons avec toi. (Ⅶ) - Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes? De quel côté est allé ton bien-aimé? Nous le chercherons avec toi. (Ⅷ)
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2
Mon bien-aimé est descendu dans son verger, aux carreaux des drogues aromatiques, pour paître [son troupeau] dans les vergers, et cueillir du muguet.
- (L'Epouse:) Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, aux parterres de baumiers, pour faire paître son troupeau dans les jardins, et pour cueillir des lis. (Ⅰ) - Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d'aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis. (Ⅱ) - ἀδελφιδός μου κατέβη εἰς κη̃πον αὐτου̃ εἰς φιάλας του̃ ἀρώματος ποιμαίνειν ἐν κήποις καὶ συλλέγειν κρίνα (Ⅳ) - Dilectus meus descendit in hortum suum ad areolam aromatum,/ ut pascatur in hortis, et lilia colligat./ (Ⅴ) - 2 ׃6 דודי ירד לגנו לערוגות הבשם לרעות בגנים וללקט שושנים (Ⅵ) - Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, aux parterres des aromates, pour paître dans les jardins et pour cueillir des lis. (Ⅶ) - Mon bien-aimé est descendu dans son verger, au parterre des plantes aromatiques, pour paître son troupeau dans les vergers, et pour cueillir des lis. (Ⅷ)
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Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il paît [son troupeau] parmi le muguet.
- Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il fait paître son troupeau parmi les lis. (Ⅰ) - Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. - (Ⅱ) - ἐγὼ τω̨̃ ἀδελφιδω̨̃ μου καὶ ἀδελφιδός μου ἐμοὶ ὁ ποιμαίνων ἐν τοι̃ς κρίνοις (Ⅳ) - Ego dilecto meo, et dilectus meus mihi,/ qui pascitur inter lilia./ (Ⅴ) - 3 ׃6 אני לדודי ודודי לי הרעה בשושנים[Q][n][p] ס (Ⅵ) - Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; il paît parmi les lis. (Ⅶ) - Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; il paît son troupeau parmi les lis. (Ⅷ)
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Ma grande amie, tu es belle comme Tirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme des armées qui marchent à enseignes déployées.
- (L'Epoux:) Tu es belle, mon amie, comme Thirsa, charmante comme Jérusalem, mais terrible comme des bataillons. (Ⅰ) - Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, Agréable comme Jérusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières. (Ⅱ) - καλὴ εἰ̃ ἡ πλησίον μου ὡς εὐδοκία ὡραία ὡς Ιερουσαλημ θάμβος ὡς τεταγμέναι (Ⅳ) - Pulchra es, amica mea ;/ suavis, et decora sicut Jerusalem ;/ terribilis ut castrorum acies ordinata./ (Ⅴ) - 4 ׃6 יפה את רעיתי כתרצה נאוה כירושלם אימה כנדגלות (Ⅵ) - Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme des troupes sous leurs bannières. (Ⅶ) - Ma bien-aimée, tu es belle comme Thirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme les armées qui marchent enseignes déployées. (Ⅷ)
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Détourne tes yeux qu’ils ne me regardent ; car ils me forcent ; Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres qu’on tond [lorsqu’elles sont descendues] de Galaad.
- Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, suspendues aux flancs de la montagne de Galaad. (Ⅰ) - Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad. (Ⅱ) - ἀπόστρεψον ὀφθαλμούς σου ἀπεναντίον μου ὅτι αὐτοὶ ἀνεπτέρωσάν με τρίχωμά σου ὡς ἀγέλαι τω̃ν αἰγω̃ν αἳ ἀνεφάνησαν ἀπὸ του̃ Γαλααδ (Ⅳ) - Averte oculos tuos a me,/ quia ipsi me avolare fecerunt./ Capilli tui sicut grex caprarum/ quæ apparuerunt de Galaad./ (Ⅴ) - 5 ׃6 הסבי עיניך מנגדי שהם[C][c] הרהיבני שערך כעדר העזים שגלשו מן הגלעד (Ⅵ) - Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres sur les pentes de Galaad; (Ⅶ) - Détourne de moi tes yeux; qu'ils ne me regardent point, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres suspendues aux flancs de Galaad. (Ⅷ)
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Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir, et qui sont toutes deux à deux, et il n’y en a pas une qui manque.
- Tes dents sont comme un troupeau de brebis, qui remontent du lavoir ; chacune porte deux jumeaux ; et parmi elles, il n'est pas de stérile. (Ⅰ) - Tes dents sont comme un troupeau de brebis, Qui remontent de l'abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d'elles n'est stérile. (Ⅱ) - ὀδόντες σου ὡς ἀγέλαι τω̃ν κεκαρμένων αἳ ἀνέβησαν ἀπὸ του̃ λουτρου̃ αἱ πα̃σαι διδυμεύουσαι καὶ ἀτεκνου̃σα οὐκ ἔστιν ἐν αὐται̃ς (Ⅳ) - Dentes tui sicut grex ovium/ quæ ascenderunt de lavacro :/ omnes gemellis fœtibus,/ et sterilis non est in eis./ (Ⅴ) - 6 ׃6 שניך כעדר הרחלים שעלו מן הרחצה שכלם מתאימות ושכלה אין בהם (Ⅵ) - tes dents, comme un troupeau de brebis qui montent du lavoir, qui toutes ont des jumeaux, et pas une d’elles n’est stérile; (Ⅶ) - Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir, qui sont toutes deux à deux: il n'en manque aucune. (Ⅷ)
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Ta tempe est comme une pièce de pomme de grenade au dedans de tes tresses.
- Ta joue est comme une moitié de grenade, derrière ton voile. (Ⅰ) - Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile... (Ⅱ) - ὡς σπαρτίον τὸ κόκκινον χείλη σου καὶ ἡ λαλιά σου ὡραία ὡς λέπυρον τη̃ς ῥόας μη̃λόν σου ἐκτὸς τη̃ς σιωπήσεώς σου (Ⅳ) - Sicut cortex mali punici, sic genæ tuæ,/ absque occultis tuis./ (Ⅴ) - 7 ׃6 כפלח הרמון רקתך מבעד לצמתך (Ⅵ) - ta joue est comme un quartier de grenade derrière ton voile. (Ⅶ) - Ta joue est comme une moitié de grenade, sous ton voile. (Ⅷ)
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[Qu’il y ait] soixante Reines, et quatre-vingts concubines, et des vierges sans nombre ;
- Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre : (Ⅰ) - Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, Et des jeunes filles sans nombre. (Ⅱ) - ἑξήκοντά εἰσιν βασίλισσαι καὶ ὀγδοήκοντα παλλακαί καὶ νεάνιδες ὡ̃ν οὐκ ἔστιν ἀριθμός (Ⅳ) - Sexaginta sunt reginæ, et octoginta concubinæ,/ et adolescentularum non est numerus./ (Ⅴ) - 8 ׃6 ששים המה מלכות ושמנים פילגשים ועלמות אין מספר (Ⅵ) - Il y a soixante reines, et quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre: (Ⅶ) - Il y a soixante reines, et quatre-vingts concubines, et des vierges sans nombre: ma colombe, ma parfaite, est unique. (Ⅷ)
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6.
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Ma colombe, ma parfaite, est unique ; elle est unique à sa mère, à celle qui l’a enfantée ; les filles l’ont vue, et l’ont dite bienheureuse ; les Reines et les concubines l’ont louée, [en disant] :
- une seule est ma colombe, mon immaculée ; elle est l'unique de sa mère, la préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles l'ont vue et l'ont proclamée bienheureuse ; les reines et les concubines l'ont vue et l'ont louée : (Ⅰ) - Une seule est ma colombe, ma parfaite; Elle est l'unique de sa mère, La préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse; Les reines et les concubines aussi, et elles la louent. - (Ⅱ) - μία ἐστὶν περιστερά μου τελεία μου μία ἐστὶν τη̨̃ μητρὶ αὐτη̃ς ἐκλεκτή ἐστιν τη̨̃ τεκούση̨ αὐτη̃ς εἴδοσαν αὐτὴν θυγατέρες καὶ μακαριου̃σιν αὐτήν βασίλισσαι καὶ παλλακαὶ καὶ αἰνέσουσιν αὐτήν (Ⅳ) - Una est columba mea, perfecta mea,/ una est matris suæ, electa genetrici suæ./ Viderunt eam filiæ, et beatissimam prædicaverunt ;/ reginæ et concubinæ, et laudaverunt eam./ (Ⅴ) - 9 ׃6 אחת היא יונתי תמתי אחת היא לאמה ברה היא ליולדתה ראוה בנות ויאשרוה מלכות ופילגשים ויהללוה ס (Ⅵ) - ma colombe, ma parfaite, est unique; elle est l’unique de sa mère, la choisie de celle qui l’a enfantée. Les filles l’ont vue, et l’ont dite bienheureuse; les reines aussi et les concubines, et elles l’ont louée. (Ⅶ) - Elle est l'unique de sa mère, l'unique de celle qui l'a enfantée; les jeunes filles l'ont vue, et l'ont dite bienheureuse; les reines et les concubines l'ont louée. (Ⅷ)
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Qui est celle-ci qui paraît comme l’aube du jour, belle comme la lune, brillante comme le soleil, redoutable comme des armées qui marchent à enseignes déployées ?
- " Quelle est celle-ci qui apparaît comme l'aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, mais terrible comme des bataillons?" (Ⅰ) - Qui est celle qui apparaît comme l'aurore, Belle comme la lune, pure comme le soleil, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières? - (Ⅱ) - τίς αὕτη ἡ ἐκκύπτουσα ὡσεὶ ὄρθρος καλὴ ὡς σελήνη ἐκλεκτὴ ὡς ὁ ἥλιος θάμβος ὡς τεταγμέναι (Ⅳ) - Quæ est ista quæ progreditur quasi aurora consurgens,/ pulchra ut luna, electa ut sol,/ terribilis ut castrorum acies ordinata ?/ (Ⅴ) - 10 ׃6 מי זאת הנשקפה כמו שחר יפה כלבנה ברה כחמה אימה כנדגלות ס (Ⅵ) - Qui est celle-ci qui apparaît comme l’aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, redoutable comme des troupes sous leurs bannières? (Ⅶ) - Qui est celle qui apparaît comme l'aube du jour, belle comme la lune, pure comme le soleil, redoutable comme les armées qui marchent enseignes déployées? (Ⅷ)
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Je suis descendu au verger des noyers, pour voir les fruits de la vallée qui mûrissent, et pour voir si la vigne s’avance, et si les grenadiers ont poussé leur fleur.
- J'étais descendu au jardin des noyers, pour voir les herbes de la vallée, pour voir si la vigne pousse, si les grenadiers sont en fleurs. (Ⅰ) - Je suis descendue au jardin des noyers, Pour voir la verdure de la vallée, Pour voir si la vigne pousse, Si les grenadiers fleurissent. (Ⅱ) - εἰς κη̃πον καρύας κατέβην ἰδει̃ν ἐν γενήμασιν του̃ χειμάρρου ἰδει̃ν εἰ ἤνθησεν ἡ ἄμπελος ἐξήνθησαν αἱ ῥόαι ἐκει̃ δώσω τοὺς μαστούς μου σοί (Ⅳ) - Descendi in hortum nucum,/ ut viderem poma convallium,/ et inspicerem si floruisset vinea,/ et germinassent mala punica./ (Ⅴ) - 11 ׃6 אל גנת אגוז ירדתי לראות באבי הנחל לראות הפרחה הגפן הנצו הרמנים (Ⅵ) - Je suis descendu au jardin des noisettes, pour voir la verdure de la vallée, pour voir si la vigne bourgeonne, si les grenadiers s’épanouissent. (Ⅶ) - Je suis descendu au verger des noyers, pour voir les fruits qui mûrissent dans la vallée; pour voir si la vigne pousse, et si les grenadiers fleurissent. (Ⅷ)
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Je ne me suis point aperçu que mon affection m’a rendu semblable aux chariots d’Haminadab.
- Je ne sais, mais mon amour m'a fait monter sur les chars de mon noble peuple. (Ⅰ) - Je ne sais, mais mon désir m'a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. - (Ⅱ) - οὐκ ἔγνω ἡ ψυχή μου ἔθετό με ἅρματα Αμιναδαβ (Ⅳ) - Nescivi : anima mea conturbavit me,/ propter quadrigas Aminadab./ (Ⅴ) - 12 ׃6 לא ידעתי נפשי שמתני מרכבות עמי נדיב (Ⅵ) - Sans que je m’en aperçusse, mon âme m’a transporté sur les chars de mon peuple de franche volonté. (Ⅶ) - Je ne sais, mais mon affection m'a rendu semblable aux chars d'Aminadab. (Ⅷ)
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Reviens, reviens, ô Sulamite ! reviens, reviens, et que nous te contemplions. Que contempleriez-vous en la Sulamite ? Comme une danse de deux bandes.
- (Le Choeur:) Reviens, reviens, Sulamite ? Reviens, reviens, afin que nous te regardions. (L'Epoux:) Pourquoi regardez-vous la Sulamite, comme une danse de Machanaïm (Ⅰ) - Reviens, reviens, Sulamithe! Reviens, reviens, afin que nous te regardions. -Qu'avez-vous à regarder la Sulamithe Comme une danse de deux choeurs? (Ⅱ) - ἐπίστρεφε ἐπίστρεφε ἡ Σουλαμι̃τις ἐπίστρεφε ἐπίστρεφε καὶ ὀψόμεθα ἐν σοί τί ὄψεσθε ἐν τη̨̃ Σουλαμίτιδι ἡ ἐρχομένη ὡς χοροὶ τω̃ν παρεμβολω̃ν (Ⅳ) - Revertere, revertere, Sulamitis !/ revertere, revertere ut intueamur te.] (Ⅴ) - 1 ׃7 שובי שובי השולמית שובי שובי ונחזה בך מה תחזו בשולמית כמחלת המחנים (Ⅵ) - Reviens, reviens, Sulamithe! reviens, reviens, et que nous te voyions. — Que verriez-vous dans la Sulamithe? — Comme la danse de deux bandes. (Ⅶ) - Reviens, reviens, ô Sulamithe! Reviens, reviens, et que nous te contemplions! Pourquoi contemplez-vous la Sulamithe comme une danse de deux troupes? (Ⅷ)
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