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20 Verses | Page 1 / 1
(Version David Martin)


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(Ⅰ)
(Ⅰ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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6. 1  
C’est pourquoi laissant la parole qui n’enseigne que les premiers principes du Christianisme, tendons à la perfection, [et ne nous arrêtons pas] à jeter tout de nouveau le fondement de la repentance des œuvres mortes, et de la foi en Dieu ;
- C'est pourquoi, laissant de côté l'enseignement élémentaire sur le Christ, élevons-nous à l'enseignement parfait, sans poser de nouveau les principes fondamentaux du renoncement aux œuvres mortes, de la foi en Dieu, (Ⅰ)
- C'est pourquoi, laissant les éléments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement du renoncement aux oeuvres mortes, (Ⅱ)
- Διὸ ἀφέντες τὸν τῆς ἀρχῆς τοῦ Χριστοῦ λόγον ἐπὶ τὴν τελειότητα φερώμεθα, μὴ πάλιν θεμέλιον καταβαλλόμενοι μετανοίας ἀπὸ νεκρῶν ἔργων, καὶ πίστεως ἐπὶ θεόν, (Ⅳ)
- Quapropter intermittentes inchoationis Christi sermonem, ad perfectiora feramur, non rursum jacientes fundamentum pœnitentiæ ab operibus mortuis, et fidei ad Deum, (Ⅴ)
- C’est pourquoi, laissant la parole du commencement du Christ, avançons vers l’état d’hommes faits, ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance des œuvres mortes et de la foi en Dieu, (Ⅶ)
6. 2  
De la doctrine des Baptêmes, et de l’imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel.
- de la doctrine des ablutions, de l'imposition des mains, de la résurrection des morts et du jugement éternel. (Ⅰ)
- de la foi en Dieu, de la doctrine des baptêmes, de l'imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel. (Ⅱ)
- βαπτισμῶν ⸀διδαχὴν ἐπιθέσεώς τε χειρῶν, ἀναστάσεώς ⸀τε νεκρῶν καὶ κρίματος αἰωνίου. (Ⅳ)
- baptismatum doctrinæ, impositionis quoque manuum, ac resurrectionis mortuorum, et judicii æterni. (Ⅴ)
- de la doctrine des ablutions et de l’imposition des mains, et de la résurrection des morts et du jugement éternel. (Ⅶ)
6. 3  
Et c’est ce que nous ferons, si Dieu le permet.
- C'est ce que nous allons faire, si Dieu le permet. (Ⅰ)
- C'est ce que nous ferons, si Dieu le permet. (Ⅱ)
- καὶ τοῦτο ⸀ποιήσομεν ἐάνπερ ἐπιτρέπῃ ὁ θεός. (Ⅳ)
- Et hoc faciemus, si quidem permiserit Deus.\ (Ⅴ)
- Et c’est ce que nous ferons, si Dieu le permet. (Ⅶ)
6. 4  
Or il est impossible que ceux qui ont été une fois illuminés, et qui ont goûté le don céleste, et qui ont été faits participants du Saint-Esprit,
- Car il est impossible, pour ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit, (Ⅰ)
- Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint Esprit, (Ⅱ)
- Ἀδύνατον γὰρ τοὺς ἅπαξ φωτισθέντας γευσαμένους τε τῆς δωρεᾶς τῆς ἐπουρανίου καὶ μετόχους γενηθέντας πνεύματος ἁγίου (Ⅳ)
- Impossibile est enim eos qui semel sunt illuminati, gustaverunt etiam donum cæleste, et participes facti sunt Spiritus Sancti, (Ⅴ)
- Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, et qui ont goûté du don céleste, et qui sont devenus participants de l’Esprit Saint, (Ⅶ)
6. 5  
Et qui ont goûté la bonne parole de Dieu, et les puissances du siècle à venir ;
- qui ont goûté la douceur de la parole de Dieu et les merveilles du monde à venir, (Ⅰ)
- qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir, (Ⅱ)
- καὶ καλὸν γευσαμένους θεοῦ ῥῆμα δυνάμεις τε μέλλοντος αἰῶνος, (Ⅳ)
- gustaverunt nihilominus bonum Dei verbum, virtutesque sæculi venturi, (Ⅴ)
- et qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les miracles du siècle à venir, (Ⅶ)
6. 6  
S’ils retombent, soient changés de nouveau par la repentance, vu que, quant à eux, ils crucifient de nouveau le Fils de Dieu, et l’exposent à l’opprobre.
- et qui pourtant sont tombés, de les renouveler une seconde fois en les amenant à la pénitence, ceux qui pour leur part crucifient de nouveau le Fils de Dieu et le livrent à l'ignominie. (Ⅰ)
- et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu'ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l'exposent à l'ignominie. (Ⅱ)
- καὶ παραπεσόντας, πάλιν ἀνακαινίζειν εἰς μετάνοιαν, ἀνασταυροῦντας ἑαυτοῖς τὸν υἱὸν τοῦ θεοῦ καὶ παραδειγματίζοντας. (Ⅳ)
- et prolapsi sunt ; rursus renovari ad pœnitentiam, rursum crucifigentes sibimetipsis Filium Dei, et ostentui habentes. (Ⅴ)
- et qui sont tombés, soient renouvelés encore à la repentance, crucifiant pour eux-mêmes le Fils de Dieu et l’exposant à l’opprobre. (Ⅶ)
6. 7  
Car la terre qui boit souvent la pluie qui vient sur elle, et qui produit des herbes propres à ceux par qui elle est labourée, reçoit la bénédiction de Dieu ;
- Lorsqu'une terre, abreuvée par la pluie qui tombe souvent sur elle, produit une herbe utile à ceux pour qui on la cultive, elle a part à la bénédiction de Dieu (Ⅰ)
- Lorsqu'une terre est abreuvée par la pluie qui tombe souvent sur elle, et qu'elle produit une herbe utile à ceux pour qui elle est cultivée, elle participe à la bénédiction de Dieu; (Ⅱ)
- γῆ γὰρ ἡ πιοῦσα τὸν ἐπ’ αὐτῆς ⸂ἐρχόμενον πολλάκις⸃ ὑετόν, καὶ τίκτουσα βοτάνην εὔθετον ἐκείνοις δι’ οὓς καὶ γεωργεῖται, μεταλαμβάνει εὐλογίας ἀπὸ τοῦ θεοῦ· (Ⅳ)
- Terra enim sæpe venientem super se bibens imbrem, et generans herbam opportunam illis, a quibus colitur, accipit benedictionem a Deo : (Ⅴ)
- Car la terre qui boit la pluie qui vient souvent sur elle, et qui produit des herbes utiles pour ceux pour qui elle est aussi labourée, reçoit de Dieu de la bénédiction; (Ⅶ)
6. 8  
Mais celle qui produit des épines et des chardons, est rejetée, et proche de malédiction ; et sa fin est d’être brûlée.
- mais si elle ne produit que des épines et des chardons, elle est jugée de mauvaise qualité, près d'être maudite, et l'on finit par y mettre le feu. (Ⅰ)
- mais, si elle produit des épines et des chardons, elle est réprouvée et près d'être maudite, et on finit par y mettre le feu. (Ⅱ)
- ἐκφέρουσα δὲ ἀκάνθας καὶ τριβόλους ἀδόκιμος καὶ κατάρας ἐγγύς, ἧς τὸ τέλος εἰς καῦσιν. (Ⅳ)
- proferens autem spinas ac tribulos, reproba est, et maledicto proxima : cujus consummatio in combustionem.\ (Ⅴ)
- mais si elle porte des épines et des chardons, elle est réprouvée et près de la malédiction, et sa fin est d’être brûlée. (Ⅶ)
6. 9  
Or nous nous sommes persuadés par rapport à vous, mes bien-aimés, de meilleures choses, et convenables au salut, quoique nous parlions ainsi.
- Cependant, bien-aimés, quoique nous parlions ainsi, nous avons de vous une opinion meilleure et plus favorable à votre salut. (Ⅰ)
- Quoique nous parlions ainsi, bien-aimés, nous attendons, pour ce qui vous concerne, des choses meilleures et favorables au salut. (Ⅱ)
- Πεπείσμεθα δὲ περὶ ὑμῶν, ἀγαπητοί, τὰ κρείσσονα καὶ ἐχόμενα σωτηρίας, εἰ καὶ οὕτως λαλοῦμεν· (Ⅳ)
- Confidimus autem de vobis dilectissimi meliora, et viciniora saluti : tametsi ita loquimur. (Ⅴ)
- Mais nous sommes persuadés, en ce qui vous concerne, bien-aimés, de choses meilleures et qui tiennent au salut, quoique nous parlions ainsi. (Ⅶ)
6. 10  
Car Dieu n’est pas injuste, pour oublier votre œuvre, et le travail de la charité que vous avez témoigné pour son Nom, en ce que vous avez secouru les Saints, et que vous les secourez encore.
- Car Dieu n'est pas injuste pour oublier vos œuvres et la charité que vous avez montrée pour son nom, vous qui avez rendu service aux saints et leur en rendez encore. (Ⅰ)
- Car Dieu n'est pas injuste, pour oublier votre travail et l'amour que vous avez montré pour son nom, ayant rendu et rendant encore des services aux saints. (Ⅱ)
- οὐ γὰρ ἄδικος ὁ θεὸς ἐπιλαθέσθαι τοῦ ἔργου ὑμῶν ⸀καὶ τῆς ἀγάπης ἧς ἐνεδείξασθε εἰς τὸ ὄνομα αὐτοῦ, διακονήσαντες τοῖς ἁγίοις καὶ διακονοῦντες. (Ⅳ)
- Non enim injustus Deus, ut obliviscatur operis vestri, et dilectionis, quam ostendistis in nomine ipsius, qui ministrastis sanctis, et ministratis. (Ⅴ)
- Car Dieu n’est pas injuste pour oublier votre œuvre et l’amour que vous avez montré pour son nom, ayant servi les saints et les servant encore. (Ⅶ)
6. 11  
Or nous souhaitons que chacun de vous montre jusqu’à la fin le même soin pour la pleine certitude de l’espérance.
- Nous désirons que chacun de vous déploie le même zèle jusqu'à la fin, afin que vos espérances soient accomplies, (Ⅰ)
- Nous désirons que chacun de vous montre le même zèle pour conserver jusqu'à la fin une pleine espérance, (Ⅱ)
- ἐπιθυμοῦμεν δὲ ἕκαστον ὑμῶν τὴν αὐτὴν ἐνδείκνυσθαι σπουδὴν πρὸς τὴν πληροφορίαν τῆς ἐλπίδος ἄχρι τέλους, (Ⅳ)
- Cupimus autem unumquemque vestrum eamdem ostentare sollicitudinem ad expletionem spei usque in finem : (Ⅴ)
- Mais nous désirons que chacun de vous montre la même diligence pour la pleine assurance de l’espérance jusqu’au bout; (Ⅶ)
6. 12  
Afin que vous ne vous relâchiez point, mais que vous imitiez ceux qui par la foi et par la patience héritent ce qui leur a été promis.
- en sorte que vous ne vous relâchiez point, mais que vous imitiez ceux qui, par la foi et la persévérance, entrent dans l'héritage promis. (Ⅰ)
- en sorte que vous ne vous relâchiez point, et que voue imitiez ceux qui, par la foi et la persévérance, héritent des promesses. (Ⅱ)
- ἵνα μὴ νωθροὶ γένησθε, μιμηταὶ δὲ τῶν διὰ πίστεως καὶ μακροθυμίας κληρονομούντων τὰς ἐπαγγελίας. (Ⅳ)
- ut non segnes efficiamini, verum imitatores eorum, qui fide, et patientia hæreditabunt promissiones. (Ⅴ)
- afin que vous ne deveniez pas paresseux, mais imitateurs de ceux qui, par la foi et par la patience, héritent ce qui avait été promis. (Ⅶ)
6. 13  
Car lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, parce qu’il ne pouvait point jurer par un plus grand, il jura par lui-même,
- Dans la promesse qu'il fit à Abraham, Dieu ne pouvant jurer par un plus grand que lui, il jura par lui-même, (Ⅰ)
- Lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, ne pouvant jurer par un plus grand que lui, il jura par lui-même, et dit: (Ⅱ)
- Τῷ γὰρ Ἀβραὰμ ἐπαγγειλάμενος ὁ θεός, ἐπεὶ κατ’ οὐδενὸς εἶχεν μείζονος ὀμόσαι, ὤμοσεν καθ’ ἑαυτοῦ, (Ⅳ)
- Abrahæ namque promittens Deus, quoniam neminem habuit, per quem juraret, majorem, juravit per semetipsum, (Ⅴ)
- Car lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, puisqu’il n’avait personne de plus grand par qui jurer, il jura par lui-même, (Ⅶ)
6. 14  
En disant : certes je te bénirai abondamment, et je te multiplierai merveilleusement.
- et dit : " Oui, je te bénirai et je te multiplierai. " (Ⅰ)
- Certainement je te bénirai et je multiplierai ta postérité. (Ⅱ)
- λέγων· ⸀Εἰ μὴν εὐλογῶν εὐλογήσω σε καὶ πληθύνων πληθυνῶ σε· (Ⅳ)
- dicens : Nisi benedicens benedicam te, et multiplicans multiplicabo te. (Ⅴ)
- disant: «Certes, en bénissant je te bénirai, et en multipliant je te multiplierai». (Ⅶ)
6. 15  
Et ainsi [Abraham] ayant attendu patiemment, obtint ce qui lui avait été promis.
- Et ce fut ainsi que ce patriarche, ayant patiemment attendu, entra en possession de la promesse. (Ⅰ)
- Et c'est ainsi qu'Abraham, ayant persévéré, obtint l'effet de la promesse. (Ⅱ)
- καὶ οὕτως μακροθυμήσας ἐπέτυχεν τῆς ἐπαγγελίας. (Ⅳ)
- Et sic longanimiter ferens, adeptus est repromissionem. (Ⅴ)
- Et ainsi Abraham, ayant eu patience, obtint ce qui avait été promis. (Ⅶ)
6. 16  
Car les hommes jurent par un plus grand qu’eux, et le serment qu’ils font pour confirmer leur parole, met fin à tous leurs différends.
- En effet, les hommes jurent par celui qui est plus grand qu'eux, et le serment, servant de garantie, termine tous leurs différends. (Ⅰ)
- Or les hommes jurent par celui qui est plus grand qu'eux, et le serment est une garantie qui met fin à toutes leurs différends. (Ⅱ)
- ⸀ἄνθρωποι γὰρ κατὰ τοῦ μείζονος ὀμνύουσιν, καὶ πάσης αὐτοῖς ἀντιλογίας πέρας εἰς βεβαίωσιν ὁ ὅρκος· (Ⅳ)
- Homines enim per majorem sui jurant : et omnis controversiæ eorum finis, ad confirmationem, est juramentum. (Ⅴ)
- Car les hommes jurent par quelqu’un qui est plus grand qu’eux, et le serment est pour eux un terme à toute dispute, pour rendre ferme ce qui est convenu. (Ⅶ)
6. 17  
C’est pourquoi Dieu voulant faire mieux connaître aux héritiers de la promesse la fermeté immuable de son conseil, il y a fait intervenir le serment :
- C'est pourquoi Dieu, voulant monter avec plus d'évidence aux héritiers de la promesse l'immuable stabilité de son dessein, fit intervenir le serment, (Ⅰ)
- C'est pourquoi Dieu, voulant montrer avec plus d'évidence aux héritiers de la promesse l'immutabilité de sa résolution, intervint par un serment, (Ⅱ)
- ἐν ᾧ περισσότερον βουλόμενος ὁ θεὸς ἐπιδεῖξαι τοῖς κληρονόμοις τῆς ἐπαγγελίας τὸ ἀμετάθετον τῆς βουλῆς αὐτοῦ ἐμεσίτευσεν ὅρκῳ, (Ⅳ)
- In quo abundantius volens Deus ostendere pollicitationis hæredibus, immobilitatem consilii sui, interposuit jusjurandum : (Ⅴ)
- Et Dieu, voulant en cela montrer plus abondamment aux héritiers de la promesse l’immutabilité de son conseil, est intervenu par un serment, (Ⅶ)
6. 18  
Afin que par deux choses immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu trompe, nous ayons une ferme consolation, nous qui avons notre refuge à obtenir [l’accomplissement de] l’espérance qui nous est proposée ;
- afin que, par deux choses immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu nous trompe, nous soyons, nous qui avons cherché en lui un refuge, puissamment encouragés à tenir ferme l'espérance qui nous est proposée. (Ⅰ)
- afin que, par deux choses immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu mente, nous trouvions un puissant encouragement, nous dont le seul refuge a été de saisir l'espérance qui nous était proposée. (Ⅱ)
- ἵνα διὰ δύο πραγμάτων ἀμεταθέτων, ἐν οἷς ἀδύνατον ψεύσασθαι ⸀θεόν, ἰσχυρὰν παράκλησιν ἔχωμεν οἱ καταφυγόντες κρατῆσαι τῆς προκειμένης ἐλπίδος· (Ⅳ)
- ut per duas res immobiles, quibus impossibile est mentiri Deum, fortissimum solatium habeamus, qui confugimus ad tenendam propositam spem, (Ⅴ)
- afin que, par deux choses immuables, dans lesquelles il était impossible que Dieu mentît, nous ayons une ferme consolation, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l’espérance proposée, (Ⅶ)
6. 19  
[Et] laquelle nous tenons comme une ancre sûre et ferme de l’âme, et qui pénètre jusqu’au-dedans du voile,
- Nous la gardons comme une ancre de l'âme, sûre et ferme, cette espérance qui pénètre jusqu'au delà du voile, (Ⅰ)
- Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l'âme, sûre et solide; elle pénètre au delà du voile, (Ⅱ)
- ἣν ὡς ἄγκυραν ἔχομεν τῆς ψυχῆς, ⸀ἀσφαλῆ τε καὶ βεβαίαν καὶ εἰσερχομένην εἰς τὸ ἐσώτερον τοῦ καταπετάσματος, (Ⅳ)
- quam sicut anchoram habemus animæ tutam ac firmam, et incedentem usque ad interiora velaminis, (Ⅴ)
- laquelle nous avons comme une ancre de l’âme, sûre et ferme, et qui entre jusqu’au dedans du voile (Ⅶ)
6. 20  
Où Jésus est entré comme notre précurseur, ayant été fait souverain Sacrificateur éternellement, selon l’ordre de Melchisédec.
- dans le sanctuaire où Jésus est entré pour nous comme précurseur, en qualité de "grand prêtre pour toujours selon l'ordre de Melchisédech." (Ⅰ)
- là où Jésus est entré pour nous comme précurseur, ayant été fait souverain sacrificateur pour toujours, selon l'ordre de Melchisédek. (Ⅱ)
- ὅπου πρόδρομος ὑπὲρ ἡμῶν εἰσῆλθεν Ἰησοῦς, κατὰ τὴν τάξιν Μελχισέδεκ ἀρχιερεὺς γενόμενος εἰς τὸν αἰῶνα. (Ⅳ)
- ubi præcursor pro nobis introivit Jesus, secundum ordinem Melchisedech pontifex factus in æternum. (Ⅴ)
- où Jésus est entré comme précurseur pour nous, étant devenu souverain sacrificateur pour l’éternité selon l’ordre de Melchisédec. (Ⅶ)


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