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(Version J.F. Ostervald)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

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7. 1  
Alors des pharisiens et quelques scribes, venus de Jérusalem, s'assemblèrent vers Jésus;
- Les Pharisiens et des scribes venus de Jérusalem s'assemblèrent auprès de lui. (Ⅰ)
- Les pharisiens et quelques scribes, venus de Jérusalem, s'assemblèrent auprès de Jésus. (Ⅱ)
- Καὶ συνάγονται πρὸς αὐτὸν οἱ Φαρισαῖοι καί τινες τῶν γραμματέων ἐλθόντες ἀπὸ Ἱεροσολύμων (Ⅳ)
- Et conveniunt ad eum pharisæi, et quidam de scribis, venientes ab Jerosolymis. (Ⅴ)
- Et les pharisiens et quelques-uns des scribes, qui étaient venus de Jérusalem, s’assemblent auprès de lui. (Ⅶ)
- Alors les Pharisiens, et quelques Scribes qui étaient venus de Jérusalem, s’assemblèrent auprès de lui. (Ⅷ)
7. 2  
Et voyant que quelques-uns de ses disciples prenaient leur repas avec des mains souillées, c'est-à-dire qui n'avaient pas été lavées, ils les en blâmaient.
- Ils virent quelques-uns de ses disciples prendre leur repas avec des mains impures, c'est-à-dire non lavées; (Ⅰ)
- Ils virent quelques-uns de ses disciples prendre leurs repas avec des mains impures, c'est-à-dire, non lavées. (Ⅱ)
- καὶ ἰδόντες τινὰς τῶν μαθητῶν αὐτοῦ ⸂ὅτι κοιναῖς χερσίν, τοῦτ’ ἔστιν ἀνίπτοις, ἐσθίουσιν⸃ ⸀τοὺς ⸀ἄρτους — (Ⅳ)
- Et cum vidissent quosdam ex discipulis ejus communibus manibus, id est non lotis, manducare panes, vituperaverunt. (Ⅴ)
- Et voyant quelques-uns de ses disciples mangeant du pain avec des mains souillées, c’est-à-dire non lavées…; (Ⅶ)
- Et ayant vu que quelques-uns de ses Disciples prenaient leur repas avec des mains souillées, c’est-à-dire, sans être lavées, ils les en blâmèrent. (Ⅷ)
7. 3  
Car les pharisiens et tous les Juifs ne mangent point sans se laver les mains jusqu'au coude, gardant en cela la tradition des anciens;
- les Pharisiens en effet et tous les Juifs ne mangent pas sans s'être lavé soigneusement les mains, gardant la tradition des anciens, (Ⅰ)
- Or, les pharisiens et tous les Juifs ne mangent pas sans s'être lavé soigneusement les mains, conformément à la tradition des anciens; (Ⅱ)
- οἱ γὰρ Φαρισαῖοι καὶ πάντες οἱ Ἰουδαῖοι ἐὰν μὴ πυγμῇ νίψωνται τὰς χεῖρας οὐκ ἐσθίουσιν, κρατοῦντες τὴν παράδοσιν τῶν πρεσβυτέρων, (Ⅳ)
- Pharisæi enim, et omnes Judæi, nisi crebro laverint manus, non manducant, tenentes traditionem seniorum : (Ⅴ)
- car les pharisiens et tous les Juifs ne mangent pas qu’ils ne lavent soigneusement leurs mains, retenant la tradition des anciens; (Ⅶ)
- (Car les Pharisiens et tous les Juifs ne mangent point qu’ils ne lavent souvent leurs mains, retenant les traditions des anciens. (Ⅷ)
7. 4  
Et lorsqu'ils reviennent des places publiques, ils ne mangent point non plus sans s'être lavés. Il y a aussi beaucoup d'autres choses qu'ils ont reçues pour les observer, comme de laver les coupes, les pots, les vaisseaux d'airain et les lits.
- et lorsqu'ils reviennent de la place publique ils ne mangent pas sans avoir pratiqué des ablutions; ils gardent encore beaucoup d'autres observances traditionnelles : ablution des coupes, des cruches et des vases d'airain. (Ⅰ)
- et, quand ils reviennent de la place publique, ils ne mangent qu'après s'être purifiés. Ils ont encore beaucoup d'autres observances traditionnelles, comme le lavage des coupes, des cruches et des vases d'airain. (Ⅱ)
- καὶ ἀπ’ ⸀ἀγορᾶς ἐὰν μὴ ⸀βαπτίσωνται οὐκ ἐσθίουσιν, καὶ ἄλλα πολλά ἐστιν ἃ παρέλαβον κρατεῖν, βαπτισμοὺς ποτηρίων καὶ ξεστῶν καὶ χαλκίων ⸂καὶ κλινῶν⸃— (Ⅳ)
- et a foro nisi baptizentur, non comedunt : et alia multa sunt, quæ tradita sunt illis servare, baptismata calicum, et urceorum, et æramentorum, et lectorum : (Ⅴ)
- et étant de retour du marché, ils ne mangent pas qu’ils ne soient lavés. Et il y a beaucoup d’autres choses qu’ils ont reçues traditionnellement pour les observer, comme de laver les coupes, les pots, les vases d’airain, et les lits. (Ⅶ)
- Et étant de retour du marché, ils ne mangent point qu’ils ne se soient lavés. Il y a plusieurs autres observances dont ils se sont chargés, comme de laver les coupes, les pots, les vaisseaux d’airain, et les lits.) (Ⅷ)
7. 5  
Là-dessus les pharisiens et les scribes lui demandèrent: D'où vient que tes disciples ne suivent pas la tradition des anciens, et qu'ils prennent leur repas sans se laver les mains?
- Les Pharisiens et les scribes lui demandèrent donc : " Pourquoi vos disciples ne marchent-ils pas selon la tradition des anciens, et prennent-ils leur repas avec des mains impures? " (Ⅰ)
- Et les pharisiens et les scribes lui demandèrent: Pourquoi tes disciples ne suivent-ils pas la tradition des anciens, mais prennent-ils leurs repas avec des mains impures? (Ⅱ)
- ⸀καὶ ἐπερωτῶσιν αὐτὸν οἱ Φαρισαῖοι καὶ οἱ γραμματεῖς· Διὰ τί ⸂οὐ περιπατοῦσιν οἱ μαθηταί σου⸃ κατὰ τὴν παράδοσιν τῶν πρεσβυτέρων, ἀλλὰ ⸀κοιναῖς χερσὶν ἐσθίουσιν τὸν ἄρτον; (Ⅳ)
- et interrogabant eum pharisæi et scribæ : Quare discipuli tui non ambulant juxta traditionem seniorum, sed communibus manibus manducant panem ? (Ⅴ)
- — Sur cela, les pharisiens et les scribes l’interrogent, disant: Pourquoi tes disciples ne marchent-ils pas selon la tradition des anciens, mais mangent-ils du pain avec des mains souillées? (Ⅶ)
- Sur cela les Pharisiens et les Scribes l’interrogèrent, en disant : pourquoi tes Disciples ne se conduisent-ils pas selon la tradition des Anciens, mais prennent leur repas sans se laver les mains ? (Ⅷ)
7. 6  
Il leur répondit: Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé à votre sujet, quand il a dit: Ce peuple m'honore des lèvres; mais leur cœur est bien éloigné de moi.
- Il leur dit : " Isaïe a bien prophétisé sur vous, hypocrites, ainsi qu'il est écrit : Ce peuple m'honore des lèvres, mais leur cœur est loin de moi. (Ⅰ)
- Jésus leur répondit: Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé sur vous, ainsi qu'il est écrit: Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi. (Ⅱ)
- ὁ ⸀δὲ εἶπεν ⸀αὐτοῖς· Καλῶς ἐπροφήτευσεν Ἠσαΐας περὶ ὑμῶν τῶν ὑποκριτῶν, ὡς γέγραπται ⸀ὅτι Οὗτος ὁ λαὸς τοῖς χείλεσίν με τιμᾷ, ἡ δὲ καρδία αὐτῶν πόρρω ἀπέχει ἀπ’ ἐμοῦ· (Ⅳ)
- At ille respondens, dixit eis : Bene prophetavit Isaias de vobis hypocritis, sicut scriptum est : [Populus hic labiis me honorat,/ cor autem eorum longe est a me :/ (Ⅴ)
- Mais lui, répondant, leur dit: Ésaïe a bien prophétisé de vous, hypocrites; comme il est écrit: «Ce peuple-ci m’honore des lèvres, mais leur cœur est fort éloigné de moi; (Ⅶ)
- Et il leur répondit, et leur dit : certainement Esaïe a bien prophétisé de vous, hypocrites, comme il est écrit : ce peuple m’honore des lèvres, mais leur cœur est bien éloigné de moi. (Ⅷ)
7. 7  
Mais c'est en vain qu'ils m'honorent, enseignant des doctrines qui sont des commandements d'hommes.
- Vain est le culte qu'ils me rendent, donnant des enseignements (qui sont) des préceptes d'hommes. (Ⅰ)
- C'est en vain qu'ils m'honorent, En donnant des préceptes qui sont des commandements d'hommes. (Ⅱ)
- μάτην δὲ σέβονταί με, διδάσκοντες διδασκαλίας ἐντάλματα ἀνθρώπων· (Ⅳ)
- in vanum autem me colunt,/ docentes doctrinas, et præcepta hominum.] (Ⅴ)
- mais ils m’honorent en vain, enseignant, comme doctrines, des commandements d’hommes». (Ⅶ)
- Mais ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines [qui ne sont que] des commandements d’hommes. (Ⅷ)
7. 8  
Car, en abandonnant le commandement de Dieu, vous observez la tradition des hommes, lavant les pots et les coupes, et faisant beaucoup d'autres choses semblables.
- Vous laissez de côté le commandement de Dieu pour vous attacher à la tradition des hommes : vous faites des ablutions de cruches et de coupes, et beaucoup d'autres choses semblables. " (Ⅰ)
- Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes. (Ⅱ)
- ⸀ἀφέντες τὴν ἐντολὴν τοῦ θεοῦ κρατεῖτε τὴν παράδοσιν τῶν ⸀ἀνθρώπων. (Ⅳ)
- Relinquentes enim mandatum Dei, tenetis traditionem hominum, baptismata urceorum et calicum : et alia similia his facitis multa. (Ⅴ)
- Car, laissant le commandement de Dieu, vous observez la tradition des hommes, de laver les pots et les coupes; et vous faites beaucoup d’autres choses semblables. (Ⅶ)
- Car en laissant le commandement de Dieu, vous retenez la tradition des hommes, [savoir] de laver les pots et les coupes, et vous faites beaucoup d’autres choses semblables. (Ⅷ)
7. 9  
Il leur dit aussi: Vous annulez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition;
- Et il leur dit : " Vous avez bel et bien annulé le commandement de Dieu pour observer votre tradition ! (Ⅰ)
- Il leur dit encore: Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition. (Ⅱ)
- Καὶ ἔλεγεν αὐτοῖς· Καλῶς ἀθετεῖτε τὴν ἐντολὴν τοῦ θεοῦ, ἵνα τὴν παράδοσιν ὑμῶν ⸀τηρήσητε· (Ⅳ)
- Et dicebat illis : Bene irritum facitis præceptum Dei, ut traditionem vestram servetis. (Ⅴ)
- Et il leur dit: Vous annulez bien le commandement de Dieu, afin de garder votre tradition. (Ⅶ)
- Il leur dit aussi : vous annulez bien le commandement de Dieu, afin de garder votre tradition. (Ⅷ)
7. 10  
Car Moïse a dit: Honore ton père et ta mère; et que celui qui maudira son père ou sa mère soit puni de mort;
- Car Moïse a dit : Honore ton père et ta mère; et : Celui qui maudira son père et sa mère, qu'il soit puni de mort (Ⅰ)
- Car Moïse a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort. (Ⅱ)
- Μωϋσῆς γὰρ εἶπεν· Τίμα τὸν πατέρα σου καὶ τὴν μητέρα σου, καί· Ὁ κακολογῶν πατέρα ἢ μητέρα θανάτῳ τελευτάτω· (Ⅳ)
- Moyses enim dixit : Honora patrem tuum, et matrem tuam. Et : Qui maledixerit patri, vel matri, morte moriatur. (Ⅴ)
- Car Moïse a dit: «Honore ton père et ta mère»; et: «que celui qui médira de père ou de mère, meure de mort»; (Ⅶ)
- Car Moïse a dit : honore ton père et ta mère ; et, que celui qui maudira son père ou sa mère, meure de mort. (Ⅷ)
7. 11  
Mais vous, vous ajoutez: A moins qu'il n'ait dit à son père ou à sa mère: Tout ce dont je pourrais t'assister est corban, c'est-à-dire, un don consacré à Dieu.
- Mais vous, vous dites : " Si un homme dit à son père ou à sa mère : Ce dont j'aurais pu t'assister est qorban, " c'est-à-dire offrande, (Ⅰ)
- Mais vous, vous dites: Si un homme dit à son père ou à sa mère: Ce dont j'aurais pu t'assister est corban, c'est-à-dire, une offrande à Dieu, (Ⅱ)
- ὑμεῖς δὲ λέγετε· Ἐὰν εἴπῃ ἄνθρωπος τῷ πατρὶ ἢ τῇ μητρί· Κορβᾶν, ὅ ἐστιν Δῶρον, ὃ ἐὰν ἐξ ἐμοῦ ὠφεληθῇς, (Ⅳ)
- Vos autem dicitis : Si dixerit homo patri, aut matri, Corban (quod est donum) quodcumque ex me, tibi profuerit : (Ⅴ)
- mais vous, vous dites: Si un homme dit à son père ou à sa mère: Tout ce dont tu pourrais tirer profit de ma part est corban, c’est-à-dire don… (Ⅶ)
- Mais vous dites : si quelqu’un dit à son père ou à sa mère, le corban (c’est-à-dire le don) qui [sera fait] de par moi, viendra à ton profit, [il ne sera point coupable]. (Ⅷ)
7. 12  
Et vous ne lui permettez plus de rien faire pour son père ou pour sa mère;
- vous ne le laissez plus rien faire pour son père ou sa mère, (Ⅰ)
- vous ne le laissez plus rien faire pour son père ou pour sa mère, (Ⅱ)
- ⸀οὐκέτι ἀφίετε αὐτὸν οὐδὲν ποιῆσαι τῷ ⸀πατρὶ ἢ τῇ ⸀μητρί, (Ⅳ)
- et ultra non dimittitis eum quidquam facere patri suo, aut matri, (Ⅴ)
- Et vous ne lui permettez plus de rien faire pour son père ou pour sa mère, (Ⅶ)
- Et vous ne lui permettez plus de rien faire pour son père ou pour sa mère. (Ⅷ)
7. 13  
Anéantissant la parole de Dieu par votre tradition, que vous avez établie; et vous faites beaucoup d'autres choses semblables.
- anéantissant (ainsi) la parole de Dieu par la tradition que vous transmettez. Et vous faites beaucoup d'autres choses semblables. " (Ⅰ)
- annulant ainsi la parole de Dieu par votre tradition, que vous avez établie. Et vous faites beaucoup d'autres choses semblables. (Ⅱ)
- ἀκυροῦντες τὸν λόγον τοῦ θεοῦ τῇ παραδόσει ὑμῶν ᾗ παρεδώκατε· καὶ παρόμοια τοιαῦτα πολλὰ ποιεῖτε. (Ⅳ)
- rescindentes verbum Dei per traditionem vestram, quam tradidistis : et similia hujusmodi multa facitis.\ (Ⅴ)
- annulant la parole de Dieu par votre tradition que vous vous êtes transmise les uns aux autres; et vous faites beaucoup de choses semblables. (Ⅶ)
- Anéantissant ainsi la parole de Dieu par votre tradition que vous avez établie ; et vous faites [encore] plusieurs choses semblables. (Ⅷ)
7. 14  
Alors ayant appelé toute la multitude, il leur dit: Écoutez-moi tous, et comprenez ceci:
- Ayant rappelé la foule, il leur dit : " Ecoutez-moi tous, et comprenez. (Ⅰ)
- Ensuite, ayant de nouveau appelé la foule à lui, il lui dit: Écoutez-moi tous, et comprenez. (Ⅱ)
- Καὶ προσκαλεσάμενος ⸀πάλιν τὸν ὄχλον ἔλεγεν αὐτοῖς· ⸀Ἀκούσατέ μου πάντες καὶ ⸀σύνετε. (Ⅳ)
- Et advocans iterum turbam, dicebat illis : Audite me omnes, et intelligite. (Ⅴ)
- Et ayant de nouveau appelé la foule, il leur dit: Écoutez-moi, vous tous, et comprenez: (Ⅶ)
- Puis ayant appelé toutes les troupes, il leur dit : écoutez-moi vous tous, et entendez. (Ⅷ)
7. 15  
Rien de ce qui est hors de l'homme et qui entre en lui, ne le peut souiller; mais ce qui sort de lui, voilà ce qui souille l'homme.
- Rien de ce qui est hors de l'homme et qui entre dans l'homme ne peut le souiller; mais ce qui sort de l'homme, voilà ce qui souille l'homme. (Ⅰ)
- Il n'est hors de l'homme rien qui, entrant en lui, puisse le souiller; mais ce qui sort de l'homme, c'est ce qui le souille. (Ⅱ)
- οὐδέν ἐστιν ἔξωθεν τοῦ ἀνθρώπου εἰσπορευόμενον εἰς αὐτὸν ὃ δύναται ⸂κοινῶσαι αὐτόν⸃· ἀλλὰ τὰ ⸂ἐκ τοῦ ἀνθρώπου ἐκπορευόμενά⸃ ἐστιν τὰ κοινοῦντα τὸν ⸀ἄνθρωπον. (Ⅳ)
- Nihil est extra hominem introiens in eum, quod possit eum coinquinare, sed quæ de homine procedunt illa sunt quæ communicant hominem. (Ⅴ)
- Il n’y a rien en dehors de l’homme, qui, entrant au-dedans de lui, puisse le souiller; mais les choses qui sortent de lui, ce sont celles qui souillent l’homme. (Ⅶ)
- Il n’y a rien de ce qui est hors de l’homme, qui entrant au dedans de lui, puisse le souiller ; mais les choses qui sortent de lui, ce sont celles qui souillent l’homme. (Ⅷ)
7. 16  
Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende.
- Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! " (Ⅰ)
- Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende. (Ⅱ)
- Si quis habet aures audiendi, audiat. (Ⅴ)
- Si quelqu’un a des oreilles pour entendre, qu’il entende. (Ⅶ)
- Si quelqu’un a des oreilles pour ouïr, qu’il entende. (Ⅷ)
7. 17  
Quand il fut entré dans la maison, après avoir quitté la multitude, ses disciples l'interrogèrent sur cette parabole.
- Lorsqu'il fut entré dans une maison, loin de la foule, ses disciples l'interrogèrent sur la parabole. (Ⅰ)
- Lorsqu'il fut entré dans la maison, loin de la foule, ses disciples l'interrogèrent sur cette parabole. (Ⅱ)
- Καὶ ὅτε εἰσῆλθεν ⸀εἰς οἶκον ἀπὸ τοῦ ὄχλου, ἐπηρώτων αὐτὸν οἱ μαθηταὶ αὐτοῦ ⸂τὴν παραβολήν⸃. (Ⅳ)
- Et cum introisset in domum a turba, interrogabant eum discipuli ejus parabolam. (Ⅴ)
- Et quand il fut entré dans la maison, s’étant retiré d’avec la foule, ses disciples l’interrogèrent touchant cette parabole. (Ⅶ)
- Puis quand il fut entré dans la maison, [s’étant retiré] d’avec les troupes, ses Disciples l’interrogèrent touchant cette similitude. (Ⅷ)
7. 18  
Et il leur dit: Etes-vous aussi sans intelligence? Ne comprenez-vous pas que rien de ce qui entre du dehors dans l'homme, ne le peut souiller?
- Il leur dit : " Ainsi, vous aussi, vous êtes sans intelligence? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui du dehors entre dans l'homme ne peut le souiller, (Ⅰ)
- Il leur dit: Vous aussi, êtes-vous donc sans intelligence? Ne comprenez-vous pas que rien de ce qui du dehors entre dans l'homme ne peut le souiller? (Ⅱ)
- καὶ λέγει αὐτοῖς· Οὕτως καὶ ὑμεῖς ἀσύνετοί ἐστε; οὐ νοεῖτε ὅτι πᾶν τὸ ἔξωθεν εἰσπορευόμενον εἰς τὸν ἄνθρωπον οὐ δύναται αὐτὸν κοινῶσαι, (Ⅳ)
- Et ait illis : Sic et vos imprudentes estis ? Non intelligitis quia omne extrinsecus introiens in hominem, non potest eum communicare : (Ⅴ)
- Et il leur dit: Vous aussi, êtes-vous ainsi sans intelligence? N’entendez-vous pas que tout ce qui est de dehors, entrant dans l’homme, ne peut pas le souiller, (Ⅶ)
- Et il leur dit : Et vous, êtes-vous donc aussi sans intelligence ? ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre de dehors dans l’homme ne peut point le souiller ? (Ⅷ)
7. 19  
Parce que cela ne lui entre point dans le cœur, mais dans le ventre, et va aux lieux secrets, ce qui purifie tous les aliments.
- parce que cela n'entre pas dans son cœur, mais (va) dans le ventre, et sort pour le lieu secret. " (Ainsi) il déclarait purs tous les aliments. (Ⅰ)
- Car cela n'entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, puis s'en va dans les lieux secrets, qui purifient tous les aliments. (Ⅱ)
- ὅτι οὐκ εἰσπορεύεται αὐτοῦ εἰς τὴν καρδίαν ἀλλ’ εἰς τὴν κοιλίαν, καὶ εἰς τὸν ἀφεδρῶνα ἐκπορεύεται; —⸀καθαρίζων πάντα τὰ βρώματα. (Ⅳ)
- quia non intrat in cor ejus, sed in ventrum vadit, et in secessum exit, purgans omnes escas ? (Ⅴ)
- parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, et s’en va dans le lieu secret, purifiant toutes les viandes? (Ⅶ)
- Parce qu’il n’entre pas dans son cœur, mais dans l’estomac d’où ensuite cela est jeté dans le lieu secret, en purifiant ainsi [le corps] de toutes les viandes. (Ⅷ)
7. 20  
Il disait donc: Ce qui sort de l'homme, c'est ce qui souille l'homme.
- Et il disait : " Ce qui sort de l'homme, voilà ce qui souille l'homme. (Ⅰ)
- Il dit encore: Ce qui sort de l'homme, c'est ce qui souille l'homme. (Ⅱ)
- ἔλεγεν δὲ ὅτι Τὸ ἐκ τοῦ ἀνθρώπου ἐκπορευόμενον ἐκεῖνο κοινοῖ τὸν ἄνθρωπον· (Ⅳ)
- Dicebat autem, quoniam quæ de homine exeunt, illa communicant hominem. (Ⅴ)
- Et il dit: Ce qui sort de l’homme, c’est là ce qui souille l’homme; (Ⅶ)
- Mais il leur disait : ce qui sort de l’homme, c’est ce qui souille l’homme. (Ⅷ)
7. 21  
Car du dedans, c'est-à-dire, du cœur des hommes, sortent les mauvaises pensées, les adultères, les fornications, les meurtres,
- Car c'est du dedans, du cœur des hommes, que sortent les pensées mauvaises : fornication, vols, meurtres, (Ⅰ)
- Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres, (Ⅱ)
- ἔσωθεν γὰρ ἐκ τῆς καρδίας τῶν ἀνθρώπων οἱ διαλογισμοὶ οἱ κακοὶ ἐκπορεύονται, ⸂πορνεῖαι, κλοπαί, φόνοι, (Ⅳ)
- Ab intus enim de corde hominum malæ cogitationes procedunt, adulteria, fornicationes, homicidia, (Ⅴ)
- car du dedans, du cœur des hommes, sortent les mauvaises pensées, les adultères, les fornications, les meurtres, (Ⅶ)
- Car du dedans, [c’est-à-dire] du cœur des hommes, sortent les mauvaises pensées, les adultères, les fornications, les meurtres, (Ⅷ)
7. 22  
Les larcins, la cupidité, les méchancetés, la fraude, l'impudicité, l'œil envieux, la médisance, la fierté, la folie.
- adultères, avarice, méchancetés, fraude, libertinage, envie, blasphème, orgueil, déraison. (Ⅰ)
- les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. (Ⅱ)
- μοιχεῖαι⸃, πλεονεξίαι, πονηρίαι, δόλος, ἀσέλγεια, ὀφθαλμὸς πονηρός, βλασφημία, ὑπερηφανία, ἀφροσύνη· (Ⅳ)
- furta, avaritiæ, nequitiæ, dolus, impudicitiæ, oculus malus, blasphemia, superbia, stultitia. (Ⅴ)
- les vols, la cupidité, les méchancetés, la fraude, l’impudicité, l’œil méchant, les injures, l’orgueil, la folie. (Ⅶ)
- Les larcins, les mauvaises pratiques pour avoir le bien d’autrui, les méchancetés, la fraude, l’impudicité, le regard malin, les discours outrageux, la fierté, la folie. (Ⅷ)
7. 23  
Tous ces vices sortent du dedans et souillent l'homme.
- Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et souillent l'homme. " (Ⅰ)
- Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme. (Ⅱ)
- πάντα ταῦτα τὰ πονηρὰ ἔσωθεν ἐκπορεύεται καὶ κοινοῖ τὸν ἄνθρωπον. (Ⅳ)
- Omnia hæc mala ab intus procedunt, et communicant hominem.\ (Ⅴ)
- Toutes ces mauvaises choses sortent du dedans et souillent l’homme. (Ⅶ)
- Tous ces maux sortent du dedans, et souillent l’homme. (Ⅷ)
7. 24  
Puis, étant parti de là, il s'en alla aux frontières de Tyr et de Sidon; et étant entré dans une maison, il ne voulait pas que personne le sût; mais il ne put être caché.
- Il partit de là et s'en alla au territoire de Tyr et de Sidon. Et étant entré dans une maison, il désirait que personne ne le sût, mais il ne put demeurer caché. (Ⅰ)
- Jésus, étant parti de là, s'en alla dans le territoire de Tyr et de Sidon. Il entra dans une maison, désirant que personne ne le sût; mais il ne put rester caché. (Ⅱ)
- ⸂Ἐκεῖθεν δὲ⸃ ἀναστὰς ἀπῆλθεν εἰς τὰ ⸀ὅρια ⸀Τύρου. καὶ εἰσελθὼν εἰς οἰκίαν οὐδένα ἤθελεν γνῶναι, καὶ οὐκ ἠδυνήθη λαθεῖν· (Ⅳ)
- Et inde surgens abiit in fines Tyri et Sidonis : et ingressus domum, neminem voluit scire, et non potuit latere. (Ⅴ)
- Et se levant, il s’en alla de là vers les frontières de Tyr et de Sidon; et étant entré dans une maison, il ne voulait pas que personne le sût: et il ne put être caché; (Ⅶ)
- Puis partant de là, il s’en alla vers les frontières de Tyr et de Sidon ; et étant entré dans une maison, il ne voulait pas que personne le sût ; mais il ne put être caché. (Ⅷ)
7. 25  
Car une femme, dont la fille était possédée d'un esprit immonde, ayant entendu parler de lui, vint et se jeta à ses pieds.
- Car une femme, dont la fillette avait un esprit impur, n'eut pas plus tôt entendu parler de lui, qu'elle vint se jeter à ses pieds. (Ⅰ)
- Car une femme, dont la fille était possédée d'un esprit impur, entendit parler de lui, et vint se jeter à ses pieds. (Ⅱ)
- ⸂ἀλλ’ εὐθὺς ἀκούσασα⸃ γυνὴ περὶ αὐτοῦ, ἧς εἶχεν τὸ θυγάτριον αὐτῆς πνεῦμα ἀκάθαρτον, ἐλθοῦσα προσέπεσεν πρὸς τοὺς πόδας αὐτοῦ· (Ⅳ)
- Mulier enim statim ut audivit de eo, cujus filia habebat spiritum immundum, intravit, et procidit ad pedes ejus. (Ⅴ)
- car une femme dont la fille avait un esprit immonde, ayant ouï parler de lui, vint et se jeta à ses pieds; (Ⅶ)
- Car une femme qui avait une petite fille possédée d’un esprit immonde, ayant ouï parler de lui, vint et se jeta à ses pieds ; (Ⅷ)
7. 26  
Cette femme était Grecque, et Syrophénicienne de nation; et elle le pria de chasser le démon hors de sa fille.
- La femme était païenne, syro-phénicienne de race; elle le pria de chasser le démon hors de sa fille. (Ⅰ)
- Cette femme était grecque, syro-phénicienne d'origine. Elle le pria de chasser le démon hors de sa fille. Jésus lui dit: (Ⅱ)
- ⸂ἡ δὲ γυνὴ ἦν⸃ Ἑλληνίς, Συροφοινίκισσα τῷ γένει· καὶ ἠρώτα αὐτὸν ἵνα τὸ δαιμόνιον ἐκβάλῃ ἐκ τῆς θυγατρὸς αὐτῆς. (Ⅳ)
- Erat enim mulier gentilis, Syrophœnissa genere. Et rogabat eum ut dæmonium ejiceret de filia ejus. (Ⅴ)
- (or la femme était grecque, syrophénicienne de race;) et elle le pria qu’il chassât le démon hors de sa fille. (Ⅶ)
- (Or cette femme était Grecque, Syro-Phénicienne de nation) et elle le pria qu’il chassât le démon hors de sa fille. (Ⅷ)
7. 27  
Et Jésus lui dit: Laisse premièrement rassasier les enfants; car il n'est pas juste de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens.
- Il lui dit : " Laissez d'abord les enfants se rassasier, car il n'est pas bien de prendre le pain des enfants pour le jeter aux petits chiens. " (Ⅰ)
- Laisse d'abord les enfants se rassasier; car il n'est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. (Ⅱ)
- ⸂καὶ ἔλεγεν⸃ αὐτῇ· Ἄφες πρῶτον χορτασθῆναι τὰ τέκνα, οὐ γάρ ⸂καλόν ἐστιν⸃ λαβεῖν τὸν ἄρτον τῶν τέκνων καὶ ⸂τοῖς κυναρίοις βαλεῖν⸃. (Ⅳ)
- Qui dixit illi : Sine prius saturari filios : non est enim bonum sumere panem filiorum, et mittere canibus. (Ⅴ)
- Et Jésus lui dit: Laisse premièrement rassasier les enfants; car il ne convient pas de prendre le pain des enfants et de le jeter aux chiens. (Ⅶ)
- Mais Jésus lui dit : laisse premièrement rassasier les enfants ; car il n’est pas raisonnable de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. (Ⅷ)
7. 28  
Mais elle répondit et lui dit: Il est vrai, Seigneur; cependant les petits chiens mangent, sous la table, les miettes des enfants.
- Elle lui répondit : " Oui, Seigneur; mais les petits chiens, sous la table, mangent des miettes des enfants. " (Ⅰ)
- Oui, Seigneur, lui répondit-elle, mais les petits chiens, sous la table, mangent les miettes des enfants. (Ⅱ)
- ἡ δὲ ἀπεκρίθη καὶ λέγει αὐτῷ· ⸀Κύριε, ⸀καὶ τὰ κυνάρια ὑποκάτω τῆς τραπέζης ⸀ἐσθίουσιν ἀπὸ τῶν ψιχίων τῶν παιδίων. (Ⅳ)
- At illa respondit, et dixit illi : Utique Domine, nam et catelli comedunt sub mensa de micis puerorum. (Ⅴ)
- Et elle répondit et lui dit: Oui, Seigneur; car même les chiens, sous la table, mangent des miettes des enfants. (Ⅶ)
- Et elle lui répondit, et dit : cela est vrai, Seigneur ! cependant les petits chiens mangent sous la table les miettes que les enfants laissent tomber. (Ⅷ)
7. 29  
Alors il lui dit: A cause de cette parole, va; le démon est sorti de ta fille.
- Il lui dit : " A cause de cette parole, allez, le démon est sorti de votre fille. " (Ⅰ)
- Alors il lui dit: à cause de cette parole, va, le démon est sorti de ta fille. (Ⅱ)
- καὶ εἶπεν αὐτῇ· Διὰ τοῦτον τὸν λόγον ὕπαγε, ἐξελήλυθεν ⸂ἐκ τῆς θυγατρός σου τὸ δαιμόνιον⸃. (Ⅳ)
- Et ait illi : Propter hunc sermonem vade : exiit dæmonium a filia tua. (Ⅴ)
- Et il lui dit: À cause de cette parole, va, le démon est sorti de ta fille. (Ⅶ)
- Alors il lui dit : à cause de cette parole va-t’en : le démon est sorti de ta fille. (Ⅷ)
7. 30  
Et étant de retour dans sa maison, elle trouva le démon sorti, et sa fille couchée sur le lit.
- S'en étant retournée à sa maison, elle trouva l'enfant couchée sur le lit et le démon sorti. (Ⅰ)
- Et, quand elle rentra dans sa maison, elle trouva l'enfant couchée sur le lit, le démon étant sorti. (Ⅱ)
- καὶ ἀπελθοῦσα εἰς τὸν οἶκον αὐτῆς εὗρεν τὸ ⸂παιδίον βεβλημένον ἐπὶ τὴν κλίνην καὶ τὸ δαιμόνιον ἐξεληλυθός⸃. (Ⅳ)
- Et cum abiisset domum suam, invenit puellam jacentem supra lectum, et dæmonium exiisse.\ (Ⅴ)
- Et s’en allant en sa maison, elle trouva le démon sorti, et sa fille couchée sur le lit. (Ⅶ)
- Quand elle s’en fut donc allée en sa maison, elle trouva que le démon était sorti, et que sa fille était couchée sur le lit. (Ⅷ)
7. 31  
Et Jésus étant parti des quartiers de Tyr et de Sidon, vint près de la mer de Galilée, traversant les confins de la Décapole.
- Sortant du territoire de Tyr, il revint par Sidon vers la mer de Galilée, au centre du territoire de la Décapole. (Ⅰ)
- Jésus quitta le territoire de Tyr, et revint par Sidon vers la mer de Galilée, en traversant le pays de la Décapole. (Ⅱ)
- Καὶ πάλιν ἐξελθὼν ἐκ τῶν ὁρίων Τύρου ⸂ἦλθεν διὰ Σιδῶνος εἰς⸃ τὴν θάλασσαν τῆς Γαλιλαίας ἀνὰ μέσον τῶν ὁρίων Δεκαπόλεως. (Ⅳ)
- Et iterum exiens de finibus Tyri, venit per Sidonem ad mare Galilææ inter medios fines Decapoleos. (Ⅴ)
- Et étant de nouveau parti des confins de Tyr et de Sidon, il vint vers la mer de Galilée, à travers le pays de Décapolis. (Ⅶ)
- Puis [Jésus] étant encore parti des frontières de Tyr et de Sidon, il vint à la mer de Galilée par le milieu du pays de Décapolis. (Ⅷ)
7. 32  
Et on lui amena un sourd, qui avait la parole empêchée; et on le pria de lui imposer les mains.
- On lui amena un sourd-bègue, et on le pria de lui imposer les mains. (Ⅰ)
- On lui amena un sourd, qui avait de la difficulté à parler, et on le pria de lui imposer les mains. (Ⅱ)
- καὶ φέρουσιν αὐτῷ κωφὸν ⸀καὶ ⸀μογιλάλον, καὶ παρακαλοῦσιν αὐτὸν ἵνα ἐπιθῇ αὐτῷ τὴν χεῖρα. (Ⅳ)
- Et adducunt ei surdum, et mutum, et deprecabantur eum, ut imponat illi manum. (Ⅴ)
- Et on lui amène un sourd qui parlait avec peine, et on le prie pour qu’il lui impose la main. (Ⅶ)
- Et on lui amena un sourd qui avait la parole empêchée, et on le pria de poser les mains sur lui. (Ⅷ)
7. 33  
Et l'ayant tiré de la foule à part, il lui mit les doigts dans les oreilles; et ayant pris de sa salive, il lui toucha la langue.
- Le tirant à part hors de la foule, il lui mit les doigts dans les oreilles, et de sa salive il toucha sa langue; (Ⅰ)
- Il le prit à part loin de la foule, lui mit les doigts dans les oreilles, et lui toucha la langue avec sa propre salive; (Ⅱ)
- καὶ ἀπολαβόμενος αὐτὸν ἀπὸ τοῦ ὄχλου κατ’ ἰδίαν ἔβαλεν τοὺς δακτύλους αὐτοῦ εἰς τὰ ὦτα αὐτοῦ καὶ πτύσας ἥψατο τῆς γλώσσης αὐτοῦ, (Ⅳ)
- Et apprehendens eum de turba seorsum, misit digitos suos in auriculas ejus : et exspuens, tetigit linguam ejus : (Ⅴ)
- Et l’ayant tiré à l’écart, hors de la foule, il lui mit les doigts dans les oreilles; et ayant craché, il lui toucha la langue; (Ⅶ)
- Et [Jésus] l’ayant tiré à part, hors de la foule, lui mit les doigts dans les oreilles ; et ayant craché, lui toucha la langue. (Ⅷ)
7. 34  
Puis levant les yeux au ciel, il soupira et lui dit: Ephphatha, c'est-à-dire, Ouvre-toi.
- puis, levant les yeux au ciel, il poussa un soupir et lui dit : " Ephphatha, " c'est-à-dire : " Ouvre-toi. " (Ⅰ)
- puis, levant les yeux au ciel, il soupira, et dit: Éphphatha, c'est-à-dire, ouvre-toi. (Ⅱ)
- καὶ ἀναβλέψας εἰς τὸν οὐρανὸν ἐστέναξεν, καὶ λέγει αὐτῷ· Εφφαθα, ὅ ἐστιν Διανοίχθητι· (Ⅳ)
- et suscipiens in cælum, ingemuit, et ait illi : Ephphetha, quod est, Adaperire. (Ⅴ)
- et regardant vers le ciel, il soupira, et lui dit: Ephphatha, c’est-à-dire, ouvre-toi. (Ⅶ)
- Puis regardant vers le ciel, il soupira, et lui dit : Ephphatha, c’est-à-dire, Ouvre-toi. (Ⅷ)
7. 35  
Aussitôt ses oreilles furent ouvertes, et sa langue fut déliée, et il parlait sans peine.
- Et ses oreilles s'ouvrirent, et aussitôt le nœud de sa langue se délia, et il parlait distinctement. (Ⅰ)
- Aussitôt ses oreilles s'ouvrirent, sa langue se délia, et il parla très bien. (Ⅱ)
- ⸀καὶ ⸀ἠνοίγησαν αὐτοῦ αἱ ἀκοαί, καὶ ἐλύθη ὁ δεσμὸς τῆς γλώσσης αὐτοῦ, καὶ ἐλάλει ὀρθῶς· (Ⅳ)
- Et statim apertæ sunt aures ejus, et solutum est vinculum linguæ ejus, et loquebatur recte. (Ⅴ)
- Et aussitôt ses oreilles s’ouvrirent, et le lien de sa langue se délia, et il parlait distinctement. (Ⅶ)
- Et aussitôt ses oreilles s’ouvrirent, et le lien de sa langue se délia, et il parla aisément. (Ⅷ)
7. 36  
Et Jésus leur défendit de le dire à qui que ce fût; mais plus il le leur défendait, plus ils le publiaient.
- Il leur défendit d'en rien dire à personne; mais plus il le leur défendait, plus ils le publiaient. (Ⅰ)
- Jésus leur recommanda de n'en parler à personne; mais plus il le leur recommanda, plus ils le publièrent. (Ⅱ)
- καὶ διεστείλατο αὐτοῖς ἵνα μηδενὶ ⸀λέγωσιν· ὅσον δὲ ⸂αὐτοῖς διεστέλλετο, αὐτοὶ⸃ μᾶλλον περισσότερον ἐκήρυσσον. (Ⅳ)
- Et præcepit illis ne cui dicerent. Quanto autem eis præcipiebat, tanto magis plus prædicabant : (Ⅴ)
- Et Jésus leur enjoignit de ne le dire à personne; mais plus il le leur défendait, d’autant plus ils le publiaient. (Ⅶ)
- Et [Jésus] leur commanda de ne [le] dire à personne ; mais plus il le défendait, plus ils le publiaient. (Ⅷ)
7. 37  
Et frappés d'étonnement ils disaient: Tout ce qu'il fait est admirable; il fait entendre les sourds et parler les muets.
- Et ravis d'une admiration sans bornes, ils disaient : " Il a fait tout très bien : il a fait entendre les sourds et parler les muets. " (Ⅰ)
- Ils étaient dans le plus grand étonnement, et disaient: Il fait tout à merveille; même il fait entendre les sourds, et parler les muets. (Ⅱ)
- καὶ ὑπερπερισσῶς ἐξεπλήσσοντο λέγοντες· Καλῶς πάντα πεποίηκεν, καὶ τοὺς κωφοὺς ποιεῖ ἀκούειν ⸀καὶ ἀλάλους λαλεῖν. (Ⅳ)
- et eo amplius admirabantur, dicentes : Bene omnia fecit : et surdos fecit audire, et mutos loqui. (Ⅴ)
- Et ils étaient extrêmement étonnés, disant: il fait toutes choses bien; il fait entendre les sourds et parler les muets. (Ⅶ)
- Et ils en étaient extrêmement étonnés, disant : il a tout bien fait ; il fait ouïr les sourds, et parler les muets. (Ⅷ)


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Chapitre 7
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