8.
1
1 ׃8 מי יתנך כאח לי יונק שדי אמי אמצאך בחוץ אשקך[Q][n][p] גם לא יבוזו לי
- Oh ! que ne m'es-tu un frère, qui aurait sucé les mamelles de ma mère ! Te rencontrant dehors, je t'embrasserais, et on ne pourrait me mépriser. (Ⅰ) - Oh! Que n'es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère! Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais, Et l'on ne me mépriserait pas. (Ⅱ) - τίς δώ̨η σε ἀδελφιδόν μου θηλάζοντα μαστοὺς μητρός μου εὑρου̃σά σε ἔξω φιλήσω σε καί γε οὐκ ἐξουδενώσουσίν μοι (Ⅳ) - Quis mihi det te fratrem meum,/ sugentem ubera matris meæ,/ ut inveniam te foris, et deosculer te,/ et jam me nemo despiciat ?/ (Ⅴ) - Oh! que tu fusses pour moi comme un frère qui ait sucé les mamelles de ma mère! Si je te trouvais dehors, je t’embrasserais, sans qu’on m’en méprisât. (Ⅵ) - Plût à Dieu que tu me fusses comme un frère qui a sucé les mamelles de ma mère ! je t’irais trouver dehors, je te baiserais, et on ne m’en mépriserait point. (Ⅶ) - Plût à Dieu que tu fusses comme mon frère, allaité des mamelles de ma mère! J'irais te trouver dehors, je te baiserais, et on ne me mépriserait point. (Ⅷ)
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2 ׃8 אנהגך אביאך אל בית אמי תלמדני אשקך מיין הרקח מעסיס רמני
- Je t'amènerais, je t'introduirais dans la maison de ma mère : tu m'enseignerais ; et je te ferais boire du vin aromatisé, le jus de mes grenades. (Ⅰ) - Je veux te conduire, t'amener à la maison de ma mère; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades. (Ⅱ) - παραλήμψομαί σε εἰσάξω σε εἰς οἰ̃κον μητρός μου καὶ εἰς ταμίειον τη̃ς συλλαβούσης με ποτιω̃ σε ἀπὸ οἴνου του̃ μυρεψικου̃ ἀπὸ νάματος ῥοω̃ν μου (Ⅳ) - Apprehendam te, et ducam in domum matris meæ :/ ibi me docebis,/ et dabo tibi poculum ex vino condito,/ et mustum malorum granatorum meorum./ (Ⅴ) - Je t’amènerais, je t’introduirais dans la maison de ma mère: tu m’instruirais; je te ferais boire du vin aromatisé, du jus de mes grenades. (Ⅵ) - Je t’amènerais, je t’introduirais dans la maison de ma mère, tu m’enseignerais, et je te ferais boire du vin mixtionné d’aromates, et du moût de mon grenadier. (Ⅶ) - Je t'amènerais et t'introduirais dans la maison de ma mère; et tu m'instruirais, et je te ferais boire du vin mixtionné d'aromates et du moût de mon grenadier. (Ⅷ)
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3 ׃8 שמאלו תחת ראשי וימינו תחבקני
- Sa main gauche est sous ma tête, et sa droite me tient embrassée. (Ⅰ) - Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m'embrasse! - (Ⅱ) - εὐώνυμος αὐτου̃ ὑπὸ τὴν κεφαλήν μου καὶ ἡ δεξιὰ αὐτου̃ περιλήμψεταί με (Ⅳ) - Læva ejus sub capite meo,/ et dextera illius amplexabitur me./ (Ⅴ) - Sa main gauche serait sous ma tête, et sa droite m’embrasserait! (Ⅵ) - Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse. (Ⅶ) - Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m'embrasse! (Ⅷ)
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4 ׃8 השבעתי אתכם בנות ירושלם מה תעירו ומה תעררו את האהבה עד שתחפץ ס
- (L'Epoux:) Je vous en conjure, filles de Jérusalem, n'éveillez pas, ne réveillez pas la bien-aimée; avant qu'elle le veuille. (Ⅰ) - Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. - (Ⅱ) - ὥρκισα ὑμα̃ς θυγατέρες Ιερουσαλημ ἐν ται̃ς δυνάμεσιν καὶ ἐν ται̃ς ἰσχύσεσιν του̃ ἀγρου̃ τί ἐγείρητε καὶ τί ἐξεγείρητε τὴν ἀγάπην ἕως ἂν θελήση̨ (Ⅳ) - Adjuro vos, filiæ Jerusalem,/ ne suscitetis, neque evigilare faciatis dilectam,/ donec ipsa velit./ (Ⅴ) - Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous, et pourquoi réveilleriez-vous mon amour, avant qu’elle le veuille! (Ⅵ) - Je vous adjure, Filles de Jérusalem, que vous ne réveilliez point celle que j’aime, que vous ne la réveilliez point, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (Ⅶ) - Je vous adjure, filles de Jérusalem, ne réveillez pas, ne réveillez pas celle que j'aime, avant qu'elle le veuille. (Ⅷ)
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5 ׃8 מי זאת עלה מן המדבר מתרפקת על דודה תחת התפוח עוררתיך שמה חבלתך אמך שמה חבלה ילדתך
- (Le Choeur:) Quelle est celle-ci qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé? (L'Epoux:) Je t'ai réveillée sous le pommier; là, ta mère t'a conçue ; là, elle t'a conçue, là, elle t'a donné le jour. (Ⅰ) - Qui est celle qui monte du désert, Appuyée sur son bien-aimé? -Je t'ai réveillée sous le pommier; Là ta mère t'a enfantée, C'est là qu'elle t'a enfantée, qu'elle t'a donné le jour. - (Ⅱ) - τίς αὕτη ἡ ἀναβαίνουσα λελευκανθισμένη ἐπιστηριζομένη ἐπὶ τὸν ἀδελφιδὸν αὐτη̃ς ὑπὸ μη̃λον ἐξήγειρά σε ἐκει̃ ὠδίνησέν σε ἡ μήτηρ σου ἐκει̃ ὠδίνησέν σε ἡ τεκου̃σά σου (Ⅳ) - Quæ est ista quæ ascendit de deserto, deliciis affluens,/ innixa super dilectum suum ?/ Sub arbore malo suscitavi te ;/ ibi corrupta est mater tua,/ ibi violata est genitrix tua./ (Ⅴ) - Qui est celle-ci qui monte du désert, s’appuyant sur son bien-aimé? — Je t’ai réveillée sous le pommier: là ta mère t’a enfantée dans les douleurs, là celle qui t’a enfantée a été en travail. (Ⅵ) - Qui est celle-ci qui monte du désert, mollement appuyée sur son bien-aimé ? Je t’ai réveillée sous un pommier, là où ta mère t’a enfantée, là où celle qui t’a conçue, t’a enfanté. (Ⅶ) - Qui est celle-ci qui monte du désert, appuyée doucement sur son bien-aimé? Je t'ai réveillée sous un pommier, là où ta mère t'a enfantée, là où t'a enfantée celle qui t'a donné le jour. (Ⅷ)
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6 ׃8 שימני כחותם על לבך כחותם על זרועך כי עזה כמות אהבה קשה כשאול קנאה רשפיה רשפי אש שלהבתיה
- Mets-moi comme un sceau sur ton coeur, comme un sceau sur ton bras ; car l'amour est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le schéol. Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Yahweh. (Ⅰ) - Mets-moi comme un sceau sur ton coeur, Comme un sceau sur ton bras; Car l'amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l'Éternel. (Ⅱ) - θές με ὡς σφραγι̃δα ἐπὶ τὴν καρδίαν σου ὡς σφραγι̃δα ἐπὶ τὸν βραχίονά σου ὅτι κραταιὰ ὡς θάνατος ἀγάπη σκληρὸς ὡς ἅ̨δης ζη̃λος περίπτερα αὐτη̃ς περίπτερα πυρός φλόγες αὐτη̃ς (Ⅳ) - Pone me ut signaculum super cor tuum,/ ut signaculum super brachium tuum,/ quia fortis est ut mors dilectio,/ dura sicut infernus æmulatio :/ lampades ejus lampades ignis atque flammarum./ (Ⅴ) - Mets-moi comme un cachet sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie cruelle comme le shéol; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Jah. (Ⅵ) - Mets-moi comme un cachet sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, et la jalousie est cruelle comme le sépulcre ; leurs embrasements sont des embrasements de feu, et une flamme très-véhémente. (Ⅶ) - Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras. L'amour est fort comme la mort, et la jalousie est inflexible comme les enfers; leurs embrasements sont des embrasements de feu et une flamme de l'Éternel. (Ⅷ)
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7 ׃8 מים רבים לא יוכלו לכבות את האהבה ונהרות לא ישטפוה אם יתן איש את כל הון ביתו באהבה בוז יבוזו לו ס
- Les grandes eaux ne sauraient éteindre l'amour, et les fleuves ne le submergeraient pas. Un homme donnerait-il pour l'amour toutes les richesses de sa maison, on ne ferait que le mépriser. (Ⅰ) - Les grandes eaux ne peuvent éteindre l'amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l'amour, Il ne s'attirerait que le mépris. (Ⅱ) - ὕδωρ πολὺ οὐ δυνήσεται σβέσαι τὴν ἀγάπην καὶ ποταμοὶ οὐ συγκλύσουσιν αὐτήν ἐὰν δω̨̃ ἀνὴρ τὸν πάντα βίον αὐτου̃ ἐν τη̨̃ ἀγάπη̨ ἐξουδενώσει ἐξουδενώσουσιν αὐτόν (Ⅳ) - Aquæ multæ non potuerunt extinguere caritatem,/ nec flumina obruent illam./ Si dederit homo omnem substantiam domus suæ pro dilectione,/ quasi nihil despiciet eam./ (Ⅴ) - Beaucoup d’eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves ne le submergent pas; si un homme donnait tous les biens de sa maison pour l’amour, on l’aurait en un profond mépris. (Ⅵ) - Beaucoup d’eaux ne pourraient point éteindre cet amour-là, et les fleuves mêmes ne le pourraient pas noyer ; si quelqu’un donnait tous les biens de sa maison pour cet amour, certainement on n’en tiendrait aucun compte. (Ⅶ) - Beaucoup d'eaux ne pourraient éteindre cet amour-là, et les fleuves même ne le pourraient pas noyer; si quelqu'un donnait tous les biens de sa maison pour cet amour-là, certainement on n'en tiendrait aucun compte. (Ⅷ)
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8 ׃8 אחות לנו קטנה ושדים אין לה מה נעשה לאחתנו ביום שידבר בה
- (Le Choeur:) Nous avons une petite soeur, qui n'a pas encore de mamelles : que ferons-nous à notre soeur le jour où on la recherchera ? (Ⅰ) - Nous avons une petite soeur, Qui n'a point encore de mamelles; Que ferons-nous de notre soeur, Le jour où on la recherchera? (Ⅱ) - ἀδελφὴ ἡμι̃ν μικρὰ καὶ μαστοὺς οὐκ ἔχει τί ποιήσωμεν τη̨̃ ἀδελφη̨̃ ἡμω̃ν ἐν ἡμέρα̨ ἡ̨̃ ἐὰν λαληθη̨̃ ἐν αὐτη̨̃ (Ⅳ) - Soror nostra parva,/ et ubera non habet ;/ quid faciemus sorori nostræ/ in die quando alloquenda est ?/ (Ⅴ) - Nous avons une petite sœur, et elle n’a pas encore de seins. Que ferons-nous pour notre sœur, au jour qu’on parlera d’elle? (Ⅵ) - Nous avons une petite sœur qui n’a pas encore de mamelles ; que ferons nous à notre sœur le jour qu’on parlera d’elle ? (Ⅶ) - Nous avons une petite sœur, qui n'a pas encore de mamelles; que ferons-nous de notre sœur au jour qu'on parlera d'elle? (Ⅷ)
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9 ׃8 אם חומה היא נבנה עליה טירת כסף ואם דלת היא נצור עליה לוח ארז
- Si elle est un mur, nous lui ferons un couronnement d'argent ; si elle est une porte, nous la fermerons avec des ais de cèdre. (Ⅰ) - Si elle est un mur, Nous bâtirons sur elle des créneaux d'argent; Si elle est une porte, Nous la fermerons avec une planche de cèdre. - (Ⅱ) - εἰ τει̃χός ἐστιν οἰκοδομήσωμεν ἐπ' αὐτὴν ἐπάλξεις ἀργυρα̃ς καὶ εἰ θύρα ἐστίν διαγράψωμεν ἐπ' αὐτὴν σανίδα κεδρίνην (Ⅳ) - Si murus est,/ ædificemus super eum propugnacula argentea ;/ si ostium est, compingamus illud tabulis cedrinis./ (Ⅴ) - — Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle une demeure d’argent; et si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre. (Ⅵ) - Si elle est [comme] une muraille, nous bâtirons sur elle un palais d’argent ; et si elle est [comme] une porte, nous la renforcerons d’un entablement de cèdre. (Ⅶ) - Si elle est comme un mur, nous bâtirons dessus un palais d'argent; et si elle est comme une porte, nous la fermerons par une planche de cèdre. (Ⅷ)
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10 ׃8 אני חומה ושדי כמגדלות אז הייתי בעיניו כמוצאת שלום פ
- (L'Epouse:) Je suis un mur, et mes seins sont comme des tours, aussi suis-je, à ses yeux, celle qui a trouvé la paix, (Ⅰ) - Je suis un mur, Et mes seins sont comme des tours; J'ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix. (Ⅱ) - ἐγὼ τει̃χος καὶ μαστοί μου ὡς πύργοι ἐγὼ ἤμην ἐν ὀφθαλμοι̃ς αὐτου̃ ὡς εὑρίσκουσα εἰρήνην (Ⅳ) - Ego murus, et ubera mea sicut turris,/ ex quo facta sum coram eo, quasi pacem reperiens./ (Ⅴ) - Je suis une muraille, et mes seins sont des tours; je fus alors à ses yeux comme celle qui a trouvé la paix. (Ⅵ) - Je suis [comme] une muraille, et mes mamelles sont comme des tours ; j’ai été alors si favorisée de lui, que j’ai trouvé la paix. (Ⅶ) - Je suis un mur, et mes seins sont comme des tours; j'ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix. (Ⅷ)
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11 ׃8 כרם היה לשלמה בבעל המון נתן את הכרם לנטרים איש יבא בפריו אלף כסף
- (Le Choeur:) Salomon avait une vigne à Baal-Hamon, il remit la vigne à des gardiens, (Ⅰ) - Salomon avait une vigne à Baal Hamon; Il remit la vigne à des gardiens; Chacun apportait pour son fruit mille sicles d'argent. (Ⅱ) - ἀμπελὼν ἐγενήθη τω̨̃ Σαλωμων ἐν Βεελαμων ἔδωκεν τὸν ἀμπελω̃να αὐτου̃ τοι̃ς τηρου̃σιν ἀνὴρ οἴσει ἐν καρπω̨̃ αὐτου̃ χιλίους ἀργυρίου (Ⅳ) - Vinea fuit pacifico in ea quæ habet populos :/ tradidit eam custodibus ;/ vir affert pro fructu ejus mille argenteos./ (Ⅴ) - — Salomon avait une vigne à Baal-Hamon: il remit la vigne à des gardiens; chacun devait apporter pour son fruit mille pièces d’argent. (Ⅵ) - Salomon a eu une vigne en Bahalhamon, qu’il a donnée à des gardes, et chacun d’eux en doit apporter pour son fruit mille [pièces] d’argent. (Ⅶ) - Salomon a eu à Baal-Hamon une vigne, qu'il a donnée à des gardes; chacun d'eux doit en apporter pour son fruit mille pièces d'argent. (Ⅷ)
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12 ׃8 כרמי[Q][n][v] שלי לפני האלף לך שלמה ומאתים לנטרים את פריו
- (L'Epouse:) La vigne qui est à moi, j'en dispose : à toi, Salomon, les milles sicles, et deux cents aux gardiens de son fruit. (Ⅰ) - Ma vigne, qui est à moi, je la garde. A toi, Salomon, les mille sicles, Et deux cents à ceux qui gardent le fruit! - (Ⅱ) - ἀμπελών μου ἐμὸς ἐνώπιόν μου οἱ χίλιοι σοί Σαλωμων καὶ οἱ διακόσιοι τοι̃ς τηρου̃σι τὸν καρπὸν αὐτου̃ (Ⅳ) - Vinea mea coram me est./ Mille tui pacifici,/ et ducenti his qui custodiunt fructus ejus./ (Ⅴ) - Ma vigne, qui est à moi, est devant moi. À toi, Salomon, les mille pièces; et deux cents pour ceux qui en gardent le fruit. (Ⅵ) - Ma vigne, qui est à moi, est à mon commandement : Ô Salomon, que les mille [pièces d’argent soient] à toi, et [qu’il y en ait] deux cents pour les gardes du fruit de la vigne. (Ⅶ) - Ma vigne, qui est à moi, je la garde, ô Salomon! A toi les mille pièces, et deux cents à ceux qui gardent le fruit! (Ⅷ)
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13 ׃8 היושבת[Q][n][p] בגנים חברים מקשיבים לקולך השמיעיני
- (L'Epoux:) Toi qui habites les jardins les compagnons prêtent l'oreille à ta voix : daigne me la faire entendre (Ⅰ) - Habitante des jardins! Des amis prêtent l'oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre! - (Ⅱ) - ὁ καθήμενος ἐν κήποις ἑται̃ροι προσέχοντες τη̨̃ φωνη̨̃ σου ἀκούτισόν με (Ⅳ) - Quæ habitas in hortis, amici auscultant ;/ fac me audire vocem tuam./ (Ⅴ) - Habitante des jardins, les compagnons sont attentifs à ta voix! Fais que je l’entende! (Ⅵ) - Ô toi qui habites dans les jardins, les amis sont attentifs à ta voix ; fais que je l’entende. (Ⅶ) - O toi, qui habites dans les jardins, les amis sont attentifs à ta voix; fais que je l'entende! (Ⅷ)
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14 ׃8 ברח דודי ודמה לך לצבי או לעפר האילים על הרי בשמים
- (L'Epouse:) Cours, mon bien aimé, et sois semblable à la gazelle, ou au faon des biches, sur les montagnes des baumiers ! (Ⅰ) - Fuis, mon bien-aimé! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates! (Ⅱ) - φύγε ἀδελφιδέ μου καὶ ὁμοιώθητι τη̨̃ δορκάδι ἢ τω̨̃ νεβρω̨̃ τω̃ν ἐλάφων ἐπὶ ὄρη ἀρωμάτων (Ⅳ) - Fuge, dilecte mi, et assimilare capreæ,/ hinnuloque cervorum super montes aromatum.] (Ⅴ) - Fuis, mon bien-aimé, et sois semblable à une gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates. (Ⅵ) - Mon bien-aimé, fuis-t’en aussi vite qu’un chevreuil, ou qu’un faon de biche, sur les montagnes des drogues aromatiques. (Ⅶ) - Mon bien-aimé, enfuis-toi aussi vite qu'une gazelle, ou qu'un faon de biche, sur les montagnes des aromates. (Ⅷ)
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