Romains
> Romains  >
39 Verses | Page 1 / 1
(Version David Martin)


Afficher / Cacher
(Ⅰ)
(Ⅰ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)

settings contact_support arrow_upward home menu

8. 1  
Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, lesquels ne marchent point selon la chair, mais selon l’Esprit.
- Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, [qui ne marchent pas selon la chair]. (Ⅰ)
- Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ. (Ⅱ)
- Οὐδὲν ἄρα νῦν κατάκριμα τοῖς ἐν Χριστῷ ⸀Ἰησοῦ· (Ⅳ)
- Nihil ergo nunc damnationis est iis qui sunt in Christo Jesu : qui non secundum carnem ambulant. (Ⅴ)
- Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le christ Jésus; (Ⅶ)
- Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l'esprit; (Ⅷ)
8. 2  
Parce que la Loi de l’Esprit de vie [qui est] en Jésus-Christ, m’a affranchi de la Loi du péché et de la mort.
- En effet, la loi de l'Esprit de la vie m'a affranchi en Jésus-Christ de la loi du péché et de la mort. (Ⅰ)
- En effet, la loi de l'esprit de vie en Jésus Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort. (Ⅱ)
- ὁ γὰρ νόμος τοῦ πνεύματος τῆς ζωῆς ἐν Χριστῷ Ἰησοῦ ἠλευθέρωσέν ⸀σε ἀπὸ τοῦ νόμου τῆς ἁμαρτίας καὶ τοῦ θανάτου. (Ⅳ)
- Lex enim spiritus vitæ in Christo Jesu liberavit me a lege peccati et mortis. (Ⅴ)
- car la loi de l’Esprit de vie dans le christ Jésus, m’a affranchi de la loi du péché et de la mort; (Ⅶ)
- Parce que la loi de l'Esprit de vie, qui est en Jésus-Christ, m'a affranchi de la loi du péché et de la mort. (Ⅷ)
8. 3  
Parce que ce qui était impossible à la Loi, à cause qu’elle était faible en la chair, Dieu ayant envoyé son propre Fils en forme de chair de péché, et pour le péché, a condamné le péché en la chair ;
- Car, ce qui était impossible à la Loi parce qu'elle était sans force à cause de la chair, Dieu l'a fait : en envoyant, pour le péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et il a condamné le péché dans la chair, (Ⅰ)
- Car-chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force, -Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, (Ⅱ)
- τὸ γὰρ ἀδύνατον τοῦ νόμου, ἐν ᾧ ἠσθένει διὰ τῆς σαρκός, ὁ θεὸς τὸν ἑαυτοῦ υἱὸν πέμψας ἐν ὁμοιώματι σαρκὸς ἁμαρτίας καὶ περὶ ἁμαρτίας κατέκρινε τὴν ἁμαρτίαν ἐν τῇ σαρκί, (Ⅳ)
- Nam quod impossibile erat legi, in quo infirmabatur per carnem : Deus Filium suum mittens in similitudinem carnis peccati et de peccato, damnavit peccatum in carne, (Ⅴ)
- car ce qui était impossible à la loi, en ce qu’elle était faible par la chair, Dieu, ayant envoyé son propre Fils en ressemblance de chair de péché, et pour le péché, a condamné le péché dans la chair, (Ⅶ)
- Car ce qui était impossible à la loi, parce qu'elle était affaiblie par la chair, Dieu l'a fait: envoyant son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché; et pour le péché, il a condamné le péché dans la chair; (Ⅷ)
8. 4  
Afin que la justice de la Loi fût accomplie en nous, qui ne marchons point selon la chair, mais selon l’Esprit.
- afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'Esprit. (Ⅰ)
- et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit. (Ⅱ)
- ἵνα τὸ δικαίωμα τοῦ νόμου πληρωθῇ ἐν ἡμῖν τοῖς μὴ κατὰ σάρκα περιπατοῦσιν ἀλλὰ κατὰ πνεῦμα· (Ⅳ)
- ut justificatio legis impleretur in nobis, qui non secundum carnem ambulamus, sed secundum spiritum. (Ⅴ)
- afin que la juste exigence de la loi fût accomplie en nous, qui ne marchons pas selon la chair, mais selon l’Esprit. (Ⅶ)
- Afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit. (Ⅷ)
8. 5  
Car ceux qui sont selon la chair, sont affectionnés aux choses de la chair ; mais ceux qui sont selon l’Esprit, [sont affectionnés] aux choses de l’Esprit.
- Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair; mais ceux qui vivent selon l'Esprit s'affectionnent aux choses de l'Esprit. (Ⅰ)
- Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit. (Ⅱ)
- οἱ γὰρ κατὰ σάρκα ὄντες τὰ τῆς σαρκὸς φρονοῦσιν, οἱ δὲ κατὰ πνεῦμα τὰ τοῦ πνεύματος. (Ⅳ)
- Qui enim secundum carnem sunt, quæ carnis sunt, sapiunt : qui vero secundum spiritum sunt, quæ sunt spiritus, sentiunt. (Ⅴ)
- Car ceux qui sont selon la chair ont leurs pensées aux choses de la chair; mais ceux qui sont selon l’Esprit, aux choses de l’Esprit; (Ⅶ)
- Car ceux qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair; mais ceux qui vivent selon l'esprit, s'affectionnent aux choses de l'esprit. (Ⅷ)
8. 6  
Or l’affection de la chair est la mort ; mais l’affection de l’Esprit est la vie et la paix.
- Et les affections de la chair, c'est la mort, tandis que les affections de l'Esprit, c'est la vie et la paix : (Ⅰ)
- Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix; (Ⅱ)
- τὸ γὰρ φρόνημα τῆς σαρκὸς θάνατος, τὸ δὲ φρόνημα τοῦ πνεύματος ζωὴ καὶ εἰρήνη· (Ⅳ)
- Nam prudentia carnis, mors est : prudentia autem spiritus, vita et pax : (Ⅴ)
- car la pensée de la chair est la mort; mais la pensée de l’Esprit, vie et paix; (Ⅶ)
- Car l'affection de la chair c'est la mort; mais l'affection de l'esprit c'est la vie et la paix; (Ⅷ)
8. 7  
Parce que l’affection de la chair est inimitié contre Dieu ; car elle ne se rend point sujette à la Loi de Dieu ; et aussi ne le peut-elle point.
- parce que les affections de la chair sont inimitié contre Dieu, car elles ne se soumettent pas à la loi divine, et elles ne le peuvent même pas. (Ⅰ)
- car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas. (Ⅱ)
- διότι τὸ φρόνημα τῆς σαρκὸς ἔχθρα εἰς θεόν, τῷ γὰρ νόμῳ τοῦ θεοῦ οὐχ ὑποτάσσεται, οὐδὲ γὰρ δύναται· (Ⅳ)
- quoniam sapientia carnis inimica est Deo : legi enim Dei non est subjecta, nec enim potest. (Ⅴ)
- — parce que la pensée de la chair est inimitié contre Dieu, car elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, car aussi elle ne le peut pas. (Ⅶ)
- Parce que l'affection de la chair est inimitié contre Dieu; car elle ne se soumet pas à la loi de Dieu; et en effet, elle ne le peut. (Ⅷ)
8. 8  
C’est pourquoi ceux qui sont en la chair ne peuvent point plaire à Dieu.
- Or ceux qui vivent dans la chair ne sauraient plaire à Dieu. (Ⅰ)
- Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu. (Ⅱ)
- οἱ δὲ ἐν σαρκὶ ὄντες θεῷ ἀρέσαι οὐ δύνανται. (Ⅳ)
- Qui autem in carne sunt, Deo placere non possunt. (Ⅴ)
- Et ceux qui sont dans la chair ne peuvent plaire à Dieu. (Ⅶ)
- Or, ceux qui sont dans la chair, ne peuvent plaire à Dieu. (Ⅷ)
8. 9  
Or vous n’êtes point en la chair, mais dans l’Esprit ; si toutefois l’Esprit de Dieu habite en vous ; mais si quelqu’un n’a point l’Esprit de Christ, celui-là n’est point à lui.
- Pour vous, vous ne vivez point dans la chair, mais dans l'Esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit du Christ, il ne lui appartient pas. (Ⅰ)
- Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. (Ⅱ)
- Ὑμεῖς δὲ οὐκ ἐστὲ ἐν σαρκὶ ἀλλὰ ἐν πνεύματι, εἴπερ πνεῦμα θεοῦ οἰκεῖ ἐν ὑμῖν. εἰ δέ τις πνεῦμα Χριστοῦ οὐκ ἔχει, οὗτος οὐκ ἔστιν αὐτοῦ. (Ⅳ)
- Vos autem in carne non estis, sed in spiritu : si tamen Spiritus Dei habitat in vobis. Si quis autem Spiritum Christi non habet, hic non est ejus. (Ⅴ)
- Or vous n’êtes pas dans la chair, mais dans l’Esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous; mais si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, celui-là n’est pas de lui. (Ⅶ)
- Pour vous, vous n'êtes point dans la chair, mais dans l'esprit, s'il est vrai que l'Esprit de Dieu habite en vous. Or, si quelqu'un n'a point l'Esprit de Christ, celui-là n'est point à Lui. (Ⅷ)
8. 10  
Et si Christ est en vous, le corps est bien mort à cause du péché ; mais l’esprit est vie à cause de la justice.
- Mais si le Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l'esprit est vie à cause de la justice. (Ⅰ)
- Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l'esprit est vie à cause de la justice. (Ⅱ)
- εἰ δὲ Χριστὸς ἐν ὑμῖν, τὸ μὲν σῶμα νεκρὸν διὰ ἁμαρτίαν, τὸ δὲ πνεῦμα ζωὴ διὰ δικαιοσύνην. (Ⅳ)
- Si autem Christus in vobis est, corpus quidem mortuum est propter peccatum, spiritus vero vivit propter justificationem. (Ⅴ)
- Mais si Christ est en vous, le corps est bien mort à cause du péché, mais l’Esprit est vie à cause de la justice. (Ⅶ)
- Mais si Christ est en vous, le corps est bien mort à cause du péché, mais l'esprit est vivant à cause de la justice. (Ⅷ)
8. 11  
Or si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus des morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ des morts, vivifiera aussi vos corps mortels à cause de son Esprit qui habite en vous.
- Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité le Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels, à cause de son Esprit qui habite en vous. (Ⅰ)
- Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. (Ⅱ)
- εἰ δὲ τὸ πνεῦμα τοῦ ἐγείραντος ⸀τὸν Ἰησοῦν ἐκ νεκρῶν οἰκεῖ ἐν ὑμῖν, ὁ ἐγείρας ⸂ἐκ νεκρῶν Χριστὸν Ἰησοῦν⸃ ζῳοποιήσει καὶ τὰ θνητὰ σώματα ὑμῶν διὰ ⸂τὸ ἐνοικοῦν αὐτοῦ πνεῦμα⸃ ἐν ὑμῖν. (Ⅳ)
- Quod si Spiritus ejus, qui suscitavit Jesum a mortuis, habitat in vobis : qui suscitavit Jesum Christum a mortuis, vivificabit et mortalia corpora vestra, propter inhabitantem Spiritum ejus in vobis. (Ⅴ)
- Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité le Christ d’entre les morts vivifiera vos corps mortels aussi, à cause de son Esprit qui habite en vous. (Ⅶ)
- Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus des morts, habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels, par son Esprit qui habite en vous. (Ⅷ)
8. 12  
Ainsi donc, mes frères, nous sommes débiteurs, non point à la chair, pour vivre selon la chair.
- Ainsi donc, mes frères, nous ne sommes point redevables à la chair pour vivre selon la chair. (Ⅰ)
- Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair. (Ⅱ)
- Ἄρα οὖν, ἀδελφοί, ὀφειλέται ἐσμέν, οὐ τῇ σαρκὶ τοῦ κατὰ σάρκα ζῆν, (Ⅳ)
- Ergo fratres, debitores sumus non carni, ut secundum carnem vivamus. (Ⅴ)
- Ainsi donc, frères, nous sommes débiteurs, non pas à la chair pour vivre selon la chair; (Ⅶ)
- Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair. (Ⅷ)
8. 13  
Car si vous vivez selon la chair, vous mourrez ; mais si par l’Esprit vous mortifiez les actions du corps, vous vivrez.
- Car si vous vivez, selon la chair, vous mourrez; mais si, par l'Esprit, vous faites mourir les œuvres du corps, vous vivrez; (Ⅰ)
- Si vous vivez selon la chair, vous mourrez; mais si par l'Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez, (Ⅱ)
- εἰ γὰρ κατὰ σάρκα ζῆτε μέλλετε ἀποθνῄσκειν, εἰ δὲ πνεύματι τὰς πράξεις τοῦ σώματος θανατοῦτε, ζήσεσθε. (Ⅳ)
- Si enim secundum carnem vixeritis, moriemini : si autem spiritu facta carnis mortificaveritis, vivetis.\ (Ⅴ)
- car si vous vivez selon la chair, vous mourrez; mais si par l’Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez. (Ⅶ)
- En effet, si vous vivez selon la chair, vous mourrez; mais si, par l'Esprit, vous faites mourir les ouvres du corps, vous vivrez. (Ⅷ)
8. 14  
Or tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu, sont enfants de Dieu.
- car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. (Ⅰ)
- car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. (Ⅱ)
- ὅσοι γὰρ πνεύματι θεοῦ ἄγονται, οὗτοι ⸂υἱοί εἰσιν θεοῦ⸃. (Ⅳ)
- Quicumque enim Spiritu Dei aguntur, ii sunt filii Dei. (Ⅴ)
- Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu, ceux-là sont fils de Dieu. (Ⅶ)
- Car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu, sont enfants de Dieu. (Ⅷ)
8. 15  
Car vous n’avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte ; mais vous avez reçu l’Esprit d’adoption, par lequel nous crions Abba, [c’est-à-dire], Père.
- En effet, vous n'avez point reçu un Esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, en qui nous crions : Abba ! Père ! (Ⅰ)
- Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba! Père! (Ⅱ)
- οὐ γὰρ ἐλάβετε πνεῦμα δουλείας πάλιν εἰς φόβον, ἀλλὰ ἐλάβετε πνεῦμα υἱοθεσίας ἐν ᾧ κράζομεν· Αββα ὁ πατήρ· (Ⅳ)
- Non enim accepistis spiritum servitutis iterum in timore, sed accepistis spiritum adoptionis filiorum, in quo clamamus : Abba (Pater). (Ⅴ)
- Car vous n’avez pas reçu un esprit de servitude pour être derechef dans la crainte, mais vous avez reçu l’Esprit d’adoption, par lequel nous crions: Abba, Père! (Ⅶ)
- Car vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba, Père. (Ⅷ)
8. 16  
C’est ce même Esprit qui rend témoignage avec notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
- Cet Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. (Ⅰ)
- L'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. (Ⅱ)
- αὐτὸ τὸ πνεῦμα συμμαρτυρεῖ τῷ πνεύματι ἡμῶν ὅτι ἐσμὲν τέκνα θεοῦ. (Ⅳ)
- Ipse enim Spiritus testimonium reddit spiritui nostro quod sumus filii Dei. (Ⅴ)
- L’Esprit lui-même rend témoignage avec notre esprit, que nous sommes enfants de Dieu; (Ⅶ)
- Car l'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit, que nous sommes enfants de Dieu. (Ⅷ)
8. 17  
Et si nous sommes enfants, nous sommes donc héritiers : héritiers, dis-je, de Dieu, et cohéritiers de Christ ; si nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui.
- Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers, héritiers de Dieu et cohéritiers du Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, pour être glorifiés avec lui. (Ⅰ)
- Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers: héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d'être glorifiés avec lui. (Ⅱ)
- εἰ δὲ τέκνα, καὶ κληρονόμοι· κληρονόμοι μὲν θεοῦ, συγκληρονόμοι δὲ Χριστοῦ, εἴπερ συμπάσχομεν ἵνα καὶ συνδοξασθῶμεν. (Ⅳ)
- Si autem filii, et hæredes : hæredes, quidem Dei, cohæredes autem Christi : si tamen compatimur ut et conglorificemur.\ (Ⅴ)
- et si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers; héritiers de Dieu, cohéritiers de Christ; si du moins nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui. (Ⅶ)
- Et si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers; héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ; si toutefois nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui. (Ⅷ)
8. 18  
Car tout bien compté, j’estime que les souffrances du temps présent ne sont point comparables à la gloire à venir qui doit être révélée en nous.
- Car j'estime que les souffrances du temps présent sont sans proportion avec la gloire à venir qui sera manifestée en nous. (Ⅰ)
- J'estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. (Ⅱ)
- Λογίζομαι γὰρ ὅτι οὐκ ἄξια τὰ παθήματα τοῦ νῦν καιροῦ πρὸς τὴν μέλλουσαν δόξαν ἀποκαλυφθῆναι εἰς ἡμᾶς. (Ⅳ)
- Existimo enim quod non sunt condignæ passiones hujus temporis ad futuram gloriam, quæ revelabitur in nobis. (Ⅴ)
- Car j’estime que les souffrances du temps présent ne sont pas dignes d’être comparées avec la gloire à venir qui doit nous être révélée. (Ⅶ)
- Car j'estime qu'il n'y a point de proportion entre les souffrances du temps présent et la gloire à venir, qui sera manifestée en nous. (Ⅷ)
8. 19  
Car le grand et ardent désir des créatures, est qu’elles attendent que les enfants de Dieu soient révélés ;
- Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la manifestation des enfants de Dieu. (Ⅰ)
- Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. (Ⅱ)
- ἡ γὰρ ἀποκαραδοκία τῆς κτίσεως τὴν ἀποκάλυψιν τῶν υἱῶν τοῦ θεοῦ ἀπεκδέχεται· (Ⅳ)
- Nam exspectatio creaturæ revelationem filiorum Dei exspectat. (Ⅴ)
- Car la vive attente de la création attend la révélation des fils de Dieu. (Ⅶ)
- En effet, la création attend, avec un ardent désir, que les enfants de Dieu soient manifestés, (Ⅷ)
8. 20  
(Parce que les créatures sont sujettes à la vanité, non de leur volonté ; mais à cause de celui qui les [y] a assujetties)
- La création, en effet, a été assujettie à la vanité, — non de son gré, mais par la volonté de celui qui l'y a soumise, — avec l'espérance (Ⅰ)
- Car la création a été soumise à la vanité, -non de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise, - (Ⅱ)
- τῇ γὰρ ματαιότητι ἡ κτίσις ὑπετάγη, οὐχ ἑκοῦσα ἀλλὰ διὰ τὸν ὑποτάξαντα, ⸀ἐφ’ ἑλπίδι (Ⅳ)
- Vanitati enim creatura subjecta est non volens, sed propter eum, qui subjecit eam in spe : (Ⅴ)
- Car la création a été assujettie à la vanité (non de sa volonté, mais à cause de celui qui l’a assujettie), (Ⅶ)
- Car ce n'est pas volontairement que la création est assujettie à la vanité, mais c'est à cause de Celui qui l'y a assujettie, (Ⅷ)
8. 21  
[elles l’attendent, dis-je,] dans l’espérance qu’elles seront aussi délivrées de la servitude de la corruption, pour être en la liberté de la gloire des enfants de Dieu.
- qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté glorieuse des enfants de Dieu. (Ⅰ)
- avec l'espérance qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. (Ⅱ)
- ὅτι καὶ αὐτὴ ἡ κτίσις ἐλευθερωθήσεται ἀπὸ τῆς δουλείας τῆς φθορᾶς εἰς τὴν ἐλευθερίαν τῆς δόξης τῶν τέκνων τοῦ θεοῦ. (Ⅳ)
- quia et ipsa creatura liberabitur a servitute corruptionis in libertatem gloriæ filiorum Dei. (Ⅴ)
- dans l’espérance que la création elle-même aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour jouir de la liberté de la gloire des enfants de Dieu. (Ⅶ)
- Dans l'espérance qu'elle sera aussi délivrée de la servitude de la corruption, pour être dans la liberté glorieuse des enfants de Dieu. (Ⅷ)
8. 22  
Car nous savons que toutes les créatures soupirent et sont en travail ensemble jusques à maintenant.
- Car nous savons que, jusqu'à ce jour, la création tout entière gémit et souffre les douleurs de l'enfantement. (Ⅰ)
- Or, nous savons que, jusqu'à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. (Ⅱ)
- οἴδαμεν γὰρ ὅτι πᾶσα ἡ κτίσις συστενάζει καὶ συνωδίνει ἄχρι τοῦ νῦν· (Ⅳ)
- Scimus enim quod omnis creatura ingemiscit, et parturit usque adhuc. (Ⅴ)
- Car nous savons que toute la création ensemble soupire et est en travail jusqu’à maintenant; (Ⅶ)
- Car nous savons que, jusqu'à présent, toute la création soupire, et souffre les douleurs de l'enfantement; (Ⅷ)
8. 23  
Et non seulement elles, mais nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous-mêmes, dis-je, soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, [c’est-à-dire], la rédemption de notre corps.
- Et ce n'est pas elle seulement; nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous gémissons en nous-mêmes, attendant l'adoption [des enfants de Dieu], la rédemption de notre corps. (Ⅰ)
- Et ce n'est pas elle seulement; mais nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps. (Ⅱ)
- οὐ μόνον δέ, ἀλλὰ ⸂καὶ αὐτοὶ⸃ τὴν ἀπαρχὴν τοῦ πνεύματος ἔχοντες ⸂ἡμεῖς καὶ⸃ αὐτοὶ ἐν ἑαυτοῖς στενάζομεν, υἱοθεσίαν ἀπεκδεχόμενοι τὴν ἀπολύτρωσιν τοῦ σώματος ἡμῶν. (Ⅳ)
- Non solum autem illa, sed et nos ipsi primitias spiritus habentes : et ipsi intra nos gemimus adoptionem filiorum Dei exspectantes, redemptionem corporis nostri. (Ⅴ)
- et non seulement elle, mais nous-mêmes aussi qui avons les prémices de l’Esprit, nous aussi, nous soupirons en nous-mêmes, attendant l’adoption, la délivrance de notre corps. (Ⅶ)
- Et non seulement elle, mais nous aussi qui avons les prémices de l'Esprit, nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps. (Ⅷ)
8. 24  
Car ce que nous sommes sauvés, c’est en espérance : or l’espérance qu’on voit, n’est point espérance ; car pourquoi même quelqu’un espérerait-il ce qu’il voit ?
- Car c'est en espérance que nous sommes sauvés. Or, voir ce qu'on espère, ce n'est plus espérer : car ce qu'on voit pourquoi l'espérer encore? (Ⅰ)
- Car c'est en espérance que nous sommes sauvés. Or, l'espérance qu'on voit n'est plus espérance: ce qu'on voit, peut-on l'espérer encore? (Ⅱ)
- τῇ γὰρ ἐλπίδι ἐσώθημεν· ἐλπὶς δὲ βλεπομένη οὐκ ἔστιν ἐλπίς, ὃ γὰρ βλέπει ⸀τίς ἐλπίζει; (Ⅳ)
- Spe enim salvi facti sumus. Spes autem, quæ videtur, non est spes : nam quod videt quis, quid sperat ? (Ⅴ)
- Car nous avons été sauvés en espérance: or une espérance qu’on voit n’est pas une espérance; car ce que quelqu’un voit, pourquoi aussi l’espère-t-il? (Ⅶ)
- Car nous sommes sauvés en espérance. Or, l'espérance que l'on voit n'est plus espérance; en effet, comment espérerait-on ce que l'on voit? (Ⅷ)
8. 25  
Mais si nous espérons ce que nous ne voyons point, c’est que nous l’attendons par la patience.
- Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec patience. (Ⅰ)
- Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec persévérance. (Ⅱ)
- εἰ δὲ ὃ οὐ βλέπομεν ἐλπίζομεν, δι’ ὑπομονῆς ἀπεκδεχόμεθα. (Ⅳ)
- Si autem quod non videmus, speramus : per patientiam exspectamus.\ (Ⅴ)
- Mais si ce que nous ne voyons pas, nous l’espérons, nous l’attendons avec patience. (Ⅶ)
- Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, c'est que nous l'attendons avec patience. (Ⅷ)
8. 26  
De même aussi l’Esprit soulage de sa part nos faiblesses. Car nous ne savons pas comme il faut ce que nous devons demander ; mais l’Esprit lui-même prie pour nous par des soupirs qui ne se peuvent exprimer.
- De même aussi l'Esprit vient en aide à notre faiblesse, car nous ne savons pas ce que nous devons, selon nos besoins, demander dans nos prières. Mais l'Esprit lui-même prie pour nous par des gémissements ineffables; (Ⅰ)
- De même aussi l'Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu'il nous convient de demander dans nos prières. Mais l'Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables; (Ⅱ)
- Ὡσαύτως δὲ καὶ τὸ πνεῦμα συναντιλαμβάνεται ⸂τῇ ἀσθενείᾳ⸃ ἡμῶν· τὸ γὰρ τί ⸀προσευξώμεθα καθὸ δεῖ οὐκ οἴδαμεν, ἀλλὰ αὐτὸ τὸ πνεῦμα ⸀ὑπερεντυγχάνει στεναγμοῖς ἀλαλήτοις, (Ⅳ)
- Similiter autem et Spiritus adjuvat infirmitatem nostram : nam quid oremus, sicut oportet, nescimus : sed ipse Spiritus postulat pro nobis gemitibus inenarrabilibus. (Ⅴ)
- De même aussi l’Esprit nous est en aide dans notre infirmité; car nous ne savons pas ce qu’il faut demander comme il convient; mais l’Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables; (Ⅶ)
- Et même aussi l'Esprit nous soulage dans nos faiblesses; car nous ne savons ce que nous devons demander pour prier comme il faut; mais l'Esprit lui-même intercède pour nous par des soupirs qui ne se peuvent exprimer. (Ⅷ)
8. 27  
Mais celui qui sonde les cœurs, connaît quelle est l’affection de l’Esprit ; car il prie pour les Saints, selon Dieu.
- et celui qui sonde les cœurs connaît quels sont les désirs de l'Esprit; il sait qu'il prie selon Dieu pour des saints. (Ⅰ)
- et celui qui sonde les coeurs connaît quelle est la pensée de l'Esprit, parce que c'est selon Dieu qu'il intercède en faveur des saints. (Ⅱ)
- ὁ δὲ ἐραυνῶν τὰς καρδίας οἶδεν τί τὸ φρόνημα τοῦ πνεύματος, ὅτι κατὰ θεὸν ἐντυγχάνει ὑπὲρ ἁγίων. (Ⅳ)
- Qui autem scrutatur corda, scit quid desideret Spiritus : quia secundum Deum postulat pro sanctis.\ (Ⅴ)
- — et celui qui sonde les cœurs sait quelle est la pensée de l’Esprit, car il intercède pour les saints, selon Dieu; (Ⅶ)
- Toutefois celui qui sonde les cœurs, connaît quelle est l'affection de l'Esprit, qui prie selon Dieu pour les saints. (Ⅷ)
8. 28  
Or nous savons aussi que toutes choses contribuent au bien de ceux qui aiment Dieu, [c’est-à-dire], de ceux qui sont appelés selon son propos arrêté.
- Nous savons d'ailleurs que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son éternel dessein. (Ⅰ)
- Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. (Ⅱ)
- Οἴδαμεν δὲ ὅτι τοῖς ἀγαπῶσι τὸν θεὸν πάντα ⸀συνεργεῖ εἰς ἀγαθόν, τοῖς κατὰ πρόθεσιν κλητοῖς οὖσιν. (Ⅳ)
- Scimus autem quoniam diligentibus Deum omnia cooperantur in bonum, iis qui secundum propositum vocati sunt sancti. (Ⅴ)
- — mais nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son propos. (Ⅶ)
- Or, nous savons aussi que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés, selon son dessein. (Ⅷ)
8. 29  
Car ceux qu’il a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils, afin qu’il soit le premier-né entre plusieurs frères.
- Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être conformes à l'image de son Fils, afin que son Fils soit le premier-né d'un grand nombre de frères. (Ⅰ)
- Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères. (Ⅱ)
- ὅτι οὓς προέγνω, καὶ προώρισεν συμμόρφους τῆς εἰκόνος τοῦ υἱοῦ αὐτοῦ, εἰς τὸ εἶναι αὐτὸν πρωτότοκον ἐν πολλοῖς ἀδελφοῖς· (Ⅳ)
- Nam quos præscivit, et prædestinavit conformes fieri imaginis Filii sui, ut sit ipse primogenitus in multis fratribus. (Ⅴ)
- Car ceux qu’il a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils, pour qu’il soit premier-né entre plusieurs frères. (Ⅶ)
- Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être conformes à l'image de son Fils, afin que celui-ci soit le premier-né de plusieurs frères; (Ⅷ)
8. 30  
Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés.
- Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés; et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés; et ceux qu'il a justifiés il les a glorifiés. (Ⅰ)
- Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés; et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés; et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés. (Ⅱ)
- οὓς δὲ προώρισεν, τούτους καὶ ἐκάλεσεν· καὶ οὓς ἐκάλεσεν, τούτους καὶ ἐδικαίωσεν· οὓς δὲ ἐδικαίωσεν, τούτους καὶ ἐδόξασεν. (Ⅳ)
- Quos autem prædestinavit, hos et vocavit : et quos vocavit, hos et justificavit : quos autem justificavit, illos et glorificavit. (Ⅴ)
- Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés. (Ⅶ)
- Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés; et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés; et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés. (Ⅷ)
8. 31  
Que dirons-nous donc à ces choses ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous.
- Que dirons-nous donc après cela? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? (Ⅰ)
- Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? (Ⅱ)
- Τί οὖν ἐροῦμεν πρὸς ταῦτα; εἰ ὁ θεὸς ὑπὲρ ἡμῶν, τίς καθ’ ἡμῶν; (Ⅳ)
- Quid ergo dicemus ad hæc ? si Deus pro nobis, quis contra nos ? (Ⅴ)
- Que dirons-nous donc à ces choses? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? (Ⅶ)
- Que dirons-nous donc sur cela? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? (Ⅷ)
8. 32  
Lui qui n’a point épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il point aussi toutes choses avec lui ?
- Lui qui n'a pas épargné son propre Fils, mais qui l'a livré à la mort pour nous tous, comment avec lui ne nous donnera-t-il pas toutes choses? (Ⅰ)
- Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui? (Ⅱ)
- ὅς γε τοῦ ἰδίου υἱοῦ οὐκ ἐφείσατο, ἀλλὰ ὑπὲρ ἡμῶν πάντων παρέδωκεν αὐτόν, πῶς οὐχὶ καὶ σὺν αὐτῷ τὰ πάντα ἡμῖν χαρίσεται; (Ⅳ)
- Qui etiam proprio Filio suo non pepercit, sed pro nobis omnibus tradidit illum : quomodo non etiam cum illo omnia nobis donavit ? (Ⅴ)
- Celui même qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous fera-t-il pas don aussi, librement, de toutes choses avec lui? (Ⅶ)
- Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il point toutes choses avec lui? (Ⅷ)
8. 33  
Qui intentera accusation contre les élus de Dieu ? Dieu est celui qui justifie.
- Qui accusera des élus de Dieu? C'est Dieu qui les justifie ! (Ⅰ)
- Qui accusera les élus de Dieu? C'est Dieu qui justifie! (Ⅱ)
- τίς ἐγκαλέσει κατὰ ἐκλεκτῶν θεοῦ; θεὸς ὁ δικαιῶν· (Ⅳ)
- Quis accusabit adversus electos Dei ? Deus qui justificat, (Ⅴ)
- Qui intentera accusation contre des élus de Dieu? — C’est Dieu qui justifie; (Ⅶ)
- Qui accusera les élus de Dieu? Dieu est celui qui les justifie. (Ⅷ)
8. 34  
Qui sera celui qui condamnera ? Christ est celui qui est mort, et qui plus est, qui est ressuscité, qui aussi est à la droite de Dieu, et qui même prie pour nous.
- Qui les condamnera? Le Christ est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, il intercède pour nous ! (Ⅰ)
- Qui les condamnera? Christ est mort; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous! (Ⅱ)
- τίς ὁ ⸀κατακρινῶν; ⸀Χριστὸς ὁ ἀποθανών, μᾶλλον ⸀δὲ ⸀ἐγερθείς, ὅς ⸀καί ἐστιν ἐν δεξιᾷ τοῦ θεοῦ, ὃς καὶ ἐντυγχάνει ὑπὲρ ἡμῶν· (Ⅳ)
- quis est qui condemnet ? Christus Jesus, qui mortuus est, immo qui et resurrexit, qui est ad dexteram Dei, qui etiam interpellat pro nobis. (Ⅴ)
- qui est celui qui condamne? — C’est Christ qui est mort, mais plutôt qui est aussi ressuscité, qui est aussi à la droite de Dieu, qui aussi intercède pour nous; (Ⅶ)
- Qui les condamnera? Christ est mort, et de plus il est ressuscité, il est même assis à la droite de Dieu, et il intercède aussi pour nous. (Ⅷ)
8. 35  
Qui est-ce qui nous séparera de l’amour de Christ ? sera-ce l’oppression, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la famine, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée ?
- Qui nous séparera de l'amour du Christ? Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée? (Ⅰ)
- Qui nous séparera de l'amour de Christ? Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée? (Ⅱ)
- τίς ἡμᾶς χωρίσει ἀπὸ τῆς ἀγάπης τοῦ Χριστοῦ; θλῖψις ἢ στενοχωρία ἢ διωγμὸς ἢ λιμὸς ἢ γυμνότης ἢ κίνδυνος ἢ μάχαιρα; (Ⅳ)
- Quis ergo nos separabit a caritate Christi ? tribulatio ? an angustia ? an fames ? an nuditas ? an periculum ? an persecutio ? an gladius ? (Ⅴ)
- qui est-ce qui nous séparera de l’amour du Christ? Tribulation, ou détresse, ou persécution, ou famine, ou nudité, ou péril, ou épée? (Ⅶ)
- Qui nous séparera de l'amour de Christ? Sera-ce l'affliction, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée? (Ⅷ)
8. 36  
Ainsi qu’il est écrit : nous sommes livrés à la mort pour l’amour de toi tous les jours, et nous sommes estimés comme des brebis de la boucherie.
- Selon qu'il est écrit : " A cause de toi, tout le jour nous sommes livrés à la mort, et on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. " (Ⅰ)
- selon qu'il est écrit: C'est à cause de toi qu'on nous met à mort tout le jour, Qu'on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. (Ⅱ)
- καθὼς γέγραπται ὅτι Ἕνεκεν σοῦ θανατούμεθα ὅλην τὴν ἡμέραν, ἐλογίσθημεν ὡς πρόβατα σφαγῆς. (Ⅳ)
- (Sicut scriptum est : [Quia propter te mortificamur tota die :/ æstimati sumus sicut oves occisionis.)] (Ⅴ)
- Selon qu’il est écrit: «Pour l’amour de toi, nous sommes mis à mort tout le jour; nous avons été estimés comme des brebis de tuerie». (Ⅶ)
- Selon qu'il est écrit: Nous sommes livrés à la mort tous les jours à cause de toi, et nous sommes regardés comme des brebis destinées à la tuerie. (Ⅷ)
8. 37  
Au contraire, en toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.
- Mais dans toutes ces épreuves nous sommes plus que vainqueurs, par celui qui nous a aimés. (Ⅰ)
- Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. (Ⅱ)
- ἀλλ’ ἐν τούτοις πᾶσιν ὑπερνικῶμεν διὰ τοῦ ἀγαπήσαντος ἡμᾶς. (Ⅳ)
- Sed in his omnibus superamus propter eum qui dilexit nos. (Ⅴ)
- Au contraire, dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. (Ⅶ)
- Au contraire, dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs, par celui qui nous a aimés. (Ⅷ)
8. 38  
Car je suis assuré que ni la mort, ni la vie, ni les Anges, ni les Principautés, ni les Puissances, ni les choses présentes, ni les choses à venir,
- Car j'ai l'assurance que ni la mort, ni la vie, ni le anges, ni les principautés, ni les choses présentes, ni les choses à venir, ni les puissances, (Ⅰ)
- Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, (Ⅱ)
- πέπεισμαι γὰρ ὅτι οὔτε θάνατος οὔτε ζωὴ οὔτε ἄγγελοι οὔτε ἀρχαὶ οὔτε ⸂ἐνεστῶτα οὔτε μέλλοντα οὔτε δυνάμεις⸃ (Ⅳ)
- Certus sum enim quia neque mors, neque vita, neque angeli, neque principatus, neque virtutes, neque instantia, neque futura, neque fortitudo, (Ⅴ)
- Car je suis assuré que ni mort, ni vie, ni anges, ni principautés, ni choses présentes, ni choses à venir, (Ⅶ)
- Car je suis assuré que ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les principautés, ni les puissances, ni les choses présentes, ni les choses à venir, (Ⅷ)
8. 39  
Ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature, ne nous pourra séparer de l’amour de Dieu, qu’il nous a [montré] en Jésus-Christ notre Seigneur.
- ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu dans le Christ Jésus Notre-Seigneur. (Ⅰ)
- ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus Christ notre Seigneur. (Ⅱ)
- οὔτε ὕψωμα οὔτε βάθος οὔτε τις κτίσις ἑτέρα δυνήσεται ἡμᾶς χωρίσαι ἀπὸ τῆς ἀγάπης τοῦ θεοῦ τῆς ἐν Χριστῷ Ἰησοῦ τῷ κυρίῳ ἡμῶν. (Ⅳ)
- neque altitudo, neque profundum, neque creatura alia poterit nos separare a caritate Dei, quæ est in Christo Jesu Domino nostro. (Ⅴ)
- ni puissances, ni hauteur, ni profondeur, ni aucune autre créature, ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu, qui est dans le christ Jésus, notre Seigneur. (Ⅶ)
- Ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature, ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. (Ⅷ)


Page: 1
Chapitre 8
| | | | | | | 8| | | | | | | | |
>>