4.
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Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux.
- Alhamdu lillahi rabbi alAAalameena (Ⅰ) - [Commencer] par le Nom de DIEU le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux. (Ⅱ) - بسم الله الرحمن الرحيم (Ⅲ) - بِسْمِ اللَّهِ الرَّحْمَٰنِ الرَّحِيمِ (Ⅳ) - بِسمِ اللَّهِ الرَّحمٰنِ الرَّحيمِ (Ⅴ) - Au nom d’Allah, le Clément, le Miséricordieux (Ⅵ) - Au nom de Dieu, le Tout miséricorde, le Miséricordieux (Ⅶ) - Au nom d’Allah, le Bienfaiteur miséricordieux. (Ⅷ)
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Ô hommes ! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être et qui, ayant tiré de celui-ci son épouse, fit naître de ce couple tant d’êtres humains, hommes et femmes ! Craignez Dieu au nom duquel vous vous demandez mutuellement assistance ! Respectez les liens du sang. En vérité, Dieu vous observe en permanence.
- Ya ayyuha alnnasu ittaqoo rabbakumu allathee khalaqakum min nafsin wahidatin wakhalaqa minha zawjaha wabaththa minhuma rijalan katheeran wanisaan waittaqoo Allaha allathee tasaaloona bihi waalarhama inna Allaha kana AAalaykum raqeeban (Ⅰ) - Ô Hommes [et femmes], soyez pieux envers votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être (Adam, ou, d’un seul principe vital) et Il a créé de lui (du même genre) son épouse (Eve) et par eux Il a disséminé [sur terre] beaucoup d’hommes et de femmes. Soyez pieux envers DIEU que vous invoquez dans vos requêtes et [respectez] les liens de parenté. DIEU est Surveillant de vos [intentions et actions]. (Ⅱ) - بسم الله الرحمن الرحيم يا أيها الناس اتقوا ربكم الذي خلقكم من نفس واحدة وخلق منها زوجها وبث منهما رجالا كثيرا ونساء واتقوا الله الذي تساءلون به والأرحام إن الله كان عليكم رقيبا (Ⅲ) - بِسْمِ اللَّهِ الرَّحْمَٰنِ الرَّحِيمِ يَا أَيُّهَا النَّاسُ اتَّقُوا رَبَّكُمُ الَّذِي خَلَقَكُم مِّن نَّفْسٍ وَاحِدَةٍ وَخَلَقَ مِنْهَا زَوْجَهَا وَبَثَّ مِنْهُمَا رِجَالًا كَثِيرًا وَنِسَاءً ۚ وَاتَّقُوا اللَّهَ الَّذِي تَسَاءَلُونَ بِهِ وَالْأَرْحَامَ ۚ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَلَيْكُمْ رَقِيبًا (Ⅳ) - بِسمِ اللَّهِ الرَّحمٰنِ الرَّحيمِ يٰأَيُّهَا النّاسُ اتَّقوا رَبَّكُمُ الَّذى خَلَقَكُم مِن نَفسٍ وٰحِدَةٍ وَخَلَقَ مِنها زَوجَها وَبَثَّ مِنهُما رِجالًا كَثيرًا وَنِساءً ۚ وَاتَّقُوا اللَّهَ الَّذى تَساءَلونَ بِهِ وَالأَرحامَ ۚ إِنَّ اللَّهَ كانَ عَلَيكُم رَقيبًا (Ⅴ) - Ô vous les hommes, craignez votre Seigneur, Celui qui vous a créés d’un seul être. Et de cet être initial, Il a sorti son épouse. Du couple, il a fait foisonner une profusion d’hommes et de femmes. Craignez Allah que vous invoquez, ainsi que ces liens du sang, Allah est Celui qui vous observe. (Ⅵ) - Humains, prémunissez-vous envers votre Seigneur. Il vous a créés d’une âme unique, dont il tira pour celle-ci une épouse ; et de l’une et de l’autre Il a répandu des hommes en nombre, et des femmes. Prémunissez-vous envers Dieu, de qui vous vous réclamez dans votre mutuelle sollicitation, et aussi envers les matrices. — Dieu soit là-dessus votre surveillant ! (Ⅶ) - Hommes !, soyez pieux envers votre Seigneur qui vous a créés [à partir] d’une personne unique dont, pour elle, Il a créé une épouse et dont Il a fait proliférer en grand nombre des hommes et des femmes ! Soyez pieux envers Allah à propos duquel vous vous interrogez ! [Respectez] vos liens de consanguinité ! Allah, envers vous, est observateur. (Ⅷ)
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Restituez aux orphelins leur héritage ! Ne substituez pas ce que vous possédez de mauvais à ce qu’ils possèdent de bon ! Ne vous emparez pas de leur patrimoine en l’incorporant au vôtre, car ce serait là un crime abominable !
- Waatoo alyatama amwalahum wala tatabaddaloo alkhabeetha bialttayyibi wala takuloo amwalahum ila amwalikum innahu kana hooban kabeeran (Ⅰ) - Donnez leurs biens aux orphelins [lorsqu’ils arrivent à l’âge mûr]. Ne substituez pas l’infâme à ce qui est bon, ne mangez pas leurs biens ajoutés aux vôtres car ce serait un grand péché. (Ⅱ) - وآتوا اليتامى أموالهم ولا تتبدلوا الخبيث بالطيب ولا تأكلوا أموالهم إلى أموالكم إنه كان حوبا كبيرا (Ⅲ) - وَآتُوا الْيَتَامَىٰ أَمْوَالَهُمْ ۖ وَلَا تَتَبَدَّلُوا الْخَبِيثَ بِالطَّيِّبِ ۖ وَلَا تَأْكُلُوا أَمْوَالَهُمْ إِلَىٰ أَمْوَالِكُمْ ۚ إِنَّهُ كَانَ حُوبًا كَبِيرًا (Ⅳ) - وَءاتُوا اليَتٰمىٰ أَموٰلَهُم ۖ وَلا تَتَبَدَّلُوا الخَبيثَ بِالطَّيِّبِ ۖ وَلا تَأكُلوا أَموٰلَهُم إِلىٰ أَموٰلِكُم ۚ إِنَّهُ كانَ حوبًا كَبيرًا (Ⅴ) - Donnez leurs biens aux orphelins et ne leur substituez pas de mauvais biens et ne les mélangez pas aux vôtres au risque de les consommer ensemble, car cela serait un grand péché. (Ⅵ) - — Rendez aux orphelins leurs biens : ne substituez pas l’infâme à ce qui est bon, ne mangez pas de leur bien ajouté au vôtre : ce serait coulpe grave (Ⅶ) - Donnez leurs biens aux Orphelins ! Ne rendez pas le mal pour le bien ! Ne mangez pas leurs biens, à côté de vos biens ! Le faire est grand péché. (Ⅷ)
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Si vous craignez, en épousant des orphelines, de vous montrer injustes envers elles, sachez qu’il vous est permis d’épouser en dehors d’elles, parmi les femmes de votre choix, deux, trois ou quatre épouses. Mais si vous craignez encore de manquer d’équité à l’égard de ces épouses, n’en prenez alors qu’une seule, libre ou choisie parmi vos esclaves. C’est pour vous le moyen d’être aussi équitables que possible.
- Wain khiftum alla tuqsitoo fee alyatama fainkihoo ma taba lakum mina alnnisai mathna wathulatha warubaAAa fain khiftum alla taAAdiloo fawahidatan aw ma malakat aymanukum thalika adna alla taAAooloo (Ⅰ) - Si vous craignez de ne pas être équitables envers les orphelines, épousez des femmes qui vous plaisent, deux, trois ou quatre ; mais si vous craignez de ne pas être juste [envers vos femmes], alors n’épousez qu’une seule, ou [tournez-vous vers] ce que vous possédez [de licite], cela est plus à même pour que vous ne sortiez pas du droit chemin [ou, pour que vous ne commettiez pas des injustices]. (Ⅱ) - وإن خفتم ألا تقسطوا في اليتامى فانكحوا ما طاب لكم من النساء مثنى وثلاث ورباع فإن خفتم ألا تعدلوا فواحدة أو ما ملكت أيمانكم ذلك أدنى ألا تعولوا (Ⅲ) - وَإِنْ خِفْتُمْ أَلَّا تُقْسِطُوا فِي الْيَتَامَىٰ فَانكِحُوا مَا طَابَ لَكُم مِّنَ النِّسَاءِ مَثْنَىٰ وَثُلَاثَ وَرُبَاعَ ۖ فَإِنْ خِفْتُمْ أَلَّا تَعْدِلُوا فَوَاحِدَةً أَوْ مَا مَلَكَتْ أَيْمَانُكُمْ ۚ ذَٰلِكَ أَدْنَىٰ أَلَّا تَعُولُوا (Ⅳ) - وَإِن خِفتُم أَلّا تُقسِطوا فِى اليَتٰمىٰ فَانكِحوا ما طابَ لَكُم مِنَ النِّساءِ مَثنىٰ وَثُلٰثَ وَرُبٰعَ ۖ فَإِن خِفتُم أَلّا تَعدِلوا فَوٰحِدَةً أَو ما مَلَكَت أَيمٰنُكُم ۚ ذٰلِكَ أَدنىٰ أَلّا تَعولوا (Ⅴ) - Si vous craignez de ne pas être équitables vis-à-vis des orphelins… Prenez pour épouses deux, trois ou quatre femmes, sauf si vous craignez de ne pas être équitables avec elles, n’en prenez alors qu’une seule ou vos captives de guerre. C’est encore la meilleure limite au risque de ne pouvoir subvenir à un plus grand nombre. (Ⅵ) - si vous craignez de n’être pas équitables en matière d’orphelins... alors épousez ce qui vous plaira d’entre les femmes, par deux, ou trois, ou quatre. Mais si vous craignez de n’être pas justes, alors seulement une, ou contentez-vous de votre droite propriété, plus sûr moyen d’échapper à la partialité. (Ⅶ) - Si vous craignez de n’être pas équitables à l’égard des Orphelins... Épousez donc celles des femmes qui vous seront plaisantes, par deux, par trois, par quatre, [mais] si vous craignez de n’être pas équitables, [prenez-en] une seule ou des concubines ! C’est le plus proche [moyen] de n’être pas partiaux. (Ⅷ)
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Remettez à vos femmes leur dot en toute propriété. Mais si elles vous en abandonnent une partie, de bon gré, vous pouvez en disposer en toute tranquillité.
- Waatoo alnnisaa saduqatihinna nihlatan fain tibna lakum AAan shayin minhu nafsan fakuloohu haneean mareean (Ⅰ) - Donnez à [vos] femmes leurs dots à titre de donation [sincère] obligatoire. Si toutefois, de leur propre gré, elles vous en cèdent gentiment une partie, profitez-en à votre aise et agréablement. (Ⅱ) - وآتوا النساء صدقاتهن نحلة فإن طبن لكم عن شيء منه نفسا فكلوه هنيئا مريئا (Ⅲ) - وَآتُوا النِّسَاءَ صَدُقَاتِهِنَّ نِحْلَةً ۚ فَإِن طِبْنَ لَكُمْ عَن شَيْءٍ مِّنْهُ نَفْسًا فَكُلُوهُ هَنِيئًا مَّرِيئًا (Ⅳ) - وَءاتُوا النِّساءَ صَدُقٰتِهِنَّ نِحلَةً ۚ فَإِن طِبنَ لَكُم عَن شَيءٍ مِنهُ نَفسًا فَكُلوهُ هَنيـًٔا مَريـًٔا (Ⅴ) - Donnez aux femmes la part du douaire qui leur revient. Si elles consentent à vous le laisser, utilisez-le adroitement et en toute quiétude. (Ⅵ) - Donnez aux femmes sans contrepartie leurs dons nuptiaux ; si toutefois elles vous en faisaient pour une part remise gracieuse et spontanée, alors mangez-en tranquillement, que bien vous fasse ! (Ⅶ) - Donnez leurs douaires à [vos] femmes, spontanément. Si elles vous font don gracieux de quelque chose de [leur douaire], mangez-le en paix et tranquillité ! (Ⅷ)
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Ne confiez pas aux incapables la gestion des biens que Dieu vous a donnés pour subsister. Assurez-leur cependant, sur ces biens, de quoi vivre et s’habiller, et tenez-leur toujours un langage empreint de bienveillance et de bonté.
- Wala tutoo alssufahaa amwalakumu allatee jaAAala Allahu lakum qiyaman waorzuqoohum feeha waoksoohum waqooloo lahum qawlan maAAroofan (Ⅰ) - Ne confiez pas aux insensés les biens que DIEU vous a donnés pour vivre. Donnez-leur le nécessaire et habillez-les et tenez-leur un langage convenable. (Ⅱ) - ولا تؤتوا السفهاء أموالكم التي جعل الله لكم قياما وارزقوهم فيها واكسوهم وقولوا لهم قولا معروفا (Ⅲ) - وَلَا تُؤْتُوا السُّفَهَاءَ أَمْوَالَكُمُ الَّتِي جَعَلَ اللَّهُ لَكُمْ قِيَامًا وَارْزُقُوهُمْ فِيهَا وَاكْسُوهُمْ وَقُولُوا لَهُمْ قَوْلًا مَّعْرُوفًا (Ⅳ) - وَلا تُؤتُوا السُّفَهاءَ أَموٰلَكُمُ الَّتى جَعَلَ اللَّهُ لَكُم قِيٰمًا وَارزُقوهُم فيها وَاكسوهُم وَقولوا لَهُم قَولًا مَعروفًا (Ⅴ) - Ne donnez pas aux vauriens les biens qu’Allah a mis entre vos mains pour votre subsistance. Donnez-leur le strict nécessaire, avec des paroles convenables. (Ⅵ) - Ne donnez pas aux incapables de votre bien, que Dieu assigne à votre subsistance ; mais vous devez là-dessus les pourvoir et les vêtir, non sans leur tenir langage honnête. (Ⅶ) - Ne remettez pas aux insensés vos biens qu’Allah vous a donnés pour subsister ! Donnez [aux insensés] le nécessaire sur ces biens ! Vêtez-les et tenez-leur un langage reconnu [convenable] ! (Ⅷ)
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Mettez à l’épreuve le degré de maturité des orphelins jusqu’à l’âge de la puberté ; et si vous constatez qu’ils ont acquis un bon jugement, remettez-leur leur héritage. Gardez-vous de vous empresser de le dilapider, avant leur majorité. Si le tuteur est riche, qu’il s’abstienne de toucher aux biens de ses pupilles ; et s’il est pauvre, il ne doit en user que de façon modérée. Au moment de remettre aux orphelins leurs biens, assurez-vous la présence de témoins, quoique Dieu, pour recevoir des comptes, suffise amplement.
- Waibtaloo alyatama hatta itha balaghoo alnnikaha fain anastum minhum rushdan faidfaAAoo ilayhim amwalahum wala takulooha israfan wabidaran an yakbaroo waman kana ghaniyyan falyastaAAfif waman kana faqeeran falyakul bialmaAAroofi faitha dafaAAtum ilayhim amwalahum faashhidoo AAalayhim wakafa biAllahi haseeban (Ⅰ) - Lorsque les orphelins atteignent [l’âge du] mariage, éprouvez-les ; si vous apercevez en eux une bonne conduite, remettez-leur leurs biens ; ne gaspillez pas [leurs biens] et ne [les] dissipez pas redoutant [qu’ils n’atteignent] leur majorité [et ne vous les réclament]. Celui [des tuteurs] qui est aisé qu’il s’abstienne [de prélever un salaire], et celui qui est pauvre, prélève [un salaire] d’une manière honnête. Quand vous leur remettez leurs biens, prenez pour cela des témoins. DIEU suffise [comme] comptable (DIEU est le Meilleur qui tient le compte de toute chose). (Ⅱ) - وابتلوا اليتامى حتى إذا بلغوا النكاح فإن آنستم منهم رشدا فادفعوا إليهم أموالهم ولا تأكلوها إسرافا وبدارا أن يكبروا ومن كان غنيا فليستعفف ومن كان فقيرا فليأكل بالمعروف فإذا دفعتم إليهم أموالهم فأشهدوا عليهم وكفى بالله حسيبا (Ⅲ) - وَابْتَلُوا الْيَتَامَىٰ حَتَّىٰ إِذَا بَلَغُوا النِّكَاحَ فَإِنْ آنَسْتُم مِّنْهُمْ رُشْدًا فَادْفَعُوا إِلَيْهِمْ أَمْوَالَهُمْ ۖ وَلَا تَأْكُلُوهَا إِسْرَافًا وَبِدَارًا أَن يَكْبَرُوا ۚ وَمَن كَانَ غَنِيًّا فَلْيَسْتَعْفِفْ ۖ وَمَن كَانَ فَقِيرًا فَلْيَأْكُلْ بِالْمَعْرُوفِ ۚ فَإِذَا دَفَعْتُمْ إِلَيْهِمْ أَمْوَالَهُمْ فَأَشْهِدُوا عَلَيْهِمْ ۚ وَكَفَىٰ بِاللَّهِ حَسِيبًا (Ⅳ) - وَابتَلُوا اليَتٰمىٰ حَتّىٰ إِذا بَلَغُوا النِّكاحَ فَإِن ءانَستُم مِنهُم رُشدًا فَادفَعوا إِلَيهِم أَموٰلَهُم ۖ وَلا تَأكُلوها إِسرافًا وَبِدارًا أَن يَكبَروا ۚ وَمَن كانَ غَنِيًّا فَليَستَعفِف ۖ وَمَن كانَ فَقيرًا فَليَأكُل بِالمَعروفِ ۚ فَإِذا دَفَعتُم إِلَيهِم أَموٰلَهُم فَأَشهِدوا عَلَيهِم ۚ وَكَفىٰ بِاللَّهِ حَسيبًا (Ⅴ) - Éprouvez les orphelins jusqu’au moment où ils deviennent mûrs pour le mariage. Dès lors qu’ils auront acquis une aptitude que vous jugerez suffisante, remettez-leur leurs biens. Ne consommez pas leur héritage dans vos vétilles avant qu’ils n’en disposent au moment où ils grandissent. Si le parrain est riche, qu’il soit économe de ces biens ; s’il est nécessiteux, qu’il les utilise avec modération. Mais lorsque vous leur remettez leurs biens, entourez-vous de témoins, car Allah Se suffit pour les comptes. (Ⅵ) - — Mettez les orphelins à l’épreuve jusqu’à leur nubilité. Si vous distinguez en eux un droit jugement, rendez-leur leur bien sans l’avoir mangé en dissipations pour prévenir leur majorité : que le riche s’en fasse scrupule ; que le nécessiteux en mange en toute honnêteté ; quand vous leur rendrez leur bien, requérez-en contre eux témoignage. Et Dieu suffise comme comptable ! (Ⅶ) - Éprouvez les orphelins jusqu’à ce qu’ils atteignent le [moment du] mariage ! Si vous découvrez en eux capacité de se conduire, remettez-leur leurs biens ! Ne mangez pas ceux-ci en prodigalité et dissipation, avant que grandissent [ces orphelins] ! Que le riche s'abstienne [de prélever sur ces biens pour élever son pupille, mais] que le besogneux mange [sur ces biens], de la manière reconnue [convenable]. Quand vous leur remettrez leurs biens, requerrez témoignage à leur encontre ! Combien Allah suffît pour réclamer le compte ! (Ⅷ)
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Il revient aux héritiers mâles une part dans l’héritage laissé par leurs ascendants ou leurs proches ; de même qu’il revient aux femmes une part dans l’héritage laissé par leurs ascendants ou leurs proches. Et quelle que soit l’importance de la succession, cette quotité est une obligation.
- Lilrrijali naseebun mimma taraka alwalidani waalaqraboona walilnnisai naseebun mimma taraka alwalidani waalaqraboona mimma qalla minhu aw kathura naseeban mafroodan (Ⅰ) - Aux hommes revient une part de ce que laissent [leur] père et mère et les proches ; et aux femmes revient une part de ce que laissent [leur] père et mère et les proches, qu’il s’agisse là d’un [héritage] peu ou de beaucoup, c’est une part déterminée. (Ⅱ) - للرجال نصيب مما ترك الوالدان والأقربون وللنساء نصيب مما ترك الوالدان والأقربون مما قل منه أو كثر نصيبا مفروضا (Ⅲ) - لِّلرِّجَالِ نَصِيبٌ مِّمَّا تَرَكَ الْوَالِدَانِ وَالْأَقْرَبُونَ وَلِلنِّسَاءِ نَصِيبٌ مِّمَّا تَرَكَ الْوَالِدَانِ وَالْأَقْرَبُونَ مِمَّا قَلَّ مِنْهُ أَوْ كَثُرَ ۚ نَصِيبًا مَّفْرُوضًا (Ⅳ) - لِلرِّجالِ نَصيبٌ مِمّا تَرَكَ الوٰلِدانِ وَالأَقرَبونَ وَلِلنِّساءِ نَصيبٌ مِمّا تَرَكَ الوٰلِدانِ وَالأَقرَبونَ مِمّا قَلَّ مِنهُ أَو كَثُرَ ۚ نَصيبًا مَفروضًا (Ⅴ) - Aux hommes revient une part de ce que les parents ont légué, de même que l’héritage des proches. Aux femmes revient une part de ce que les parents et les proches ont légué, que ce soit en plus ou en moins, pourvu que cela soit obligatoire. (Ⅵ) - Aux hommes une quotité de ce qu’auront laissé leurs père et mère et leurs proches. Aux femmes une quotité de ce qu’auront laissé leurs père et mère et leurs proches. Peu ou beaucoup, c’est quotité d’obligation. (Ⅶ) - Aux [héritiers] hommes, une part de ce que laissent les père et mère et les proches. Aux femmes, une part de ce que laissent les père et mère et les proches, que ce soit peu ou que ce soit beaucoup. Part imposée ! (Ⅷ)
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Lorsque des proches non héritiers, des orphelins ou des nécessiteux sont présents au partage de l’héritage, on leur en offrira quelque chose et on leur adressera quelques paroles aimables.
- Waitha hadara alqismata oloo alqurba waalyatama waalmasakeenu faorzuqoohum minhu waqooloo lahum qawlan maAAroofan (Ⅰ) - Quand des proches parents [non-héritiers], des orphelins ou des pauvres assistent au partage [de l’héritage], attribuez-en-leur quelque chose, et tenez-leur un langage honnête [et convenable]. (Ⅱ) - وإذا حضر القسمة أولو القربى واليتامى والمساكين فارزقوهم منه وقولوا لهم قولا معروفا (Ⅲ) - وَإِذَا حَضَرَ الْقِسْمَةَ أُولُو الْقُرْبَىٰ وَالْيَتَامَىٰ وَالْمَسَاكِينُ فَارْزُقُوهُم مِّنْهُ وَقُولُوا لَهُمْ قَوْلًا مَّعْرُوفًا (Ⅳ) - وَإِذا حَضَرَ القِسمَةَ أُولُوا القُربىٰ وَاليَتٰمىٰ وَالمَسٰكينُ فَارزُقوهُم مِنهُ وَقولوا لَهُم قَولًا مَعروفًا (Ⅴ) - Si d’autres parents ou ayants droit assistent au partage, ou encore des orphelins, des pauvres, donnez-leur une part de cet héritage en l’accompagnant de paroles convenables. (Ⅵ) - Quand les proches assisteront au partage, et les orphelins et les indigents, prélevez de quoi leur en attribuer, non sans leur tenir langage honnête. (Ⅶ) - Quand assistent au partage ceux liés par la parenté, les orphelins et les pauvres, attribuez-leur une part de l’héritage et adressez-leur un propos reconnu [convenable]. (Ⅷ)
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Que les tuteurs se représentent un instant les craintes qu’ils ressentiraient pour leurs propres enfants en bas âge, s’ils étaient eux-mêmes à l’article de la mort ! Qu’ils craignent donc Dieu et qu’ils traitent avec justice et tendresse leurs pupilles,
- Walyakhsha allatheena law tarakoo min khalfihim thurriyyatan diAAafan khafoo AAalayhim falyattaqoo Allaha walyaqooloo qawlan sadeedan (Ⅰ) - Que - ceux (tuteurs, testateurs, etc.) qui s’ils laissaient après eux une progéniture chétive (enfants en bas âges ou sans ressources etc.) au sujet de laquelle ils éprouveraient une inquiétude - [qu’ils] craignent (qu’ils préviennent les besoins des enfants, orphelins, etc.). Qu’ils soient pieux envers DIEU et qu’ils parlent d’une parole saine (juste, bonne). (Ⅱ) - وليخش الذين لو تركوا من خلفهم ذرية ضعافا خافوا عليهم فليتقوا الله وليقولوا قولا سديدا (Ⅲ) - وَلْيَخْشَ الَّذِينَ لَوْ تَرَكُوا مِنْ خَلْفِهِمْ ذُرِّيَّةً ضِعَافًا خَافُوا عَلَيْهِمْ فَلْيَتَّقُوا اللَّهَ وَلْيَقُولُوا قَوْلًا سَدِيدًا (Ⅳ) - وَليَخشَ الَّذينَ لَو تَرَكوا مِن خَلفِهِم ذُرِّيَّةً ضِعٰفًا خافوا عَلَيهِم فَليَتَّقُوا اللَّهَ وَليَقولوا قَولًا سَديدًا (Ⅴ) - Ceux qui peuvent éprouver une crainte semblable de laisser eux-mêmes une progéniture faible et qui nourrit leur inquiétude, qu’ils craignent Allah en tenant des propos pertinents. (Ⅵ) - Qu’ils craignent, ceux qui laissent après eux une progéniture encore en bas âge pour laquelle on puisse craindre ; qu’ils se prémunissent envers Dieu, et tiennent propos de raison. (Ⅶ) - Que les tuteurs soient emplis de crainte [comme] si [au lieu de leurs pupilles], ils laissaient une descendance faible pour laquelle ils craignent. Qu’ils soient pieux envers Allah et adressent [à leurs pupilles] un propos plein de raison. (Ⅷ)
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car ceux qui dévorent injustement les biens des orphelins n’introduisent que le feu dans leurs entrailles, et ils sont voués à l’Enfer.
- Inna allatheena yakuloona amwala alyatama thulman innama yakuloona fee butoonihim naran wasayaslawna saAAeeran (Ⅰ) - Ceux qui mangent injustement les biens des orphelins introduisent le feu dans leurs entrailles ; ils seront bientôt brûlés par le Feu enflammé. (Ⅱ) - إن الذين يأكلون أموال اليتامى ظلما إنما يأكلون في بطونهم نارا وسيصلون سعيرا (Ⅲ) - إِنَّ الَّذِينَ يَأْكُلُونَ أَمْوَالَ الْيَتَامَىٰ ظُلْمًا إِنَّمَا يَأْكُلُونَ فِي بُطُونِهِمْ نَارًا ۖ وَسَيَصْلَوْنَ سَعِيرًا (Ⅳ) - إِنَّ الَّذينَ يَأكُلونَ أَموٰلَ اليَتٰمىٰ ظُلمًا إِنَّما يَأكُلونَ فى بُطونِهِم نارًا ۖ وَسَيَصلَونَ سَعيرًا (Ⅴ) - Ceux qui mangent les biens des orphelins de manière injuste ne mangent qu’un feu dévorant dans lequel ils échoueront. (Ⅵ) - Ceux qui mangent du bien des orphelins, dans l’iniquité, mangent du feu dans leur ventre : ils brûleront en Enfer. (Ⅶ) - Ceux qui mangent injustement les biens des orphelins mangent ce qui, dans leurs entrailles, sera du feu [en Enfer] et ils affronteront un Brasier. (Ⅷ)
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En ce qui concerne vos enfants, Dieu vous prescrit d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles. S’il n’y a que des filles, et qu’elles soient au moins deux, il leur sera attribué les deux tiers de ce que laisse le défunt ; mais s’il n’y en a qu’une seule, elle en prendra la moitié. Si le défunt laisse un enfant, les ascendants, père et mère, auront chacun un sixième de l’héritage. Mais s’il ne laisse pas d’enfant, et que ses père et mère soient ses seuls héritiers, la mère aura droit au tiers. S’il laisse des frères et des sœurs, sa mère aura le sixième, après que les legs et les dettes du défunt auront été acquittés. De vos ascendants ou de vos descendants, vous ne savez pas lesquels vous sont les plus dévoués. C’est là une obligation divine à observer. Dieu est Omniscient et Sage.
- Yooseekumu Allahu fee awladikum lilththakari mithlu haththi alonthayayni fain kunna nisaan fawqa ithnatayni falahunna thulutha ma taraka wain kanat wahidatan falaha alnnisfu waliabawayhi likulli wahidin minhuma alssudusu mimma taraka in kana lahu waladun fain lam yakun lahu waladun wawarithahu abawahu faliommihi alththuluthu fain kana lahu ikhwatun faliommihi alssudusu min baAAdi wasiyyatin yoosee biha aw daynin abaokum waabnaokum la tadroona ayyuhum aqrabu lakum nafAAan fareedatan mina Allahi inna Allaha kana AAaleeman hakeeman (Ⅰ) - DIEU vous recommande (vous enjoint) au sujet [du partage] de [l’héritage entre] vos enfants : au fils revient une quote-part équivalente à celle de deux filles. S’il n’y a que des filles, [deux ou] plus de deux, à elles les deux tiers de l’héritage et, s’il n’y en a qu’une, la moitié [de la succession] lui revient. Au père et à la mère [du défunt] revient à chacun un sixième de ce qu’il aura laissé, s’il a un enfant ; s’il n’a pas d’enfants, et que [n’]hérite de lui [que] son père et sa mère, à la mère revient un tiers [de l’héritage] ; mais s’il a un [ou, plus d’un] frère, la mère aura un sixième. [Tout cela] déduction faite de legs testamentaires et dettes. [En ce qui concerne le partage de l’héritage] vous ne savez pas [profondément l’avenir et le devenir] de vos parents et de vos enfants lequel est[-il] plus près de vous en utilité. [Voilà] une obligation [prescrite] par DIEU. DIEU est Omniscient [et] Sage. (Ⅱ) - يوصيكم الله في أولادكم للذكر مثل حظ الأنثيين فإن كن نساء فوق اثنتين فلهن ثلثا ما ترك وإن كانت واحدة فلها النصف ولأبويه لكل واحد منهما السدس مما ترك إن كان له ولد فإن لم يكن له ولد وورثه أبواه فلأمه الثلث فإن كان له إخوة فلأمه السدس من بعد وصية يوصي بها أو دين آباؤكم وأبناؤكم لا تدرون أيهم أقرب لكم نفعا فريضة من الله إن الله كان عليما حكيما (Ⅲ) - يُوصِيكُمُ اللَّهُ فِي أَوْلَادِكُمْ ۖ لِلذَّكَرِ مِثْلُ حَظِّ الْأُنثَيَيْنِ ۚ فَإِن كُنَّ نِسَاءً فَوْقَ اثْنَتَيْنِ فَلَهُنَّ ثُلُثَا مَا تَرَكَ ۖ وَإِن كَانَتْ وَاحِدَةً فَلَهَا النِّصْفُ ۚ وَلِأَبَوَيْهِ لِكُلِّ وَاحِدٍ مِّنْهُمَا السُّدُسُ مِمَّا تَرَكَ إِن كَانَ لَهُ وَلَدٌ ۚ فَإِن لَّمْ يَكُن لَّهُ وَلَدٌ وَوَرِثَهُ أَبَوَاهُ فَلِأُمِّهِ الثُّلُثُ ۚ فَإِن كَانَ لَهُ إِخْوَةٌ فَلِأُمِّهِ السُّدُسُ ۚ مِن بَعْدِ وَصِيَّةٍ يُوصِي بِهَا أَوْ دَيْنٍ ۗ آبَاؤُكُمْ وَأَبْنَاؤُكُمْ لَا تَدْرُونَ أَيُّهُمْ أَقْرَبُ لَكُمْ نَفْعًا ۚ فَرِيضَةً مِّنَ اللَّهِ ۗ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَلِيمًا حَكِيمًا (Ⅳ) - يوصيكُمُ اللَّهُ فى أَولٰدِكُم ۖ لِلذَّكَرِ مِثلُ حَظِّ الأُنثَيَينِ ۚ فَإِن كُنَّ نِساءً فَوقَ اثنَتَينِ فَلَهُنَّ ثُلُثا ما تَرَكَ ۖ وَإِن كانَت وٰحِدَةً فَلَهَا النِّصفُ ۚ وَلِأَبَوَيهِ لِكُلِّ وٰحِدٍ مِنهُمَا السُّدُسُ مِمّا تَرَكَ إِن كانَ لَهُ وَلَدٌ ۚ فَإِن لَم يَكُن لَهُ وَلَدٌ وَوَرِثَهُ أَبَواهُ فَلِأُمِّهِ الثُّلُثُ ۚ فَإِن كانَ لَهُ إِخوَةٌ فَلِأُمِّهِ السُّدُسُ ۚ مِن بَعدِ وَصِيَّةٍ يوصى بِها أَو دَينٍ ۗ ءاباؤُكُم وَأَبناؤُكُم لا تَدرونَ أَيُّهُم أَقرَبُ لَكُم نَفعًا ۚ فَريضَةً مِنَ اللَّهِ ۗ إِنَّ اللَّهَ كانَ عَليمًا حَكيمًا (Ⅴ) - Pour vos enfants, Allah vous recommande le partage suivant : pour le garçon, une part égale à celles de deux filles. Si le nombre des filles dépasse deux, elles héritent des deux tiers de ce qui a été légué. Mais s’il n’y a qu’une seule fille, elle hérite de la moitié. Ses parents, père et mère, héritent du sixième de l’héritage, dès lors que le défunt a laissé un enfant. Mais si le défunt n’a pas laissé d’enfants, et que ses parents héritent de lui, il faut savoir que la mère hérite du tiers. Mais s’il y a des frères, la mère n’hérite que du sixième. Il faut d’abord rembourser toutes les dettes contractées, ainsi que les engagements oraux. Vous ne savez pas qui sera le plus proche de vous et le plus utile parmi vos pères et vos enfants. Telles sont les directives d’Allah. Allah est le plus savant et le plus sage. (Ⅵ) - Dieu vous recommande, en ce qui concerne vos enfants : aux garçons l’équivalent de la part de deux femmes ; s’il y a plus de deux femmes, elles auront deux tiers de l’hoirie ; s’il n’y en a qu’une seule, elle aura la moitié. Quant au père et à la mère, à chacun d’eux un sixième de la succession, si le défunt n’a laissé qu’un garçon ; s’il n’en a pas laissé, et qu’héritent de lui ses père et mère : à la mère ira le tiers ; s’il y a des frères, à la mère ira le sixième, déduction faite de chose testée ou due... — De vos père et mère ou de vos enfants, vous ne savez qui vous touche de plus près par le service rendu. — Tout cela d’obligation divine. Dieu est Connaissant et Longanime. (Ⅶ) - [Voici ce dont] Allah vous fait commandement au sujet de vos enfants : au mâle, portion semblable à celle de deux filles (’unṯä) ; si [les héritières] sont au-dessus de deux, à elles les deux tiers de ce qu’a laissé [le défunt] ; si [l’héritière] est unique, à elle la moitié et à chacun de ses père et mère, le sixième de ce qu’a laissé [le défunt] si celui-ci a un enfant [mâle] (walad). S’il n’a point d’enfant [mâle] et qu’héritent de lui ses père et mère, à sa mère, le tiers ; si [le défunt] a des frères, à sa mère, le sixième après [dévolution] des legs par testament [du défunt] et [extinction] des dettes. De vos pères et de vos fils, vous ne savez qui sont les plus utiles pour vous. Imposition (farîḍa) d’Allah ! Allah est omniscient et sage. (Ⅷ)
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La moitié de ce que laissent vos épouses vous revient, si elles n’ont pas d’enfants ; mais si elles en laissent, vous n’aurez droit qu’au quart de ce qu’elles laissent, après que les legs et les dettes grevant la succession auront été acquittés. Vos épouses ont droit au quart de ce que vous laissez, si vous n’avez pas d’enfants ; mais si vous en avez, elles n’auront droit qu’au huitième de ce que vous laissez, déduction faite de tout legs ou dette grevant la succession. Quand un homme ou une femme meurt sans laisser d’ascendants ou de descendants, à la survivance d’un demi-frère ou d’une demi-sœur d’une même mère, chacun de ces derniers aura droit à un sixième ; mais s’ils sont plus nombreux, ils se répartiront le tiers de l’héritage, déduction faite de tout legs ou dette non préjudiciable aux héritiers. C’est ce que Dieu vous recommande, car Il est Omniscient et Plein de mansuétude.
- Walakum nisfu ma taraka azwajukum in lam yakun lahunna waladun fain kana lahunna waladun falakumu alrrubuAAu mimma tarakna min baAAdi wasiyyatin yooseena biha aw daynin walahunna alrrubuAAu mimma taraktum in lam yakun lakum waladun fain kana lakum waladun falahunna alththumunu mimma taraktum min baAAdi wasiyyatin toosoona biha aw daynin wain kana rajulun yoorathu kalalatan awi imraatun walahu akhun aw okhtun falikulli wahidin minhuma alssudusu fain kanoo akthara min thalika fahum shurakao fee alththuluthi min baAAdi wasiyyatin yoosa biha aw daynin ghayra mudarrin wasiyyatan mina Allahi waAllahu AAaleemun haleemun (Ⅰ) - A vous [revient] la moitié de ce que laissent vos femmes si elles n’ont pas d’enfants ; si elles ont un enfant, le quart de ce qu’elles laissent vous revient, déduction faite de leurs legs testamentaires et dettes. A elles [revient] le quart de ce que vous laissez, si vous n’avez pas d’enfants ; si vous avez un enfant, à elles revient le huitième de ce que vous laissez, déduction faite de vos legs testamentaires et dettes. En cas de succession d’un homme ou d’une femme [qui n’ont ni enfant ni père ni mère, mais] qui ont un frère ou une sœur, à chacun de ces deux [appartiendra] un sixième [de la succession] ; s’ils sont plus que cela (plus de deux), tous alors participeront au tiers [de la succession], déduction faite de dettes et legs testamentaires non préjudiciables [aux héritiers]. [Voilà] la recommandation (l’ordre) de DIEU. DIEU est Omniscient [et] Indulgent. (Ⅱ) - ولكم نصف ما ترك أزواجكم إن لم يكن لهن ولد فإن كان لهن ولد فلكم الربع مما تركن من بعد وصية يوصين بها أو دين ولهن الربع مما تركتم إن لم يكن لكم ولد فإن كان لكم ولد فلهن الثمن مما تركتم من بعد وصية توصون بها أو دين وإن كان رجل يورث كلالة أو امرأة وله أخ أو أخت فلكل واحد منهما السدس فإن كانوا أكثر من ذلك فهم شركاء في الثلث من بعد وصية يوصى بها أو دين غير مضار وصية من الله والله عليم حليم (Ⅲ) - ۞ وَلَكُمْ نِصْفُ مَا تَرَكَ أَزْوَاجُكُمْ إِن لَّمْ يَكُن لَّهُنَّ وَلَدٌ ۚ فَإِن كَانَ لَهُنَّ وَلَدٌ فَلَكُمُ الرُّبُعُ مِمَّا تَرَكْنَ ۚ مِن بَعْدِ وَصِيَّةٍ يُوصِينَ بِهَا أَوْ دَيْنٍ ۚ وَلَهُنَّ الرُّبُعُ مِمَّا تَرَكْتُمْ إِن لَّمْ يَكُن لَّكُمْ وَلَدٌ ۚ فَإِن كَانَ لَكُمْ وَلَدٌ فَلَهُنَّ الثُّمُنُ مِمَّا تَرَكْتُم ۚ مِّن بَعْدِ وَصِيَّةٍ تُوصُونَ بِهَا أَوْ دَيْنٍ ۗ وَإِن كَانَ رَجُلٌ يُورَثُ كَلَالَةً أَوِ امْرَأَةٌ وَلَهُ أَخٌ أَوْ أُخْتٌ فَلِكُلِّ وَاحِدٍ مِّنْهُمَا السُّدُسُ ۚ فَإِن كَانُوا أَكْثَرَ مِن ذَٰلِكَ فَهُمْ شُرَكَاءُ فِي الثُّلُثِ ۚ مِن بَعْدِ وَصِيَّةٍ يُوصَىٰ بِهَا أَوْ دَيْنٍ غَيْرَ مُضَارٍّ ۚ وَصِيَّةً مِّنَ اللَّهِ ۗ وَاللَّهُ عَلِيمٌ حَلِيمٌ (Ⅳ) - ۞ وَلَكُم نِصفُ ما تَرَكَ أَزوٰجُكُم إِن لَم يَكُن لَهُنَّ وَلَدٌ ۚ فَإِن كانَ لَهُنَّ وَلَدٌ فَلَكُمُ الرُّبُعُ مِمّا تَرَكنَ ۚ مِن بَعدِ وَصِيَّةٍ يوصينَ بِها أَو دَينٍ ۚ وَلَهُنَّ الرُّبُعُ مِمّا تَرَكتُم إِن لَم يَكُن لَكُم وَلَدٌ ۚ فَإِن كانَ لَكُم وَلَدٌ فَلَهُنَّ الثُّمُنُ مِمّا تَرَكتُم ۚ مِن بَعدِ وَصِيَّةٍ توصونَ بِها أَو دَينٍ ۗ وَإِن كانَ رَجُلٌ يورَثُ كَلٰلَةً أَوِ امرَأَةٌ وَلَهُ أَخٌ أَو أُختٌ فَلِكُلِّ وٰحِدٍ مِنهُمَا السُّدُسُ ۚ فَإِن كانوا أَكثَرَ مِن ذٰلِكَ فَهُم شُرَكاءُ فِى الثُّلُثِ ۚ مِن بَعدِ وَصِيَّةٍ يوصىٰ بِها أَو دَينٍ غَيرَ مُضارٍّ ۚ وَصِيَّةً مِنَ اللَّهِ ۗ وَاللَّهُ عَليمٌ حَليمٌ (Ⅴ) - Vous hériterez de la moitié de ce que vous laissent vos épouses, à supposer qu’elles n’aient pas d’enfants. Car, si elles ont laissé un enfant, vous n’hériteriez que du quart, mais après avoir épuisé toutes les dettes et promesses engagées de son vivant. Quant à elles, elles hériteront du quart de ce que vous laisseriez, si vous n’avez aucun enfant ; mais si vous avez un enfant, elles hériteront du huitième, non sans solder toutes les dettes et tenu tous les engagements pris de votre vivant. Si un homme ou une femme meurt sans laisser d’héritier et ayant perdu ses géniteurs, cependant qu’il laisse un frère ou une sœur, il reviendra à chacun le sixième de ce bien. Mais si la fratrie est plus importante, l’héritage passera en indivis pour un tiers après que les dettes et les promesses laissées par le défunt ont été honorées. Telles sont les recommandations d’Allah. Il est le plus savant, le plus magnanime. (Ⅵ) - — A vous la moitié de ce qu’ont laissé vos épouses, à moins qu’elles n’aient une progéniture ; si c’est le cas, vous aurez le quart de leur succession, déduction faite de chose testée ou due. Elles auront le quart de ce que vous aurez laissé, si vous ne laissez pas de progéniture ; si c’est le cas, elles auront le huitième de votre succession, déduction faite de chose testée ou due. En cas de succession d’un homme ou d’une femme dépourvus de successibles directs, mais qui ait un frère ou une sœur, à chacun de ces deux derniers reviendra un sixième ; s’ils sont davantage, ils se partageront un tiers, déduction faite de chose testée ou due, sauf en cas de lésion. —Tout cela sur recommandation de Dieu. Dieu est Connaissant et Longanime. (Ⅶ) - A vous la moitié de ce que laissent vos épouses, si elles n’ont pas un enfant. Si elles ont un enfant, à vous le quart de ce qu’elles ont laissé après [dévolution] des legs par testament des défuntes ou [extinction] des dettes. A elles le quart de ce que vous laissez, si vous n’avez pas un enfant ; si vous avez un enfant, à elles le huitième de ce que vous laissez après [dévolution] des legs par testament de vous ou [extinction] des dettes. Si un homme ou une femme se trouvent laisser un héritage sans avoir d’ayant droit, alors qu’ils ont un frère ou une sœur, à chacun de ceux-ci, le sixième [de l’héritage] ; s’il y a plusieurs frères ou sœurs, ils sont en indivis pour le tiers, après [dévolution] des legs par testament ou [extinction] des dettes. Nulle contrainte ! Commandement [venant] d’Allah ! Allah est omniscient et longanime. (Ⅷ)
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Telles sont les limites fixées par Dieu. Tous ceux qui obéissent à Dieu et à Son Prophète seront accueillis dans des Jardins arrosés d’eaux vives où ils demeureront pour l’éternité, et ce sera pour eux la félicité suprême.
- Tilka hudoodu Allahi waman yutiAAi Allaha warasoolahu yudkhilhu jannatin tajree min tahtiha alanharu khalideena feeha wathalika alfawzu alAAatheemu (Ⅰ) - Telles sont les limites [normatives prescrites] par DIEU. Celui qui obéit à DIEU et à Son prophète, [DIEU] le fera entrer dans les Jardins sous lesquels coulent les rivières, il y vivra éternellement, c’est un grand succès. (Ⅱ) - تلك حدود الله ومن يطع الله ورسوله يدخله جنات تجري من تحتها الأنهار خالدين فيها وذلك الفوز العظيم (Ⅲ) - تِلْكَ حُدُودُ اللَّهِ ۚ وَمَن يُطِعِ اللَّهَ وَرَسُولَهُ يُدْخِلْهُ جَنَّاتٍ تَجْرِي مِن تَحْتِهَا الْأَنْهَارُ خَالِدِينَ فِيهَا ۚ وَذَٰلِكَ الْفَوْزُ الْعَظِيمُ (Ⅳ) - تِلكَ حُدودُ اللَّهِ ۚ وَمَن يُطِعِ اللَّهَ وَرَسولَهُ يُدخِلهُ جَنّٰتٍ تَجرى مِن تَحتِهَا الأَنهٰرُ خٰلِدينَ فيها ۚ وَذٰلِكَ الفَوزُ العَظيمُ (Ⅴ) - Telles sont les règles d’Allah. Celui qui respecte Allah et Son prophète ira au paradis, un jardin où coulent les rivières, de sorte qu’ils y demeureront éternellement, car telle est la meilleure victoire. (Ⅵ) - Ce sont là des normes expresses de Dieu. — Quiconque obéit à Dieu et à Son Envoyé, Dieu le fera entrer dans des jardins de sous lesquels les ruisseaux coulent, et où ils seront éternels. — C’est là le triomphe insigne. (Ⅶ) - Voilà les lois (ḥudûd) d’Allah. Quiconque obéit à Allah et à Son Apôtre, [Allah] le fera entrer en des Jardins sous lesquels couleront les ruisseaux, où il restera, immortel. C’est là le Succès Immense. (Ⅷ)
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Celui qui, en revanche, désobéit à Dieu et à Son Prophète et qui transgresse Ses lois, Dieu le précipitera dans l’Enfer pour l’éternité, où un supplice avilissant lui sera infligé.
- Waman yaAAsi Allaha warasoolahu wayataAAadda hudoodahu yudkhilhu naran khalidan feeha walahu AAathabun muheenun (Ⅰ) - Quiconque désobéit à DIEU et à Son prophète et transgresse Ses limites [normatives], [DIEU] le fera entrer dans le Feu (résultat de ses péchés obstinés) et il y restera à perpétuité et il y subira un châtiment avilissant. (Ⅱ) - ومن يعص الله ورسوله ويتعد حدوده يدخله نارا خالدا فيها وله عذاب مهين (Ⅲ) - وَمَن يَعْصِ اللَّهَ وَرَسُولَهُ وَيَتَعَدَّ حُدُودَهُ يُدْخِلْهُ نَارًا خَالِدًا فِيهَا وَلَهُ عَذَابٌ مُّهِينٌ (Ⅳ) - وَمَن يَعصِ اللَّهَ وَرَسولَهُ وَيَتَعَدَّ حُدودَهُ يُدخِلهُ نارًا خٰلِدًا فيها وَلَهُ عَذابٌ مُهينٌ (Ⅴ) - Celui qui désobéit à Allah et à Son prophète et qui transgresse Ses limites, Allah le fera entrer dans un feu où il demeurera pour l’éternité, tandis qu’un châtiment avilissant l’attend. (Ⅵ) - — Quiconque se rebelle contre Dieu et contre Son Envoyé, et transgresse Ses normes, Nous le ferons entrer dans le Feu, où il sera éternel ; il subira un châtiment d’ignominie. (Ⅶ) - Quiconque [, au contraire,] désobéit à Allah et à Son Apôtre et transgresse Ses Lois, [Allah] le fera entrer dans un feu où il restera, immortel. A [ce transgresseur], un tourment avilissant. (Ⅷ)
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Celles de vos femmes qui se rendent coupables de perversité, requérez contre elles le témoignage de quatre d’entre vous. Si le témoignage est confirmatif, enfermez les coupables sous un toit jusqu’à ce que la mort vienne mettre fin à leur vie ou que Dieu leur offre une autre issue.
- Waallatee yateena alfahishata min nisaikum faistashhidoo AAalayhinna arbaAAatan minkum fain shahidoo faamsikoohunna fee albuyooti hatta yatawaffahunna almawtu aw yajAAala Allahu lahunna sabeelan (Ⅰ) - Requérez le témoignage de quatre d’entre vous [des croyants] contre celles de vos femmes qui ont [été soupçonnées d’avoir] commis la fornication. S’ils témoignent [contre elles], alors enfermez-les [femmes coupables] dans des maisons jusqu’à ce que leur mort arrive ou que DIEU leur ouvre un chemin. (Ⅱ) - واللاتي يأتين الفاحشة من نسائكم فاستشهدوا عليهن أربعة منكم فإن شهدوا فأمسكوهن في البيوت حتى يتوفاهن الموت أو يجعل الله لهن سبيلا (Ⅲ) - وَاللَّاتِي يَأْتِينَ الْفَاحِشَةَ مِن نِّسَائِكُمْ فَاسْتَشْهِدُوا عَلَيْهِنَّ أَرْبَعَةً مِّنكُمْ ۖ فَإِن شَهِدُوا فَأَمْسِكُوهُنَّ فِي الْبُيُوتِ حَتَّىٰ يَتَوَفَّاهُنَّ الْمَوْتُ أَوْ يَجْعَلَ اللَّهُ لَهُنَّ سَبِيلًا (Ⅳ) - وَالّٰتى يَأتينَ الفٰحِشَةَ مِن نِسائِكُم فَاستَشهِدوا عَلَيهِنَّ أَربَعَةً مِنكُم ۖ فَإِن شَهِدوا فَأَمسِكوهُنَّ فِى البُيوتِ حَتّىٰ يَتَوَفّىٰهُنَّ المَوتُ أَو يَجعَلَ اللَّهُ لَهُنَّ سَبيلًا (Ⅴ) - Quant à celles de vos femmes qui se rendent coupables d’actes immoraux, demandez à quatre témoins crédibles parmi vous d’accepter de témoigner contre elles. Si ces témoins acceptent de témoigner contre elles, vous les enfermerez dans des demeures jusqu’à ce que mort s’ensuive ou que Dieu leur trouve une meilleure issue. (Ⅵ) - Celles de vos femmes qui commettent la turpitude, eh bien ! requérez-en contre elles le témoignage de quatre des vôtres ; s’ils en témoignent, consignez (les coupables) à la maison jusqu’à ce que les récupère la mort, ou que Dieu leur ouvre un chemin (Ⅶ) - A l’encontre de celles de vos femmes qui commettent la Turpitude, requérez témoignage de quatre d’entre vous ! Si ceux-ci témoignent [de la chose], retenez [ces femmes] dans [VOS] demeures jusqu’à ce que la mort les rappelle [au Seigneur] ou qu'Allah leur donne un moyen. (Ⅷ)
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Si deux individus parmi vous se livrent à la débauche, sévissez contre eux. S’ils se repentent et s’amendent, laissez-les en paix, car Dieu est Clément et Miséricordieux.
- Waallathani yatiyaniha minkum faathoohuma fain taba waaslaha faaAAridoo AAanhuma inna Allaha kana tawwaban raheeman (Ⅰ) - [Si] deux d’entre vous (un homme et une femme qui n’a pas de mari) l’ont commise [la fornication], punissez-les [tous les deux] ; s’ils se repentent et s’amendent, alors laissez-les. DIEU agrée le repentir, [Il est] Très-Miséricordieux. (Ⅱ) - واللذان يأتيانها منكم فآذوهما فإن تابا وأصلحا فأعرضوا عنهما إن الله كان توابا رحيما (Ⅲ) - وَاللَّذَانِ يَأْتِيَانِهَا مِنكُمْ فَآذُوهُمَا ۖ فَإِن تَابَا وَأَصْلَحَا فَأَعْرِضُوا عَنْهُمَا ۗ إِنَّ اللَّهَ كَانَ تَوَّابًا رَّحِيمًا (Ⅳ) - وَالَّذانِ يَأتِيٰنِها مِنكُم فَـٔاذوهُما ۖ فَإِن تابا وَأَصلَحا فَأَعرِضوا عَنهُما ۗ إِنَّ اللَّهَ كانَ تَوّابًا رَحيمًا (Ⅴ) - Si certains parmi vous commettent un acte immoral, réprimandez-les fermement. S’ils reviennent à de meilleurs sentiments, laissez-les tranquilles, car Allah est Celui qui pardonne, il est le Miséricordieux. (Ⅵ) - si deux d’entre vous commettent la turpitude, malmenez-les ; si tous deux se repentent et deviennent meilleurs, alors d’eux écartez-vous — Dieu est Enclin-au-repentir, Miséricordieux. (Ⅶ) - Celui et celle qui, parmi vous, commettent [la Turpitude], sévissez contre eux ! S’ils reviennent [de leur faute] et [se] réforment, détournez-vous d’eux ! Allah est révocateur et miséricordieux. (Ⅷ)
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Dieu pardonne seulement à ceux qui font le mal par ignorance et qui se repentent aussitôt. À ceux-là, Dieu accorde Son pardon, car Dieu est Omniscient et Sage.
- Innama alttawbatu AAala Allahi lillatheena yaAAmaloona alssooa bijahalatin thumma yatooboona min qareebin faolaika yatoobu Allahu AAalayhim wakana Allahu AAaleeman hakeeman (Ⅰ) - DIEU n’agrée le repentir que de ceux qui [ne] commettent le mal [que] par ignorance et qui se repentent aussitôt. DIEU les pardonne. DIEU est Omniscient [et] Sage. (Ⅱ) - إنما التوبة على الله للذين يعملون السوء بجهالة ثم يتوبون من قريب فأولئك يتوب الله عليهم وكان الله عليما حكيما (Ⅲ) - إِنَّمَا التَّوْبَةُ عَلَى اللَّهِ لِلَّذِينَ يَعْمَلُونَ السُّوءَ بِجَهَالَةٍ ثُمَّ يَتُوبُونَ مِن قَرِيبٍ فَأُولَٰئِكَ يَتُوبُ اللَّهُ عَلَيْهِمْ ۗ وَكَانَ اللَّهُ عَلِيمًا حَكِيمًا (Ⅳ) - إِنَّمَا التَّوبَةُ عَلَى اللَّهِ لِلَّذينَ يَعمَلونَ السّوءَ بِجَهٰلَةٍ ثُمَّ يَتوبونَ مِن قَريبٍ فَأُولٰئِكَ يَتوبُ اللَّهُ عَلَيهِم ۗ وَكانَ اللَّهُ عَليمًا حَكيمًا (Ⅴ) - Allah pardonne à ceux qui, par ignorance, commettent des actes répréhensibles, mais qui aussitôt s’amendent et reviennent au droit chemin. Ceux-là, Allah les prend en Sa miséricorde et leur pardonne, car Il est le Savant et le Sage. (Ⅵ) - Seulement le repentir de Dieu tient à ce qu’on n’ait commis le mal que par ignorance, et qu’on s’en soit aussitôt repenti ; dans ce cas, Dieu se repent en faveur de ces coupables. — Dieu est Connaissant et Sage. (Ⅶ) - Revenir [de sa rigueur] n’appartient qu’à Allah, pour ceux qui font le mal par ignorance, puis qui reviennent sur leur faute, tout aussitôt. Envers ceux-là, Allah revient [de Sa rigueur]. Allah est omniscient et sage. (Ⅷ)
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Mais aucun pardon ne sera accordé à ceux qui continuent inlassablement à pécher et qui, à l’approche de la mort, disent : « À présent, nous nous repentons ! », ni à ceux qui meurent en état d’infidélité. À tous ceux-là seront réservées d’affreuses souffrances.
- Walaysati alttawbatu lillatheena yaAAmaloona alssayyiati hatta itha hadara ahadahumu almawtu qala innee tubtu alana wala allatheena yamootoona wahum kuffarun olaika aAAtadna lahum AAathaban aleeman (Ⅰ) - Le repentir n’est [valable] pour ceux qui insistent dans les péchés [et dans l’impiété] jusqu’au moment où la mort se présente à l’un d’entre eux (il arrive au seuil de la mort), [et où] il dit : « A présent je me repens ! » ni pour ceux qui meurent impies [idolâtres, hypocrites,... obstinés]. A ceux-là Nous avons préparé un châtiment douloureux. (Ⅱ) - وليست التوبة للذين يعملون السيئات حتى إذا حضر أحدهم الموت قال إني تبت الآن ولا الذين يموتون وهم كفار أولئك أعتدنا لهم عذابا أليما (Ⅲ) - وَلَيْسَتِ التَّوْبَةُ لِلَّذِينَ يَعْمَلُونَ السَّيِّئَاتِ حَتَّىٰ إِذَا حَضَرَ أَحَدَهُمُ الْمَوْتُ قَالَ إِنِّي تُبْتُ الْآنَ وَلَا الَّذِينَ يَمُوتُونَ وَهُمْ كُفَّارٌ ۚ أُولَٰئِكَ أَعْتَدْنَا لَهُمْ عَذَابًا أَلِيمًا (Ⅳ) - وَلَيسَتِ التَّوبَةُ لِلَّذينَ يَعمَلونَ السَّيِّـٔاتِ حَتّىٰ إِذا حَضَرَ أَحَدَهُمُ المَوتُ قالَ إِنّى تُبتُ الـٰٔنَ وَلَا الَّذينَ يَموتونَ وَهُم كُفّارٌ ۚ أُولٰئِكَ أَعتَدنا لَهُم عَذابًا أَليمًا (Ⅴ) - En revanche, pas de pardon pour ceux qui commettent de mauvaises actions et qui, arrivés devant la mort, disent : Je viens de me repentir à l’instant. Ce pardon n’existe pas non plus pour ceux qui meurent sans s’être repentis, pour lesquels Nous avons préparé un pénible châtiment. (Ⅵ) - Ce n’est pas se repentir d’une faute que de commettre des choses mauvaises jusqu’à ce que, la mort pressant l’un de ces coupables, il dise : « A présent je me repens de ma faute ». Et non plus si l’on meurt dans le déni. A ceux-là Nous préparons un châtiment de douleur... (Ⅶ) - La rémission n’existe point pour ceux qui font de mauvaises actions jusqu’à ce qu’enfin, la mort se présentant à l’un d’eux, il s’écrie : « Je reviens [de mes fautes], maintenant ». Elle n’existe pas [non plus] pour ceux qui meurent étant infidèles. Pour ceux-là, Nous avons préparé un Tourment cruel. (Ⅷ)
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Ô croyants ! Il ne vous est pas permis de vous attribuer des femmes par voie d’héritage contre leur gré. Ne les soumettez pas à des contraintes, dans le but de leur reprendre une partie de ce que vous leur avez donné, à moins qu’elles n’aient commis un adultère prouvé. Entretenez de bons rapports avec vos femmes ; et si vous avez quelque aversion pour certaines d’entre elles, sachez que l’on peut avoir parfois de l’aversion pour une chose qui peut cependant être pour vous la source d’un grand bonheur.
- Ya ayyuha allatheena amanoo la yahillu lakum an tarithoo alnnisaa karhan wala taAAduloohunna litathhaboo bibaAAdi ma ataytumoohunna illa an yateena bifahishatin mubayyinatin waAAashiroohunna bialmaAAroofi fain karihtumoohunna faAAasa an takrahoo shayan wayajAAala Allahu feehi khayran katheeran (Ⅰ) - Croyants, il n’est pas licite pour vous de [maintenir forcément les femmes riches afin de] vous constituer leurs héritiers contre [leur] gré. Ne les soumettez non plus à des contraintes afin de [vous] approprier une partie de ce que vous leur aviez donné, à moins qu’elles n’aient commis une turpitude flagrante. Vivez avec elles d’une façon reconnue convenable. Si vous éprouvez de l’aversion pour elles, il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose alors même que DIEU y a mis [pour vous] un bien considérable. (Ⅱ) - يا أيها الذين آمنوا لا يحل لكم أن ترثوا النساء كرها ولا تعضلوهن لتذهبوا ببعض ما آتيتموهن إلا أن يأتين بفاحشة مبينة وعاشروهن بالمعروف فإن كرهتموهن فعسى أن تكرهوا شيئا ويجعل الله فيه خيرا كثيرا (Ⅲ) - يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا لَا يَحِلُّ لَكُمْ أَن تَرِثُوا النِّسَاءَ كَرْهًا ۖ وَلَا تَعْضُلُوهُنَّ لِتَذْهَبُوا بِبَعْضِ مَا آتَيْتُمُوهُنَّ إِلَّا أَن يَأْتِينَ بِفَاحِشَةٍ مُّبَيِّنَةٍ ۚ وَعَاشِرُوهُنَّ بِالْمَعْرُوفِ ۚ فَإِن كَرِهْتُمُوهُنَّ فَعَسَىٰ أَن تَكْرَهُوا شَيْئًا وَيَجْعَلَ اللَّهُ فِيهِ خَيْرًا كَثِيرًا (Ⅳ) - يٰأَيُّهَا الَّذينَ ءامَنوا لا يَحِلُّ لَكُم أَن تَرِثُوا النِّساءَ كَرهًا ۖ وَلا تَعضُلوهُنَّ لِتَذهَبوا بِبَعضِ ما ءاتَيتُموهُنَّ إِلّا أَن يَأتينَ بِفٰحِشَةٍ مُبَيِّنَةٍ ۚ وَعاشِروهُنَّ بِالمَعروفِ ۚ فَإِن كَرِهتُموهُنَّ فَعَسىٰ أَن تَكرَهوا شَيـًٔا وَيَجعَلَ اللَّهُ فيهِ خَيرًا كَثيرًا (Ⅴ) - Ô vous qui croyez, il ne vous est pas permis d’hériter de vos femmes contre leur gré, ni de les empêcher de se remarier afin de leur dérober le bien que vous avez déjà cédé, excepté celles qui commettent une turpitude indiscutable. Sinon, cohabitez avec elles en paix. Il arrive cependant que vous les détestiez. Hélas, l’aversion est possible même pour les choses qu’Allah a rendues bénéfiques ! (Ⅵ) - Vous qui croyez, il n’est pas pour vous licite d’hériter des femmes contre leur gré ou de leur soulever des difficultés pour leur ravir une part de ce que vous leur avez donné, à moins qu’elles ne se rendent coupables d’une turpitude prouvée. Fréquentez-les selon les convenances ; si elles vous inspirent de l’aversion, qui sait si votre aversion ne porte pas sur une chose où Dieu loge beaucoup de bien ? (Ⅶ) - O vous qui croyez !, il n’est pas licite à vous de recevoir [vos] femmes par héritage, contre leur gré, ni de les mettre en difficulté [de se remarier] pour subtiliser une partie de ce que vous leur avez donné, à moins qu’elles ne commettent une turpitude déclarée. Usez-en avec elles de la manière reconnue [convenable]. Si vous avez une aversion pour elles, il est possible que vous ayez aversion pour une chose en laquelle Allah met un grand bien. (Ⅷ)
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Si vous voulez épouser une femme à la place d’une autre, et que vous ayez donné une dot d’un quintal d’or à celle que vous répudiez, il vous sera interdit d’en rien prélever, car ce serait une infamie flagrante et une injustice manifeste.
- Wain aradtumu istibdala zawjin makana zawjin waataytum ihdahunna qintaran fala takhuthoo minhu shayan atakhuthoonahu buhtanan waithman mubeenan (Ⅰ) - Si vous voulez substituer une épouse à une autre et que vous ayez donné à une un quintal, n’en reprenez rien. Allez-vous le reprendre en imputant une calomnie [contre l’honneur de la femme] et au prix d’un péché flagrant ? (Ⅱ) - وإن أردتم استبدال زوج مكان زوج وآتيتم إحداهن قنطارا فلا تأخذوا منه شيئا أتأخذونه بهتانا وإثما مبينا (Ⅲ) - وَإِنْ أَرَدتُّمُ اسْتِبْدَالَ زَوْجٍ مَّكَانَ زَوْجٍ وَآتَيْتُمْ إِحْدَاهُنَّ قِنطَارًا فَلَا تَأْخُذُوا مِنْهُ شَيْئًا ۚ أَتَأْخُذُونَهُ بُهْتَانًا وَإِثْمًا مُّبِينًا (Ⅳ) - وَإِن أَرَدتُمُ استِبدالَ زَوجٍ مَكانَ زَوجٍ وَءاتَيتُم إِحدىٰهُنَّ قِنطارًا فَلا تَأخُذوا مِنهُ شَيـًٔا ۚ أَتَأخُذونَهُ بُهتٰنًا وَإِثمًا مُبينًا (Ⅴ) - Si vous voulez remplacer une épouse par une autre, et que vous avez donné à l’une d’elles un quintal de biens, vous n’en récupérez rien. Le reprendriez-vous, cela constituerait une réelle infamie. (Ⅵ) - Si vous voulez substituer une épouse à une autre, eussiez-vous donné à l’une d’elles un quintal d’or, n’en récupérez pas une miette. — Le feriez-vous, au prix d’une infamie, d’un péché flagrant ? (Ⅶ) - Si vous voulez changer une épouse pour une autre et [si] vous avez donné à l’une de [ces épouses] un qinṭâr, ne retenez rien de celui-ci [, lors du divorce] ! Pourriez-vous retenir cela [, commettant ainsi] infamie (buḫtân) et péché avéré ? (Ⅷ)
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D’ailleurs, comment oseriez-vous leur reprendre quoi que ce soit, après l’union intime qui vous a liés et les promesses solennelles que vous avez échangées ?
- Wakayfa takhuthoonahu waqad afda baAAdukum ila baAAdin waakhathna minkum meethaqan ghaleethan (Ⅰ) - Comment donc le reprendriez-vous, une fois que vous vous êtes approchés intimement, et qu’elles ont reçu de vous un engagement ferme [lors du mariage] ? (Ⅱ) - وكيف تأخذونه وقد أفضى بعضكم إلى بعض وأخذن منكم ميثاقا غليظا (Ⅲ) - وَكَيْفَ تَأْخُذُونَهُ وَقَدْ أَفْضَىٰ بَعْضُكُمْ إِلَىٰ بَعْضٍ وَأَخَذْنَ مِنكُم مِّيثَاقًا غَلِيظًا (Ⅳ) - وَكَيفَ تَأخُذونَهُ وَقَد أَفضىٰ بَعضُكُم إِلىٰ بَعضٍ وَأَخَذنَ مِنكُم ميثٰقًا غَليظًا (Ⅴ) - Et comment du reste le feriez-vous, lorsque vous vous êtes donnés l’un à l’autre mutuellement et que celles-ci ont reçu de vous une si grande alliance ? (Ⅵ) - Et comment le feriez-vous, quand vous avez accédé l’un à l’autre, et qu’elles ont reçu de vous un si grave engagement ? (Ⅶ) - Comment retiendriez-vous cela alors que vous êtes liés l’un à l’autre et [que vos épouses] ont reçu de vous une alliance solennelle ? (Ⅷ)
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Désormais, n’épousez plus les femmes que vos pères ont eues pour épouses. Cette interdiction ne s’applique pas au passé. En fait, une telle pratique constitue un acte abominable, une ignominie et une union odieuse.
- Wala tankihoo ma nakaha abaokum mina alnnisai illa ma qad salafa innahu kana fahishatan wamaqtan wasaa sabeelan (Ⅰ) - N’épousez pas les femmes qu’auraient épousées vos pères - exception faite de ce qui est déjà fait - : ce serait une turpitude, une abomination et un mauvais chemin. (Ⅱ) - ولا تنكحوا ما نكح آباؤكم من النساء إلا ما قد سلف إنه كان فاحشة ومقتا وساء سبيلا (Ⅲ) - وَلَا تَنكِحُوا مَا نَكَحَ آبَاؤُكُم مِّنَ النِّسَاءِ إِلَّا مَا قَدْ سَلَفَ ۚ إِنَّهُ كَانَ فَاحِشَةً وَمَقْتًا وَسَاءَ سَبِيلًا (Ⅳ) - وَلا تَنكِحوا ما نَكَحَ ءاباؤُكُم مِنَ النِّساءِ إِلّا ما قَد سَلَفَ ۚ إِنَّهُ كانَ فٰحِشَةً وَمَقتًا وَساءَ سَبيلًا (Ⅴ) - Vous sont interdites les femmes que vos pères ont eues pour épouses, à moins que ce ne soit dans le passé, ce serait vraiment une abomination sans nom et une mauvaise conduite. (Ⅵ) - — N’épousez pas des femmes qu’auraient épousées vos pères — exception faite des situations acquises — : ce serait une turpitude, un inceste, un détestable chemin ! (Ⅶ) - N'épousez point celles des femmes qu’ont épousées vos pères — sauf celles épousées dans le passé. C'est là turpitude abominable et combien détestable chemin ! (Ⅷ)
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Il vous est interdit d’épouser vos mères, vos filles, vos sœurs, vos tantes paternelles, vos tantes maternelles, les filles de vos frères, les filles de vos sœurs, les nourrices qui vous ont allaités, vos sœurs de lait, vos belles-mères, vos belles-filles, qui sont nées des femmes avec lesquelles vous avez consommé le mariage. Toutefois, il n’y a pas d’interdiction si le mariage avec la mère n’a pas été consommé. Il vous est également interdit d’épouser les femmes de vos propres fils et d’avoir pour épouses deux sœurs en même temps. Cette interdiction ne concerne pas le passé, car Dieu est Clément et Miséricordieux.
- Hurrimat AAalaykum ommahatukum wabanatukum waakhawatukum waAAammatukum wakhalatukum wabanatu alakhi wabanatu alokhti waommahatukumu allatee ardaAAnakum waakhawatukum mina alrradaAAati waommahatu nisaikum warabaibukumu allatee fee hujoorikum min nisaikumu allatee dakhaltum bihinna fain lam takoonoo dakhaltum bihinna fala junaha AAalaykum wahalailu abnaikumu allatheena min aslabikum waan tajmaAAoo bayna alokhtayni illa ma qad salafa inna Allaha kana ghafooran raheeman (Ⅰ) - Vous sont interdites vos mères, vos filles, vos sœurs, vos tantes paternelles et vos tantes maternelles, les filles du frère et les filles de la sœur ; vos mères qui vous ont allaités (vos nourrices) et vos sœurs de lait ; les mères de vos femmes, vos belles-filles se trouvant dans votre giron et nées de vos femmes avec lesquelles vous avez consommé l’union - mais si vous n’avez pas consommé l’union avec celles-ci, il n’y a pas de mal [à votre mariage avec leurs filles] -, les épouses de vos fils nés de vos reins ; [de même il vous est interdit] d’épouser en même temps deux sœurs, exception faite de ce qui est déjà fait. DIEU pardonne, [Il est] Très-Miséricordieux. (Ⅱ) - حرمت عليكم أمهاتكم وبناتكم وأخواتكم وعماتكم وخالاتكم وبنات الأخ وبنات الأخت وأمهاتكم اللاتي أرضعنكم وأخواتكم من الرضاعة وأمهات نسائكم وربائبكم اللاتي في حجوركم من نسائكم اللاتي دخلتم بهن فإن لم تكونوا دخلتم بهن فلا جناح عليكم وحلائل أبنائكم الذين من أصلابكم وأن تجمعوا بين الأختين إلا ما قد سلف إن الله كان غفورا رحيما (Ⅲ) - حُرِّمَتْ عَلَيْكُمْ أُمَّهَاتُكُمْ وَبَنَاتُكُمْ وَأَخَوَاتُكُمْ وَعَمَّاتُكُمْ وَخَالَاتُكُمْ وَبَنَاتُ الْأَخِ وَبَنَاتُ الْأُخْتِ وَأُمَّهَاتُكُمُ اللَّاتِي أَرْضَعْنَكُمْ وَأَخَوَاتُكُم مِّنَ الرَّضَاعَةِ وَأُمَّهَاتُ نِسَائِكُمْ وَرَبَائِبُكُمُ اللَّاتِي فِي حُجُورِكُم مِّن نِّسَائِكُمُ اللَّاتِي دَخَلْتُم بِهِنَّ فَإِن لَّمْ تَكُونُوا دَخَلْتُم بِهِنَّ فَلَا جُنَاحَ عَلَيْكُمْ وَحَلَائِلُ أَبْنَائِكُمُ الَّذِينَ مِنْ أَصْلَابِكُمْ وَأَن تَجْمَعُوا بَيْنَ الْأُخْتَيْنِ إِلَّا مَا قَدْ سَلَفَ ۗ إِنَّ اللَّهَ كَانَ غَفُورًا رَّحِيمًا (Ⅳ) - حُرِّمَت عَلَيكُم أُمَّهٰتُكُم وَبَناتُكُم وَأَخَوٰتُكُم وَعَمّٰتُكُم وَخٰلٰتُكُم وَبَناتُ الأَخِ وَبَناتُ الأُختِ وَأُمَّهٰتُكُمُ الّٰتى أَرضَعنَكُم وَأَخَوٰتُكُم مِنَ الرَّضٰعَةِ وَأُمَّهٰتُ نِسائِكُم وَرَبٰئِبُكُمُ الّٰتى فى حُجورِكُم مِن نِسائِكُمُ الّٰتى دَخَلتُم بِهِنَّ فَإِن لَم تَكونوا دَخَلتُم بِهِنَّ فَلا جُناحَ عَلَيكُم وَحَلٰئِلُ أَبنائِكُمُ الَّذينَ مِن أَصلٰبِكُم وَأَن تَجمَعوا بَينَ الأُختَينِ إِلّا ما قَد سَلَفَ ۗ إِنَّ اللَّهَ كانَ غَفورًا رَحيمًا (Ⅴ) - Il vous a été interdit d’épouser vos mères, vos filles, vos sœurs, vos tantes maternelles et paternelles, vos nièces des deux côtés, vos nourrices, vos sœurs de lait, vos belles-mères, les filles des femmes que vous avez épousées, il n’y a en revanche aucun problème si vous n’avez pas épousé les femmes en question. Il vous est interdit d’épouser les femmes de vos fils qui sont issus de vos reins, il vous est interdit d’épouser deux sœurs en même temps, sauf si cela s’est déjà produit, car Allah est Celui qui pardonne et qui est miséricordieux. (Ⅵ) - Vous sont interdites vos mères, filles, sœurs, tantes de père ou de mère, nièces de frère ou de sœur, mères et sœurs de lait, mères de vos épouses, pupilles encore dans votre giron et issues de vos femmes, si vous avez consommé l’union avec ces dernières (au cas inverse, nulle faute à vous), et encore les épouses des fils issus de vos reins, et de conjoindre deux sœurs, exception faite des situations acquises... — Dieu est Tout pardon, Miséricordieux. (Ⅶ) - Illicites [comme épouses] sont pour vous vos mères, vos filles, vos sœurs, vos tantes paternelles et maternelles, vos nièces du côté du frère et vos nièces du côté de la sœur, vos mères et vos sœurs de lait, les mères de vos femmes, les belles-filles qui sont dans votre giron et nées de vos femmes avec qui vous avez consommé le mariage ; toutefois, si vous n’avez pas consommé le mariage avec [ces épouses], nul grief à vous faire [si vous épousez ces belles-filles. Illicite est de prendre] les épouses de vos fils nés de vos reins, d’épouser ensemble les deux sœurs — sauf celles épousées dans le passé. Allah est absoluteur et miséricordieux. (Ⅷ)
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Il vous est aussi interdit d’épouser des femmes déjà mariées, à moins qu’elles ne soient vos captives de guerre. Telles sont les prescriptions du Seigneur. Excepté ces interdictions, il vous est loisible d’utiliser vos biens pour vous marier honnêtement et non pour vivre en concubinage. C’est une obligation pour vous de remettre la dot convenue à celle avec laquelle vous aurez consommé le mariage. Mais il n’y a aucun inconvénient à ce que vous modifiiez le montant de la dot d’un commun accord par la suite, car Dieu est, en vérité, Omniscient et Sage.
- Waalmuhsanatu mina alnnisai illa ma malakat aymanukum kitaba Allahi AAalaykum waohilla lakum ma waraa thalikum an tabtaghoo biamwalikum muhsineena ghayra musafiheena fama istamtaAAtum bihi minhunna faatoohunna ojoorahunna fareedatan wala junaha AAalaykum feema taradaytum bihi min baAAdi alfareedati inna Allaha kana AAaleeman hakeeman (Ⅰ) - Et [vous sont interdites] les femmes qui ont un mari, sauf les captives [de guerre, respectant la loi de DIEU]. Prescription de DIEU pour vous. Hormis ces cas [énumérés], il est permis pour vous de rechercher [des épouses], en vous servant de vos biens [pour leur donner leurs dots], en hommes désirant se marier honnêtement, non en débauchés. Quant à celles que vous avez prises [comme femmes,] selon un contrat de mariage (mutca), donnez-leur la dot qui leur est obligatoirement due et, pas de faute à vous reprocher à ce que vous consentirez [mutuellement] après [avoir fixé] la dot obligatoire. DIEU est Omniscient [et] Sage. (Ⅱ) - والمحصنات من النساء إلا ما ملكت أيمانكم كتاب الله عليكم وأحل لكم ما وراء ذلكم أن تبتغوا بأموالكم محصنين غير مسافحين فما استمتعتم به منهن فآتوهن أجورهن فريضة ولا جناح عليكم فيما تراضيتم به من بعد الفريضة إن الله كان عليما حكيما (Ⅲ) - ۞ وَالْمُحْصَنَاتُ مِنَ النِّسَاءِ إِلَّا مَا مَلَكَتْ أَيْمَانُكُمْ ۖ كِتَابَ اللَّهِ عَلَيْكُمْ ۚ وَأُحِلَّ لَكُم مَّا وَرَاءَ ذَٰلِكُمْ أَن تَبْتَغُوا بِأَمْوَالِكُم مُّحْصِنِينَ غَيْرَ مُسَافِحِينَ ۚ فَمَا اسْتَمْتَعْتُم بِهِ مِنْهُنَّ فَآتُوهُنَّ أُجُورَهُنَّ فَرِيضَةً ۚ وَلَا جُنَاحَ عَلَيْكُمْ فِيمَا تَرَاضَيْتُم بِهِ مِن بَعْدِ الْفَرِيضَةِ ۚ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَلِيمًا حَكِيمًا (Ⅳ) - ۞ وَالمُحصَنٰتُ مِنَ النِّساءِ إِلّا ما مَلَكَت أَيمٰنُكُم ۖ كِتٰبَ اللَّهِ عَلَيكُم ۚ وَأُحِلَّ لَكُم ما وَراءَ ذٰلِكُم أَن تَبتَغوا بِأَموٰلِكُم مُحصِنينَ غَيرَ مُسٰفِحينَ ۚ فَمَا استَمتَعتُم بِهِ مِنهُنَّ فَـٔاتوهُنَّ أُجورَهُنَّ فَريضَةً ۚ وَلا جُناحَ عَلَيكُم فيما تَرٰضَيتُم بِهِ مِن بَعدِ الفَريضَةِ ۚ إِنَّ اللَّهَ كانَ عَليمًا حَكيمًا (Ⅴ) - Il en est de même pour les femmes mariées, à l’exception des captives de guerre. Le Livre d’Allah a prescrit cela pour vous. En dehors de ces cas, il vous rend licite toute autre femme que vous aurez épousée avec vos moyens, pourvu qu’elle soit chaste et non une débauchée. Aussi, à toutes celles dont vous jouirez, donnez-leur dot réglementaire. Il ne vous est fait aucun grief si vous arrivez à vous entendre, au-delà de l’obligation légale, car Allah est Celui qui sait et qui est juste. (Ⅵ) - — ... et encore les « préservées » d’entre les femmes. Tenez-vous en à vos droites propriétés. — Tout cela s’impose à vous de par l’Écrit de Dieu. — Vous est rendu licite tout ce qui n’est pas compris dans (l’énumération) précédente. (Vous pouvez donc) satisfaire votre désir, moyennant votre bien, en « préservants », non pas en débauchés. En tant que vous jouirez de ce qu’elles vous accordent, donnez-leur salaire (nuptial) : c’est obligatoire. Point de faute pour vous à convenir d’un supplément à l’obligation. — Dieu est Connaissant et Sage. (Ⅶ) - [Illicite pour vous est d’épouser], parmi les femmes, les muḥṣana, excepté celles détenues par vous. Prescription d’Allah pour vous ! Licite est pour vous de rechercher [des épouses] en dehors de celles qui ont été énumérées, en usant de vos biens, en hommes concluant mariage avec une muḥṣana, non en fornicateurs.
A) Celles des femmes dont vous avez tiré jouissance,
B) Celles des femmes que vous avez prises par mariage temporaire jusqu’à un terme fixé,
donnez-leur leurs douaires comme imposition (farîḍa) ! Nul grief à vous faire à l’égard de ce sur quoi vous avez pris consentement mutuel, après [versement de] l’imposition (farîḍa). Allah est omniscient et sage. (Ⅷ)
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Quiconque d’entre vous n’a pas les moyens d’épouser des femmes de condition libre et croyantes prendra femme parmi vos jeunes esclaves croyantes. Dieu seul est à même d’apprécier la sincérité de votre foi. Vous êtes tous issus les uns des autres. Épousez-les donc avec l’autorisation de leurs maîtres et versez-leur une dot convenable à l’instar des femmes libres et non des débauchées ni des femmes de mœurs légères. Si, une fois affranchies par le mariage, elles commettent l’adultère, la peine à leur appliquer sera la moitié de celle qui est prévue pour une femme de condition libre. Telle est la règle à suivre par ceux d’entre vous qui redoutent de tomber dans le vice. Cependant, il est meilleur pour vous de patienter. Dieu est Clément et Miséricordieux.
- Waman lam yastatiAA minkum tawlan an yankiha almuhsanati almuminati famin ma malakat aymanukum min fatayatikumu almuminati waAllahu aAAlamu bieemanikum baAAdukum min baAAdin fainkihoohunna biithni ahlihinna waatoohunna ojoorahunna bialmaAAroofi muhsanatin ghayra masafihatin wala muttakhithati akhdanin faitha ohsinna fain atayna bifahishatin faAAalayhinna nisfu ma AAala almuhsanati mina alAAathabi thalika liman khashiya alAAanata minkum waan tasbiroo khayrun lakum waAllahu ghafoorun raheemun (Ⅰ) - Celui parmi vous qui n’a pas les moyens d’épouser des femmes libres (non-esclaves) croyantes, [qu’il prenne] alors [femme] parmi celles [captives...] croyantes que vous possédez en toute légalité [conformément à la loi de DIEU]. DIEU connaît mieux votre croyance, vous tenez les uns aux autres [et vous êtes les prochains]. Epousez-les avec la permission de leur famille (leur maître), et donnez-leur leurs dots convenablement ; [épousez-les] étant vertueuses et non pas livrées à la débauche, ni ayant des amants clandestins. Une fois mariées, si elles commettent l’adultère, elles auront à subir la moitié de la peine prévue pour les femmes libres (non-esclaves) mariées. Et cela [est autorisé] pour celui d’entre vous qui craint [de commettre] un adultère ; et si vous patientez mieux vaut pour vous. DIEU pardonne [Il est] Très-Miséricordieux. (Ⅱ) - ومن لم يستطع منكم طولا أن ينكح المحصنات المؤمنات فمن ما ملكت أيمانكم من فتياتكم المؤمنات والله أعلم بإيمانكم بعضكم من بعض فانكحوهن بإذن أهلهن وآتوهن أجورهن بالمعروف محصنات غير مسافحات ولا متخذات أخدان فإذا أحصن فإن أتين بفاحشة فعليهن نصف ما على المحصنات من العذاب ذلك لمن خشي العنت منكم وأن تصبروا خير لكم والله غفور رحيم (Ⅲ) - وَمَن لَّمْ يَسْتَطِعْ مِنكُمْ طَوْلًا أَن يَنكِحَ الْمُحْصَنَاتِ الْمُؤْمِنَاتِ فَمِن مَّا مَلَكَتْ أَيْمَانُكُم مِّن فَتَيَاتِكُمُ الْمُؤْمِنَاتِ ۚ وَاللَّهُ أَعْلَمُ بِإِيمَانِكُم ۚ بَعْضُكُم مِّن بَعْضٍ ۚ فَانكِحُوهُنَّ بِإِذْنِ أَهْلِهِنَّ وَآتُوهُنَّ أُجُورَهُنَّ بِالْمَعْرُوفِ مُحْصَنَاتٍ غَيْرَ مُسَافِحَاتٍ وَلَا مُتَّخِذَاتِ أَخْدَانٍ ۚ فَإِذَا أُحْصِنَّ فَإِنْ أَتَيْنَ بِفَاحِشَةٍ فَعَلَيْهِنَّ نِصْفُ مَا عَلَى الْمُحْصَنَاتِ مِنَ الْعَذَابِ ۚ ذَٰلِكَ لِمَنْ خَشِيَ الْعَنَتَ مِنكُمْ ۚ وَأَن تَصْبِرُوا خَيْرٌ لَّكُمْ ۗ وَاللَّهُ غَفُورٌ رَّحِيمٌ (Ⅳ) - وَمَن لَم يَستَطِع مِنكُم طَولًا أَن يَنكِحَ المُحصَنٰتِ المُؤمِنٰتِ فَمِن ما مَلَكَت أَيمٰنُكُم مِن فَتَيٰتِكُمُ المُؤمِنٰتِ ۚ وَاللَّهُ أَعلَمُ بِإيمٰنِكُم ۚ بَعضُكُم مِن بَعضٍ ۚ فَانكِحوهُنَّ بِإِذنِ أَهلِهِنَّ وَءاتوهُنَّ أُجورَهُنَّ بِالمَعروفِ مُحصَنٰتٍ غَيرَ مُسٰفِحٰتٍ وَلا مُتَّخِذٰتِ أَخدانٍ ۚ فَإِذا أُحصِنَّ فَإِن أَتَينَ بِفٰحِشَةٍ فَعَلَيهِنَّ نِصفُ ما عَلَى المُحصَنٰتِ مِنَ العَذابِ ۚ ذٰلِكَ لِمَن خَشِىَ العَنَتَ مِنكُم ۚ وَأَن تَصبِروا خَيرٌ لَكُم ۗ وَاللَّهُ غَفورٌ رَحيمٌ (Ⅴ) - Celui qui parmi vous ne peut valablement épouser de femmes chastes et croyantes, qu’il prenne des captives de guerre parmi celles qui sont croyantes, en sachant que Dieu est informé de la sincérité de la foi. Vous êtes issus les uns et des autres. Si tel est le cas, épousez-les donc avec l’accord de leur famille et donnez-leur une dot identique à celle que l’on octroie aux femmes croyantes et libres, et non à des débauchées ou à des séductrices. Mais dès lors qu’elles ont atteint la condition requise socialement, si elles commettent une inconduite, qu’elles subissent la moitié seulement du châtiment qui est appliqué aux femmes libres. Cela afin que vous évitiez toute mauvaise conduite. Il est cependant préférable de se montrer patient, Allah étant Celui qui pardonne et qui est miséricordieux. (Ⅵ) - — Qui n’est pas en mesure d’épouser des « préservées » croyantes, qu’il recoure à des domestiques croyantes de votre propriété. (Dieu en sait plus que personne sur votre croyance : vous êtes tous d’une même espèce). Épousez-les donc avec le consentement des leurs, donnez-leur leur salaire nuptial selon les convenances, au titre de « préservées », non pas au titre de ribaudes ou de libertines. Une fois rendues « préservées », si elles commettent une turpitude, il leur incombera la moitié de ce qui incombe aux « préservées ». Cela pour qui d’entre vous redoute la compression : mais patienter vaudrait mieux pour vous — Dieu est Tout pardon, Miséricordieux. (Ⅶ) - Quiconque, parmi vous, ne peut, par ses moyens, épouser des muḥṣana croyantes, [qu’il prenne femme] parmi celles de vos esclaves croyantes, que vous détenez. — Allah connaît bien votre foi. — Vous participez d’une même communauté. Épousez-les donc avec la permission de leurs détenteurs ! Donnez-leur leurs douaires (’ajr) selon la manière reconnue [convenable], comme [à] des muḥṣana et non comme à des fornicatrices, ni à des [femmes] prenant des amants. Quand elles sont devenues des muḥṣana, si elles commettent une turpitude, que [s’abatte] sur elles la moitié du tourment encouru par les muḥṣana ! Ce mariage avec des esclaves est en faveur de ceux qui, parmi vous, redoutent la débauche. [Toutefois,] être constant est meilleur pour vous. Allah est absoluteur et miséricordieux. (Ⅷ)
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C’est ainsi que Dieu veut vous exposer clairement Ses enseignements, vous indiquer les traditions de ceux qui vous ont précédés et vous faire bénéficier de Son pardon, car Dieu est Omniscient et Sage.
- Yureedu Allahu liyubayyina lakum wayahdiyakum sunana allatheena min qablikum wayatooba AAalaykum waAllahu AAaleemun hakeemun (Ⅰ) - DIEU veut vous éclairer [de ce qui est licite ou illicite, ce qui mène au bonheur ou au malheur], [Il veut] vous guider suivant les lois [et les voies justes] de ceux qui vous ont précédés, et [Il veut] agréer votre repentir. DIEU est Omniscient [et] Sage. (Ⅱ) - يريد الله ليبين لكم ويهديكم سنن الذين من قبلكم ويتوب عليكم والله عليم حكيم (Ⅲ) - يُرِيدُ اللَّهُ لِيُبَيِّنَ لَكُمْ وَيَهْدِيَكُمْ سُنَنَ الَّذِينَ مِن قَبْلِكُمْ وَيَتُوبَ عَلَيْكُمْ ۗ وَاللَّهُ عَلِيمٌ حَكِيمٌ (Ⅳ) - يُريدُ اللَّهُ لِيُبَيِّنَ لَكُم وَيَهدِيَكُم سُنَنَ الَّذينَ مِن قَبلِكُم وَيَتوبَ عَلَيكُم ۗ وَاللَّهُ عَليمٌ حَكيمٌ (Ⅴ) - Allah souhaite vous montrer et vous orienter dans le droit chemin, celui des coutumes de ceux qui vous ont précédés. Il veut être compatissant à votre égard. Allah est le Savant, le Sage. (Ⅵ) - — Dieu veut pour vous tout expliciter, vous guider dans le système de vos devanciers, et se repentir à votre endroit. — Il est Connaissant et Longanime. (Ⅶ) - A) Allah veut vous diriger et vous montrer les pratiques de ceux qui furent avant vous.
B) Allah veut vous diriger et vous montrer les sorts traditionnels de ceux qui furent avant vous.
[Il veut] revenir [de Sa rigueur] contre vous. Allah est omniscient et sage. (Ⅷ)
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Dieu veut vous faire bénéficier de Son pardon, tandis que ceux qui se laissent dominer par leurs passions veulent vous entraîner sur une pente dangereuse.
- WaAllahu yureedu an yatooba AAalaykum wayureedu allatheena yattabiAAoona alshshahawati an tameeloo maylan AAatheeman (Ⅰ) - DIEU veut agréer votre repentir [ou, vous diriger pour le repentir], tandis que ceux qui suivent les passions [et leurs mauvais penchants] veulent que vous décliniez en un grave déclin. (Ⅱ) - والله يريد أن يتوب عليكم ويريد الذين يتبعون الشهوات أن تميلوا ميلا عظيما (Ⅲ) - وَاللَّهُ يُرِيدُ أَن يَتُوبَ عَلَيْكُمْ وَيُرِيدُ الَّذِينَ يَتَّبِعُونَ الشَّهَوَاتِ أَن تَمِيلُوا مَيْلًا عَظِيمًا (Ⅳ) - وَاللَّهُ يُريدُ أَن يَتوبَ عَلَيكُم وَيُريدُ الَّذينَ يَتَّبِعونَ الشَّهَوٰتِ أَن تَميلوا مَيلًا عَظيمًا (Ⅴ) - Allah veut être compatissant à votre égard, tandis que les débauchés, eux, veulent que vous sortiez dangereusement du droit chemin. (Ⅵ) - Dieu veut se repentir à votre endroit, alors que les sectateurs des passions veulent vous faire gravement dévier (Ⅶ) - Allah veut revenir [de Sa rigueur] contre vous, alors que ceux qui suivent leurs passions veulent que vous sortiez totalement du bien. (Ⅷ)
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Dieu veut alléger certaines de vos obligations, sachant bien que l’homme a été créé faible.
- Yureedu Allahu an yukhaffifa AAankum wakhuliqa alinsanu daAAeefan (Ⅰ) - DIEU veut vous alléger [les affaires], et l’homme a été créé [en soi] faible. (Ⅱ) - يريد الله أن يخفف عنكم وخلق الإنسان ضعيفا (Ⅲ) - يُرِيدُ اللَّهُ أَن يُخَفِّفَ عَنكُمْ ۚ وَخُلِقَ الْإِنسَانُ ضَعِيفًا (Ⅳ) - يُريدُ اللَّهُ أَن يُخَفِّفَ عَنكُم ۚ وَخُلِقَ الإِنسٰنُ ضَعيفًا (Ⅴ) - Allah veut alléger vos peines, car l’homme a été créé faible. (Ⅵ) - Dieu veut alléger pour vous les contraintes, car l’homme fut créé faible... (Ⅶ) - [Mais] Allah veut alléger pour vous [vos devoirs], car l’Homme a été créé faible. (Ⅷ)
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Ô vous qui croyez ! Ne vous dépossédez pas les uns les autres de vos biens par des procédés malhonnêtes ! Que vos échanges soient fondés sur des transactions librement consenties. N’attentez pas non plus à vos jours, car Dieu est Plein de compassion pour vous.
- Ya ayyuha allatheena amanoo la takuloo amwalakum baynakum bialbatili illa an takoona tijaratan AAan taradin minkum wala taqtuloo anfusakum inna Allaha kana bikum raheeman (Ⅰ) - Croyants, que les uns ne prennent pas [avidement et] à tort les biens [et les richesses] des autres, mais qu’il y ait du négoce [licite] entre vous par consentement mutuel, et ne vous entre-tuez pas. DIEU est miséricordieux envers vous [Il vous accorde les biens purs et agréables]. (Ⅱ) - يا أيها الذين آمنوا لا تأكلوا أموالكم بينكم بالباطل إلا أن تكون تجارة عن تراض منكم ولا تقتلوا أنفسكم إن الله كان بكم رحيما (Ⅲ) - يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا لَا تَأْكُلُوا أَمْوَالَكُم بَيْنَكُم بِالْبَاطِلِ إِلَّا أَن تَكُونَ تِجَارَةً عَن تَرَاضٍ مِّنكُمْ ۚ وَلَا تَقْتُلُوا أَنفُسَكُمْ ۚ إِنَّ اللَّهَ كَانَ بِكُمْ رَحِيمًا (Ⅳ) - يٰأَيُّهَا الَّذينَ ءامَنوا لا تَأكُلوا أَموٰلَكُم بَينَكُم بِالبٰطِلِ إِلّا أَن تَكونَ تِجٰرَةً عَن تَراضٍ مِنكُم ۚ وَلا تَقتُلوا أَنفُسَكُم ۚ إِنَّ اللَّهَ كانَ بِكُم رَحيمًا (Ⅴ) - Ô vous les croyants, ne mangez pas vos biens respectifs de manière inepte, à moins que ce ne soit un troc accepté de part et d’autre. Ne vous tuez pas, Allah est Celui qui vous accorde sa miséricorde. (Ⅵ) - Vous qui croyez, ne mangez pas mutuellement votre bien par esprit de fausseté, mais qu’il y ait seulement entre vous négoce consenti. Ne vous entretuez pas ! — Dieu vous soit Miséricordieux ! (Ⅶ) - O vous qui croyez !, ne mangez pas vos biens, entre vous, en vanité, sauf s’il s’agit d’une affaire commerciale, par consentement mutuel, entre vous ! Ne vous tuez pas ! Allah, envers vous, est miséricordieux. (Ⅷ)
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Quiconque agira de la sorte en usant de méchanceté et d’injustice sera par Nous précipité dans l’Enfer, chose si aisée pour le Seigneur.
- Waman yafAAal thalika AAudwanan wathulman fasawfa nusleehi naran wakana thalika AAala Allahi yaseeran (Ⅰ) - Quiconque agira par transgression et par injustice, Nous le ferons entrer dans le Feu (résultat de ses injustices obstinées), [la réalisation de] cela est facile pour DIEU. (Ⅱ) - ومن يفعل ذلك عدوانا وظلما فسوف نصليه نارا وكان ذلك على الله يسيرا (Ⅲ) - وَمَن يَفْعَلْ ذَٰلِكَ عُدْوَانًا وَظُلْمًا فَسَوْفَ نُصْلِيهِ نَارًا ۚ وَكَانَ ذَٰلِكَ عَلَى اللَّهِ يَسِيرًا (Ⅳ) - وَمَن يَفعَل ذٰلِكَ عُدوٰنًا وَظُلمًا فَسَوفَ نُصليهِ نارًا ۚ وَكانَ ذٰلِكَ عَلَى اللَّهِ يَسيرًا (Ⅴ) - Quant à celui qui commet de tels outrages, il sera la proie du feu de l’enfer, chose qui est parfaitement aisée pour Dieu. (Ⅵ) - Qui par agressivité et iniquité commettrait ce crime, Nous le ferons brûler au Feu — C’est pour Dieu bien facile. (Ⅶ) - Quiconque fait cela par abus de droit et injustice, affrontera un Feu [, dans l’Au-Delà,] et cela, pour Allah, sera aisé. (Ⅷ)
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Si vous évitez de commettre les péchés les plus graves qui vous sont interdits, Nous effacerons vos péchés véniels et Nous faciliterons grandement votre accès au Paradis.
- In tajtaniboo kabaira ma tunhawna AAanhu nukaffir AAankum sayyiatikum wanudkhilkum mudkhalan kareeman (Ⅰ) - Si vous évitez les péchés graves qui vous ont été interdits, Nous effacerons vos fautes [vénielles] et Nous vous ferons entrer à une généreuse situation. (Ⅱ) - إن تجتنبوا كبائر ما تنهون عنه نكفر عنكم سيئاتكم وندخلكم مدخلا كريما (Ⅲ) - إِن تَجْتَنِبُوا كَبَائِرَ مَا تُنْهَوْنَ عَنْهُ نُكَفِّرْ عَنكُمْ سَيِّئَاتِكُمْ وَنُدْخِلْكُم مُّدْخَلًا كَرِيمًا (Ⅳ) - إِن تَجتَنِبوا كَبائِرَ ما تُنهَونَ عَنهُ نُكَفِّر عَنكُم سَيِّـٔاتِكُم وَنُدخِلكُم مُدخَلًا كَريمًا (Ⅴ) - Dès lors que vous éviterez les grands péchés qui vous ont été défendus, Nous abolirons vos autres fautes et Nous vous accueillerons dignement dans un lieu honorable. (Ⅵ) - — Si vous évitez les plus graves (des manquements) qui vous sont interdits, Nous couvrirons vos méchancetés et vous ferons entrer d’une entrée généreuse. (Ⅶ) - Si vous évitez ceux des grands péchés qui vous ont été interdits, Nous effacerons pour vous vos mauvaises actions et Nous vous ferons entrer [dans les Jardins], avec honneur. (Ⅷ)
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N’enviez pas les faveurs par lesquelles Dieu a élevé certains d’entre vous au-dessus des autres. Aux hommes reviendra la part qu’ils auront méritée par leurs œuvres et aux femmes reviendra la part qu’elles auront méritée par leurs œuvres. Demandez à Dieu plutôt de vous accorder un peu de Sa grâce, car Il est parfaitement au courant de toute chose.
- Wala tatamannaw ma faddala Allahu bihi baAAdakum AAala baAAdin lilrrijali naseebun mimma iktasaboo walilnnisai naseebun mimma iktasabna waisaloo Allaha min fadlihi inna Allaha kana bikulli shayin AAaleeman (Ⅰ) - Ne cherchez pas [avec insistance] l’avantage que DIEU a accordé aux uns par rapport aux autres. Aux hommes appartient la part qu’ils s’acquièrent (leur action,) et aux femmes appartient la part qu’elles s’acquièrent, (devant DIEU homme et femme sont égaux). Demandez [sincèrement] à DIEU Sa grâce, car DIEU est Omniscient. (Ⅱ) - ولا تتمنوا ما فضل الله به بعضكم على بعض للرجال نصيب مما اكتسبوا وللنساء نصيب مما اكتسبن واسألوا الله من فضله إن الله كان بكل شيء عليما (Ⅲ) - وَلَا تَتَمَنَّوْا مَا فَضَّلَ اللَّهُ بِهِ بَعْضَكُمْ عَلَىٰ بَعْضٍ ۚ لِّلرِّجَالِ نَصِيبٌ مِّمَّا اكْتَسَبُوا ۖ وَلِلنِّسَاءِ نَصِيبٌ مِّمَّا اكْتَسَبْنَ ۚ وَاسْأَلُوا اللَّهَ مِن فَضْلِهِ ۗ إِنَّ اللَّهَ كَانَ بِكُلِّ شَيْءٍ عَلِيمًا (Ⅳ) - وَلا تَتَمَنَّوا ما فَضَّلَ اللَّهُ بِهِ بَعضَكُم عَلىٰ بَعضٍ ۚ لِلرِّجالِ نَصيبٌ مِمَّا اكتَسَبوا ۖ وَلِلنِّساءِ نَصيبٌ مِمَّا اكتَسَبنَ ۚ وَسـَٔلُوا اللَّهَ مِن فَضلِهِ ۗ إِنَّ اللَّهَ كانَ بِكُلِّ شَيءٍ عَليمًا (Ⅴ) - Ne convoitez pas ce que Dieu a préféré donner aux uns par rapport aux autres. Aux hommes, une part de ce qu’ils ont acquis et, aux femmes, une part de ce qu’elles ont acquis. Demandez à Allah un peu de Sa prodigalité ; Il est au courant de toute chose, Il sait. (Ⅵ) - N’aspirez pas à ce dont Dieu avantage les uns sur les autres. Les hommes auront une part de ce qu’ils se seront acquis, les femmes une part de ce qu’elles se seront acquis. Demandez à Dieu un peu de Sa grâce. — Dieu de toute chose est Connaissant. (Ⅶ) - Ne souhaitez point ce par quoi Allah a préféré certains d’entre vous à certains autres. Aux hommes, une part de ce qu’ils se seront acquis ; aux femmes, une part de ce qu’elles se seront acquis. Demandez à Allah [un peu] de Sa faveur ! Allah, de toute chose, est omniscient. (Ⅷ)
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À chacun Nous avons désigné des héritiers de ce que laissent les père et mère, les proches et ceux auxquels vous êtes liés par un pacte. Donnez-leur la part qui doit leur revenir. Dieu est Témoin de tous vos actes.
- Walikullin jaAAalna mawaliya mimma taraka alwalidani waalaqraboona waallatheena AAaqadat aymanukum faatoohum naseebahum inna Allaha kana AAala kulli shayin shaheedan (Ⅰ) - A chacun Nous avons donné des héritiers [et tuteurs] pour ce qu’auront laissé le père et la mère, les proches et ceux que [vous] lient vos serments [et vos pactes]. [A ces héritiers] donnez leur part. DIEU est Témoin de tout. (Ⅱ) - ولكل جعلنا موالي مما ترك الوالدان والأقربون والذين عقدت أيمانكم فآتوهم نصيبهم إن الله كان على كل شيء شهيدا (Ⅲ) - وَلِكُلٍّ جَعَلْنَا مَوَالِيَ مِمَّا تَرَكَ الْوَالِدَانِ وَالْأَقْرَبُونَ ۚ وَالَّذِينَ عَقَدَتْ أَيْمَانُكُمْ فَآتُوهُمْ نَصِيبَهُمْ ۚ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَلَىٰ كُلِّ شَيْءٍ شَهِيدًا (Ⅳ) - وَلِكُلٍّ جَعَلنا مَوٰلِىَ مِمّا تَرَكَ الوٰلِدانِ وَالأَقرَبونَ ۚ وَالَّذينَ عَقَدَت أَيمٰنُكُم فَـٔاتوهُم نَصيبَهُم ۚ إِنَّ اللَّهَ كانَ عَلىٰ كُلِّ شَيءٍ شَهيدًا (Ⅴ) - À chacun, Nous avons associé un tuteur qui héritera des parents, des proches et toute personne asservie : donnez-leur leur part, Allah est de toute chose le meilleur témoin. (Ⅵ) - — A chacun Nous avons fixé des ayants droit sur ce que laissent ses père et mère, ses proches, ceux avec qui vos dextres ont noué pacte. Donnez-leur leur part. — Dieu de toute chose est Témoin… (Ⅶ) - A tous, Nous avons donné des ayants droit sur ce qu’ils laissent : les père et mère, les proches et ceux que lient vos serments. A [ces ayants droit], donnez leur part ! Allah, de toute chose, est témoin. (Ⅷ)
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Les hommes ont la charge et la direction des femmes en raison des avantages que Dieu leur a accordés sur elles, et en raison aussi des dépenses qu’ils effectuent pour assurer leur entretien. En revanche, les épouses vertueuses demeurent toujours fidèles à leurs maris pendant leur absence et préservent leur honneur, conformément à l’ordre que Dieu a prescrit. Pour celles qui se montrent insubordonnées, commencez par les exhorter, puis ignorez-les dans votre lit conjugal et, si c’est nécessaire, corrigez-les. Mais dès qu’elles redeviennent raisonnables, ne leur cherchez plus querelle. Dieu est le Maître Souverain.
- Alrrijalu qawwamoona AAala alnnisai bima faddala Allahu baAAdahum AAala baAAdin wabima anfaqoo min amwalihim faalssalihatu qanitatun hafithatun lilghaybi bima hafitha Allahu waallatee takhafoona nushoozahunna faAAithoohunna waohjuroohunna fee almadajiAAi waidriboohunna fain ataAAnakum fala tabghoo AAalayhinna sabeelan inna Allaha kana AAaliyyan kabeeran (Ⅰ) - Les hommes ont autorité pour s’occuper [et assumer la charge] des femmes en vertu du surcroît d’avantages que DIEU a conféré à ceux-là par rapport à celles-ci, et en vertu [aussi] des dépenses qu’ils font de leurs biens [en faveur de leurs femmes]. Les femmes vertueuses sont obéissantes [aux enseignements divins] et humbles, et en l’absence [de leur mari] gardent, par la protection de DIEU, le secret [et le droit de leur mari]. Quant à celles dont vous redoutez révolte (désobéissance), faites-leur la morale, [si ce n’est pas efficace] éloignez-vous d’elles dans leurs lits, [si ce n’est pas efficace] corrigez-les, mais si elles vous obéissent [conformément aux prescriptions divines], ne leur cherchez pas querelle. [Remarquez que] DIEU est Sublime [et] Grand. (Ⅱ) - الرجال قوامون على النساء بما فضل الله بعضهم على بعض وبما أنفقوا من أموالهم فالصالحات قانتات حافظات للغيب بما حفظ الله واللاتي تخافون نشوزهن فعظوهن واهجروهن في المضاجع واضربوهن فإن أطعنكم فلا تبغوا عليهن سبيلا إن الله كان عليا كبيرا (Ⅲ) - الرِّجَالُ قَوَّامُونَ عَلَى النِّسَاءِ بِمَا فَضَّلَ اللَّهُ بَعْضَهُمْ عَلَىٰ بَعْضٍ وَبِمَا أَنفَقُوا مِنْ أَمْوَالِهِمْ ۚ فَالصَّالِحَاتُ قَانِتَاتٌ حَافِظَاتٌ لِّلْغَيْبِ بِمَا حَفِظَ اللَّهُ ۚ وَاللَّاتِي تَخَافُونَ نُشُوزَهُنَّ فَعِظُوهُنَّ وَاهْجُرُوهُنَّ فِي الْمَضَاجِعِ وَاضْرِبُوهُنَّ ۖ فَإِنْ أَطَعْنَكُمْ فَلَا تَبْغُوا عَلَيْهِنَّ سَبِيلًا ۗ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَلِيًّا كَبِيرًا (Ⅳ) - الرِّجالُ قَوّٰمونَ عَلَى النِّساءِ بِما فَضَّلَ اللَّهُ بَعضَهُم عَلىٰ بَعضٍ وَبِما أَنفَقوا مِن أَموٰلِهِم ۚ فَالصّٰلِحٰتُ قٰنِتٰتٌ حٰفِظٰتٌ لِلغَيبِ بِما حَفِظَ اللَّهُ ۚ وَالّٰتى تَخافونَ نُشوزَهُنَّ فَعِظوهُنَّ وَاهجُروهُنَّ فِى المَضاجِعِ وَاضرِبوهُنَّ ۖ فَإِن أَطَعنَكُم فَلا تَبغوا عَلَيهِنَّ سَبيلًا ۗ إِنَّ اللَّهَ كانَ عَلِيًّا كَبيرًا (Ⅴ) - Les hommes ont autorité sur les femmes en raison des privilèges que Dieu accorde à certains par rapport à d’autres et en raison des biens qu’ils dépensent pour elles. En l’absence de leurs conjoints, les femmes vertueuses sont chastes. Elles préservent ce que Dieu a considéré devoir l’être. En revanche, celles dont vous craignez la sédition, ne vous mettez pas au lit avec elles, vous les reléguerez et vous les battrez, à moins qu’elles ne vous obéissent à nouveau, auquel cas vous les laisserez tranquilles, Allah étant au-dessus, Il est le plus grand. (Ⅵ) - — Les hommes assument les femmes à raison de ce dont Dieu les avantage sur elles et de ce dont ils font dépense sur leurs propres biens. Réciproquement, les bonnes épouses sont dévotieuses et gardent dans l’absence ce que Dieu sauvegarde. Celles de qui vous craignez l’insoumission, faites-leur la morale, désertez leur couche, corrigez-les. Mais une fois ramenées à l’obéissance, ne leur cherchez pas prétexte. — Dieu est Auguste et Grand. (Ⅶ) - Les hommes ont autorité sur les femmes du fait qu’Allah a préféré certains d’entre vous à certains autres, et du fait que [les hommes] font dépense, sur leurs biens [, en faveur de leurs femmes]. Les [femmes] vertueuses font oraison (qânit) et protègent ce qui doit l’être (?), du fait de ce qu’Allah consigne (?). Celles dont vous craignez l’indocilité, admonestez-les ! reléguez-les dans les lieux où elles couchent ! frappez-les ! Si elles vous obéissent, ne cherchez plus contre elles de voie [de contrainte] ! Allah est auguste et grand. (Ⅷ)
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Si une rupture entre les deux conjoints est à craindre, suscitez alors un arbitre de la famille de l’époux et un arbitre de la famille de l’épouse. Si les deux conjoints ont le réel désir de se réconcilier, Dieu favorisera leur entente, car Dieu est Omniscient et parfaitement Informé.
- Wain khiftum shiqaqa baynihima faibAAathoo hakaman min ahlihi wahakaman min ahliha in yureeda islahan yuwaffiqi Allahu baynahuma inna Allaha kana AAaleeman khabeeran (Ⅰ) - Si vous craignez la rupture [de lien] entre eux (les époux), convoquez un arbitre de la famille du mari et un arbitre de la famille de la femme. DIEU rétablira l’entente entre eux, s’ils veulent une réconciliation, car DIEU est Omniscient [et] Il connaît parfaitement tout. (Ⅱ) - وإن خفتم شقاق بينهما فابعثوا حكما من أهله وحكما من أهلها إن يريدا إصلاحا يوفق الله بينهما إن الله كان عليما خبيرا (Ⅲ) - وَإِنْ خِفْتُمْ شِقَاقَ بَيْنِهِمَا فَابْعَثُوا حَكَمًا مِّنْ أَهْلِهِ وَحَكَمًا مِّنْ أَهْلِهَا إِن يُرِيدَا إِصْلَاحًا يُوَفِّقِ اللَّهُ بَيْنَهُمَا ۗ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَلِيمًا خَبِيرًا (Ⅳ) - وَإِن خِفتُم شِقاقَ بَينِهِما فَابعَثوا حَكَمًا مِن أَهلِهِ وَحَكَمًا مِن أَهلِها إِن يُريدا إِصلٰحًا يُوَفِّقِ اللَّهُ بَينَهُما ۗ إِنَّ اللَّهَ كانَ عَليمًا خَبيرًا (Ⅴ) - Si vous redoutez une rupture entre les époux, faites venir un homme sage du côté du mari et un autre homme sage du côté de la femme. S’ils désirent se réconcilier, Allah bénira l’action, car Il est l’Omniscient, le Bien Informé. (Ⅵ) - — Si vous craignez la division entre époux, commettez un arbitre de la famille, un arbitre de celle de l’épouse. S’ils veulent un raccommodement, Dieu les y fasse réussir. — Dieu est Connaissant, Informé… (Ⅶ) - Si vous craignez une scission entre deux conjoints, suscitez un arbitre de la famille de l’époux et un arbitre de la famille de l’épouse ! Si [les conjoints] veulent la conciliation, Allah rétablira l’entente entre eux. Allah est omniscient et informé. (Ⅷ)
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Adorez Dieu, sans rien Lui associer ! Soyez bons envers vos parents, vos proches, les orphelins, les pauvres, les voisins qu’ils soient de votre sang ou éloignés, ainsi que vos compagnons de tous les jours, les voyageurs de passage et les esclaves que vous possédez, car Dieu n’aime pas les arrogants vantards,
- WaoAAbudoo Allaha wala tushrikoo bihi shayan wabialwalidayni ihsanan wabithee alqurba waalyatama waalmasakeeni waaljari thee alqurba waaljari aljunubi waalssahibi bialjanbi waibni alssabeeli wama malakat aymanukum inna Allaha la yuhibbu man kana mukhtalan fakhooran (Ⅰ) - Adorez DIEU et ne Lui associez rien. [Soyez] bons envers votre père et votre mère, les proches, les orphelins, les pauvres, le voisin proche, le voisin lointain, le compagnon [de voyage, d’étude,...] le voyageur [en détresse], et celles en votre possession licite ; DIEU n’aime pas les insolents vantards (Ⅱ) - واعبدوا الله ولا تشركوا به شيئا وبالوالدين إحسانا وبذي القربى واليتامى والمساكين والجار ذي القربى والجار الجنب والصاحب بالجنب وابن السبيل وما ملكت أيمانكم إن الله لا يحب من كان مختالا فخورا (Ⅲ) - ۞ وَاعْبُدُوا اللَّهَ وَلَا تُشْرِكُوا بِهِ شَيْئًا ۖ وَبِالْوَالِدَيْنِ إِحْسَانًا وَبِذِي الْقُرْبَىٰ وَالْيَتَامَىٰ وَالْمَسَاكِينِ وَالْجَارِ ذِي الْقُرْبَىٰ وَالْجَارِ الْجُنُبِ وَالصَّاحِبِ بِالْجَنبِ وَابْنِ السَّبِيلِ وَمَا مَلَكَتْ أَيْمَانُكُمْ ۗ إِنَّ اللَّهَ لَا يُحِبُّ مَن كَانَ مُخْتَالًا فَخُورًا (Ⅳ) - ۞ وَاعبُدُوا اللَّهَ وَلا تُشرِكوا بِهِ شَيـًٔا ۖ وَبِالوٰلِدَينِ إِحسٰنًا وَبِذِى القُربىٰ وَاليَتٰمىٰ وَالمَسٰكينِ وَالجارِ ذِى القُربىٰ وَالجارِ الجُنُبِ وَالصّاحِبِ بِالجَنبِ وَابنِ السَّبيلِ وَما مَلَكَت أَيمٰنُكُم ۗ إِنَّ اللَّهَ لا يُحِبُّ مَن كانَ مُختالًا فَخورًا (Ⅴ) - Vénérez Allah et ne Lui associez rien d’autre. Respectez vos parents et comportez-vous convenablement envers eux, comme envers vos proches, les orphelins, les pauvres, vos clients directs ou plus éloignés, vos proches compagnons, les voyageurs, vos esclaves, car Allah n’aime pas les orgueilleux et les arrogants. (Ⅵ) - Adorez Dieu sans Lui associer personne, agissez bellement envers vos père et mère, les proches, les orphelins, l’indigent, le client apparenté ou lointain, le compagnon par proximité, le fils du chemin, votre droite propriété. — Dieu n’aime ni l’arrogance ni l’outrecuidance (Ⅶ) - Adorez Allah et ne Lui associez rien ! [Marquez] de la bienfaisance à vos père et mère, au Proche, aux Orphelins, aux Pauvres, au Client par parenté, au Client par promiscuité, au Compagnon par promiscuité, au Voyageur et à vos Esclaves ! Allah n’aime pas celui qui est insolent et plein de gloriole. (Ⅷ)
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ainsi que les avares qui recommandent l’avarice à leurs semblables et dissimulent les faveurs dont Dieu les a gratifiés. Nous réservons un châtiment ignominieux aux impies
- Allatheena yabkhaloona wayamuroona alnnasa bialbukhli wayaktumoona ma atahumu Allahu min fadlihi waaAAtadna lilkafireena AAathaban muheenan (Ⅰ) - qui sont avares, ordonnent l’avarice aux autres, qui cachent ce que DIEU leur a donné par Sa grâce. Nous avons préparé aux impies [idolâtres, hypocrites, criminels, pécheurs obstinés,...] un châtiment avilissant. (Ⅱ) - الذين يبخلون ويأمرون الناس بالبخل ويكتمون ما آتاهم الله من فضله وأعتدنا للكافرين عذابا مهينا (Ⅲ) - الَّذِينَ يَبْخَلُونَ وَيَأْمُرُونَ النَّاسَ بِالْبُخْلِ وَيَكْتُمُونَ مَا آتَاهُمُ اللَّهُ مِن فَضْلِهِ ۗ وَأَعْتَدْنَا لِلْكَافِرِينَ عَذَابًا مُّهِينًا (Ⅳ) - الَّذينَ يَبخَلونَ وَيَأمُرونَ النّاسَ بِالبُخلِ وَيَكتُمونَ ما ءاتىٰهُمُ اللَّهُ مِن فَضلِهِ ۗ وَأَعتَدنا لِلكٰفِرينَ عَذابًا مُهينًا (Ⅴ) - Quant à ceux qui sont avares et qui ordonnent aux gens d’être avares et à ceux qui cachent les biens que Dieu leur a donnés, Nous leur avons préparé une peine humiliante. (Ⅵ) - ni ceux qui sont avares, encouragent les autres à l’avarice, dissimulant ce que Dieu leur a donné de Sa grâce… — Aux dénégateurs nous préparons un châtiment d’ignominie (Ⅶ) - [Il n'aime pas] ceux qui sont avares, [qui] ordonnent aux Hommes l'avarice, [qui] taisent la faveur qu’Allah leur a accordée. Nous avons préparé, pour les Infidèles, un tourment avilissant. (Ⅷ)
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qui ne font l’aumône que par ostentation alors qu’ils ne croient ni en Dieu ni au Jugement dernier. En réalité, celui qui a Satan pour acolyte ne peut avoir qu’un méchant compagnon.
- Waallatheena yunfiqoona amwalahum riaa alnnasi wala yuminoona biAllahi wala bialyawmi alakhiri waman yakuni alshshaytanu lahu qareenan fasaa qareenan (Ⅰ) - Et [DIEU n’aime pas] ceux qui dépensent leurs biens [uniquement] pour se faire voir des hommes et ne croient ni en DIEU ni au Jour [du jugement] dernier. Quiconque (un impie, idolâtre, hypocrite, criminel, pécheur obstiné,... qui a corrompu son cœur et) a Satan pour compagnon [et client], quel mauvais compagnon [qu’il a]. (Ⅱ) - والذين ينفقون أموالهم رئاء الناس ولا يؤمنون بالله ولا باليوم الآخر ومن يكن الشيطان له قرينا فساء قرينا (Ⅲ) - وَالَّذِينَ يُنفِقُونَ أَمْوَالَهُمْ رِئَاءَ النَّاسِ وَلَا يُؤْمِنُونَ بِاللَّهِ وَلَا بِالْيَوْمِ الْآخِرِ ۗ وَمَن يَكُنِ الشَّيْطَانُ لَهُ قَرِينًا فَسَاءَ قَرِينًا (Ⅳ) - وَالَّذينَ يُنفِقونَ أَموٰلَهُم رِئاءَ النّاسِ وَلا يُؤمِنونَ بِاللَّهِ وَلا بِاليَومِ الءاخِرِ ۗ وَمَن يَكُنِ الشَّيطٰنُ لَهُ قَرينًا فَساءَ قَرينًا (Ⅴ) - De même, ceux qui dépensent leurs biens dans le seul but d’être vus par les hommes et qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, ceux-là, le démon sera leur ami. Et quel triste ami ! (Ⅵ) - ... ni ceux qui font dépense de leur bien pour se faire voir des gens, non par croyance en Dieu et au Jour dernier, ni quiconque a Satan pour double — O double exécrable ! (Ⅶ) - [Il n'aime pas ceux] qui dépensent leurs biens ostensiblement devant les Hommes, sans croire en Allah ni au Dernier Jour. Celui qui a le Démon comme acolyte, combien détestable est [pour lui cet] acolyte ! (Ⅷ)
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Que perdraient-ils à croire en Dieu et au Jugement dernier, à donner en aumône une partie des biens que Dieu leur a prodigués ? Dieu les connaît si bien !
- Wamatha AAalayhim law amanoo biAllahi waalyawmi alakhiri waanfaqoo mimma razaqahumu Allahu wakana Allahu bihim AAaleeman (Ⅰ) - Qu’auraient-ils à se reprocher s’ils avaient cru en DIEU et au Jour dernier et dépensé [pour une bonne cause] une partie des biens que DIEU leur a accordés ? DIEU les connaît parfaitement. (Ⅱ) - وماذا عليهم لو آمنوا بالله واليوم الآخر وأنفقوا مما رزقهم الله وكان الله بهم عليما (Ⅲ) - وَمَاذَا عَلَيْهِمْ لَوْ آمَنُوا بِاللَّهِ وَالْيَوْمِ الْآخِرِ وَأَنفَقُوا مِمَّا رَزَقَهُمُ اللَّهُ ۚ وَكَانَ اللَّهُ بِهِمْ عَلِيمًا (Ⅳ) - وَماذا عَلَيهِم لَو ءامَنوا بِاللَّهِ وَاليَومِ الءاخِرِ وَأَنفَقوا مِمّا رَزَقَهُمُ اللَّهُ ۚ وَكانَ اللَّهُ بِهِم عَليمًا (Ⅴ) - Qu’auraient-ils à se reprocher s’ils avaient seulement cru en Dieu et au Jour dernier, s’ils avaient consenti quelque aumône de ce que Nous leur avons donné en sachant qu’Allah est au courant de tout ce qu’ils font ? (Ⅵ) - que leur en eût-il coûté de croire en Dieu et au Jour dernier, de faire dépense sur l’attribution de Dieu ? — Dieu en tout est Connaissant... (Ⅶ) - Que leur en eût-il coûté s’ils avaient cru en Allah et au Dernier Jour, et s’ils avaient fait dépense [en aumône] sur ce qu’Allah leur a attribué ? Allah, sur eux, est omniscient. (Ⅷ)
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En vérité, Dieu ne saurait léser personne, pas même du poids d’un atome ; et s’il s’agit d’une bonne action, Il en multiplie la valeur et lui attribue une récompense au-delà de toute limite.
- Inna Allaha la yathlimu mithqala tharratin wain taku hasanatan yudaAAifha wayuti min ladunhu ajran AAatheeman (Ⅰ) - DIEU ne lèse [personne], fût-ce du poids d’un atome. Si [vous faites] une bonne action, DIEU la double et donne de Sa part une magnifique récompense. (Ⅱ) - إن الله لا يظلم مثقال ذرة وإن تك حسنة يضاعفها ويؤت من لدنه أجرا عظيما (Ⅲ) - إِنَّ اللَّهَ لَا يَظْلِمُ مِثْقَالَ ذَرَّةٍ ۖ وَإِن تَكُ حَسَنَةً يُضَاعِفْهَا وَيُؤْتِ مِن لَّدُنْهُ أَجْرًا عَظِيمًا (Ⅳ) - إِنَّ اللَّهَ لا يَظلِمُ مِثقالَ ذَرَّةٍ ۖ وَإِن تَكُ حَسَنَةً يُضٰعِفها وَيُؤتِ مِن لَدُنهُ أَجرًا عَظيمًا (Ⅴ) - Allah ne fait de tort à qui que ce soit, fût-ce du poids d’un atome. S’il s’agit d’une bonne action, Il la récompensera du double et Il donnera une gratification importante. (Ⅵ) - — Dieu ne lèse pas du poids d’une fourmi. Si c’est une belle action, Il la redouble, ajoutant de Sa part un salaire grandiose. (Ⅶ) - Allah ne lèse point du poids d’une fourmi et si c’est une bonne action, Il la doublera [, lors du Jugement Dernier,] et donnera, de Sa part, une rétribution immense. (Ⅷ)
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Qu’adviendra-t-il des négateurs lorsque, de chaque communauté, Nous amènerons un témoin à charge, et que Nous t’amènerons toi-même pour témoigner contre eux ?
- Fakayfa itha jina min kulli ommatin bishaheedin wajina bika AAala haolai shaheedan (Ⅰ) - Qu’adviendra-t-il quand Nous ferons venir un témoin [le Prophète] de chaque communauté et que Nous t’amènerons [toi Muhammad] en témoin de tous ceux-là ? (Ⅱ) - فكيف إذا جئنا من كل أمة بشهيد وجئنا بك على هؤلاء شهيدا (Ⅲ) - فَكَيْفَ إِذَا جِئْنَا مِن كُلِّ أُمَّةٍ بِشَهِيدٍ وَجِئْنَا بِكَ عَلَىٰ هَٰؤُلَاءِ شَهِيدًا (Ⅳ) - فَكَيفَ إِذا جِئنا مِن كُلِّ أُمَّةٍ بِشَهيدٍ وَجِئنا بِكَ عَلىٰ هٰؤُلاءِ شَهيدًا (Ⅴ) - Quelle sera l’attitude des incroyants si Nous réunissons contre eux des témoins de toutes les nations, et si Nous te faisons venir comme témoin à leur encontre ? (Ⅵ) - Comment en serait-il autrement, quand Nous avons fait surgir de toute nation son témoin, et te produisons toi-même en témoin de tous ceux-là ? (Ⅶ) - Comment [seront-ils] quand Nous amènerons un Témoin [tiré] de chaque communauté, quand Nous t’amènerons [, Prophète !,] comme Témoin à l’encontre de ces Infidèles-ci ? (Ⅷ)
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Ce jour-là, ceux qui auront été incrédules et qui auront désobéi au Prophète souhaiteront être engloutis par la terre, sachant qu’ils ne pourront rien dissimuler à Dieu !
- Yawmaithin yawaddu allatheena kafaroo waAAasawoo alrrasoola law tusawwa bihimu alardu wala yaktumoona Allaha hadeethan (Ⅰ) - Ce jour-là, ceux qui auront rejeté [les enseignements célestes] et désobéi au Prophète souhaiteront que la terre soit nivelée sur eux, [mais] ils ne pourront cacher à DIEU aucun propos [qu’ils ont tenu]. (Ⅱ) - يومئذ يود الذين كفروا وعصوا الرسول لو تسوى بهم الأرض ولا يكتمون الله حديثا (Ⅲ) - يَوْمَئِذٍ يَوَدُّ الَّذِينَ كَفَرُوا وَعَصَوُا الرَّسُولَ لَوْ تُسَوَّىٰ بِهِمُ الْأَرْضُ وَلَا يَكْتُمُونَ اللَّهَ حَدِيثًا (Ⅳ) - يَومَئِذٍ يَوَدُّ الَّذينَ كَفَروا وَعَصَوُا الرَّسولَ لَو تُسَوّىٰ بِهِمُ الأَرضُ وَلا يَكتُمونَ اللَّهَ حَديثًا (Ⅴ) - Ce jour-là, ceux qui n’ont pas cru en Allah et qui ont désobéi au Prophète souhaiteraient que la terre les fasse disparaître. Ils n’auront rien à cacher à Allah ! (Ⅵ) - Ils voudraient bien ce Jour-là, les dénégateurs, les rebelles à l’Envoyé, que la terre sur eux se nivelât : mais ils ne pourront à Dieu celer nul propos... (Ⅶ) - En ce jour, ceux qui auront été infidèles et auront désobéi à l’Apôtre aimeront que la terre les recouvre et ne pourront céler un [seul] discours à Allah. (Ⅷ)
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Ô vous qui croyez ! Ne faites pas la salât lorsque vous êtes ivres ; attendez que vous ayez retrouvé votre lucidité ! Ne la faites pas non plus lorsque vous êtes en état d’impureté ; attendez que vous ayez fait vos grandes ablutions, à moins que vous ne soyez en voyage ! Si vous êtes malades ou en voyage, ou si vous venez de satisfaire vos besoins naturels, ou si vous avez approché une femme et que vous ne trouviez pas d’eau, utilisez alors de la terre propre pour vous en essuyer le visage et les mains, car Dieu est Indulgent et Miséricordieux.
- Ya ayyuha allatheena amanoo la taqraboo alssalata waantum sukara hatta taAAlamoo ma taqooloona wala junuban illa AAabiree sabeelin hatta taghtasiloo wain kuntum marda aw AAala safarin aw jaa ahadun minkum mina alghaiti aw lamastumu alnnisaa falam tajidoo maan fatayammamoo saAAeedan tayyiban faimsahoo biwujoohikum waaydeekum inna Allaha kana AAafuwwan ghafooran (Ⅰ) - Croyants, n’approchez pas de la Prière alors que vous êtes ivres (vous avez péché), afin que vous sachiez ce que vous dites ; [ne faites pas la Prière] non plus quand vous êtes pollués - sauf quand vous faites route - avant d’avoir pratiqué la grande ablution. Si vous êtes malades ou en voyage, ou si l’un de vous revient du lieu secret [avoir satisfait ses besoins naturels], ou si vous avez eu des rapports [intimes] avec les femmes, et que vous ne trouviez pas d’eau, recourez à une terre pure [touchez-la avec les paumes] que vous passerez sur votre visage et vos mains. DIEU est Indulgent, Celui qui pardonne. (Ⅱ) - يا أيها الذين آمنوا لا تقربوا الصلاة وأنتم سكارى حتى تعلموا ما تقولون ولا جنبا إلا عابري سبيل حتى تغتسلوا وإن كنتم مرضى أو على سفر أو جاء أحد منكم من الغائط أو لامستم النساء فلم تجدوا ماء فتيمموا صعيدا طيبا فامسحوا بوجوهكم وأيديكم إن الله كان عفوا غفورا (Ⅲ) - يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا لَا تَقْرَبُوا الصَّلَاةَ وَأَنتُمْ سُكَارَىٰ حَتَّىٰ تَعْلَمُوا مَا تَقُولُونَ وَلَا جُنُبًا إِلَّا عَابِرِي سَبِيلٍ حَتَّىٰ تَغْتَسِلُوا ۚ وَإِن كُنتُم مَّرْضَىٰ أَوْ عَلَىٰ سَفَرٍ أَوْ جَاءَ أَحَدٌ مِّنكُم مِّنَ الْغَائِطِ أَوْ لَامَسْتُمُ النِّسَاءَ فَلَمْ تَجِدُوا مَاءً فَتَيَمَّمُوا صَعِيدًا طَيِّبًا فَامْسَحُوا بِوُجُوهِكُمْ وَأَيْدِيكُمْ ۗ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَفُوًّا غَفُورًا (Ⅳ) - يٰأَيُّهَا الَّذينَ ءامَنوا لا تَقرَبُوا الصَّلوٰةَ وَأَنتُم سُكٰرىٰ حَتّىٰ تَعلَموا ما تَقولونَ وَلا جُنُبًا إِلّا عابِرى سَبيلٍ حَتّىٰ تَغتَسِلوا ۚ وَإِن كُنتُم مَرضىٰ أَو عَلىٰ سَفَرٍ أَو جاءَ أَحَدٌ مِنكُم مِنَ الغائِطِ أَو لٰمَستُمُ النِّساءَ فَلَم تَجِدوا ماءً فَتَيَمَّموا صَعيدًا طَيِّبًا فَامسَحوا بِوُجوهِكُم وَأَيديكُم ۗ إِنَّ اللَّهَ كانَ عَفُوًّا غَفورًا (Ⅴ) - Ô vous les croyants ! N’approchez pas de la prière en étant ivres, jusqu’au moment où vous saurez quoi dire. Il en est de même si vous n’êtes pas purs, à moins que vous ne soyez sur la route ou de passage et que vous ne vous purifiiez. Si vous êtes malades ou en voyage ou que vous sortiez d’un lieu d’aisance ou encore d’un lit où vous aurez eu un contact charnel avec vos femmes et que vous ne trouviez point d’eau, recourez à l’ablution pulvérale grâce à du sable propre. Passez-le sur votre visage et vos mains. Allah, l’Indulgent, est Celui qui pardonne. (Ⅵ) - Vous qui croyez, n’approchez la prière ni en état d’ivresse, avant de savoir ce que vous dites, ni en état d’impureté, sauf quand vous êtes en chemin, avant d’avoir pratiqué une ablution générale, sauf si vous êtes malades, ou en voyage, ou revenant de déféquer, ou ayant touché à une femme, sans trouver d’eau : dans ce cas, recourez à un sol sain, effleurez-en votre figure et vos mains. — Dieu est Effaceur, Tout pardon. (Ⅶ) - O vous qui croyez !, n’approchez point de la Prière, alors que vous êtes ivres, avant de savoir ce que vous dites ! [N'en approchez pas] en état de pollution — exception faite pour ceux qui font route —, avant de vous être lavés ! Si vous êtes malades ou en voyage, ou [si] l’un de vous vient du lieu secret ou [si] vous avez caressé vos femmes et que vous ne trouviez pas d’eau, recourez à du bon sable et passez-vous-en sur le visage et les mains ! Allah est indulgent et absoluteur. (Ⅷ)
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Ne vois-tu pas comment ceux qui ont reçu une partie du Livre ne font que courir après l’erreur, en souhaitant tant vous y précipiter à votre tour ?
- Alam tara ila allatheena ootoo naseeban mina alkitabi yashtaroona alddalalata wayureedoona an tadilloo alssabeela (Ⅰ) - N’as-tu pas vu ceux qui ont reçu une part de l’Ecriture[, au lieu de s’en servir pour se guider et pour guider les autres,] acheter [leur propre] égarement et vouloir que vous quittiez le chemin [de DIEU] ? (Ⅱ) - ألم تر إلى الذين أوتوا نصيبا من الكتاب يشترون الضلالة ويريدون أن تضلوا السبيل (Ⅲ) - أَلَمْ تَرَ إِلَى الَّذِينَ أُوتُوا نَصِيبًا مِّنَ الْكِتَابِ يَشْتَرُونَ الضَّلَالَةَ وَيُرِيدُونَ أَن تَضِلُّوا السَّبِيلَ (Ⅳ) - أَلَم تَرَ إِلَى الَّذينَ أوتوا نَصيبًا مِنَ الكِتٰبِ يَشتَرونَ الضَّلٰلَةَ وَيُريدونَ أَن تَضِلُّوا السَّبيلَ (Ⅴ) - N’as-tu pas vu ceux qui disposent d’une partie du Livre et qui, se fondant là-dessus, vendent l’incohérence et veulent vous faire quitter le droit chemin ? (Ⅵ) - N’en vois-tu pas qui ont reçu une part de l’Écriture, acheter l’égarement et vouloir que vous vous égariez du chemin ? (Ⅶ) - N’as-tu point vu ceux à qui a été donnée une part de l’Écriture ? Ils achètent l’égarement pour eux-mêmes et veulent que vous vous égariez [avec eux], en chemin. (Ⅷ)
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C’est Dieu qui connaît le mieux vos vrais ennemis, car Dieu est votre meilleur Maître et votre Allié le plus sûr.
- WaAllahu aAAlamu biaAAdaikum wakafa biAllahi waliyyan wakafa biAllahi naseeran (Ⅰ) - DIEU connaît mieux [que personne] vos ennemis ; [si vous obéissez à DIEU,] DIEU est le meilleur Protecteur [Ami et Guide], DIEU est le meilleur Secours. (Ⅱ) - والله أعلم بأعدائكم وكفى بالله وليا وكفى بالله نصيرا (Ⅲ) - وَاللَّهُ أَعْلَمُ بِأَعْدَائِكُمْ ۚ وَكَفَىٰ بِاللَّهِ وَلِيًّا وَكَفَىٰ بِاللَّهِ نَصِيرًا (Ⅳ) - وَاللَّهُ أَعلَمُ بِأَعدائِكُم ۚ وَكَفىٰ بِاللَّهِ وَلِيًّا وَكَفىٰ بِاللَّهِ نَصيرًا (Ⅴ) - Mais Allah est parfaitement au fait de vos ennemis. Il vous suffit de L’avoir pour protecteur et pour défenseur. (Ⅵ) - Dieu connaît mieux que personne vos ennemis. Qu’il vous suffise de Dieu comme protecteur. Qu’il vous suffise de Lui comme secourant... (Ⅶ) - Allah connaît bien vos ennemis. Combien Allah suffit comme patron et combien Il suffit comme auxiliaire ! (Ⅷ)
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Parmi les juifs, il en est qui altèrent le sens du discours, et disent : « Nous avons entendu et nous refusons d’obéir. Écoute ! Puisses-tu ne rien entendre ! » Et ils ajoutent : « Aie des égards pour nous ! », en employant le terme équivoque râ`inâ, avec l’intention de dénigrer la religion. Que ne disent-ils plutôt : « Nous avons entendu et nous avons obéi ! Écoute et regarde-nous ! » C’eût été préférable pour eux et plus loyal. Mais Dieu les a maudits pour leur impiété et pour la tiédeur de leur croyance.
- Mina allatheena hadoo yuharrifoona alkalima AAan mawadiAAihi wayaqooloona samiAAna waAAasayna waismaAA ghayra musmaAAin waraAAina layyan bialsinatihim wataAAnan fee alddeeni walaw annahum qaloo samiAAna waataAAna waismaAA waonthurna lakana khayran lahum waaqwama walakin laAAanahumu Allahu bikufrihim fala yuminoona illa qaleelan (Ⅰ) - Il y a des Juifs qui, tordent leurs langues avec mépris et dans l’esprit de dénigrement pour la religion, adultèrent (la prononciation) des mots [de façon à signifier] : « Nous avons entendu et nous avons désobéi ! Ecoute ! Puisses-tu n’être jamais entendu ; et Regarde et laisse-nous ». Si, au contraire, ils disaient (ils prononçaient honnêtement, les dits mots signifieraient) : « Nous avons entendu [la vérité] et nous avons obéi », « Ecoute et laisse-nous le temps [de comprendre] » c’eût été certainement meilleur pour eux et correct. Mais DIEU les a maudits à cause de leur impiété [obstinée] ; ils ne croient [en DIEU] que très peu [ou, excepté quelques-uns]. (Ⅱ) - من الذين هادوا يحرفون الكلم عن مواضعه ويقولون سمعنا وعصينا واسمع غير مسمع وراعنا ليا بألسنتهم وطعنا في الدين ولو أنهم قالوا سمعنا وأطعنا واسمع وانظرنا لكان خيرا لهم وأقوم ولكن لعنهم الله بكفرهم فلا يؤمنون إلا قليلا (Ⅲ) - مِّنَ الَّذِينَ هَادُوا يُحَرِّفُونَ الْكَلِمَ عَن مَّوَاضِعِهِ وَيَقُولُونَ سَمِعْنَا وَعَصَيْنَا وَاسْمَعْ غَيْرَ مُسْمَعٍ وَرَاعِنَا لَيًّا بِأَلْسِنَتِهِمْ وَطَعْنًا فِي الدِّينِ ۚ وَلَوْ أَنَّهُمْ قَالُوا سَمِعْنَا وَأَطَعْنَا وَاسْمَعْ وَانظُرْنَا لَكَانَ خَيْرًا لَّهُمْ وَأَقْوَمَ وَلَٰكِن لَّعَنَهُمُ اللَّهُ بِكُفْرِهِمْ فَلَا يُؤْمِنُونَ إِلَّا قَلِيلًا (Ⅳ) - مِنَ الَّذينَ هادوا يُحَرِّفونَ الكَلِمَ عَن مَواضِعِهِ وَيَقولونَ سَمِعنا وَعَصَينا وَاسمَع غَيرَ مُسمَعٍ وَرٰعِنا لَيًّا بِأَلسِنَتِهِم وَطَعنًا فِى الدّينِ ۚ وَلَو أَنَّهُم قالوا سَمِعنا وَأَطَعنا وَاسمَع وَانظُرنا لَكانَ خَيرًا لَهُم وَأَقوَمَ وَلٰكِن لَعَنَهُمُ اللَّهُ بِكُفرِهِم فَلا يُؤمِنونَ إِلّا قَليلًا (Ⅴ) - Parmi ceux qui ont adopté le judaïsme, il en est qui détournent les mots de leur sujet, disant : Nous avons entendu et nous avons désobéi, ou encore : Écoute sans que tu sois entendu. Examine comment ils déforment les mots avec leur accent et se vengent sur la vraie religion. Alors que s’ils avaient dit : Nous avons entendu et nous avons obéi, regarde et vois par toi-même, tout cela leur profiterait largement. Mais Allah les maudit en raison de leur infidélité, car leur foi est très faible. (Ⅵ) - Parmi les adeptes du Judaïsme, il en est qui déplacent les mots de leurs lieux ; ils disent : « Entendre, c’est pour nous désobéir », ou bien : « Entends qui l’on n’entend pas », « Aie pour nous des égards » ; tout cela par torsion de langue et pour attaquer l’allégeance. S’ils avaient dit : « Entendre, c’est pour nous obéir », ou bien : « Entends-nous, attends-nous », c’eût été assurément pour eux meilleur, et plus correct. — Dieu les maudisse pour leur déni : ils sont si peu à croire ! (Ⅶ) - Parmi ceux qui pratiquent le Judaïsme, sont ceux qui détournent le Discours de ses sens et disent : « Nous avons entendu et avons désobéi » [ou bien] : « Entends sans qu’il te soit donné d’entendre (?) ! Considère-nous (?) ! » [Ils disent cela] par gauchissement de la prononciation et attaque contre la Religion. S’ils avaient dit : « Nous avons entendu et avons obéi », « Entends ! Donne-nous d’attendre ! », cela aurait été meilleur pour eux et plus droit. Qu’Allah les maudisse, pour leur impiété ! Ils n’ont que peu de foi. (Ⅷ)
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Ô vous qui détenez les Écritures ! Croyez au Coran que Nous révélons pour confirmer ce que vous aviez déjà, avant que Nous couvrions d’avilissement et d’humiliation certains visages ou que Nous les maudissions, comme Nous avons maudit les profanateurs du Sabbat. L’ordre de Dieu est toujours suivi d’exécution.
- Ya ayyuha allatheena ootoo alkitaba aminoo bima nazzalna musaddiqan lima maAAakum min qabli an natmisa wujoohan fanaruddaha AAala adbariha aw nalAAanahum kama laAAanna ashaba alssabti wakana amru Allahi mafAAoolan (Ⅰ) - Gens de l’Ecriture, croyez en ce que Nous avons fait descendre (révélé le Coran) venant confirmer ce que vous aviez. [Croyez] avant que Nous n’effacions les visages et ne les retournions en arrière ou ne les maudissions comme Nous avons maudit[, résultat de leurs actions abominables,] les gens [transgresseurs] du sabbat ; et l’ordre de DIEU fut accompli. (Ⅱ) - يا أيها الذين أوتوا الكتاب آمنوا بما نزلنا مصدقا لما معكم من قبل أن نطمس وجوها فنردها على أدبارها أو نلعنهم كما لعنا أصحاب السبت وكان أمر الله مفعولا (Ⅲ) - يَا أَيُّهَا الَّذِينَ أُوتُوا الْكِتَابَ آمِنُوا بِمَا نَزَّلْنَا مُصَدِّقًا لِّمَا مَعَكُم مِّن قَبْلِ أَن نَّطْمِسَ وُجُوهًا فَنَرُدَّهَا عَلَىٰ أَدْبَارِهَا أَوْ نَلْعَنَهُمْ كَمَا لَعَنَّا أَصْحَابَ السَّبْتِ ۚ وَكَانَ أَمْرُ اللَّهِ مَفْعُولًا (Ⅳ) - يٰأَيُّهَا الَّذينَ أوتُوا الكِتٰبَ ءامِنوا بِما نَزَّلنا مُصَدِّقًا لِما مَعَكُم مِن قَبلِ أَن نَطمِسَ وُجوهًا فَنَرُدَّها عَلىٰ أَدبارِها أَو نَلعَنَهُم كَما لَعَنّا أَصحٰبَ السَّبتِ ۚ وَكانَ أَمرُ اللَّهِ مَفعولًا (Ⅴ) - Ô vous peuple du Livre, ayez foi en ce qui vous a été révélé en confirmation de ce que vous possédiez, au risque de voir vos visages s’estomper et que Nous les retournions à leur état initial. Ils risquent d’être maudits comme Nous avons maudit les adeptes du sabbat. L’ordre de Dieu a été exécuté. (Ⅵ) - Vous qui avez reçu l’Écriture, croyez en ce que Nous faisons descendre pour avérer votre legs, avant que Nous n’aplatissions des faces et puis ne les rabattions en arrière, ou ne vous maudissions comme Nous maudîmes les Gens du sabbat. — Et l’ordre de Dieu fut exécuté ! (Ⅶ) - O vous qui avez reçu l’Écriture !, croyez à ce que Nous avons fait descendre, marquant la véracité des messages antérieurs que vous détenez ! Croyez [avant] que Nous n’effacions [les traits] des visages, les ramenant à leur premier aspect (?), ou [avant que] Nous ne les maudissions comme Nous avons maudit les Transgresseurs du sabbat ! L’ordre d’Allah a été exécuté. (Ⅷ)
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Dieu ne pardonne point qu’on Lui associe d’autres divinités ; mais Il pardonne à qui Il veut les autres péchés, car celui qui associe à Dieu d’autres divinités commet un forfait d’une exceptionnelle gravité !
- Inna Allaha la yaghfiru an yushraka bihi wayaghfiru ma doona thalika liman yashao waman yushrik biAllahi faqadi iftara ithman AAatheeman (Ⅰ) - DIEU ne pardonne pas qu’on Lui associe [obstinément d’autres dieux ou idoles] ; Il pardonne à qui Il veut les péchés moins graves que celui-là. Quiconque associe [des idoles] à DIEU, commet un énorme péché. (Ⅱ) - إن الله لا يغفر أن يشرك به ويغفر ما دون ذلك لمن يشاء ومن يشرك بالله فقد افترى إثما عظيما (Ⅲ) - إِنَّ اللَّهَ لَا يَغْفِرُ أَن يُشْرَكَ بِهِ وَيَغْفِرُ مَا دُونَ ذَٰلِكَ لِمَن يَشَاءُ ۚ وَمَن يُشْرِكْ بِاللَّهِ فَقَدِ افْتَرَىٰ إِثْمًا عَظِيمًا (Ⅳ) - إِنَّ اللَّهَ لا يَغفِرُ أَن يُشرَكَ بِهِ وَيَغفِرُ ما دونَ ذٰلِكَ لِمَن يَشاءُ ۚ وَمَن يُشرِك بِاللَّهِ فَقَدِ افتَرىٰ إِثمًا عَظيمًا (Ⅴ) - Allah ne pardonne pas qu’on Lui associe d’autres dieux, mais Il pardonne à qui Il veut tout autre péché véniel, car celui qui donne un associé à Allah commet un immense tort. (Ⅵ) - — Dieu ne pardonne pas qu’on Lui associe personne, mais Il remettra un crime moins grave à qui Il veut. Quiconque donne un associé à Dieu fabule un énorme péché. (Ⅶ) - Allah ne pardonne point qu’il Lui soit donné des Associés, alors qu’Il pardonne, à qui Il veut, les péchés autres que celui-là. Quiconque associe à Allah [des parèdres] commet un immense péché. (Ⅷ)
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As-tu remarqué comment ces gens-là s’attribuent des vertus de leur propre autorité, alors que c’est Dieu qui en octroie à qui Il veut, sans jamais léser personne, même pas de la moindre brindille ?
- Alam tara ila allatheena yuzakkoona anfusahum bali Allahu yuzakkee man yashao wala yuthlamoona fateelan (Ⅰ) - N’as-tu pas vu ceux qui [étant pécheurs et injustes] se prétendent purs ? DIEU purifie qui Il veut [ou, Il purifie celui qui sincèrement veut être purifié] et [les hommes] ne seront pas d’un brin lésés. (Ⅱ) - ألم تر إلى الذين يزكون أنفسهم بل الله يزكي من يشاء ولا يظلمون فتيلا (Ⅲ) - أَلَمْ تَرَ إِلَى الَّذِينَ يُزَكُّونَ أَنفُسَهُم ۚ بَلِ اللَّهُ يُزَكِّي مَن يَشَاءُ وَلَا يُظْلَمُونَ فَتِيلًا (Ⅳ) - أَلَم تَرَ إِلَى الَّذينَ يُزَكّونَ أَنفُسَهُم ۚ بَلِ اللَّهُ يُزَكّى مَن يَشاءُ وَلا يُظلَمونَ فَتيلًا (Ⅴ) - N’as-tu pas vu ceux qui cherchent la sauvegarde de leur âme ? Mais Allah purifie qui Il veut, et nul ne sera lésé de la moindre rétribution. (Ⅵ) - N’en vois-tu pas prétendre se purifier eux-mêmes ? Dieu seul purifie qui Il veut, sans que personne soit d’un brin lésé. (Ⅶ) - N’as-tu point vu ceux qui se purifient ? En vain ! Allah purifie qui Il veut, et [ces gens, au Jugement Dernier,] ne seront point lésés d’une pellicule de datte. (Ⅷ)
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