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bdallah Redha. -Je voudrais, Sidi, que vous me parliez longuement de Jésus, si vous en avez le temps et si vous n'êtes pas trops malade.
Cheikh Adda. -"Laissez la maladie faire son travail et nous faisons le nôtre", disait le vénéré al-Alawi (que Dieu agrèe son âme). Cette question est très délicate et j'ai peur de blesser les coeurs. Comme une belle rose au parfun très doux que la brise caresse, la Vérité nous attire. Mais attention aux épines pour les mains fragiles! Si une goutte de sang perlait de votre doigt, mon coeur pleurerait de sa maladresse. Je veux bien parler de Jésus, mais laissez-moi, pour vous, cueillir cette belle rose, laissez-moi vous éviter la douleur. Avançons doucement, très doucement…
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